Bonjour SecretBoy, Bonjour Janis,
Je ne connais pas les molécules et la personne concernée, ni celle consternée... mais j'ai quand meme envie de te dire quelques mots. Après tes mots et ceux de Janis, après un moment de réflexion, je ne suis pas sur d'avoir quelque chose de nouveau à apporter, on verra bien dans l'élan.
Je ne peux rien dire sur les sexualités alternatives, ni sur les sexologue, mais pour l'essentiel je suis de l'avis de Janis.
sa séxualité d'avant, son traitement (?), ses drogues, son age, son suivi... autant d'éléments qui me manquent, mais aussi et surtout, la nature des molécules prises durant 13 ans.
Avec toute cette chimie toxique dans le corps j'imagine que ton ami a un psychiatre et/ou un addicto, je ne serais pas étonné que l'on obtienne des infos via les professionels de santé. En fonction des moyens, pourquoi pas un sexologue, oui pourquoi pas... Je ne sais pas, je ne connais absolument pas les sexologues. Je pense qu'avec le duo psychiatre et addicto, qui sont peut etre le meme, il y a moyen de récupérer de précieuses informations.
Au niveau médocs, drogues, psy et sexes, j'en ai entendu quelques unes. Le célèbre médoc qui
coupe la libido, le
Tercian, "le fameux"... Je connais plusieures personnes qui en prennent et qui toutes ont des problèmes de Libido. Mais je ne connais pas les questions de
sevrage dans ces cas là. Avec un dosage moyen bas de 75mg, assez pour couper la chique à un ado, mais meme un peu plus fort il permet à un toxico moyen (ça existe, au fait?) d'avoir des envies inavouables... J'ai un ami de mon age, 55, qui prends ce dosage, il m'avoue ressentir une legère baisse de libido, pas vraiment génante, il faut dire que c'est quelqu'un qui a du "caractère". Pour ma part, ce que je peux dire sur "les molécules"(?) : en juin, en 1 mois, j'ai pris une dose de
LSA que j'aurais pu prendre en 1 an avec un dosage considéré comme très fort. Juillet, aucun effets secondaires apparents; je ne me faisais aucune illusion, je connaissais déjà un peu les
psylos qui sont apparentés, je savais que c'était très néfaste pour le foi, mais aussi, plus beaucoup présent à l'esprit, le coté délétère pour les neurones et ce qui va avec... ça m'est tout de suite revenu à l'esprit, quand un autre esprit, particulièrement avisé, m'a tenu informé en direct live du mal que je faisais à mon cerveau par dessus tout et au reste bien sur. J'ai testé ce produit magique sans prendre la moindre bonne décision et ça sur un mois. Depuis aout j'ai commencé à ressentir des anomalies au niveau de ma mémoire immédiate, et depuis c'est crescendo. Quelques exemples : je veux chercher quelque chose sur Google; le temps que la souris arrive à l'endroit j'ai déjà tout oublié. Tout à l'heure, j'ai parlé avec un ami, pendant cette demie heure, je n'ai cessé de lui demander de quoi on parlait , là, juste à l'instant. Quand je n'ai rien à fumer j'ai des angoisses, sinon jamais, je n'ai jamais vraiment compris les rapports entre le
cannabis et mes angoisses, mais je considère, en mettant le
cannabis de coté (c'est facile)!, que je ne suis pas quelqu'un d'angoissé. C'est surement en partie pour ça, que je relativise, que j'attends Patiemment que ma mémoire redevienne ce qu'elle était juste auparavant, c'est à dire, déjà, en convalescence, parce qu'avant c'était surtout l'
alcool et l'épilepsie, qui ont fait beaucoup de ravage dans mon esprit. Ma mémoire dans sa globalité a beaucoup souffert. Il paraitrait "que la mémoire, c'est comme des tiroirs, ya qu'à trouver le tiroir et l'ouvrir.
Alors "les cellules ont de la mémoire" parait-il. Et apparement ce n'est pas une bonne chose pour nous les toxicos, mais pour les autre?. C'est à cause de cette mémoire, qui à l'air inaltérable, je ne peux toujours pas, après 11 ans de totale abstinence, boire une simple goutte d'
alcool. La porte se rouvrirais et cela recommencerait à 0. A cause de cette putain de mémoire des cellules,
Alcool appele Euphorie, Euphorie ramène Ivresse, Ivresse et bientot... Totale Confusion... C'est comme un schéma déjà tracé qui montrera le chemin au moindre faux pas. Mais l'
alcool, est, je pense, un cas à part. C'est la drogue la plus dure, perverse et addictive que je connaisse. Donc pas de conclusion hative pour ce qui te préoccupe. Pour résumer ma position, pas de panique, de la patience et, en parallèle, voir un chimiste. Ou un autre homme de l'Art.
Bon je laisse reposer la souris...