[ Aucun effet ]

Très peu d'effet avec le lsd

Hello! Alors non c'était que des fournisseurs différents à chaque fois,
Ma première prise était en goûte, celle où j'ai eu une grande énergie, ensuite 2-3 autres en carton et 2 autres en goûte... il y a juste eu la dernière fois où je n'étais pas avec mon ex et ses amis, mais je me souviens pas avoir conversé longtemps pendant les effets, beaucoup de ce temps ,on était en soirée techno ou en teuf, je m'éloignait du groupe et faisait les choses de mon côté comme j'ai souvent l'habitude de faire..

d'ailleurs j'y repense maintenant mais la kétamine c'est pareil, impression de pas avoir les mêmes effets que les autres. je commençais à me douter que je devais avoir un cerveau pas très optimisé pour ce genre de truc.. il y a qu'avec la mdma et surtout la cocaïne que je ressentais pas mal des accélérations de la pensée

Sinon j'aimerais parler d'un autre évènement qui s'est passé avec mon ex et moi, on avait pris une goûte chacun, les effets ont commencé à monter sur le chemin pour rentrer chez sa mère
une fois dans la chambre il a commencé à s'amuser avec moi avec une technique de contrôle mental.. il me faisait dire exactement la phrase qu'il attendait de moi en me faisant écouter ses paroles pendant 5 minutes juste avant..
puis un moment je l'ai vue se mettre devant moi, j'ai été dans une sorte d'hypnose, j'avais conscience de ce qui se passait mais je me sentais contrôlée, et pendant 10 secondes il absorbait des pensées que venait de moi, me répondait avec ses pensées, ré-absorbait mes pensées, me répondait..etc  c'était très rapide. Je ne me souviens plus du tout de quoi ses pensées s'agissait mais sur le moment je sais que je les comprenais bien...
Désolée pour le thème un peu hors-sujet mais après ça j'ai commencée à délirer pendant 3 ans que tout le monde pouvait lire dans mes pensées, je suis sous anti-psychotique en ce moment ça fait 3 mois que j'entends des voix ou des personnes me répondre à ce que je pense.. j'ai arrêtée toutes sortes de drogue bien évidemment..

Hello, merci encore pour la réponse,

J'ai commencée à prendre ttes les drogues que j'ai citée à mes 17 ans avec mon ex
à 18,5 ans j'ai commencée à me persuader que des gens savaient lire dans mes pensées avec comme source l'évènement de l'expérience que j'ai racontée, quelques mois après j'en ais parlée au psychiatre de ma soeur qui m'a prescrit du Xeroquel mais je le prenais uniquement pour arrêter mes tremblements de nuque assez épouventable (Que j'ai réalisée il y a pas longtemps que cela venait du cannabis que je fumais très régulièrement) Sinon aucuns docteurs a su me dire d'où ce symptôme venait.
Donc entre mes 17 ans et 18,5 je n'étais pas sous anti-psychotique, donc tu as raison car ma dernière prise de LSD était à mes 19 ans et en effectivement les effets était encore plus amoindri qu'avant.
Je délirais mais j'étais pas vraiment psychotique, il a qu'à mes 20,5 ans que j'ai commencée à l'être

J'ai continuée à faire des soirées et prendre de la mdma et cocaïne jusqu'à mes 21,5 ans, uniquement en sniffant, car j'avais beau essayée d'ingérer 0.5 de md et aucuns effets se déclaraient alors que part le nez c'était quasi immédiat et très puissant.

Pour les personnes ayant des troubles psychotiques les effets sont, forcément, très différents des personnes sans ces troubles vu que c'est sur eux que la plupart des effets des drogues récréatives sont observés, étant majoritaires.

Par contre j'ai pas bien saisie ton message, est-ce que les personnes psychotiques sont normalement censé être + sensible aux effets des drogues ? Contrairement à moi avec certaines drogues..

J'ai connu des personnes qui ont eu des problèmes malgré les rituels, shaman et autres cadres traditionnels. Genre vraiment old school et c'était il y a longtemps... aujourd'hui il y a un véritable narcotourisme même pour les enthéogènes... en tout cas pour un futur skizophrène je déconseillerais ce genre de produit même avec le meilleur shaman du globe.

ramtha a écrit

Le lsd ainsi  que certains entheogenes végétaux ( ayahuasca,  toe etc)  peuvent provoquer une ouverture sur le monde spirituel ( aussi appelle occulte ou subtil)   dans certaines conditions,  chez certaines personnes.  Dans un cadre ritualise et initiatique cela est encadré donc no problème

Je me méfierais de dire que a+b=c ; on pourrait croire que certains sittings sont "magiques" et préviennent toute formes de troubles et de traumatismes à long terme. Or je ne pense pas que ce soit ce que tu voulais dire

par contre un accupuncteur ayant une bonne réputation serait peut être à même de pouvoir rééquilibrer tes champs énergétiques pour un coût modeste  tout en continuant ton traitement médical si tu en suis un.

je ne suis pas très réceptif à tout ce qui est champs énergétiques donc je vais répondre à tyrsu

Tyrsu a écrit

Par contre j'ai pas bien saisie ton message, est-ce que les personnes psychotiques sont normalement censé être + sensible aux effets des drogues ? Contrairement à moi avec certaines drogues..

ça dépend du type de troubles de la pathologie et de la personne... Certains en plein délire ne vont même plus être capable de séparer le délire du trip, le trip de la réalité ou la réalité du délire...

ex:

Le trouble psychotique induit par une substance (psychose toxique) :

Des hallucinations (dont le sujet n'est pas conscient qu'elles sont induites par une substance) ou des idées délirantes sont considérées comme dues aux effets physiologiques directs d'une substance donnant lieu à un abus, d'un médicament, ou de l'exposition à un toxique.

http://www.psychomedia.qc.ca/diagnostic … ychotiques

En général les drogues ne créent pas des pathologies à long terme mais peuvent révéler, aggraver des troubles qui sommeil chez une personne.

C'est pourquoi :
- idéalement il faudrait attendre d'être un jeune adulte (~25ans) pour réduire ce risque car passé cette âge là on a moins de risque d'avoir une des pathologies psychotiques  ; dans la réalité c'est très difficile
- idéalement une personne qui commence a présenter des signes étranges (effets anormaux) il faudrait bloquer avant  de commencer et/ou que ça ne soit trop grave...

Si tu es passé dans une unité psychiatrique dans ta vie, tu imagines bien que donner des produits "hallucinogènes" ou "enthéogènes" a certain patient, même bien encadré, ferait des ravages chez les plus fragiles et pourrait déstabiliser certains qui arrivaient à se maintenir à flot grâce à leurs traitements etc.

Cela peut se produire avec du LSD , de l'iboga, ayahuasca, des tryptamines (champignon) , de la mdma, du cannabis (riche en thc, très sativa)... c'est pourquoi on déconseille aux personnes ayant des troubles psy de toucher à ces substances ou au moins de ne pas les mélanger par exemple fumer du cannabis pendant un trip psychédélique c'est ultra risqué pour des personnes fragiles. Inversement il y a des théories new age qui disent que X ou Y peuvent soigner tout les maux, je préfère ne pas populariser ce genre de choses...

dans notre société les adolescents et les jeunes (16-25) c'est souvent la tranche d'âge où l'on s'initie aux psychédéliques (non récréatifs ou récréatifs) et malheureusement c'est un peu tôt pour ce type de produit. Car c'est aussi des âges où les signes de pathologies psychotiques apparaissent, comme la schizophrénie pour en prendre "un" diagnostic célèbre. C'est pourquoi au sein des communauté d'usagers de psychédéliques, on préfère les initiations tardives, avec des adultes bien formés (25-60ans et + en fonction du profil de la personne, de ses antécédents, si il y a déjà tes troubles dans la famille etc etc.)

symptomes positifs de la skizophrenie a écrit

Les hallucinations. (note: voix, visuels, olfactives, tactiles etc etc)
Le malade perçoit des sensations qui n'existent pas. ... 
   Les délires. ...
    Les troubles de la pensée et du langage. ...
    L'agitation et les troubles psychomoteurs. ...
    La démotivation. ...
    L'apathie et le retrait social. ...
    La dépersonnalisation.

https://eurekasante.vidal.fr/maladies/p … hoses.html

Généralement dans des mauvaises conditions (setting) donc sans cadre, sans accompagnateurs, avec des personnes inexpérimentés ou qui racontent n'importe quoi + jeune âge/ personne fragile (set) + produit inadapté (nature du produit , surdosé) = un mélange explosif.

Quand on sait que "7,2% des usagers connaissent le terme « réduction des risques » liés à l’usage de #drogues*" alors la RDR de psychédélique c'est ultra spécifique... L'information circule très peu, mal. Et elle est parfois plombé par des légendes urbaines, des mythes, de la désinformation , des croyances new ages ..

Or il y a un véritable travail de fond pour les psychédéliques. Car ce sont des psychoactifs et il y a donc des RISQUES... or comme à chaque fois quand on les identifies , on les isoles, on peut ensuite travailler pour les réduire... Mais c'est pas facile de se dépatouiller de toutes les légendes

*https://www.facebook.com/Psychoactif.fr/photos/a.317110951745567/1797329573723690

de plus les psychoactifs ça peut être le déclencheur d'un certain type de pathologie psychotique, ex: la schizophrénie, une pathologie chronique. Inévitable.
Et pour les plus chanceux ça peut être une bouffée délirante, durer quelques jours/semaines et ne jamais revenir

Tout cela n'engage que moi, c'est un opinion.

Dernière modification par Rick (26 octobre 2018 à  22:25)