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Psyko a écrit
Les groupes de parole ?mouai trop de fierté mal placé plus mon coté sanguin on fais que ce netais pas trop le top pour reellement en prendre partit et que le groupe soit bénifique pour moi.
Ten qu'au thérapie comportemental jamais pooussé les portes histoires den savoir plus mais bon jsens que mon amis goggle va maidé
Salut Psyko,
Je suis content de ton témoignage car il représente une étape de ma vie et je pense de toutes les vies de toxicomanes à un moment donné : l'après post cure ! Moi, je me suis fait "chier" pendant plus d'un an avant de trouver le début d'un chemin menant à quelque chose de vivant, à une sorte de renaissance hors des sentiers des produits. C'est à ce moment là que tu sembles être et je sais que je me suis retrouvé bien seul il y a longtemps à vivre ce passage.
Tu as cité les groupes de parole et la thérapie comportementale. C'est un séminaire de thérapie comportementale qui a débloqué comme par un coup de baguette magique les portes du bien-être et de la bonne humeur. L'expérience coûte un peu d'argent, mais le bénéfice que j'en ai tiré m'a relancé pour plus de 10 ans de vie dans tous les sens. Pour les groupes de parole, j'ai eu la même réticence que toi jusqu'à ce que je constate la puissance de la parole en écoutant les autres.
Le sujet que tu as ouvert est essentiel car il ouvre à nouveau la réflexion du but du sevrage. Pourquoi développer tant d'efforts (je parle de sevrage cure et post fure) si le résultat à l'arrivée est un mal être diffus qui reste ? En ce qui me concerne, je sais que mon corps et ma tête fonctionnent bien mieux lorsque je suis sous méthadone à un bon dosage que sans. C'est d'ailleurs le but des "maintenances" avec les TSO.
Le sevrage et la vie "saine" sont des archétypes desquels il nous faut s'échapper afin de trouver nos équilibres individuels.
Amy Whinhouse chante NO NO NO à la réhab. Sa position se défend drôlement bien !
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