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Dernière modification par Dreamyn (06 décembre 2017 à 11:53)
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Dernière modification par kokie301 (07 décembre 2017 à 22:30)
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padebol a écrit
Gaspard J ai vraiment pas de bol.. je n ai pas présenté ma cv mais c'est seulement à la fin qu'elle m a dit qu'elle s'en était chargé pour la sécu. .. je risque quoi depuis 2 mois je me fais faire des ordo de skenan tous les 15 jours au lieu de tpus les mois... la j'ai peur j habite une grande ville mais que que je risque comme punition ?
Je pense que tu risque un rappel a l'ordre (un courrier) ou au pire une convocation par un medecin conseil, voir un rembousement des prescriptions "hors parcour normal" mais c peu probable.
Moi ils m'on fait rembourser des médocs pour plusieurs prescriptions mais j'avais grave abusé.
A mon avis si tu en reste là tu ne risque pas grand choses.
Je repète un peu s'que dit reckling.
Ne fait pas noter "non substituable" sur l'ordo et demande l'original du médoc, dans ce cas tu avance l'argent et te fais faire une feuille de remboursement que tu n'envoie pas a la secu, c aussi une façon de faire.
Amicalement.
Gas'.
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MadyDahmer a écrit
Et comme je prends du seresta, la psy peut pas donner xanax et seresta sur la même ordo, alors je vais chez mon médecin traitant. Je peux présenter deux ordos et ils n'ont pas à me refuser mes médicaments puisque ça m'est prescrit. C'est comme ça depuis 8ans, je n'ai jamais eu de problème.
Le seul truc auquel les pharmaciens tiennent c'est le "non substituable" lol
Complètement faux. Le jour où il arrive un problème, ce pharmacien risque d'avoir de gros problèmes avec la justice. Déjà "simplement" associer 2 benzodiazépines (1 anxiolytique + 1 hypnotique) relève de l'avis spécialisé (psychiatre), par contre associer 2 benzodiazépines anxiolytiques, c'est aberrant d'un point de vue médical. Et c'est encore plus aberrant si c'est prescrit par 2 médecins différents, car cela signifie que l'association n'est même pas cautionnée par un médecin.
Résultat, en cas de pépin, le pharmacien est 100% responsable d'avoir validé un tel traitement. Si les 2 molécules était prescrit par la psychiatre sur une même ordonnance, la responsabilité serait partagée à 50/50 entre la psychiatre et le pharmacien.
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Recklinghausen a écrit
Salut,
Tu oublies un détail dans cette affaire Franck...
Le pharmacien refuse une partie de la délivrance de cette ordonnance sans joindre le médecin prescripteur ce qui au niveau déontologique ne peut être acceptable.
De plus, il se limite à transmettre 2 boîtes au lieu de 4, sans noter sur l'ordonnance qu'il ne l'a pas respecter dans sa globalité .
Ces deux façons de procéder montre non seulement une méconnaissance du règlement mais en plus un jugement de valeur de la.personne qui présente son ordonnance médicale.
Du mesusage ????
Mais quel est donc l'élément qui te permet de juger cela ? Je ne vois là qu'une Primo prescription d'un médicament en sous dosage dans cette affaire.
Reck.
Alors j'ai peut-être lu trop vite, mais pour moi c'est dit nulle part que le pharmacien n'a pas notifié son refus sur l'ordonnance... Et il est dit nulle part qu'il n'a pas prévenu le médecin (par messagerie sécurisée c'est possible aussi).
Et concernant le mésurage, il est caractérisé puisque l'ordonnance mentionne 4/jour et que le patient en a pris 6/jour. Une ordonnance de médicaments (une fois analysée, validée et délivrée par le pharmacien) c'est fait pour ordonner au malade. Si jamais il y a un sous dosage, c'est au médecin de décider d'augmenter le dosage et non au patient de le faire de lui-même. Sinon on appelle cela un mésusage.
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Recklinghausen a écrit
De plus, il se limite à transmettre 2 boîtes au lieu de 4, sans noter sur l'ordonnance qu'il ne l'a pas respecter dans sa globalité .
Moi sur mes ordonnances quand je ressort de la pharmacie, il y a inscrit le nombre de boîtes délivrées, leur prix, etc etc...
Donc même si le pharmacien n'a pas motivé son refus par écrit, l'ordo montre bien que seules deux boîtes ont été délivrées.(normalement)
Dernière modification par yoshinabis (17 décembre 2017 à 12:31)
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Recklinghausen a écrit
Ben... C'est ce qu'a fait le médecin en validant cette augmentation par une nouvelle ordonnance, non ?
Non car d'une part une ordonnance hors consultation, sans examen clinique, n'est pas recevable. D'autre part il n'est fait nullement mention du fait que le traitement a été réévalué, c'est juste la même prescription qui a été recopiée une 2ème fois pour une 2ème délivrance, rapidos, sur un coin de table. Désolé mais ce n'est pas très sérieux. Beaucoup de pharmaciens se battent en EHPAD pour faire comprendre aux personnes âgées et aux médecins que c'est pas open bar et qu'il y a des limites. Que c'est pas un traitement à vie et que le pharmacien ne délivrera pas à vie... Dur dur...
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1/ La loi dit qu'en cas de refus de délivrance, le pharmacien doit communiquer sa décision au prescripteur. Il n'est pas dit du tout que cela doit se faire devant le patient, ni que cela doit forcément se faire par téléphone. Donc là tu sors de ton chapeau magique des obligations qui n'existent pas...
Pas besoin de textes de loi pour une obligation morale...
2/ Le pharmacien n'a pas le droit de juger un médecin (ou autre professionnel de santé), en revanche juger (d'un point de vue médical) les prescriptions, c'est son métier. Je cite la loi : "le pharmacien peut, à chaque fois qu'il l'estime nécessaire, évaluer la pertinence clinique du choix d'une molécule par le prescripteur". Donc c'est parfaitement dans ses attributions de faire ça.
C'est même son métier, contrairement aux apparences... Le médecin établit le diagnostique, le pharmacien prescrit.
3/ Il y a des millions de gens sous benzodazépines depuis 30 ans, c'est vrai. Cela résulte d'erreurs thérapeutiques à la base malheureusement, car les recommandions sont formelles : un traitement hypnotique doit durer 28 jours maximum, et un traitement anxiolytique 3 mois maximum. Passé ce délai, les études cliniques montrent qu'il faut trouver d'autres solutions : psychothérapie (très efficace) ou trouver et éliminer la cause organique de l'anxiété ou de l'insomnie.
Ah bin, mais comme dit précédemment dans le second point, les fautifs de ces 30 dernières années sont les pharmaciens.
Tes arguments se mordent la queue...
Je te le dis sans animosité, nous sommes tous, pharmaciens et patients prisonnier d'un système qui ne tourne pas toujours carré.
Dernière modification par Mister No (22 décembre 2017 à 17:03)
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Il y a 2 ans, un pharmacien a été condamné suite à la délivrance de médicaments prescrits par un psychiatre et qui ont permis au malade de se suicider. Les doses ne dépassaient pas le maximum recommandé, mais les juges ont estimé que le pharmacien aurait quand même du bloquer la prescription.
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kokie301 a écrit
Leur rôle est de conseiller et de vérifier tout un tas de paramètres, pas de jouer aux flics répressifs, enfin bref ca s’est arrangé depuis grâce a mon DOC qui m’a bien dit que c’etait du bleuf de la part du pharmacien
Que vous le vouliez ou non, c'est bien le rôle du pharmacien de contrôler la pertinence médicale d'un traitement prescrit.
Pour finir je citerai un article de loi très clair : "Le pharmacien doit contribuer à la lutte contre la toxicomanie, les maladies sexuellement transmissibles et le dopage."
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