C’est incroyable à quel point un contexte peut changer une décro du tout au tout. Ça me fait penser à un post d’ici que j’avais lus il y’a une semaine ou deux, sur la
méthode chinoise, et le médecin accro à la
morphine, a qui on faisait ses injections tout les jours, jusqu’a passer à 0 de chez 0. Et puis ils ont continué à lui faire des injections, jusqu’au jour où, ne lui en faisant pas, il a dit avoir des symptômes de manque, alors que depuis deux semaines ou lui injecté de l’eau stérile.
Le cerveau et l’état d’esprit aide vraiment beaucoup, dans le même genre, j’ai remarqué qu’a une époque, où là
MDMA était mon nouveau dada, que je ne ressentais aucun bad, jamais de redescente et de déprime. Et je sais que c’est uniquement parcequ’a cette époque, j’étais en début de relation amoureuse, et que mon cerveau comblait largement le « vidage » de
sérotonine grâce justement à ma relation amoureuse, qui me rendez fou de joie.
Comme quoi, il serait peut être bon de proposer des cures-voyages ^^ partir 15-20jours dans un pays, encadré par une équipe de soin, avec un planning de visite et autres activités bien remplis.
Merci en tout cas pour ton temoignage sur la longetivite d’un
TSO, et le fais qu’il puisse effectivement apporter un confort, que l’on ne veut plus voir disparaître une fois plusieurs années écoulées. Moi je n’en ai pas encore eu les frais, car j’ai toujours voulus rapidement arêtter mes traitements.
Bon ça n’a peut être pas toujours été une bonne solution puisque aujourd’hui je tape encore...
Par chance j’ai tellement été dégoûté par le sub, en voyant mes potes se le shooter, et même en le snifant moi parfois. Que aujourd’hui quand je repars sur une période de traitement, je ne veux et peux pas sniffer ou shooter. Ça me dégoûte a un point... juste voir la poudre blanche m’ecoeure...