Bonjour à tous,
Je viens sur ce forum depuis un petit moment, surtout lors de mes mauvaises
descente il m’a Énormément rassuré, mais à présent j’ai des questions auxquelles je n’ai pas trouvé de réponses. Peut être que ça en apportera à d’autres.
À la
base j’étais consommatrice occasionnelle de
cocaine ( je l’a snifé uniquement). Ayant un conjoint aussi consommateur mais plus régulier, je suis petit à petit devenue consommatrice régulière, à
base de trois ou quatre fois par semaines.
Au début je n’avais aucun mauvais effets, mais les
descentes sont vite devenues un enfer : tachycardie, douleur voir anesthésie dans toute la partie gauche du corps, impression d’etre dans les vapes, panique et impression de mourir, arrière de la tête douloureuse. ( j’ai consommé pas mal de
cc différente et toujours les meme effets sur moi ). Les lendemains étaient encore pire ( parfois même trois jours après ), du genre pointe au cœur et impossible de me lever sinon le sentiment de faire un arrêt cardiaque, panique, fatigue extrême, dépression et surtout mal au cœur, comme un poids.
J’ai été aux urgences trois fois à cause de très mauvais lendemain. Très accro, je me suis enfin décidé à arrêter depuis plusieurs semaines et je le vie bien, je me sens enfin libérée, et je sais que mon corps ne supporte plus cette drogue.
Seulement voilà, parfois sans que je ne fasse rien de particulier ( même juste dormir ), j’ai mal au cœur ou le bras gauche qui devient engourdis, épaule lourde, marchoire un peu crispées. J’ai l’oreille droite qui se bouche un peu, et je me sens a l’ouest. Parfois j’ai des fourmillements dans le corps ou froid. Bien entendu je sens la panique monter du coup.
À l’hopital, on m’a fait des analyses et des électrocardiogrammes, et selon les docteurs mon cœur va bien. Pourtant je sens que quelques chose n’est pas normal, et ce n’est pas du stress car cela m’arrive parfois alors que je fais une activité calme ( regarder un film Par exemple ou écouter de la musique ).
Faudrait-il que j’aille voir un cardiologue du coup ? J’appréhende un peu, je vais devoir lui parler de ma consommation de
cocaine avant ( qui a duré trois ans un peu près ), j’assume pas trop cette part de moi, et j’ai peur aussi de decouvrir un truc irréversible.
Quelqu’un a-t’il une expérience à peu près similaire ? Ou bien simplement des conseils ?
Merci d’avoir pris le temps de me lire et bon courage à ceux qui souhaite stopper.