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Dernière modification par Bootspoppers (12 mars 2017 à 23:36)
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Bootspoppers a écrit
Série dans Le Monde.
Jeudi 16 mai 2019. Pages 20 - 21.
"De Cayenne à Paris le chemin des mules. 2/3.
Après avoir franchi le fleuve qui sépare le Suriname de la Guyane, la cocaïne doit maintenant accomplir une deuxième étape: la traversée de l'Atlantique.
Les candidats sont si nombreux que le système judiciaire français n'arrive plus à faire face. "
L idée germe de ne plus poursuivre en dessous dune certaine quantité comme cela fut le cas il y a 15 ans aux Pays Bas.
L'article parle de schizophrénie pénale...
Ma conclusion personnelle, certes un peu extrême:
il est temps de dépénaliser l'usage et même le commerce pour mieux contrôler la qualité et la fiscalité des revenus générés par ce commerce.
Je suis totalement d"accord, mais un certains nombre de questions me taraudent l'esprit: que deviennent les dealers ? Qui fournit les substances? Des laboratoires privés? L'état?
On serait sur le modèle des sites situés aux Pays-Bas ou en Allemagne et qui vendent des RC?
Si les drogues sont dépénalisées, ce ne seront plus des drogues (mot bien trop connoté en France) mais des substances consommables. Comment l'information sur ces produits sera-t-elle assurée? Diffusée je vois et PA a largement son rôle à jouer.
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janis a écrit
mais un certains nombre de questions me taraudent l'esprit: que deviennent les dealers ? Qui fournit les substances? Des laboratoires privés? L'état?
excellentes questions, si on se faisait la main sur le cannabis thérapeutique ce serait déjà un début..
Du point de vue agricole, on produit déjà des opiacés en France ( je crois 15000 ha de papaver somniferum sous contrat pharmaceutique).
Il y a encore un peu le dxm aussi. En vente libre aux USA.
Je trouve qu'on ne part pas de rien.
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Hilde a écrit
Bootspoppers et Janis, aviez-vous vu les liens postés par Prescripteur dans ce fil de discussion: https://www.psychoactif.org/forum/2019/ … .html#divx
Merci Hilde, j'étais passée à coté. Le document qui aborde d'emblée la prise de substance comme des pratiques culturelles et sociétales est vraiment intéressant.
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Faut-il légaliser le cannabis en France ? Vingt arguments pour se forger une opinion
Un rapport du Conseil d’analyse économique préconise de modifier la législation, comme l’ont fait le Canada, l’Uruguay et certains Etats américains.
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Dernière modification par Fuji cf (27 décembre 2019 à 21:43)
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Adastra Labs indique que la licence modifiée lui permet « d’interagir » avec jusqu’à 250 grammes de cocaïne et d’importer des feuilles de coca afin de fabriquer et de synthétiser la substance.
Le PDG d’Adastra, Michael Forbes, a déclaré qu’il évaluerait comment la commercialisation de la substance s’intègre à son modèle dans le but de se positionner pour répondre à la demande d’un approvisionnement sûr en cocaïne.
M. Forbes affirme que « la réduction des méfaits est un sujet d’une importance cruciale et courante », et que l’entreprise reste à l’avant-garde de la réglementation sur les drogues.
La décriminalisation de certains produits jusqu’à 2,5 grammes, y compris la cocaïne, a commencé en Colombie-Britannique le 31 janvier, après que le gouvernement fédéral a approuvé l’exemption dans le cadre d’un plan de lutte contre la crise des surdoses qui a tué des milliers de personnes dans la province.
Canadian Cannabis Company Retracts Claim Of License To Sell Cocaine
https://www.forbes.com/sites/dariosabag … 7bb2cf778d
Une société canadienne de cannabis a initialement déclaré qu'elle avait obtenu l'autorisation de vendre de la cocaïne, mais a depuis retiré sa déclaration.
Adastra Labs, une société de cannabis basée en Colombie-Britannique, a annoncé le 22 février qu'elle avait reçu une licence pour posséder, produire et vendre légalement de la feuille de coca, de la cocaïne et de la psilocybine après que Santé Canada, le ministère responsable de la politique nationale de santé, a accordé le l'approbation de la société pour une modification de sa licence de revendeur de substances contrôlées le 17 février.
Cependant, quelques jours plus tard, la société est revenue sur son annonce initiale et a publié un autre communiqué de presse le 3 mars précisant que bien qu'elle ait obtenu une licence de substance contrôlée par Santé Canada, cette licence ne lui permettait pas de vendre de la feuille de coca, de la psilocybine, ou de la cocaïne au grand public.
Ce malentendu a fait frétiller l'action.
L'idée de légalisation de la coke est soutenue en bourse.
Dernière modification par Mister No (09 mars 2023 à 20:24)
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