[ Arrêt & Sevrage ]

Sevrage aktiskenan et additifs toxiques?

Bonjour,

toute neuve ici,
Petit historique  avant mes questions...
J’ai pas mal lu avant d’avancer mes questions... Mais là, je ne trouve plus...

Donc pour mon histoire, maux de dos aigus, il y a environ deux ans, valium/aktiskenan, direction la pharmacie à la sortie du médecin et sans lire les composants, contrairement à mes usages...

j’avais tout de même des circonstances atténuantes, période particulièrement éprouvante et épuisante et la douleur +++

Bref, de là, bien endormie, dans tous les sens du terme, par ces satanées substances « perverses » que sont les benzos (des nuits complètes, après de longues insomnies, la belle au bois dormant, dormant enfin paisiblement dans sa forêt d’épines et, prince Benzo, au lieu d’un baiser avait bien débuté  sont sabotage) au bout de quelques mois, je sens que quelque chose ne me ressemble plus, je sombre et ouf, vous m’avez aidée à me sauver moi-même, sevrage planifié et enclenché et réussi finalement en peu de mois (pas facile, mais réalisé)
De là ben oui, entre douleurs physiques et psychiques, l’akti est devenu mon nouvel amoureux ... si bénéfique et si fidèle à ses promesses de bien être

Bref, et moi fière de moi, qui pensait bien gérer les limites, mais j’ai un peu dérapé en me mentant un peu à moi-même je pense

Bref, finalement les questions du jour:

avec encore un grand merci pour les benzo.. en  comprenant à quel point ils sont dangereux, créateur de dépression et prêt à vous pousser au pire  si vous les quittez brutalement...

Bref, mes véritables questions du jour... L’aktiskenan, aujourd’hui à 100mg/jour
J’ai eu deux petites phases sans, que j’avais prises initialement pour des grippes,..., à la seconde, enfin une prise de conscience... je suis accroc et depuis environ 10 mois

niveau douleurs, ben c’est le jour et la nuit, lorsque je regarde deux ans en arrière, mais ce n’est pas encore ça. Avec aktiskenan je peux encore galoper et sans, ça se complique

Donc je déculpabilise ... ouf, et cherche plutôt les solutions à deux problèmes :

1 - supprimer les additifs toxiques, je ne veux plus me polluer pour me soigner et apparemment je peux utiliser des filtres toupies pour ça. je suis à Paris et je ne sais pas où aller

2 - j’aimerais entamer un sevrage en douceur et je me dis qu’avec un filtre toupie et une petite potion dépolluée maison, plutôt qu’une gélule “pourrie” sera plus simple pour diminuer en douceur sans me faire violence et gérer aussi la douleur physique 

Donc deux questions :

1 - où dois-je aller sans être jugée, mais comprise et respectée

2 - qu’elle sera la meilleure technique de prise (boire ? ou inhaler ?)

Merci infiniment de vos réponses

Juste le fait de reprendre noir sur blanc mes quelques questions et la perspective de reprendre en main la cynégétique et la nature de mes soins, me redonnent du courage

Merci encore



ML