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Dernière modification par perceval (24 avril 2018 à 02:46)
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Il s'agit de la génétique du maïs, hahaha.
C'est avec la weed que j'ai découvert les caractères épigénétiques.^^
J'ai réalisé des cross de plantes féminisées, pas par réversion, mais par croisement à partir de fleurs tératologiques sur un pied femelle.
Tous ces croisements ont donné des superbes plantes femelles que je produisais en extérieur.
Aucune herma sur des dizaines de plantes tant que je ne sortais pas des "standards" de la culture. Graine, récolte, nickel !
Par contre dès que j'ai tenté de modifier un peu la photopériode et surtout utilisé ces souches en les bouturant, j'avais systématiquement des fleurs "males".
C'est un caractère génétique qui ne s'exprime que sous certaines conditions.
Dernière modification par Mister No (24 avril 2018 à 20:20)
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Dernière modification par Mister No (24 avril 2018 à 21:02)
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Ah et aussi, le conférencier explique aussi comment fonctionne dans les grandes lignes la chimie cellulaire, moyen via lequel s'exprime concrètement l'ADN. Ce qui à un rapport avec la morphine, si on va chercher loin.
La morphine, comme la colchicine a été utilisée comme mutagène sur les végétaux.
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Mister No a écrit
Merci du partage. Passionnant.
Par contre dès que j'ai tenté de modifier un peu la photopériode et surtout utilisé ces souches en les bouturant, j'avais systématiquement des fleurs "males".
C'est énorme ça ! Y a vraiment des expériences très sympa a faire avec la culture. Je ne savais pas non plus que la morphine était un mutagène !
Pour approfondir, je n'ai malheureusement rien d'autre sous la main et je ne suis pas certain de pouvoir suivre si ça devient trop complexe : je ne connaissais pas du tout ces mécanismes avant de regarder cette conférence, je débarque totalement .
Ravi que celait vous ai intéressé en tous cas :)
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