Pourquoi voulez-vous / avez-vous arrêté le cannabis ?
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- Ennae
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- Inscrit le 27 Feb 2018
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Shahmate, merci pour le compliment, tu n'y vas pas mollo.
En parallèle du partage de ton expérience personnelle, ton message questionne surtout la notion de dépendance psychique, elle même.
A ce jour, tu vois dans les manifestations désagréables des badtrips une réelle opportunité pour arrêter de fumer. A te lire, il est même très clair que tu attendais de telles manifestations afin d'avoir la motivation de mettre un terme à ta conso de cannabis, depuis longtemps déjà: Ce moment où les effets secondaires du produit sont pires que l'effet recherché; Le seuil de la relation bénéfices/risques comme pour n'importe quel médoc, en somme....
Tu évoques d'ailleurs une imbrication entre les origines de ta consommation, encore à ce jour et ta maladie. La raison de ta consommation n'est plus le plaisir. Tu perçois le produit comme une béquille, comme une bonne partie des gens qu'on peut lire en parcourant le forum, à la recherche d'un mieux-être qui ne vient finalement plus.
Pire encore, les moments où tu fumes te sont carrément désagréables (badtrip, anxiété, angoisses, social décalé, perte de pieds avec la réalité, pensées récurrentes sur la toxicité du produit, Phases dépressives à l'arrêt, etc...).
A mon avis, y a personne de mieux placé que toi pour calculer les avantages (si il en reste?) et les désavantages du produit sur ta santé... D'autant qu'il n'y a même plus de plaisir!
Quant à ton parcours de défonce, il se distingue par une résistance à la dépendance qui, si elle est bien réelle, me laisse rêveur.
Ma résistance à la dépendance est-elle bien réelle?
Dans un premier élan, j'aurais répondu oui, sans le moindre doute!
Puis, je relis ton texte et plus je le relis, plus je me dis que dans l'idée, pas forcément dans la forme, j'aurais pu écrire n'importe laquelle de ces phrases:
Tout s'est passé comme si je pouvais fumer impunément.
L'addiction se caractérise par le déni des conséquences.
tout se passe désormais sous cannabis comme si j'étais différent par rapport à un état de sobriété.
Mes pensées et le regard que je pose sur moi-même sont effectivement différents quand je suis défoncé.
l'euphorie de mes débuts (le 1er pét après un sevrage de plusieurs mois est susceptible de me la procurer encore)
Puis, tu écris:
Ce forum m'aura peut-être permis d'ouvrir les yeux sur les conséquences néfastes d'un consommation addictive (lol).
A ce moment, je me dis que si il faut, moi aussi j'ai une consommation addictive et que je refuse simplement de le reconnaitre?
Ici, on parle de cannabis donc exclusivement de dépendance psychique (quoique des fois, on pourrait presque élargir car il faut un terreau favorable psychiquement pour que la dépendance physique s'installe, avec d'autres produits).
A mon sens, une addiction se caractérise par la nécessité de consommer un produit (qui dépasse l'envie raisonnée), l'incapacité à s'arrêter volontairement et un mal-être profond en cas de sevrage forcé.
Si c'est de cela dont on parle, je maintiens n'être addict et n'avoir jamais été addict à aucune substance: Je fais des pauses quand je veux et aussi longtemps que je veux. Ma consommation ne fluctue qu'en fonction de mes seules envies que je peux réfréner à volonté.
Et pourtant, j'aurais pu écrire chacune de tes phrases sur les effets du cannabis...
J'en viens à me demander si la dépendance psychique ne se nourrit pas exclusivement de la volonté qu'on y met? C'est une interrogation qui, pour ma part, résulte de cet échange.
Je crois que cela dépend de tout un tas de choses: Les origines de la conso, les attentes qu'on a, la façon dont on appréhende les effets et dont on les évoque...
Pour brosser un tableau rapide, quelles que soient mes périodes de défonce, je n'ai jamais fait l'économie d'une bonne hygiène de vie (hydratation, alimentation, sommeil, cultiver des centres d'intérêts autres...) et j'ai toujours été très cérébrale dans mes consos.
Ayant toujours pris plusieurs substances par périodes, j'ai toujours volontairement fait gaffe à faire "tourner" mes prises afin de ne m'attacher à aucun produit en particulier. De la même manière, le fait de faire des "pauses" imposées est également essentiel pour moi, pour ne pas subir des effets néfastes à long terme, pour continuer à profiter lorsque j'en ai envie, pour maitriser mon utilisation.
Par ailleurs (et c'est peut-être pas anodin), même ado, me défoncer n'a jamais représenté une quelconque transgression pour moi: Clopes, buzzs, alcools, médocs ou prods ne m'ont jamais été interdits et cela était évoqué librement à la maison, sans qu'aucune entrave n'y soit faite.
Aussi ma vision du cannabis, comme des autres défonces que je peux prendre à l'occaz, est purement celle d'une friandise édulcorant agréablement la réalité.
Quand je fume tout revient à la normale en ce qui me concerne. Je suis d'avantage en adéquation avec ce que je ressens et ce que je voudrais être dans l'idéal: Les enjeux ne sont plus si majeurs, les soucis des broutilles; Je suis plus détendue mais aussi plus concentrée, plus créative; C'est un véritable stimuli intellectuel zénifiant; Je suis même connectée à la musique parfois...
Puis, les jours passants, l'état de défonce chronique me saoûle et je finis mon pochon en hâte (car je suis parcontre incapable d'en avoir à la maison sans consommer, c'est un autre point) afin de remonter à la surface retourner faire mes petites expériences en atmosphère "hyperactive"... Jusqu'à la prochaine session de fume intensive, où je me poserai afin de conscientiser ces dernières.
Bref, je tire une source de bien être physique (Anti-stress, anti-oxydant, repos...) et psychique (Favorisant l'activité intellectuelle et le questionnement...) du cannabis. Sans compter que j'adore ses effets d'un point de vue quasi ludique.
Quant aux méfaits du cannabis sur l'organisme, je n'y pense pas outre mesure... A mon sens, les états qu'on cherche à atteindre en fumant, en buvant ou en prenant n'importe quel produit sont des états pathologiques... Y a qu'à se balader dans un service de neurologie pour voir des personnes présentant des symptômes similaires aux effets obtenus par des drogues.
Partie de là, j'ai fait mes choix: A une existence longue et morne, j'ai préféré il y a longtemps déjà une existence plus intense et possiblement plus courte... Et en terme d'intensité, de situations extraordinaires et improbables ou simplement en termes de mieux-être au quotidien, le cannabis et les autres défonces m'ont déjà tellement apporté sur tous ces plans... Dussé-je le regretter, le moment venu.
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- Shahmate
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Ennae a écrit
Salut,
Shahmate, merci pour le compliment, tu n'y vas pas mollo.
Permets-moi de te complimenter à nouveau, pour ton style que je trouve remarquable. En effet, au gré de mon humeur il m'arrive de manquer de mesure. Je vais encore une fois citer Baudelaire : "Les hommes qui aiment les femmes intelligentes sont des pédérastes."
Ennae a écrit
En parallèle du partage de ton expérience personnelle, ton message questionne surtout la notion de dépendance psychique, elle même.
En effet, les addictions m'intéressent particulièrement, parce que je suis multi-addict évidemment. Petit rappel à ce sujet, les addictions se caractérisent par l'envie irrépressible, la perte de contrôle, la fixité du comportement (la consommation) et donc le déni des conséquences. Certains spécialistes considèrent que l'addiction est une maladie de la mémoire ou comment le cerveau se ment à lui-même en pensant qu'il a besoin du produit ou du comportement dans le cas d'une addiction sans substance pour se sentir mieux ignorant au passage les conséquences négatives. Quant à la volonté, bien que cela soit contre-intutif elle n'a rien affaire en la matière.
La notion de plaisir dans l'addiction est même contestée :
Mon meilleur ami qui est alcoolique ne cesse de me demander si je veux arrêter le cannabis. Cette question renvoie à sa propre décision "d'avoir placé l'alcool au dessus de sa santé". Ce qui ne l'empêche pas d'angoisser face à des symptômes possiblement révélateurs de maladies organiques. Instinct de survie quand tu nous tiens.
Il y a 17 ans environ mon psychiatre m'avait présenté le cas d'une de ses patientes qui continuait à fumer malgré ses bad trips. Je m'étais demandé pourquoi il me racontait ça.
Ennae a écrit
Quand je fume tout revient à la normale en ce qui me concerne.
Tout est dit ou presque.
Ennae a écrit
Partie de là, j'ai fait mes choix: A une existence longue et morne, j'ai préféré il y a longtemps déjà une existence plus intense et possiblement plus courte... Et en terme d'intensité, de situations extraordinaires et improbables ou simplement en termes de mieux-être au quotidien, le cannabis et les autres défonces m'ont déjà tellement apporté sur tous ces plans... Dussé-je le regretter, le moment venu.
Je fantasme, peut-être, d'un bonheur ou bien être sans psychotropes. A ce titre, je n'ai aucune envie de fumer du cannabis quand je suis hypomaniaque, voire maniaque. M'émerveillant des effets du cannabis sur mon humeur quand j'ai commencé à fumer (et je ne parle pas des états défoncés mais de sobriété), un ami m'avait dit : "Tes paradis sont artificiels." Cela m'est resté. Les Paradis Artificiels de Baudelaire peuvent être éclairants sur le sujet.
Ce que tu dis aujourd'hui sur les conséquences néfastes de tes consommations ne sera peut-être plus vrai le moment venu.
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- Heula
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J ai fumé de 17 à 23 ans. J ai tout de suite accroché et était dépendant à 18 ans. De pire en pire par la suite, je passe les détails.
A la fin, mode zombie, déprime, parano... Ce qui m a fait perdre deux amours avec qui je me projetais.
J en était à 50g d herbe par semaine.
Je ne pensais même pas arrêter. Je ne me posais pas de questions et n était même pas en capacité d analyser ma situation d addiction.
D ailleurs, complètement dans le déni d une problématique.
Pour autant, c est bien le canna qui dictait ma vie. Ce que je faisais ou non, qui je fréquentait ou non...
Tout tournait autour du produit et tout le temps.
Je bossais quand même. Pas à plein temps et pas tout le temps mais il fallait bien payer tout ça. L intégralité de ma paye y passait. Avant la bouffe, le loyer...
Je ne dealais pas, ni ne faisais quelconque larsin pour avoir de l argent. C était ma limite.
Tout ça pour situer le niveau d addiction que vous comprendrez certainement.
Mon taf me déprimant d avantage. J ai eu l occasion de faire autre chose un été. Cela a été le tournant de ma vie.
Pendant ce job, loin de chez moi., je fumais qu un deux pétards le soir. Puis un soir, sans même que j y fasse attention avant, ce qui était déjà impensable quelques semaines avant, je n eu plus rien.
Le truc le plus fou, c est que je n en avais rien à carer !
J ai kiffez ce job et me suis dit que c était ça que je voulais faire.
Trouvant un objectif, je n avais plus envie de fumer. Je voulais pouvoir utiliser tout mon cerveau.
Je me suis vite aperçu que je vivais beaucoup mieux sans le canna.
J ai passé le permis, un diplôme... Le truc était lancé.
Par contre ma conso d alcool a augmenté très considérablement pendant quelques années.
Un an après un arrêt total, et depuis, j ai fumé occasionnellement, sans envie d abus car ma vie quotidienne comptait trop pour risquer de la compromettre.
Aujourd'hui, je tolère beaucoup moins bien le canna qui est trop puissant pour moi.
J apprecie fumer une tite beuh locale toute douce pour être peinard à glandouiller dans mon pieux mais je n ai pas refumé depuis l arrivée des nouveaux équipements des flics en janvier.
Donc, pour résumer... Je n ai pas souhaité arrêter le canna mais des circonstances ultra favorables m y ont amené. A la suite de quoi, j ai préféré ma vie sans cette addiction.
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- Littleboy
- Glouglou
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Voilà maintenant 2 jours que je ne consomme plus . Mon but est de faire une courte pause ( 1 à 2 semaine) pour pouvoir retrouver des "bon" effets et de moins charger mes joints ( plus de sous de le porte monnaie). Ça fait 2 ans que je consomme et presque 10 mois que je fume tout les jours ( 2-3 pet chargé à 0.3 ou 0.4g et avec cette pause je voulais réduire à 0.2 et 1 joint par jour. Les effets vont redevenir plus fort et je pourrais conso mon joint en 2 fois au lieu d'en entier. Mes poumons me diront merci et dans la caboche on pensera à autre chose que " attend les effets que j'ai c'est la weed ou le tabac ? ".
Dernière modification par Littleboy (15 mars 2018 à 01:42)
Louable de surveiller la circulation de drogue dans les HLM, mais ne devrait-on pas également se préoccuper de la consommation de pastis dans les commissariats ? Guy Bedos
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- gzav
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- Anonyme7402
- Invité
Entre 25 et 50gr/mois ça fait très mal au porte-feuille (400 balles pour un 50gr de qualité dans mon patelin du nord).
Fumeur de weed au quotidien depuis plus de 16 ans (au début avec les potes, le lycée, les soirées...), depuis environ 10 ans c'est seul que je consomme et uniquement le soir (jamais la journée, sauf en week-end), devant la télé ou en écoutant du son, téléphone éloigné... le meilleur moment de la journée quoi.
Déjà fait des pauses de plusieurs mois (avec succès), mais je devais me shooter au sport 10h par semaine pour trouver sommeil le soir.
Puis suite à une blessure : arrêt du sport et reprise immédiate du canna.
Seconde raison de cette volonté de diminution, c'est que je n'ai pas touché une cigarette depuis 2013, je suis me suis converti à 100% à l'e-cig. Le problème et que je continue de mélanger tabac et weed dans mes spliffs et donc je me sens très con.
Donc aucune intention de stopper définitivement mais plutôt de diminuer, c'est à dire ne consommer que le weekend.
J'ai commencé cette diminution depuis 2 semaines, du coup la semaine c'est Bromazepam+Etizolam+Clonazolam, et fumette le weekend.
Prochaine étape : reprise du sport la semaine et achat d'un Mighty (vapo portable) pour le weekend (=finie la combustion!!).
Dernière modification par pierre (29 mars 2018 à 22:13)
- Coco l'Asticot
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J'ai 19 ans et j'ai pour ma part arrêté du jour au lendemain depuis un mois parce que ça avait des effets néfastes notamment sur ma mémoire et que ça pouvait en avoir sur ma santé mais surtout sur mon permis. C'est ce dernier point qui m'a avant tout motivé à arrêter. Prendre le volant serein c'est vraiment cool.
Si une légalisation venait à montrer le bout de son nez je reprendrais sans doute mais bien moins qu'avant. J'étais à 5/6 par jour et les effets sur la mémoire étaient vraiment trop présents. Après mon mois d'arrêt je me sens bien plus réactif et je n'oublie plus des choses que j'ai écrites 5 minutes plus tôt, par exemple.
Il n'est maintenant plus question d'y toucher, mes proches fument et je fais passer des joints mais sans jamais tirer une barre dessus, ce n'est même pas une option. Pourtant je fumais depuis pas mal d'années maintenant, depuis mes 13 ans quoi.
J'espère que ce témoignage vous sera utile.
PS: Je n'ai jamais fumé de tabac uniquement et je n'ai jamais eu l'intention de commencer, j'ai donc arrêté la weed et le tabac en même temps.
Dernière modification par Coco l'Asticot (27 mars 2018 à 20:43)
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- Chelou
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Alors pour moi c'est plutôt simple mauvais trip sous acide. (tt est relatif)
Bref mon cerveau dit stop, une latte et je stresse comme un porc.
Chaque jours c'est de pire en pire peut etre car je fume de moins en moins.
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- megacide
- Psycho junior
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- Inscrit le 08 Jan 2017
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Ducoup je fume a peux près une fois par mois car il me faut un bon contexte pour apprécier.
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- Charli420
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Pour ma part ça fait quelques mois que j'ai arrêté après 3 ans de conso, plus ou moins régulière
Parfois des jours à 5 joints et parfois rien (dû au travail surtout)
Si j'ai décidé d'arrêter c'est à cause de la parano, uniquement à cause de ça, quand sa te fait plus de mal que de bien c'est même plus la peine...
Après l'arrêt j'ai ressenti aucun changement, pas de dépendance ou de symptôme de manque du au fait des effets négatifs trop important lié à cette consommation.
C'est quand même regrettable parce que c'était quand même bien sympa la défonce! Et le CBD est pour moi en tous cas pas assez fort ou puissant pour rivaliser avec le THC
Amicalement,
Charli420
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Donc j'ai arrêter car ça m'allait pas du tout. à contrario le LSD me fait rarement Bad triper...
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Je fume de temps à autre un peu d'herbe mais c'est vraiment une rareté et je tire que quelques bouffées, ça me suffit largement ...
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- RedCastle
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- Inscrit le 08 Apr 2018
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Moi j’ai 26 ans et je fume depuis 5, 6 ans environ. J’ai commencé avec un ex petit ami mais je n’achetais pas, je tirais sur ces joints et puis je me suis installée en coloc il y a 4 ans avec un fumeur régulier et là ça a été le début de la fin...
J’ai consommé de plus en plus, puis je me suis mise à acheter et c’est devenu très vite une drogue au quotidien. Alors qu’au collège/lycée j’avais toujours refusé de toucher à ca malgré les multiples propositions !
Aujourd’hui je n’en peux plus. J’ai réussi à arrêté 3 mois (j’ai eu des suées nocturnes des nausees) l’année dernière et c’etait le bonheur. J’etais joyeuse, sociable, active, productive. Mais j’ai replongé dès la première difficulté venue. Mes amis et mon petit copain actuel qui ne sont pas fumeurs veulent m’aider mais je crois qu’ils n’ont pas vraiment les armes. J’en ai parle à un psy, à mon généraliste mais ils ne m’ont pas aidée. J’ai l’impression que la médecine ne s’interesse pas trop à l’addiction à ce produit précis.
Aujord’hui je n’en peux plus parce que cette chose me tue à petit feu. Je ne sors plus, hier soir encore je devais aller boire des verres avec des amis faire la fête dans Paris et j’ai tout annulé pour rester chez moi à fumer des joints. S’en est suivi un énorme sentiment de culpabilité et de mal être. Ce matin, je me réveille et je me dis: je n’en veux plus vivre comme ça !
J’ai trouvé ce forum en faisant une recherche Google pour trouver de l’aide car j’ai besoin d’aide. Je n’y arrive pas seule. J’ai aussi pris rdv avec ma nouvelle généraliste demain matin pour lui parler.
En cette matinée ensoleillée (à Paris du moins), je suis décidée, j’arrête.
Le fait de lire vos messages m’a fait bcp de bien et j’ai compris que je n’etais pas seule alors merci à vous !
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- CoachMigui
- Cyber TechnoChamane amateur
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- Inscrit le 23 Sep 2015
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Si tu médites et que le diable arrive, fais méditer le diable.
Gurdjieff
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- Explorateur
- Petit fantôme
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- Inscrit le 03 Jul 2017
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A la fin j'avais plus envie de rien, j'étais comme une larve, c'était.. Nul. De mon point de vue tout du moins.
Puis jai rencontré les champi. Alors oui, c'est très occasionnel, pas quotidien comme le shit, mais c'est.. Si productif, si intéressant à explorer qu'à côté le cannabis je trouve ca sans intérêt, ça coupe du monde et ca coupe les envies...
Enfin... C'était pas pour moi quoi
« ce n'est pas un signe de bonne santé mentale d'être adapté à une société malade »
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- samy13013
- Nouveau Psycho
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Je n'ai jamais réussi a comprendre le fait que l'on puisse être accro au cannabis comme on peut l'être du Tabac ou de l'Alcool.
Mon rêve est un jour de pouvoir m'adonner à ma passion sans être dans l'illégalité dans mon pays .
Soucieux d'avoir une réflexion plus aboutie sur le sujet , je me demandais à propos des personnes ayant une addiction réelle au cannabis : consommez vous une herbe propre bien rincée , sans traces de pesticides etc... et du shit pur Bubble, BHO etc .... Ou du shit coupé avec je ne sais quoi ?
Merci
Samy
Dernière modification par samy13013 (19 avril 2018 à 10:29)
La seule drogue qui est véritablement dangereuse c'est la nature humaine elle a un tel potentiel de destruction .
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Belle journée!!
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- spaceheads
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- Inscrit le 26 Mar 2018
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J'ai vu le sujet sur la page principale, et ça m'a tout de suite donné envie de répondre.
J'ai fumé de la beuh pendant une dizaine d'années. ça à commencé à l'école secondaire pour quasi se terminer l'année passée. Il y a plusieurs raisons qui m'ont poussé à arrêter. Une des premières, c'est que ça me fait plus du tout le même effet maintenant qu'il y a 5 ans. Avant je pouvais sans problème fumer avant les cours, en public. Maintenant, si je fume, je me renferme sur moi-même et n'ai envie d'avoir de contact avec personne (sad
).Une autre raison c'est que j'ai arrêté de fumer des clopes l'année dernière, et du coup je devais me rouler des pures, ce qui n'était pas forcément bon marché et très agréable pour la gorge ^^
Bon j'avoue que la principale raison c'est que je suis un peu parti en couille à un moment de ma vie où je fumais beaucoup. Je commençais à me déconnecter de la réalité, jusqu'au jour ou j'ai fais un accident de vélo décisif. J'ai conduit pendant 5-10 minutes en regardant le ciel (ouai j'étais loin), jusqu'à faire un accident. Après on m'a fait des tests etc. et on m'a placé en hôpital psychiatrique (en gros j'ai fais une décompensation psychotique).
Après ça, ils m'ont retiré mon permis de voiture, à cause du froti positif à la beuh le jour de l'accident. Une fois sorti, j'ai dû voir un psy, qui n'acceptait de me voir que si j'arrêtais de fumer ^^. du coup j'ai un peu courbé les chignes (il fallait aussi que je passe des tests pour récupérer mon permis) et j'ai péniblement diminué ma consommation, jusqu'à presque plus rien.
Je fume encore, mais très rarement, quand je suis seul dans ma chambre et que je n'ai pas de responsabilité à prendre. Après, ça me fait toujours un peu bader, du style je deviens ultra sensible à tout ce qui m'entoure, chaque interaction, les gens à l'extérieur et à l'intérieur de la maison. Comme si mon énergie était devenue quelque chose que tout autour pouvait affecter. Après je pars dans des vibes un peu bizarres et je mets souvent une plombe avant de m'endormir...
Au final je me porte bien sans fumer. Fumer, certes, accentue mes perceptions, mais parfois un peu trop, ce qui fait que je perd un peu la maîtrise de moi ou je pars dans la parano.. Voilà pour la petite histoire ^^
Bonne suite à tous les foncedés comme à tout les non foncedés
One love
Dernière modification par spaceheads (19 avril 2018 à 13:07)
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- samy13013
- Nouveau Psycho
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- Inscrit le 18 Apr 2018
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Merci pour ton témoignage , le cannabis est une drogue quand on en abuse on peut dériver et traverser des moments comme tu en as passé . Surtout quand on va pas bien mais c'est valable avec presque tout, même le café ^^.
Mais c'est comme tout , une fois que l'on a établi ces limites , on peut soit arrêter soit avoir une consommation bien plus modéré pour garder le contrôle.
Fumer en pur quand on ne fume plus de tabac , ça fait tout de suite un gramme voir plus par pet ce qui en effet à un coût quand on ne s'autoproduit pas .
A titre perso pur , j'ai toujours eu du mal , ça me défonce la gorge plus qu'autre chose et je trouve pas ça agréable .
J'ai toujours utilisé du tabac au moins 30% .
Par contre pour ton cas par exemple , tu as des vapos comme le mighty super efficace .
Pas de combustion donc bien plus sain et niveau dosage , tu charges à 0,3 gr .
Les effets sont plus francs qu'avec un pet , moins de pertes qu'avec la combustion et au niveau des terpènes le goût est bien plus prononcé car tu en perds moins .
C'est sur c'est pas comme fumer un pet , mais très vite on s'y habitue et la notion de plaisir de fumer est plus intense .
Bonne soirée à tous
Samy
Dernière modification par samy13013 (19 avril 2018 à 15:55)
La seule drogue qui est véritablement dangereuse c'est la nature humaine elle a un tel potentiel de destruction .
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- Le..voyageur
- Bx
- 000
- Inscrit le 17 Apr 2018
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J'ai fumé pendant 30 ans j'ai arrêté il y a un ans car pendant la nuit je ressentais des chocs violant dans la tête
qui me réveillé en sursot .
Il y avait aussi d'autres raison comme le prix en plus une grosse démotivation pour toutes les tâches du quotidien.
J'ai ressenti un manque les deux premières semaines je fumais beaucoup de clopes puis ça s'est calmé au bout d'un mois .
Maintenant je suis plus actifs j'ai repris le sport que j'avais lâché à cause de la fume et je prend des champis et de
la salvia de temps en temps et depuis tout vas bien.
Peace à tous.
Dernière modification par Le..voyageur (20 avril 2018 à 22:22)
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- bento
- Banni
- 000
- Inscrit le 21 Apr 2018
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Personnellement ayant 47 ans et ayant commencé à fumer la clope quotidiennement à partir de 13 ans et 16 pour le cannabis et depuis quelques mois je tousse beaucoup,je m'essoufle facilement même juste en marchant et parlant en même temps,et par exemple en ce moment j'ai un pollen de très très bonne qualité et même en ne chargeant pas beaucoup le joint je tousse comme un ouf,ça ne m'arrivait pas quelques années avant.
C'est pour cela que je limite ma conso car j'apprécie la weed et le shit de qualité et j'essaye de m'en tenir à 3/jour,ça me paraît raisonnable et je pense passer à la clope électronique,la vape on dit je crois?,je connais plusieurs personnes qui ont réussi à arrêter la cigarette avec ça et les derniers appareils sont plus performants et agréables à utiliser,n'empêche que si je prends un truc comme ça et une fiole de liquide goût tabac ça ne ressemblera pas à du tabac encore moins à une clope.
Il est peut être pour certains comme moi de trouver parmi les centaines de parfums un qui nous fait kiffer,même au fruits,peu importe tant qu'on aime et la c'est le bonheur,parce que si l'on veut un peu de récréatif on peut prendre un e liquide au thc cbd,parfois même avec le goût de la weed ( j'ai pas encore teste un liquide qui sent la skunk.
Bref si je n'arrête pas la fumée par combustion tout de suite je vais vers des problèmes de santé,c'est mathématique.meme en arrêtant aujourd'hui il n'est pas sûr que je passés au travers de la maladie.
Voilà mon témoignage ,j'espère de tout cœur qu'il servira d'une manière ou l'autre à aider les personnes comme moi ,que je répondrais à la question de ceux qui voudraient communiquer avec moi avec plaisir,Psychoactif sert avant tout à s'entraider entre nous.
Voilà pour ce soir,je souhaite à tous une super soirée et un très bon weekend end,ciao les Psychos !!!
Chef du cartel du bâtiment c
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- Valiummy
- Nouveau Psycho
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- Inscrit le 10 Mar 2017
- 70 messages
Depuis tout jeune je ne l'ai jamais réellement supporté. Il est entre autre le révélateur de mes gros problèmes d'angoisses et de trouble borderline. Pendant longtemps j'ai tout testé pour essayer de l'apprécier un minimum mais rien n'y faisait. Déréalisation complète et attaque de panique à chaque fois. Peu importe le dosage, set&settings et autres.
Puis voilà quelques mois que suite à mon épopée à travers le monde des drogues dures, je me suis relancé dans le cannabis pour essayer de compenser l'envie de prendre des dures. J'ai commencé par de toute petites doses genre 25-40 mg d'herbe. Et j'ai découvert que le cannabis pouvait être plutôt agréable pour moi à ce dosage. Puis de fil en aiguille j'ai vu ma consommation monter drastiquement en 4 mois. Je reste toujours assez bas niveau dosage, dans les 50-100mg ça dépend des variétés. Mais par contre je consomme tout au longs de la journées et au bout de 4 mois on commence à réaliser beaucoup de chose. Ça a complètement bousculer mon quotidien et pas en positif. Je commence à avoir un caractère très asocial, je psychote énormement, parano,angoisse, crise existentielle, idées suicidaires, motivation nulle et j'en passe. Le cannabis fait ressortir une version très noire et négative de moi même et malgré ça je continue.
Actuellement, après plusieurs échecs d'arrêts de consommation, je continue à fumer mais presque contre mon grès. Quand je suis sobre je ne pense qu'à fumer et quand je suis défoncé je me demande pourquoi j'aime ça et j'ai juste une envie c'est de redevenir sobre.
J'espère que bientôt je trouverais quelque chose d'aussi motivant à faire pour remplir mes journées autre que de fumer.
Faites attention à ce que vos enfants ne sombrent pas dans la drogue; on a déjà du mal à en trouver assez pour nous. ☝
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- spaceheads
- Nouveau membre
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- Inscrit le 26 Mar 2018
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Valiummy a écrit
J'espère que bientôt je trouverais quelque chose d'aussi motivant à faire pour remplir mes journées autre que de fumer.
Salut Valiummy
Merci pour ton témoignage. Je me retrouve pas mal dans ta situation. Je pense vraiment que les effets sont différents suivant les personnes et ça arrive que certaines personnes supportent très bien le fait de fumer régulièrement, sans que ça affecte leur état psychique.
Pour ma part, ça me rend plutôt asocial comme tu dis, et ça me fait angoisser et ressasser pleins de questions sur le sens de ma vie. J'ai vraiment eu une phase l'année passée ou je ne trouvais pas d'autre motivations que de rentrer pour fumer et être seul dans ma chambre. ça me faisais me sentir bien pour un petit moment, pour laisser place à la déprime, la parano, et aux fameuses questions existentielles..
J'ai plutôt été forcé d'arrêter de fumer (voir quelques témoignages en dessus), et je pense que je n'y serait pas arrivé aussi facilement sans cette contrainte.
Les petits conseils que je peux te donner: Essaie de maximiser les contacts avec tes proches, pour passer du temps à discuter ou faire des choses concrètes plutôt que de fumer. En parler autour de toi peut s'avérer bénéfique, certaines personnes pourraient t'aider. Un bon truc aussi c'est de faire un peu de sport, ça change les idées et ça fait du bien au moral/physique. Sinon, un truc que je conseil un peu moins mais qui peu marcher, c'est de remplacer ta consommation de cannabis par quelque chose qui agira moins sur ton psyché (genre tisanes d'armoise, kratom, cbd), mais après t'es dépendant d'autre chose du coup c'est pas l'idéal ^^'
Au début c'est vraiment chaud de trouver la motivation pour faire quelque chose d'autre, mais une fois que tu te lance et que tu diminue/stop la fumette, tu vois les effets bénéfiques assez rapidement :)
Bien du courage!
Hésite pas à venir en mp si tu veux discuter de quoi que ce soit
Dernière modification par spaceheads (23 avril 2018 à 13:05)
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- bento
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- neocomolly
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aujourd'hui je me sens legerement ralenti sur le plan neurologique et paumé souvent, et quelques fois des "micro remontées" surviennent mais rien de grave, enfin voilà j'imagine que le cannabis n'est pas destine a tout le monde ! Allez j'ai fini portez vous bien 
En perpetuelle quête de connaissances.
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- samy13013
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neocomolly a écrit
J'ai arrêté le cannabis car je pense être intolérant au THC, ce qui m'as pose beaucoup de problemes. Voilà l'anecdote: je consommais régulièrement et je faisais régulièrement des white, j'irais même jusqu'a utiliser le terme bad trip car c'était réellement violent. Un jour, après un bad trip, je continue ma vie tranquille et le lendemain, bam, grosse remontée, énorme angoisse parce-que c'était la première fois que j'experimentais le remontée, et le problème est: je suis reste bloqué. ENORME angoisse (je suis un éternel angoissé) des idées suicidaires et j'en passe pour me sortir de ce cauchemar, puis, après une énième crise, quelque chose que je n'avais jamais connu est intervenu, énorme dépersonnalisation, ma maison ressemblais a ma maison mais semblait tellement différente a tout ce que j'avais pu connaitre auparavant, les gens ressemblaient a des personnages inanimés, réellement terrifiant. Passage dans deux hôpitaux, aucune réponses a mes questions, toujours ce sentiment que cette vie n'est pas la mienne. Mes deux principales angoisses étaient: je vais rester bloqué a vie et je suis devenu schizophrène. Ça s'est passé il y a plus d'un an, ça s'est nettement amélioré malgré qu'une déréalisation soit toujours en permanence présente, néanmoins ces angoisses ont entraine d'autres problemes psychologiques mais ne nous écartons pas du sujet
Salut Neocomolly ^^
Les " whites " sont des variétées aclimatés dans les années 90 à partir de souches Sativa venant d'Inde .
Quand on est soumis à des crises d'angoisse comme toi , se sont des variétées à éviter .
Si tu recherches les effets d'une sativa oriente toi plus vers certaines thai comme la fruity juice ou des colombienes comme la Panama Red ou la Colombia gold .....
Je ne crois pas à mon avis que l'on puisse être intolérant au cannabis
On est intolérant à un type de souches ou à plusieurs mais pas au cannabis en général.
Tu as juste pas trouvé la variétée qui t'appaise et te relaxe à mon sens :)
En tout cas merci pour ton temoignage ^^ Bonne journée
Samy13013
La seule drogue qui est véritablement dangereuse c'est la nature humaine elle a un tel potentiel de destruction .
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