Question sur un traitement

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mikykeupon homme
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9631 messages
Bonjour, je viens pour une amie qui viens d'aller voir un médecin pour un problème de dépression, et d'alcool.

Elle a aussi un passé dans la toxicomanie, avec de grande prise pendant plus d'un an d'exta, speed, alcool, coke, cannabis.

Elle a arrêter mais a consommer pas mal d'alcool, 1 joint par jour et quelques petits extra.

Voila, donc le médecin lui a prescrit 2 AD (luidomil 25mg et fluoxetine 20mg) et un benzo (lysanxia 10mg), et comme elle continue a boire minimum une bouteille de vin par jour.

Le problème est que je ne trouve pas de renseignement sur le ludiomil.
Quelqu'un pourrai peut-être me renseigner ?

Merci

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prescripteur homme
Modérateur
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En effet, attention il y a pas mal de precautions et d'interactions. Voir ci dessous.
Il semble que ce soit une deprime carabinée !!
Amicalement



VIDAL 2010
Médicaments
*LUDIOMIL® 25 mg et 75 mg comprimé
maprotiline
Formes et présentations|Composition|Indications|Posologie et mode d'administration|Contre-indications|Mises en garde et précautions d'emploi|Interactions|Grossesse et allaitement|Conduite et utilisation de machines|Effets indésirables|Surdosage|Pharmacodynamie|Pharmacocinétique|Prescription/délivrance/prise en charge

FORMES et PRÉSENTATIONS (début page)
Comprimé pelliculé sécable à  25 mg (beige rosé) :  Boîte de 50, sous plaquettes thermoformées de 10.
Comprimé pelliculé à  75 mg (ocre) :  Boîte de 28, sous plaquettes thermoformées de 14.


COMPOSITION (début page)
Comprimé à  25 mg : p cp
Maprotiline (DCI) chlorhydrate
25 mg
Excipients : lactose monohydraté, amidon de maïs, silice colloïdale anhydre, talc, stéarate de magnésium, phosphate neutre de calcium, acide stéarique. Pelliculage : talc, hypromellose, polysorbate 80, oxyde de fer rouge, oxyde de fer jaune, dioxyde de titane.
Comprimé à  75 mg : p cp
Maprotiline (DCI) chlorhydrate
75 mg
Excipients : lactose, phosphate tricalcique, amidon de maïs, silice purifiée, talc, acide stéarique, stéarate de magnésium. Pelliculage : talc, hypromellose, polysorbate 80, dioxyde de titane, oxyde de fer jaune, oxyde de fer rouge.

DC INDICATIONS (début page)
Épisodes dépressifs majeurs (c'est-à -dire caractérisés).

DC POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION (début page)
Utiliser les dosages adaptés de comprimés (25 ou 75 mg), en fonction de la dose journalière prescrite.

Posologie :
La posologie usuelle pour le traitement de la dépression varie de 75 à  150 mg par jour.
La posologie initiale est le plus souvent de 75 mg mais elle peut être adaptée individuellement dans la fourchette des doses recommandées. Cette posologie sera éventuellement réévaluée après 3 semaines de traitement effectif à  doses efficaces.
Coût du traitement journalier : 0,34 à  0,67 euro(s) (cp à  75 mg) ; 0,34 à  0,69 euro(s) (cp à  25 mg).


Mode d'administration :
Les caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule prise journalière, pendant les repas ou à  distance de ceux-ci.
La prise la plus importante peut être donnée le soir pour faciliter le sommeil.
Durée de traitement :
Le traitement par antidépresseur est symptomatique.
Le traitement d'un épisode est de plusieurs mois (habituellement de l'ordre de 6 mois) afin de prévenir les risques de rechute de l'épisode dépressif.
Populations à  risque :
Sujet âgé : le traitement sera initié à  posologie faible, c'est-à -dire en pratique à  la moitié de la posologie minimale recommandée (cf Pharmacocinétique). L'augmentation des doses, si nécessaire, sera progressive, en pratiquant une surveillance clinique : les effets indésirables des imipraminiques peuvent en effet avoir des conséquences graves chez la personne âgée (chutes, confusion).

Insuffisants hépatique et rénal : il convient de diminuer la posologie (cf Pharmacocinétique).


DC CONTRE-INDICATIONS (début page)

Absolues :
Hypersensibilité à  la maprotiline.

Risque connu de glaucome par fermeture de l'angle.

Risque de rétention urinaire lié à  des troubles urétroprostatiques.

Infarctus du myocarde récent.

Sultopride : cf Interactions.

Relatives :
Alcool, clonidine et guanfacine, sympathomimétiques alpha et bêta (adrénaline, noradrénaline, dopamine pour action systémique par voie parentérale) : cf Interactions.


DC MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI (début page)

Mises en garde :

Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l'inhibition psychomotrice pouvant précéder l'action antidépressive proprement dite.

De rares cas de syndrome de sevrage (céphalées, malaises, nausées, anxiété, troubles du sommeil) ayant été observés à  l'arrêt du traitement, il est recommandé de réduire progressivement les doses et de surveiller tout particulièrement le patient durant cette période.

En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de déficit en lactase.

Précautions d'emploi :

Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.

En cas de virage maniaque franc, le traitement par la maprotiline sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif sera prescrit.

Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d'épilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison de la possibilité d'abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crises convulsives impose l'arrêt du traitement.

La maprotiline doit être utilisée avec prudence :
chez le sujet âgé présentant une plus grande sensibilité à  l'hypotension orthostatique et à  la sédation, ou une constipation chronique (risque d'iléus paralytique), ou une éventuelle hypertrophie prostatique ;

chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classe de produits ;

dans les insuffisances hépatique et rénale, en raison du risque de surdosage (cf Pharmacocinétique).


DC INTERACTIONS (début page)
Interactions médicamenteuses :

Contre-indiquées :

Sultopride : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.


Déconseillées :

Alcool : majoration par l'alcool de l'effet sédatif de la maprotiline. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

Clonidine et guanfacine (décrit pour désipramine et imipramine) : inhibition de l'effet antihypertenseur de la clonidine ou de la guanfacine (antagonisme au niveau des récepteurs adrénergiques).

Sympathomimétiques alpha et bêta (adrénaline, noradrénaline, dopamine pour une action systémique par voie parentérale) : hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l'entrée du sympathomimétique dans la fibre sympathique).


Nécessitant des précautions d'emploi :

Anticonvulsivants : risque de survenue de crises convulsives généralisées (baisse du seuil épileptogène par l'antidépresseur). Surveillance clinique et adaptation éventuelle des posologies (acide valproïque, valpromide : surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de l'antidépresseur).
Carbamazépine : risque de survenue de crises convulsives généralisées (baisse du seuil épileptogène par l'antidépresseur, d'une part) et diminution des concentrations plasmatiques de l'antidépresseur (augmentation de son métabolisme hépatique par l'anticonvulsivant, d'autre part). Surveillance clinique et adaptation éventuelle des posologies.

Antidépresseurs sérotoninergiques purs (citalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline) : augmentation des concentrations plasmatiques de la maprotiline avec risque de convulsions et augmentation des effets indésirables. Surveillance clinique accrue et, si nécessaire, adaptation posologique.

Sympathomimétiques alpha et bêta : adrénaline pour une action hémostatique locale par injections sous-cutanée et gingivale : hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l'entrée du sympathomimétique dans la fibre sympathique). Limiter l'apport, par exemple moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en une heure chez l'adulte.

Thioridazine (neuroleptique phénothiazinique) : risque d'augmentation des effets indésirables de la maprotiline par diminution de son métabolisme hépatique par la thioridazine. Surveillance clinique. Si besoin, adaptation de la posologie de l'antidépresseur pendant le traitement par la thioridazine.


A prendre en compte :
Antihypertenseurs centraux (sauf clonidine et guanfacine) : effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effets additifs). (Pour clonidine et guanfacine, cf Associations déconseillées.)

Atropine et autres substances atropiniques : antihistaminiques H1 sédatifs, antiparkinsoniens anticholinergiques, antispasmodiques atropiniques, disopyramide, neuroleptiques phénothiaziniques : addition des effets indésirables atropiniques à  type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche...

Autres dépresseurs du système nerveux central (SNC) : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), barbituriques, benzodiazépines, anxiolytiques et hypnotiques autres que benzodiazépines, neuroleptiques, antihistaminiques H1 sédatifs, pizotifène, antihypertenseurs centraux, antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), baclofène, thalidomide : majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

Baclofène : risque d'augmentation de l'hypotonie musculaire.

Guanéthidine : diminution de l'effet antihypertenseur de la guanéthidine (inhibition de son entrée dans la fibre sympathique, site d'action).


DC GROSSESSE et ALLAITEMENT (début page)
Grossesse :

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à  ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.

En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure, à  ce jour, un risque malformatif particulier pour l'imipramine ou l'amitriptyline. Chez les nouveau-nés de mères traitées au long cours par de fortes posologies d'antidépresseurs imipraminiques ont été décrits des signes d'imprégnation atropinique : hyperexcitabilité, distension abdominale, iléus méconial, retard à  l'émission du méconium, difficulté de la mise en route de l'alimentation, tachycardies, troubles neurologiques..., et des cas de détresse respiratoire.

En conséquence :
la grossesse est l'occasion de peser à  nouveau l'indication du traitement antidépresseur, administré, si possible, en monothérapie ;

le risque tératogène, s'il existe, semble faible ;

si possible, il est souhaitable de diminuer les posologies en fin de grossesse en raison des effets atropiniques de ces antidépresseurs ;

il semble justifié d'observer une période de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né.


Allaitement :

Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible ; néanmoins, par mesure de précaution, l'allaitement est à  éviter pendant la durée du traitement.


DC CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES (début page)
Ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiques nécessaires à  l'exécution de certaines tâches dangereuses, telles que la manipulation d'appareils ou la conduite de véhicules à  moteur.

DC EFFETS INDÉSIRABLES (début page)
Ils découlent pour la plupart des propriétés pharmacologiques des antidépresseurs imipraminiques.

Liés aux effets périphériques de la molécule :
Ils sont habituellement bénins et cèdent le plus souvent à  la poursuite du traitement ou à  une réduction de la posologie :
Effet anticholinergique (par ordre de fréquence décroissante) : sécheresse de la bouche, constipation, troubles de l'accommodation, tachycardie, sueurs, troubles de la miction et éventuellement rétention urinaire.

Effet adrénolytique : hypotension orthostatique, impuissance.

Liés aux effets centraux :
Fréquemment observée : somnolence ou sédation (effet antihistaminique), plus marquée en début de traitement.

Beaucoup plus rares : tremblements, crises convulsives sur terrain prédisposé, états confusionnels transitoires.

Liés à  la nature même de la maladie dépressive :
Levée de l'inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire.

Inversion de l'humeur avec apparition d'épisodes maniaques.

Réactivation d'un délire chez les sujets psychotiques.

Les antidépresseurs imipraminiques peuvent également entraîner :
Prise de poids.

Troubles de la conduction ou du rythme (avec des doses élevées).

Troubles endocriniens : hypertrophie mammaire, galactorrhée.

Bouffées de chaleur.

Réactions cutanées allergiques.

Alopécie.

Dysarthrie.

Hépatites cytolytiques ou cholestatiques exceptionnelles.

Troubles hématologiques : hyperéosinophilie, leucopénie, agranulocytose, thrombopénie.

Syncope.

Certains de ces effets indésirables peuvent être prévenus ou combattus par des thérapeutiques adjuvantes ou correctrices, voire une réduction de la posologie.

DC SURDOSAGE (début page)
En cas de surdosage volontaire ou accidentel, on observe des manifestations cardiovasculaires sévères (essentiellement troubles de la conduction conditionnant la gravité de l'intoxication), ainsi qu'un renforcement des symptômes anticholinergiques, éventuellement un état confusionnel ou un coma (parfois retardé). Il y a lieu, dans ce cas, de faire hospitaliser immédiatement le malade dans un service spécialisé et de faire évacuer le produit ingéré.

PP PHARMACODYNAMIE (début page)

Inhibiteur non sélectif de la recapture de la monoamine (code ATC : N06AA21).

Les effets biochimiques, vraisemblablement à  l'origine de l'effet thérapeutique, reposent sur une diminution du recaptage présynaptique de la noradrénaline dont la transmission synaptique est facilitée. L'effet sédatif est en rapport avec la composante histaminergique de la molécule.

Par ailleurs, celle-ci exerce un effet anticholinergique central et périphérique, à  l'origine d'effets indésirables.

Les propriétés adrénolytiques peuvent provoquer une hypotension orthostatique.

L'amélioration portant spécifiquement sur l'humeur est souvent retardée par rapport aux améliorations symptomatiques telles que le ralentissement idéomoteur, l'insomnie ou l'anxiété. Cette notion doit être prise en compte avant l'interruption d'un traitement pour raison d'inefficacité, ainsi que dans l'ajustement des doses efficaces.


PP PHARMACOCINÉTIQUE (début page)

Absorption :
La biodisponibilité de la maprotiline est très variable d'un sujet à  l'autre (de 45 à  95 % environ). En raison d'un effet de premier passage hépatique éventuellement important, la biodisponibilité de la maprotiline peut ainsi être réduite après administration par voie orale d'environ 50 % au maximum par rapport à  l'administration parentérale.
Distribution :
Le volume de distribution est élevé, en moyenne de 25 l/kg. La clairance totale plasmatique de la maprotiline, calculée après administration intraveineuse, est de 1,1 l/min.
La maprotiline passe la barrière hémato-encéphalique, ainsi que dans le placenta et le lait maternel.
Liaison aux protéines plasmatiques : la liaison aux protéines est importante et proche de 90 %.
Demi-vie d'élimination : la demi-vie d'élimination plasmatique de la maprotiline est d'environ 45 heures.
Métabolisme :
Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation des antidépresseurs imipraminiques : captation (effet de premier passage) puis biotransformation intense, ce qui explique la forte valeur de la clairance plasmatique, rapportée au débit sanguin hépatique (1,5 l/min) et le très faible pourcentage de composés actifs retrouvés au niveau urinaire.
Le métabolite principal de la maprotiline est la desméthylmaprotiline, composé actif, dont la concentration est toujours inférieure à  celle de la molécule mère. L'inactivation de la maprotiline ou de la desméthylmaprotiline se fait par conjugaison avec l'acide glucuronique, aboutissant à  des substances hydrosolubles éliminées dans les urines ou la bile.
Élimination :
Deux tiers des conjugués hydrosolubles sont excrétés dans l'urine et environ un tiers dans les fèces. Seulement 1 à  2 % de la dose administrée sont excrétés inchangés. Également 1 % de la dose est excrété sous forme de desméthylmaprotiline.
Relation concentration/activité :
Pour la maprotiline, la fourchette thérapeutique communément retenue se situe entre 180 et 400 ng/ml. En pratique courante, le dosage plasmatique de la maprotiline n'est pas nécessaire pour assurer le suivi thérapeutique.
Toutefois, on distingue 2 groupes de malades pour lesquels le monitoring des concentrations plasmatiques peut être souhaitable :
les patients à  risque : sujet âgé, pathologie cardiaque, hépatique, rénale, enfant, etc. (cf Mises en garde/Précautions d'emploi) ;

les patients résistant au traitement ou chez lesquels les effets indésirables sont marqués ou encore polymédiqués (cf Interactions).

Populations à  risque :
Sujet âgé : le métabolisme hépatique diminue et donc la clairance totale avec augmentation des concentrations à  l'équilibre et de la demi-vie. Il importe alors de diminuer les doses, au moins dans un premier temps.

Insuffisants hépatique et rénal : il convient de diminuer la posologie de la maprotiline.


PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE (début page)
LISTE IAMM 3400931402336 (1973/94 rév 28.11.2006) cp 25 mg.
3400932229130 (1977 rév 02.02.2007) cp 75 mg.
 
Mis sur le marché en 1974 (comprimé à  25 mg) et en 1979 (comprimé à  75 mg).   
Prix : 5.72 euros (50 comprimé à  25 mg).
9.44 euros (28 comprimé à  75 mg).
Remb Séc soc à  65 %. Collect.


Titulaire de l'AMM : Amdipharm.


CSP
76, avenue du Midi. BP 77. 63802 Cournon cdx
Tél : 04 73 69 28 28. Fax : 04 73 69 89 40

Dernière modification par prescripteur (24 juin 2010 à  12:06)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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prescripteur homme
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Inscrit le 22 Feb 2008
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Il semble y avoir eu une erreur informatique, du coup ma reponse precedente n'est pas repertoriée comme mise à  jour. Je fais ce mail pour corriger.
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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mikykeupon homme
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9631 messages
Merci beaucoup, mais concernant l'alcool, est-ce-que le seul risque est la potentialisation ou est-ce-que c'est nocif pour le foie ?

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prescripteur homme
Modérateur
Inscrit le 22 Feb 2008
12147 messages
Les complications hepatiques sont exceptionnelles (dixit le texte) donc c'est plutot un pb de potentialisation.
Amicalement
PS Toutes mes excuses, ce n'est pas un IMAO mais plutot un antidepresseur proche du Tofranil, Laroxyl etc..
Je corrige dans mon message.

Dernière modification par prescripteur (24 juin 2010 à  12:08)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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