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Synopsis : Alors qu'il se rend chez son dealer Spider Mike, Ross fait la connaissance de son fournisseur The Cook. Il entame alors un voyage psychédélique de trois jours qui va l'emmener au coeur de tous les vices. Une plongée vertigineuse dans l'univers parallèle de la drogue où tout peut arriver.
C'est surtout d'actualité avec les ravages de la méthamphet , avec un Mickey Rourke prodigieux en fabricant de méth (on voit d'ailleurs a peu près comment on fait)
Le trailer du film :
Dernière modification par LLoigor (12 mai 2010 à 09:57)
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Synopsis : Quatre copains dissipés d'une école catholique de New York ont une passion en commun : le basket. Lorsque Bobby meurt d'une leucémie, Jim et ses copains sont confrontés à la dure réalité de la vie qui leur apparaît de plus en plus absurde. Jim se confie à son journal intime, mais l'écriture ne l'empêche pas de se droguer. Sa mère finit par le mettre à la porte. Il continue d'écrire, mais les pensées qu'il consigne dans son journal prennent une tournure surréaliste, témoignant au quotidien de sa descente aux enfers.
Un petit extrait :
Dernière modification par LLoigor (12 mai 2010 à 09:57)
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Synopsis : Cardiff, les annèes 90, l'univers du clubbing, l'espace d'un weekend cinq amis affrontent leur démons personnels au travers des relations qui les unissent. Jip se considère sexuellement paranoïaque et redoute d'être impuissant. Lulu, la meilleure amie de Jip, n'a pas de chance dans ses rencontres amoureuses. Nina déteste son travail dans un fast-food et son mec Koop, qui rêve d'être un disc jockey hip-hop renommé, souffre de jalousie maladive. Le cinquième est Moff, dont la famille n'apprécie guère son comportement. Jip est le narrateur de l'histoire sous la forme d'une voix-off. L'histoire commence un vendredi après-midi avec les préparations pour le clubbing du weekend...
Human Traffic est un ovni cinématographique, écrit et réalisé par Justin Kerrigan qui est né à Cardiff au pays de Galles, là où se déroule le film. Human Traffic est le seul film qu'il ait réalisé. A noter qu'il joue dans le film le rôle de Ziggy Marlon, un jeune complètement déjanté et défoncé. Human Traffic est un regard au ton très juste sur une réalité, un monde dans lequel évolue la jeunesse des sociétés modernes. .
C'est sur la jeunesse anglaise qui consomme des exta en soirée dans les club techno, c'est plus une comédie mais y a pas des passage a mourir de rire comme l'explication de la saga star wars par 2 type défoncés a la beuh
Scène culte : koop le DJ
Scène culte : Star wars est un film sur la drogue
Si vous voulez le matter en entier en streaming bonne qualitée , et vous marrer un peu , il y a est ici divisé en 5 partie :
Le film est en streaming ici :
partie01 :
partie02 :
partie03 :
partie04 :
partie05 :
Dernière modification par LLoigor (12 mai 2010 à 09:57)
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Synopsis : Brillant professeur dans un lycée de Brooklyn, Dan Dunne enseigne avec passion à des adolescents en difficulté.
Cependant dans sa vie privée, Dan est au bord du gouffre, il s'enfonce chaque jour un peu plus dans le désespoir et la drogue. Un jour après les cours, Drey l'une de ses jeunes élèves surprend son professeur en train de fumer du crack.
En dépit de leur différence d'âge et de situation, leurs destins se croisent à un moment crucial de leur existence, où tout peut encore basculer d'un côté comme de l'autre.
Une nomination aux oscar , plusieurs prix du jury dans divers festival , on ne peu pas dire que c'est un film "sur la drogue" , mais elle y occupe une part importante de la trame , c'est un film a voir
Extrait :
Dernière modification par LLoigor (12 mai 2010 à 09:56)
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SUITE DE "HOLLYWOOD PARANO"
En cliquant sur le lien on accède à des extraits, voire des films complets
http://lesensdesimages.blogvie.com/2010 … ema-us-ii/
Hollywood Parano : la drogue et le cinéma US (II) mai 12 2010
Jusqu´alors, durant les années 1910-1950´s, les films relevant de la veine drugsploitation avaient valeur d´avertissement. Tous diabolisaient les drogues qu´elles soient « douces » comme la marijuana ou « dures » comme la cocaïne ou l´héroïne. Mais quand arrivent les années soixante, le message va quelque peu changer…
C´est un fait, le mouvement hippie a mis la drogue à la mode, la marijuana mais aussi et surtout le LSD, puissant « acide » hallucinogène interdit en 1966 sur le sol américain mais très prisé par les amateurs de voyages psychédéliques. C´est l´époque du « summer of love » et du « sexe, drogue et rock´n´roll » et plusieurs chansons pop s´en font l´écho. Ne citons pour exemple que les titres on ne peut plus explicites Lucy in the Sky with Diamonds des Beatles et White Rabbit des Jefferson Airplane sortis simultanément en 1967.
Aussi rien d´étonnant à ce que les nouveaux drugsploitation movies portent essentiellement sur le LSD – la drogue à la mode – comme en témoigne les titres suivants (cliquez pour accéder aux bandes-annonces) : Hallucination Generation (1966), The Love-Ins (1967), The Trip (1967), Psych-Out (1968), Alice in Acidland (1968) ou The Acid Eaters (1968). La plupart s´inscrivent encore, peu ou prou, dans un registre de prévention, mais par leur philosophie libertaire et leur esthétique psychédélique beaucoup trahissent une fascination réelle pour les psychotropes.
The Trip (1967) est à ce titre tout à fait emblématique. Réalisé par le maître du cinéma d´exploitation, Roger Corman, il évoque une expérience sous acide filmée comme un « voyage » hallucinatoire qui permet à Corman d´expérimenter toute une palette d´effets visuels inventifs et audacieux : montage rapide avec images subliminales (évoquant des clips psychédéliques), effets kaléidoscopiques divers, panoramique à 360° qui suit le trajet d´un joint passant de main en main, etc. Pour l´anecdote, toute l´équipe du film expérimenta, paraît-il, le produit afin de témoigner plus fidèlement de ses effets. Au final, The Trip fonctionne comme une véritable invitation au voyage et à la contemplation, ce qui ne manqua pas de créer la polémique puisqu´on lui reprocha de ne pas prendre clairement position contre le LSD. Il n´en fut pas moins un succès.
Même constat pour Psych-Out (1968) produit par Corman l´année suivante. Filmé en décors réels au cœur même de Haight-Ashbury (le quartier hippie de San Francisco d´où parti le mouvement) Psych-Out s´apparente à une célébration du mode de vie hippie. Richard Rush, le réalisateur, évoque bien à l´occasion quelques bad trip – lorsqu´un personnage sous acide voit ses amis comme des zombies ou lorsqu´un autre croit se battre contre des chevaliers médiévaux ! – l´ensemble n´en reste pas moins complaisant envers les drogues et le mode de vie hippie. Ici encore, divers effets psychédéliques contribuent à renforcer la fascination en vogue à l´époque pour les trip sous acide.
C´est le constat qu´on peut encore faire au sujet d´un film comme Alice in Acidland (1968) qui, pourtant, s´inscrit clairement dans une démarche de condamnation de la drogue en épousant le récit classique du drugsploitation movie des 50´s (une jeune fille qui sombre peu à peu dans la dope et dont le trip se conclue à l´asile). Il n´en reste pas moins que la longue scène finale trahit le discours initial, essentiellement par ses qualités esthétiques et hypnotiques (maquillage psyché, corps érotiques, couleurs chaudes saturées, surimpressions stroboscopiques, musique planante) qui s´inscrit totalement dans l´imagerie hip de ces années 67-68.
On ne dira jamais assez combien le Nouvel Hollywood doit au cinéma d´exploitation. La preuve en est avec Easy Rider (D. Hopper, 1969) le film qui révolutionna l´industrie hollywoodienne en recyclant les thèmes des films de Corman (en l´occurrence The Trip et Wild Angels). Est-il d´ailleurs besoin de rappeler que c´est sur le plateau de The Trip que Dennis Hopper, Peter Fonda et Jack Nicholson (crédité comme scénariste) ont pour la première fois été réunis. Aussi peut-on avancer sans grand risque que c´est Easy Rider, produit par la Colombia, qui connecta Hollywood avec la drogue.
Cette histoire de deux hippies toujours défoncés (à la marijuana, à la coke et aux acides) sillonnant le sud des États-Unis en moto est un hymne à la liberté et au voyage dans tous les sens du terme. D´autant plus que le récit ne porte jamais un regard accusateur sur la consommation de stupéfiants, il aurait même plutôt tendance à montrer du doigt les gens straight, normaux et intolérants. Alors bien sûr il y a cette scène extraordinaire de bad trip dans le cimetière de la Nouvelle Orléans (au cours de laquelle les acteurs ne font pas « semblant ») mais elle n´enlève rien au discours libertaire du film.
Cette perception « fun » de la drogue, si on la retrouve occasionnellement dans quelques films hollywoodiens de la fin des sixties – dans Macadam Cowboy (J. Schlesinger, 1969), Bob & Carol & Ted & Alice (P. Mazurky, 1969) ou Zabriskie Point (M. Antonioni, 1970) – va très vite être remise en cause avec la fin de la décennie. C´est Arthur Penn qui le premier va montrer les pièges des drogues « dures » dans son film crépusculaire entérinant la fin de l´utopie hippie intitulé Alice´s Restaurant (1969). Il faut dire que l´année 1969 symbolise à la fois l´apogée du mouvement « peace and love » avec le festival de Woodstock mais aussi sa terrible déchéance avec l´affaire Manson. « Dream is over » chantait Lennon et les films à venir, toujours plus sinistres, allaient en témoigner avec une déconcertante acuité.
S´il est un film qui concrétise parfaitement ce revirement de point de vue sur les drogues dans le cinéma – mais aussi dans la société – c´est bien Panique à Needle Park (1971) de Jerry Schatzberg qui nous plonge à la manière du « cinéma-vérité » dans le quotidien sordide d´un couple de junkies en perdition - offrant au passage à Al Pacino son premier grand rôle au cinéma et l´un de ses plus mémorables.
Au moins deux autres films, côté indépendant, ont pareillement révélé à la même époque – de façon on ne peut plus crue et glauque – les conséquences des excès liés à l´insouciance des sixties (et plus précisément au sein de la Factory de Warhol) : Trash de Paul Morissey (1970) et le documentaire Ciao ! Manhattan (Palmer, Weisman, 1972) qui retrace la fin pathétique de l´égérie de Warhol Edie Sedgwick morte d´une OD en 1971 à l´âge de 28 ans.
Il faut dire que la drogue au sens large (alcool, cachets, dope et pilules en tous genres) est responsable d´une véritable hécatombe de stars durant la terrible décennie 1970 : Janis Joplin, Jimi Hendrix, Jim Morrison (The Doors), Alan Wilson (Canned Heat), Gram Parsons (The Byrds), Bill Murcia (New York Dolls), Nick Drake, Danny Whitten (Crazy Horse), Tommy Bolin (Deep Purple), Tim Buckley, Elvis Presley, Keith Moon (The Who), Herbert Gregory (Blood, Sweat & Tears), Ron McKernan (Grateful Dead), Sid Vicious (Sex Pistols)… Sans compter les témoignages qui commencent à paraître à la même époque et qui exposent avec lucidité les ravages de la came, notamment L´Herbe Bleue aux USA et Flash en France parus tous deux en 1971, tout comme l´album photos Tulsa de Larry Clark. Même les Rolling Stones semblent tourner leurs vestes avec l´acerbe Sister Morphine paru sur l´album Sticky Fingers (1971).
La naïveté n´est donc plus de mise et les films hollywoodiens à venir ne pourront plus encourager d´une manière ou d´une autre la consommation de narcotiques. Nombreux sont d´ailleurs ceux qui prendront acte du tournant macabre des années 1970 en situant justement leur action à cette époque charnière. C´est le cas notamment de Drugstore Cowboy (G. Van Sant, 1989), de Rush (L. F. Zanuk, 1991) ou de Another Day in Paradise (L. Clark, 1998). Ajoutons qu´à l´exception du délire cosmique et cartoonesque Las Vegas Parano (1998) signé Terry Guilliam, décidément toujours en marge, tous ces films des années 90 optent pour le registre pathétique, et même carrément sordide, pour ne pas dire glauquissime, à l´image du terrifiant Requiem for a Dream (D. Aronofsky, 2000), sans doute le drugsploitation movie le plus efficace et le plus convaincant jamais réalisé.
Régis Dubois ©lesensdesimages2010
>> lire aussi : Hollywood Parano : la drogue et le cinéma US (première partie)
Dernière modification par Gilac (12 mai 2010 à 19:17)
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Dernière modification par Gilac (12 mai 2010 à 20:37)
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Sans doute rien à voir avec les drogues.... mais l'affiche est trop trashement chouette pour ne pas en faire profiter les petits enfants
Dernière modification par Gilac (12 mai 2010 à 20:36)
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Dernière modification par Scantloz (19 février 2017 à 09:17)
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