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Dernière modification par psychodi (27 février 2018 à 16:14)
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Merci beaucoup pour ta réponse , oui comme tu dis il est bien cosatud celui là , j'ai déjà arrêté , c'était passé mieux que ça!!! c'est là qu'on voit que la concentration en thc augmente avec les années et la dépendance aussi!
Je fumais de l'extra velu dans les années 80 ou 90, je ne pense pas que le sevrage soit plus difficile de nos jours.
Ce qui peut rendre le sevrage plus difficile, c'est à mon avis et d'expérience le fait d’arrêter net, surtout quand tu as une forte tolérance installée depuis longtemps.
A mon avis, il vaut mieux diminuer, par exemple garder le joint du soir, se stabiliser quelques temps avec ce seul joint, puis un jour sur deux.
A ce stade, il se peut que tu ne ressentes aucun manque et aucun symptôme de sevrage.
Juste des souvenirs de rêves qui reviennent.
Normalement aucun impact ou plutôt sevrage vu que la demie vie du cannabis est assez longue, sur 48 heures, tu restes un peu "couvert".
A ce stade, tu programmes un joint le soir tous les trois jours et tu arrêtes totalement quand tu le sens. Tu vas cesser avec une tolérance très réduite et dans mon cas avec des symptomes de sevrages quasi inexistants.
Essaie de prendre un peu de recul, mais dans ta situation subie, pas voulue et annoncée comme temporaire, je comprends que ce soit pas possible.
j'en ai des fourmi dans les mains , c'est abusé, ça paraît mignon et gentil comme ça le shit , c'est uen saloperie en vrai!!!
En fait le cannabis, c'est un peu comme toutes les autres drogues, c'est ce que tu en fais qui est déterminant.
Je sais que c'est le manque de thune qui t'as mis dans cette situation, mais un sevrage, idéalement, ça se prépare.
D'autre part, je t'invite à te rapprocher d'une consultation spécialisée, pas pour un TTT, mais pour un soutien psychologique. Il va falloir que tu remplaces ces douilles par des activités sans cannabis, c'est une belle perspective, mais ça peut demander un coup de pouce.
Ensuite, si les symptomes sont invivables, tu peux te faire prescrire du "léger" qui ne crée pas de soucis majeur de dépendance.
Autant ce sevrage est difficile pour toi, autant il t'apprend beaucoup de choses, sur le produit, mais aussi la relation que tu as noué avec le produit.
Bon courage pour la suite !
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Chelmix a écrit
j'en ai des fourmi dans les mains , c'est abusé, ça paraît mignon et gentil comme ça le shit , c'est uen saloperie en vrai!!!
je partage l'avis de Mister No : le shit n'est pas plus une "saloperie" que l'héro ou le pinard...si je te mets un bout de shit sur la table, tant que tu n'y touches pas, y a pas de raison de lui en vouloir d'exister, à ce bout de chichon...
...c'est l'USAGE que tu en fais qui peut éventuellement t'amener à développer une dépendance physique, qui aura pour conséquence un sevrage avec effets désagréables...c'est le cas pour toi (et je te comprends, je subirais les mêmes sanctions si je devais arrêter net et sans préparation vue la dépendance cannabinique que je me trimballe)
...mais il ne sert à rien d'en vouloir à un produit par essence même inerte...on n'a jamais vu de bout de shit se jeter sur quelqu'un pour être fumé, haha !!
j'espère que ça tient pour toi et que ça va te permettre de remettre ta tolérance à zéro...donc gaffe si tu reconsommes un de ces 4, pense bien au fait que la dépendance physique laisse des traces au niveau biologique : je veux dire par là qu'une fois qu'on a été dépendant physiologiquement d'un produit, il faut ensuite être vigilant en cas de reprises de conso pour ne pas refaire le même circuit...le corps se souvient de tout, lui !!
tiens nous au jus si ça t'aide
amicalement
psychodi
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"sur moi , c 'est justement 30 d'addiction a l hero, qui font passé les abstinances (assez rare soit)de canna, au niveau d une grosse envie de chocolat (qui soit t empeche de dormir), mais ne t empeche pas de vivre"
L'abstinence de cannabis est plus facile à gérer pour moi que de résister à une envie de chocolat... Et pourtant je fume depuis prés de 25 ans, avec de longues sessions polytoxicomanes (sans avoir jamais dépendu de rien), comme quoi on est tous très très différents...
c'est l'USAGE que tu en fais qui peut éventuellement t'amener à développer une dépendance physique [...] gaffe si tu reconsommes un de ces 4, pense bien au fait que la dépendance physique laisse des traces au niveau biologique
T'as inversé physique et psychique dans ton message ou c'est vraiment de dépendance "physique" dont tu veux parler? Parce que vu que même les sites de prévention choc n'osent pas évoquer une quelconque dépendance physique pour le cannabis, je suis assez surprise par ton message?!? D'autant, que je n'ai jamais rencontré moi-même ou valablement entendu parler de quelqu'un en état de dépendance physique au cannabis.
je sue de partout , j'ai les mains et pieds trempés , sueurs froides , dents qui claquent , tremblements ,anxiété et motivation à rien!!!! Mes nuits sont un enfer ,des micro siestes. j'en ai des fourmi dans les mains , c'est abusé
Ouais, moi j'appelle pas ça une dépendance physique au cannabis... Mais plutôt une grosse dépendance psychique qui déclenche un énorme stress, avec toutes les manifestations physiques que le stress provoque normalement (Tu les cites presque toutes de toi-même).
D'ailleurs Hybridlilie qui évoque le même problème que toi, l'évoque clairement:
Ça me calme, m'apaise. Je ne cherche pas a être défoncée H24, c'est juste pour calmer mon stress omniprésent [...] Je deviens folle et c'est mes proches qui prennent. J'ai des cryse d'hystérie, je suis sûr les nerfs en permanence. Mon corps et comme tétanisé, mes muscles sont contractés. Ma respiration courte et impossible de me decontracter. [...] je suis tombée dans cette merde, je ne sais pas comment m'en sortir. Ou plutôt je n'ai pas envie d'arrêter. C'est ma béquille...
Vu qu'on est tous différents quant à notre consommation de drogues et aux éventuelles addictions, ça va être difficile de vous donner des conseils "apaisants", sans vous connaitre tous les deux, vos caractères et vos modes de vie...
Alors, on va y aller chacun de son petit conseil, en espérant qu'il y a quelques "astuces" qui marcheront pour l'un ou pour l'autre!
En premier lieu, l'idée c'est de se calmer et d'évacuer les manifestations du stress... Pour ça, rien de mieux que l'activité physique pour le coup (et surtout pas psychique!). Clair que quand on est occupé ou qu'on a les mains prises, on a moins l'occasion de penser que si on rumine toute la journée, sur son canapé.
En plus, les mouvements font remonter en flèche le taux de dopamine.
Là encore, je ne sais pas comment vous vivez et quelles sont vos activités...
Perso pendant les premières 24h d'arrêt et seulement si je suis très énervée, ça m'apaise carrément de balancer de la zique à fond (surtout pas du rap qui est trop mon pote de fume, pour le coup...) mais de la zique bien dansante, où je saute partout en hurlant les paroles à tue-tête en Français, en Anglais (ça entretient l'accent, au passage)... Jusqu'à épuisement.
Parfois, je vais nager et me détendre en balnéo (faut dire que j'ai la chance d'avoir des bains/thermes à quelques bornes).
Une bonne pote à moi enfourche son vélo et roule névrotiquement pendant des dizaine de bornes.
Ma cousine et son ex sont restés enfermés en tête à tête 2 semaines dans leur piaule sans presqu'en sortir (eux ils décrochaient des prods).
Un de mes anciens colocs (alcoolique) nous cleanait la baraque des sols aux plafonds quand il arrêtait de boire pendant quelques jours... Génial, on pouvait manger parterre!
Ensuite, une fois le stress évacué physiquement, l'idéal est de se maintenir psychiquement.
Le mode "cocooning" est pas mal pour ça.
Comme ça a été dit par d'autres juste avant, je pense aussi qu'il est essentiel de boire beaucoup. A ce stade, faut pas hésiter à éjecter l'eau et à se faire des thermos entiers de Verveine ou de Camomille (Pas des sachets miteux de la grande distribution mais la plante elle-même, juste séchée, en infusions, idéalement sucrée avec du miel qui a aussi un effet apaisant).
L'alimentation aussi est importante car la santé physique joue aussi sur la résistance au stress. C'est clairement pas le moment de s'envoyer des pizzas surgelées ou des plats préparés... Poissons gras, fruits et légumes, céréales complètes, poignées de noix et fruits secs, chocolat noir (++) sont d'excellents aliments à consommer pour lutter contre les périodes d'anxiété ou de manière générale, pour les prévenir. En plus, personnellement, la cuisine est un loisirs-détente à part entière.
Les huiles essentielles sont également à essayer (c'est hallucinant la puissance des HE par rapport aux medocs traditionnels, de par mon expérience). Elles sont parfaites pour dormir et pour se zénifier en journée. Ici, vous pouvez faire un mélange dans un flacon:
90 gouttes d'huile essentielle de Petit Grain Bigarade (3,5 ml)
30 gouttes d'huile essentielle d'Ylang Ylang Complète (1,25 ml)
30 gouttes d'huile essentielle de Verveine (1,25ml)
Huile végétale de lavande (4 ml)
3 gouttes en massage 3x/jour au niveau du plexus nerveux (ou plexus solaire, pour les initiés)... Les huiles essentielles, c'est comme des médocs, on peut faire des allergies donc, à tester une goutte de chaque sur l'avant bras, avant de s'en badigeonner... Et attention si vous avez des chats, ne pas manipuler les HE dans la même pièce qu'eux ou les toucher après utilisation (c'est la seule bestiole dont l'organisme ne peut jamais évacuer les actifs des HE qui s'accumulent dans leurs reins).
Bon, là vous allez vraiment me prendre pour une babs perchée de l'ultime (ce qui est loinnnn d'être le cas!) mais j'y vais de toutes les astuces auxquelles je pense pour dompter le stress:
Les exercices de respiration associés à des principes de base de chromothérapie
donnent aussi de très bons effets... Là aussi, testés par moi (pas pour de la dépendance mais pendant que ma mère mourrait, pour gérer mes crises d'angoisse et de larmes violentes), ça ramène assez bien au calme quand on est entrain de disjoncter:
Fermez les yeux et inspirez longuement pendant 4 secondes (Idéalement, si vous trouvez pas ça trop ridicule, imaginez que l'air que vous inspirez est de couleur Turquoise, couleur apaisante) et expirez longuement pendant 8 secondes (en imaginant que l'air que vous expirez est rouge, couleur énergisante)... A faire pendant plusieurs minutes, si possible, jusqu'à ce que la crise de nerfs soit apaisée.
Chelmix, vu que tu es congelé sous ton plaid, as-tu pensé à te faire un bon gros bain bouillant d'une heure ou deux ou une longue douche brulante de 30 mn, avec le jet à fond (si t'as pas de baignoire)?
Ca détend et en plus, ça réchauffe!
Pour finir le mode cocooning total, je vous conseillerais de vous caler devant des séries ou des téléfilms totalement débiles qui sont attachés à une période heureuse de votre vie avant l'herbe (Moi, en cas de loose vraiment ultime, je peux me retaper toute la petite maison dans la prairie et même... Dr Quinn pendant 2 ou 3 jours)... Bien sur, je déconseille les films indépendants ou les docus qui remuent le cerveau qui mettent en exergue l'absurdité de l'existence (Par contre excellents pour redescendre sur terre lors des périodes où tout va trop bien).
Voilà, c'est à mon sens la dernière étape lorsque la crise sera derrière, éventuellement consulter si vous en ressentez le besoin suite à ces manifestations de stress et/ou si vous n'avez pas envie d'avoir à le revivre au prochain manque de plan ou de fric et/ou si vous voulez mettre le doigt véritable souci que le cannabis endort lorsque vous le consommez à volonté (si vous ne savez pas déjà de quoi il s'agit).
Un psychologue peut être pas mal... Ou même un naturopathe axé stress/addictions.
Le naturopathe a l'avantage de prendre l'individu dans toute sa globalité physique et psychique et non pas de se centrer sur un déséquilibre sans comprendre son origine, comme le fait la médecine moderne, qui ne traite que des "symptômes" au coup par coup.
Ensuite, si les symptomes sont invivables, tu peux te faire prescrire du "léger" qui ne crée pas de soucis majeur de dépendance
Là par contre, je ne suis pas du tout d'accord... Vu l'état de manque psychique de Chelmix (et de Hybridlilie) avec du cannabis, c'est clairement le dernier des trucs que je leur conseillerais. Aussi légers soient les médocs, leurs effets secondaires et l'addiction qu'ils entrainent seront fatalement toujours pire que du simple cannabis.
A mon sens, ces médocs là ne sont bons qu'à être gobés à fortes doses avec un alcool qui dépote pour s'amuser en soirée...
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Là par contre, je ne suis pas du tout d'accord... Vu l'état de manque psychique de Chelmix (et de Hybridlilie) avec du cannabis, c'est clairement le dernier des trucs que je leur conseillerais. Aussi légers soient les médocs, leurs effets secondaires et l'addiction qu'ils entrainent seront fatalement toujours pire que du simple cannabis.
Je ne parlais pas forcément de médicaments légers.
Juste un peu de tercian.
Plus sérieusement, certains médecins peuvent prescrire de manière temporaire des antihistaminiques sans que je trouve ça scandaleux.
Mais je reste globalement d'accord avec l'idée que l'on écrase pas le moustique avec un marteau, sauf en cas de jambe de bois. Bref, il n'y a pas de règle vraiment.
A mon sens, ces médocs là ne sont bons qu'à être gobés à fortes doses avec un alcool qui dépote pour s'amuser en soirée...
J'espère que tu n'es pas naturopathe, pasque c'est soit un putain de jugement de valeur que tu émets et qui ne respecte en rien les individus et leurs différences, soit un vrai conseil de chez perrav'. Les deux après tout.
je vous conseillerais de vous caler devant des séries ou des téléfilms totalement débiles qui sont attachés à une période heureuse de votre vie avant l'herbe
Tu vas faire des victimes chez les old timers.
Dernière modification par Mister No (28 février 2018 à 21:53)
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Tercian ou autre, j'ai du mal à comprendre le concept de remplacer un anxiolytique par un autre?
C'est pas un anxyolitique, c'est un neuroleptique bien velu, d'où l'émoticone pour montrer que c'était une boutade.
Pour le reste, c'est pas un concept, c'est de la médecine et yen a des biens, non ?
que je ne pensais pas être malvenue sur un site entièrement dédié à la défonce
Non, mais là c'est moi, j'avais oublié que l'on était sur un site entièrement dédié à la défonce.
On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui, c'est vrai.
Vu qu'on est tous différents quant à notre consommation de drogues et aux éventuelles addictions, ça va être difficile de vous donner des conseils "apaisants", sans vous connaitre tous les deux, vos caractères et vos modes de vie...
ça coute combien les conseils apaisants ?
Ta démarche me fait penser à une tentative de création de fichier client, et on dirait que tu ne sais pas où tu as débarqué.
Dernière modification par Mister No (28 février 2018 à 22:09)
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C'est un neuroleptique bien velu, d'où l'émoticone pour montrer que c'était une boutade
Ah... En voilà un que je ne me suis pas encore envoyé en soirée...
Quant à L'Homme de Picardie, je ne connaissais pas mais vu les 3.30 mn que j'ai tenues à mater ton extrait, t'as frappé en plein dans le mille, je pense!
Pour le reste, c'est pas un concept, c'est de la médecine et yen a des biens, non ?
Tu sais, je suis fille d'infirmière et j'ai passé la moitié de ma vie à entendre parler des ratés de la médecine et des erreurs médicales.
Y en a des biens? Surement, dès qu'on vit à la bonne époque au bon endroit... Des tonnes de maladies ne sont plus des fléaux épidémiques (Peste, choléra, lèpre...), plusieurs autres sont presque curables ou les traitements permettent de vivre aussi normalement et aussi longtemps qu'une personne non atteinte (VIH, certains cancers...).
Dans ces cas là, y a pas à hésiter... Par contre, la médecine psy est tout de même loin à la traine derrière les autres spécialités et gober des médocs chimiques pour calmer le stress du à un arrêt d'une autre substance plus naturelle qui le canalisait reste un non sens total pour moi!
Et lorsque ta pathologie est parfaitement méconnue (genre en neuro) et qu'on commence à te parler de traitements expérimentaux, de par mon expérience perso, c'est le moment de fuir et de profiter du temps qu'il reste debout, si tu veux pas être l'un des cobayes qui serviront à tous les autres (ou alors en avoir conscience et s'y lancer pleinement par altruisme en oubliant pas de bien signer le formulaire pour la pompe à morphine, avant de ne plus avoir ton consentement libre et éclairé!).
Dernière modification par Ennae (28 février 2018 à 22:28)
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Ta démarche me fait penser à une tentative de création de fichier client, et on dirait que tu ne sais pas où tu as débarqué
Balancer: "Ta démarche me fait penser à..." sans en rien étayer tes propos, ça c'est du jugement pur et dur... Et c'est moi qui suis dans le jugement parce que je déconseille à de simples fumeurs de buzzs de gober des cachets pour malades psys parce qu'ils vivent de manière trop stressante leur absence de plans?
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Par contre, la médecine psy est tout de même loin à la traine derrière les autres spécialités et gober des médocs chimiques pour calmer le stress du à un arrêt d'une autre substance plus naturelle qui le canalisait reste un non sens total pour moi!
Je ne suis pas du tout d'accord. Si la personne souffre d'une pathologie psy lourde, l'arrêt du cannabis ou continuer sans traitement est parfois impossible.
J'ai un ami qui ne peut vivre sans traitement lourd. Le cannabis l'apaisait, mais les TTT psy lui permettent aujourd'hui de vivre de manière autonome.
En fait, c'est plus le fait que tu généralises qui me dérange plutôt que finalement ce que tu dis, le fond.
Je suis même plutôt d'accord, mais je ne dis pas je conseille les médocs ou je les déconseille, je dis simplement que tes généralités peuvent être sordides.
et qu'on commence à te parler de traitements expérimentaux, de par mon expérience perso, c'est le moment de fuir
Heureusement que certains ont accepté les premières thérapies pour le SIDA et signé un protocole.
J'ai rencontré des personnes qui s'étaient résignées à mourir rapidement et qui ont du réapprendre à s'imaginer vivre.
La bise au passage si tu me lis.
Ils ne seraient pas encore dans mon carnet d'adresse...
Dernière modification par Mister No (28 février 2018 à 22:38)
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Dernière modification par Ennae (28 février 2018 à 22:39)
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Quant au VIH, t'es pas le seul a être ravi que certains aient joué les cobayes à ce jour... Je le suis tout autant et pour les mêmes raisons que toi! Reste que les mecs qui ont joué les cobayes à l'époque:
1) Ne le savaient pas
2) Ont souffert inutilement outre mesure
Ils ont surtout survécu.
Ils sont toujours en vie ou on juste pu vivre des années et parfais des décennies de plus.
Tu deviens offensante ou tu ne sais pas de quoi tu parles.
dont aucun des deux n'a mentionné souffrir d'une quelconque pathologie psy
Sans parler de pathologie psy, il suffit de lire :
Même si je suis bien consciente que cela reste un simple pansement...
Si tu considères le cannabis comme un pansement, c'est que tu sais que tu as une plaie en dessous, c'est une belle image.
A partir du moment où tu peux placer des mots en consultation spécialisé, tu ne risques pas d'être placé sous camisole chimique, même si certains ont la prescription facile et lourde, cela a bien évolué et les structures addicto ont des solutions autres que la médication.
Dernière modification par Mister No (28 février 2018 à 22:54)
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