Maintenant si l'envie te prend de pour suivre avec moi je vais te parler de ma relation... En me temps passionnelle et destructrice, douce et violente. Le yin et le yang quoi. On dit bien que les opposés s'attirent
On s'est rencontre j'avais 17ans tout juste, je venais de les fêter, lui avait 25 ans, stable, un boulot etc.... Moi je venais de quitter l'internat en seconde, et je ne savais pas moi même ce que j'allais faire de ma vie... À part traîner avec des gens peu fréquentable, me faire utiliser et passer pour une salope parce que je me fesais embobiner par n'importe quel mec car je me sentais aimée désirée, et donc j'étais plutôt une fille ouverte et facile (mais au fond de moi fragile et naïve en réalité) c'était le coup de foudre, c'était intense.
Très. Vite il a été très paternel avec moi, en me rassurant, en me protégeant, mais aussi en me faisant la morale et en m'interdisant des choses,, je devais rendre des comptes de ce que je faisais. Alors que depuis mes 13 ans je squattais les rues et faisais ce que je voulais sans rendre de compte à personne.
Bref, j étais folle de lui mais il me saoulait à m'empêcher de voir mes potes mecs (oui j'avais que ça) sans sa présence, pas sortir sans lui, rentrer direct après les cours, et expliquer ce que j'ai fait ou le programme de mon we etc etc. Du coup je me suis vite sentie étouffée mais il m'expliquait que c' était ça un vrai couple, que c'était une histoire de respect, Que moi ça me plairait pas su il allait voir ses ex en mon absence etc etc... Son discours était mâture et il m'a convaincue. Du coup, je ne voyais plus personne au final... Faut dire que 80%de mes potes étaient des exs ou des coups d'un soir ou j'avais déjà flirté le temps d'une soirée... Donc je pouvais comprendre.
Du coup il me rejoignait tous les we et l'on sortait avec son meilleur pote célibataire. On était tout le tps tous les trois ensemble. Et autant j'étais accro à mon homme, autant je partageais bcp plus de point communs avec son ami, et finalement aucun point commun avec mon homme.je me suis bcp rapproché de son ami, mais amicalement, jusqu'à ce que ce dernier commence à me draguer et à me dire que c'était pas normal comment mon homme me traitait, qu'il était macho et jaloux etc etc..... Et au final, il a réussi à me convaincre que je devais le rebeller en quelque sorte, et être libre, et au passage, il m'a séduit à coup de romantisme bateau (aujourd'hui avec le recul je m'en rends compte et je m'en veux d'avoir fait cette connerie et d'avoir cru ressentir des sentiments) et moi comme une conne, j'ai craqué, je me suis sentie désirée, je me suis senti belle, etc.... Et je m'attacjais à lui avec qui je partageais bcp plus de choses qu'avec mon homme.... Et j' étais d'ailleurs convaincue à ce moment qu'il abusait de sa position dominante masculine, et que c'était irrespectueux etc etc, il m'avait mi tout ça en tête, en gros pour m'embobiner avec son romantisme à deux balles. Et il a réussi. Du coup j'ai craqué, un bisou, des caresses, et plus loin.... Des appels quotidiens, des rdv cachés, du sexe dans des lieus incongrus..... Cela pendant plusieurs mois.... Et j'avais l'imprzssio' de ressentir qqch pour lui. Je me disais:ah oui lui c'est mon sosie en homme, on s'est trouvé, c'est mon âme sœur, et il me valorise avec son grand romantisme. Et l'autre, mon homme, était de plus en plus possessif, et 'e me laissait rien faire sous contrôle. Il me saoulait. Mais j' étais accrochée à lui par qqch que je ne pouvais expliquer.
Bref les mois passent, je commence à me dire qu'il faut que je me libére de cette relation où je ne suis pas libre de mes actes, et où on me fait parfois des reproches, sur mes actes, sur mon physique etc.... Pour aller avec "l'homme parfait, qui m'encense de compliments et d'admiration, et qui partage mes passions et qui me dit que lui il me laisserait voir mes potes etc etc ... Et moi quk avait l'habitude de passer d'une relation à une autre comme ça, bah là, ça a bloqué.... Malgré tout ce que je lui reprochais, malgré que je me sentais étouffée et quo' se prenait de plus en plus la tête.... Impossible de mettre fin à ma relation pour aller avec l'autre. J'avais réellement le sentiment d'aimer deux personnes en même temps. (par la suite, j'ai compris que mon amant, je ne l'aimais pas, j'aimais juste comment il me valorisant et me fesait me sentir belle et intelligente et désirable... Apres mon enfance de petite grosse, ça me faisais trop du bien)
Et ça a continué, parce que je ne pouvais pas quitter mon homme, mais je ne voulais pas faire mal à l'autre... Et parce que je doutais de me sentiments, j'étais perdue... Jusqu'au jour où mon homme est tombé sur un message équivoque, et que j'ai dû lui avouer....
Mais comme j'avais peur de le perdre j'ai essayé d'atténuer, y'a eu qu'un bisou, puis après j'ai été obligé d'admettre que ça fesait quelques mois mais que o' était pas passé à l'acte... Jusqu'à ce qu'il a prenne d'une amie commune à son meilleur pote que oui on avait couché ensemble...
Du coup je lui ai dit, oui une fois et j'étais tellement mal à l'aise que j'ai fait l'étoile de mer et j'ai même pas pris de plaisir. En gros j'ai bloqué et j'ai pas osé lui dire non....
Mais c'était pas le cas... À ce moment j'étais tout aussi motivée que lui.
Bref du coup une fois avoué ceci, ça a clashe, il m'a frappé, première fois, mais je n'ai pas relevé car je savais que j'avais été trop loin. Pour moi c'était comme si mon père me foutait une baffe. Bref c'était pas de la violence conjugale à mon sens... Je l'avais mérité....
Il est resté avec moi, on a arrêté de voir son pote et je pensais que ça allait passer et qu'il n'allait pas creuser.
Mais très vite il est revenu sur le sujet en me demandant si j'avais couché plusieurs fois avec lui.... Je ne voulais pas lui avouer, car je m'étais positionnée comme victime qui s'est fait embobiner par un don Juan, c'était une erreur, je voulais pas coucher avec mais j'osais pas dire non....
En gros si je lui à ouais que on l'avait fait plusieurs fois, dans la voiture, dans les champs etc, ça changeait la donne. La il aurait vu que je n'étais pas si sage que ça et que j'étais bel et bien consentent et même que j'en avais l'envie, pour le faire en pleine nature quoi... Donc j'ai gardé le secret.... Des années, presque dix ans.... Mais lui ça ne lui a pas quitté l'esprit, ça le tourment ait, il savait au fond de lui que j'avais pas tout dit. Jusqu'en jour, une erreur, un téléphone mal éteint, une discussion à ce sujet avec une copine... Ou j'avouais clairement que je l'avais fait plusieurs fois et consentante.... Il a tout entendu, via mon téléphone, et j'ai donc dû lui avouer qu'effectivement j'avais des sentiments et du désir pour son ami à cette époque.
Il a été choqué mais à plutôt bien réagi et nous avons repris le cours de notre vie.
Je l'ai trouvé soulagé, detendu de savoir enfin la vérité... Mais le problème c'est qu'entre temps nous avons renoué avec cet ami, qui s'est mi en cpuple depuis et avec enfants. Et un jour, voulant jouer la carte de l'honnêteté je lui ai rapporté que son ami me fesait toujours des avancés, sous forme de regards de souvenirs, de paroles de chansons, de bises un peu trop prononcées.. Et etc... Et tout ça s'est accentué jusqu'à ce que je commence à me sentir mal à l'aise en sa présence. Je ne voulais pas le jeter, car je ne voulais pas créer de flash, même avec sa femme à ce moment qui est devenue mon amie proche, mais il était hors de question de mentir à mon homme. Donc je suis restée très évasive avec cet ancien amant qui était désormais voisin et qu'on voyait très régulièrement. Mais j'expliquais à mon homme que je sentais des regards qui me mettaient mal à l'aise..... Sa réponse était :si il te drague ou si il tente qqch, c'est que t'as laissé la porte ouverte donc tu es aussi coupable. Ça te plaît bien de te sentir désirée par qqn d'autre. En gros la situation me plaisait et c'était moi quk laissait selon lui volontairement planer le doute sur mes sentiments ou intentions.....
Et tout cela longtemps longtemps... Jusqu'à ce qu'il devienne plus clair en me disant que je lui plaisais encore et que c'était avec moi qu'il voulait être... La je n'avais plus de doute, oui ces regards étaient de la séduction.... Et j'ai selon moi été catégorique, pensant lui faire comprendre que ya aucune ouverture. Mais il a mi très longtemps à comprendre, et il a fallu le déménagement, donc au bout de quatorze ans de malaise, et l'éloignement, pour que il me laisse en paix. Ça y est, maintenant je ne le vois plus mais j'appréhende si je me rends da's un lieu qui fréquente, de le croiser et de me sentir mal. Bref en gros 13/14ans ou la situation n'était pas vraiment claire aux yeux de mon homme. Une relation de quelques mois, mais un gros mensonges découvert dix ans après. Puis mon côté trop gentil et faible quk m'a empêche par la suite de lui dire:oh tu te prends pour qui a me draguer encore, t'as une femme des enfants, et moi aussi, et je suis heureuse, et je ne veux pas de toi.
Bref j'ai fabriqué un jaloux maladif, possessif et parano. Et il doute de tout ce que je dis ou fait.
Mais j'ai décidé de rester et d'en payer le prix, OK je dois subir sa jalousie un temps parce que je l'ai trahi, et sa confiance que j'ai brisé, je ne la retrouverais pas demain..
Bref une erreur, au bout de deux mois de relation, à 17ans, jeune et influençable... Qui à duré genre 4mois... Sur 16ans de vie commune, et un mensonge de dix ans.... Autant dire que je crois ah père Noël en pensant un jour récupérer sa confiance.
Mais je m'y suis fait, je ne sors pas seule, je lui rends des comptes, ça devient automatique et même presque normal à mes yeux (sauf les jours ou je suis énervée et rebelle et que je veux faire ma femme libre, mais ça dure le temps d'une engueulade) bref, je suis devenue docile, obéissante et fidèle à mon "maître" par culpabilité et remords.... Mais au, passé trente ans, je n'en peux plus d'être soumis aux décisions de monsieur, alors je fais de plus en plus de choses en cachette.? Mais des conneries ou je ss qu'il me prendrait la tête, genre je me fais envoyer une commande internet au boulot pour pas qu'il le capte et pour pas qu'il me saoule à me dire, t'en a pas besoin, ça coûte des sous etc.... Le problème est que comme il est devenu excessivement jaloux et parano, il contrôle, espionne tout. Et en général, il me capte, sur mes petites cachotteries et je lui avoue et je me fais deux fois engueuler, comme une gamine, vraiment....
Et du coup par ces petites cachotteries, il voit que je suis capable de luk cacher des choses ou lui mentir, donc pour luk, je suis tout à fait capable de le tromper.... Et c'est son obsession. Et j'ai l'impression encore plus depuis qu'on tape, depuis trois quatre ans, sa parano augmente et devient de plus en plus surréaliste.
Du coup ma vie devient un enfer, je dois justifier de tout, pourquoi j'ai mi dj parfum ce matin, pkoi je me suis plus maquillé que d'habitude... Et le gros sujet où il comprend pas... Pkoi je me suis rasee enbas alors que ça fait un mois qu'on l'a pas fait.... Bref messieurs, on ne se rase pas que pour votre confort, mais aussi le notre... Ça gratte, ça pique, c'est chiant quand on a nos règles, etc etc et ya plein d'autres raisons, même pour les plaisirs solitaires ou simplement parce qu'on aime pas les poils.... Bref, lui croit que c'est pour qqn. Mais il en est persuadé alors impossible de lui expliquer quoi que ce soit.
J'explique aussi au passage un truc qui rentre pas dans la tête de mon homme.... Si un jour on a une mycose.... C'est pas qu'on est allé baiser avec le routier du coin... C'est très fréquent chez les femmes, surtout après des grossesses et encore plus avec des prises d'antibiotiques.... Nan parce que à écouter mon homme.... Si j'ai une mycose, c'est pas du à ma semaine d'antibiotiques, mais au mec à l'hygiène douteuse que j'ai du baiser.....
Bref non les mecs, dans 90%des cas on attrapé pas une mycose en baisant... Par contre on peut vous la refiler et c'est sacrément douloureux pour un mec donc faites gaffe.
Donc vous l'aurez compris, aujourd'hui, je suis clan, mais à cause de mes erreurs du passé, l'homme que j'aime est tout ce que je déteste, possessif, jaloux, et n'a aucune confiance en rien en moi mais la moindre parole est mise en doute. Comme quand je dis je vais poster ce truc demain... Il me croit pas, ou je vais me mettre au sport, il rigole, du coup moi je me sens dévalorise. L'impression qu'il croit que chuis une salope, prête à accepter les avancés de n'importe qui et donc le tromper n'importe quand, et de plus dans tous les trucs de la vie quotidienne il n'a aucune confiance alors il me rabaisse.
Et on en vie à la prise de
coke... Avant il était pas comme ça, mais depuis, non seulement il est de plus en plus parano, mais en plus il prend tout au négatif ou comme un affront contre lui. Genre, j'ai pris du poids, c'est que je m'en fous de lui parce que je fais pas d'effort pour le séduire au quotidien.... Et plein d'autre reproches qui sont quotidiens et très très blessants ou en gros il me reproche des traits de mon caractère ou des chose du quotidien, mais il insiste sur le fait que si c'est comme ci comme ça, c'est parce que j'en ai rien à foutre de lui. Genre si je foire un plat, si je l'aimais vraiment, j'aurais été plus attentive, je l'aurais fait avec amour, et il n'aurait pas foiré. Bref c'est un exemple parmi tellement tellement d'autres.....
En gros, et ça que depuis la prise de drogues, et le fait de sortir avec des nouveaux amis, je fais tout mal, et c'est parce que je mets de la mauvaise volonté, parce que j'en ai rien à foutre de lui, et puis de toute façon, j'ai pris 20kg et je fais rien pour lui plaire, et jé suis totalement egoiste. Etcetc
Et ça il bloque dessus e y a chaque fois qu'il tape, dans les deux trois jours après, il peut être très violent... Même sans taper d'ailleurs, des que j'essaye de luk expliquer mon point de vue... Même si c'est pour luk dire "mon amour je t'assure, je t'aime et je tiens à toi"
Si il a décidé que je ne dois pas dire un mot, il ne faut pas que je dise un mot, sinon en deux phrases je m'en prends une ou je me retrouve avec de la casse à la maison à nettoyer ou reparer....
Bref, pour en revenir à ce côté parano. Je sais que la drogue peut faire ça, et je le ressens un peu aussi, mais moi je garde mes doutes pour moi donc ça va....
Est ce que qqn ou qqn de votre entourage était déjà touché par des délires parano des obsessions qui lui pourrissent la vie, et est ce que cette personne ou vous même, à l'arrêt de drogue, a ressenti une amélioration ? Ou est ce que ça doit passer par une psychothérapie et un traitement auquel il est totalement tefractaore
réfractaire
En gros est ce que ça ne peut être qu'un passage à vide, accentué par notre histoire...
Parce que je sais qu'il e' souffre, et parfois plus que moi. Parce que moi jme dis, il dzraille
déraille, mais lui à ce moment il est sur de son truc et ça le blesse et ça le tourmente, et je suis persuadée qu'au fond il a peur de me perdre et qu'il analyse toutes mes attitudes à l'extrême. Parce qu'il est persuadé que j'en ai plus rien à foutre de lui et que je reste par confort peut être.
E n gros je suis pas dans l'optique de me plaindre en disant c'est un gros connard on agit pas comme ça avec sa femme etc etc. Donc je ne vous raconte pas les détails de ma vie de couplé ou vous seriez certainement choqués, et me diriez de le quitter illico presto comme pas mal de mes "amies" avec qui finalement j'ai coupé les ponts car elles ne comprenaient pas.
Pour résumer, sans rentrer dans les détails, je suis plus dans une relation père /enfant, avec lui, dans le sens où je dois lui demander son autorisation ou son avis sur tout, et si ça lui plaît pas, je dois obéir sans me rebeller, sinon je m'en prends u'e pour insolence. Je fais gaffe à l'heure à laquelle je rentre car il contrôle mon temps de trajet et mon planning, je ne suis pas libre d'aller voir une copine un après midi si il ne l'approuve pas. Et un soir genre boire un coup ou faire une terrasse, je crois que je ne l'ai jamais fait. Très paternaliste et strict genre vieille école, la femme a sa place et l'homme a sa place, et c'est lui le chef.
En gros je le crains autant que ma fille quand elle ramène une mauvaise note.
C'est vraiment ça le problème. Comme je le crains, il sent qu'il y a un souci, que je suis pas à l'aise,donc il se fait des films.... Tandis que si j'assumais et que il ne ressentait pas de crainte ou d hésitation dans ma voix, je suis sûre qu'il arriverait à me faire plus confiance
Par exemple, tout bête, je parlais tout à l'heure de rasage... Depuis ses remarques douteuses, je n'ose plus me raser librement et il le voit, que je suis gênée quand il me le fait remarquer, comme si j'avais fait une bêtise alors qu'en fait je suis juste mal à l'aise car je sais, ou j'imagine qu'il ne me croira jamais, et que pour lui, c'est u'e preuve irréfutable d'infidélité.... Du coup, je suis hésitante da's mes réponses et j'entretiens malgré moi ce doute.
Peut être qu'un jour je saurais trouver l'assurance pour luk dire "bah oui j'ai rase ça me gênait" point barre, sans hésitation ou crainte.... Et ilsentira une sincérité et du coup il me croira...
Mais du coup c'est un cercle vicieux, il doutetotalement, donc il est suspicieux de tout et il me reproche tout et n'importe quoi, du coup moi je le crains, je crains ses doutes, ses réactions et surtout je veux toujours lui expliquer par à +b que ce dont il doute est impossible... Et la ça monte en tension et ça montée ça devient agressif, d'abord dans les insultes, des mots durs, qu'on ne dit pas normalement à sa femme, (mais je sais qu'il le pense pas, c'est juste qu'il trouve rien d'autre à dire à ce moment) et comme moi je réagis vivement à ces insultes car je ne comprends pas qu'
E mon mari puisse penser ça de moi. Ça monte en tension jusqu'à ce qu'il pète un câble et devienne violent.... Il me prévient... Mais moi ça m'énerve encore plus d'imaginer qu'il puisse frapper la femme qu'il aime du coup je le provoque, en lui disant que c'est un lâche, qu'il ne m'aime pas et etc c..... Bref, ces moments sont rares car je me contiens. Mais quand je vais à l'affrontement, sans insultes juste avec mes explications logique et souvent un peu d' ironie qui le rend fou, (c'est plus fort que moi à ce moment) eh bien il devient violent, d'abord avec ce qu'il a autour de lui, les objets, puis sur moi, 'et là, je ne le reconnais plus, il est comme possedé. Tu' e peux rien lui dire. Il va me dire ferme ta gueule, si je luk réponds "mais je t'aime" il ne l'entendais même pas, pour lui k c'est de la provoc et de l'insolence parce que il m'a dit de me taire.
En gros, ça devient invivable, car j'accepte beaucoup, mais je refuse de laisser toute ma liberté pour un homme et je commence enfin à comprendre que ce n'est pas normal d'être entièrement soumise... Et donc je m'asdume un peu plus, j'en freins ses règles et ses principes parce que ce n'est clairement pas moral, et on entre de plus en plus en confrontation et la violence et l'agressivité augmente de plus en plus... Je pense que les conso de drogue et
alcool jouent un rôle dedans aussi.
Et ducoup sa violence me révolte, mais je vois aussi qu'il souffre énormément, et sûrement plus que moi de ses doutes. Parce que lui il y croit vraiment, et ça le bouffe... Même les trucs les plus improbables... Genre j'ai baise avec mon patron.....
Il souffre, il m'aime, clairement, mais il ne veut pas voir de psy car il 'e considère pas avoir besoin d' aide. Pour lui c'est moi qui doit changer mon attitude pour qu'il reprenne confiance en moi..... Mais bon.... Je n'ai déjà rien à me reprocher, je ne vois pas quoi changer.... À part ma crainte de ses réactions... Mais ça je juge que c'est d'abord lui quj doit faire un travail d'écoute, d'analyse et de déduction logique, pour que je puisse me sentir à l'aise.... Parce que la, il est tellement capable de douter de tout, même si c'est improbable... Que forcément, je me sens constamment mal à l'aise, pour tout.
Du coup on en est au point où nous cohabitons, car malgré nos engueulades e t mes propositions de rupture, on arrive pas à vivre l'un sans l'autre.... Mais je sens que tout ce que je fais, ou dit, l'énerve à un point.... En gros, ya u'e force kn visible qui le force à rester près de moi, ça doit être l'amour, mais il me supporte plus. Même des que j'ouvre la bouche pour dire un truc banal, genre, il fait beau aujourd'hui, je le saoule, et il me dénigre et me casse souvent méchamment et très dur.
Et moi je l'aime à en crever, mais j'en suis au point de luk proposer un divorce pour qu'il arrête de souffrir. Et mok je sais que même si j'aurais perdu l'amour de ma vie... Mo' quotidien sera plus agréable et je serais plus épanouie....
Mais on s'aime tellement qu'on préfère se déchirer, et on a même plus d'espoir, plus d'issue, l'ipressio' d'avoir tout essayé. Et malgré tout on reste ensemble, dans un climat plus que conflictuel, en se parlant comme deux personnes qui se haïssent... Mais quk au fond s'aiment profondément sa's savoir l'exprimer.
Voilà pourquoi ces dernieres années, alors que en 16 ans je n'ai accroché à aucune drogue... Et j'en ai testé ! Voilà pourquoi, à trente ans, je suis tombée accro à la
coke et autre drogues,
taz md speed etc... Parce que le temps de la prise, il n'y a que notre amour qui ressort, aucune colère, aucune rancœur... Aucune agressivité, on arrive même à parler de choses qu'on se reproche, tout en restant calmes et en écoutant attentivement les explications de l'autre... Et en plus, bah c'est bête, mais on rentre en contact physique, les contacts étant actuellement inexistants, si je le touche ou frôle, j'ai l'impression d'être une pestiferee et les câlins n'existent plus. En gros je me livre à lui une ou deux fois dans le mois histoire de satisfaire ses besoins masculins primaires. Voilà, quand o' tape ensemble.... Quoi que ce soit, on est de nouveau comme au début, mais on peut quand même rentrer dans des discussion sérieuses ou on a un point de vue différent, on s'écoute... Et on se caline et tout, mais je vous passe les détails....
En gros la
coke et la drogue en général, m'ont aidé à vivre des moments magiques et en même temps à comprendre que mon homme n'était pas un gros salaud egoiste, mais juste un mec qui souffre à l'intérieur et qui ne demande qu'à être heureux avec moi. Et ça m'a aussi rassuré sur son amour, son désir, car sinon il ne dit rien du tout, et même il me fait croire le contraire en me disant que jsuis grosse, pas désirable etc.... Mais quand il est pété, il m'explique clairement ses pensées, par exemple quand il me reproche d'avoir pris vingt kg et qu'il me dit tout le temps des méchancetés à me complexer à mort, en fait, lui au fond de lui, il pense que j'ai pris du poids parce que je l'aime plus, donc je veux plus lui plaire, et surtout je fais pas d'efforts. Mais ça il me l' explique que quand il est sous substances, sinon il va juste me dire t'as vu comme t'as pris du poids, tu crois que ça donne envie ? Bientôt tu rentre plus dans le siège de la voiture... Et plein de méchancetés toutes plus dures les unes que les autres.....
Donc j'ai accroché à ça. Pas à la drogue en elle même, mais à l'échange et au moment de bonheur et de calme que ça apporte dans notre couple. Et pour ça, je suis capable de lâcher 200balles pour une soirée tellement ça m'a porté du bonheur....
Mais le temps passant, son discours change, probablement du à son accoutumance, et nous discutons bcp, c'est bien mais c'est plus la même chose. Je retrouve plus ce côté passionnel qu'on avait au début, comme si on se découvrait pour la première fois. Maintenant on discute posément on arrive à parler en exposant son point de vue, mais il m'exprime, même perché, ses doutes sur notre relations, sur le fait qu'il n'arrive plus à me faire confiance..... Etc....
Mais ça me fait quand même du bien ces soirées...
Le problème, est que la situation financière se dégradé, il a décidé d'arrêter pour le moment, donc il n'achète rien et refuse que l'on dépense des sous dedans. Donc on a plus ces moments là, la petite pause bonheur... Mais en plus il rentre dans une bonne dépression et toujours sa paranoïa.
Et moi, je fais une grosse connerie, je commence à en prendre en cachette et seule et sans raison particulière, sans évènement particulier....
Donc déjà, je lui cache qqch d'important, il me quitterait je pense si il l'apprenait, car ça empute le budget déjà plus que restreint, ensuite, il me verrais l'image de la tox quk tape en cachette, et ensuite le fait que je lui ai menti, toi simplement. En passant par le fait que je n' ai pas de caractère, et que ce n'est pas l'image qu'il a d'une femme responsable. Bref je risque mon couple.
Mais le pire c'est que je ne sais même pas pkoi je prends seule comme ça en cachette... La première trace m'apporte un sentiment de bien être comme quand t'as bu quelque bière et que t'es joyeux, tranquille t'oublie le stress de ta journée, basta. Et après..... Bah à ne m'apporte rien.... Ce que j'aime, le partage avec mon homme, je ne l'ai pas puisque luk n'a rien pris et qu'il ne faut pas le déranger dans son film et que de toute façon tout ce que je dis le gave.... Alors irs chuis la a squatter sur internet, parfois à saouler des potes en leur déclarant mon amitié par de grande déclarations enflammées. Et la ce soir, je suis r la, à raconter ma life.... Que personne ne lira jusqu'au bout.... Et au final, comme je trouve toujours qqch à faire ou à dire d'intéressant (pour moi) je continue, et il est bientôt 7h et je n'ai pas dormi et fini mon g... Et entamé le deuxième, alors que je ne voulais pas..... Mais ce n'est pas que je kiffe particulièrement cet état, c'est juste que je ne me tracasse pas avec les nombreux soucis qui me rongent... À. Et donc ça me fait comme un soulagement et en général, j'ai besoin de parler, et les potes vont se coucher au plus tard à deux heures voire trois... Mais là je me suis lancée dans la rédaction de ce post my life, qui s'apparente plus à un journal intime dont tout le monde se fout... Et qui sera ptet supprimé car hs mais peu importe, je crois que ça me fait du bien de parler... Même dans le vide, sans avoir la sensation d'être jugée, ou que mon homme soit jugé.
Déjà ya le paramètre drogue qui entre en jeu dans notre relation de couple, donc je 'e peux en parler à tout le monde... Et mes potes qui consomment eux sont trop jeunes et réac pour analyser la chose comme je le fait pour comprendre que je reste malgré qu'il me traite ah quotidien comme une moi' s que rien. Qu'on ne se parle pas, se touche pas, qu'on ne fait plus l'amour et qu'on fait chambre séparée... Et qu'en plus il est de plus en plus désagréable, invivable, agressif et violent.... Et que moi je reste et lui trouve des excuses.... Je n'ai personne qui comprenne que dans l'histoire je suis traitée comme u'e merde, OK, et je suis trop soumise, ça se fait plus comme ça de nos jours, j'en souffre certes, dans mon confort et dans mon quotidien, et sur le coup lors des engueulades... Mais au final, c'est lui qui souffre le plus, car il vit avec ses doutes et ses paranoïa ah quotidien, et she si je l'appele pas pendant ma pause déjeuner, il va pas m'appeler par fierté mal placée mais il va s imaginer des scénarios improbables et il va s'en convaincre au point que ça le bouffe tellement qu'il va me pourrir en rentrant car il sera persuadé du scénario qui s'est monté....
Je ne sais plus comment réagir, le quitter, j'ai essayer mais je n'y arrive pas, car il me retient à sa façon, parfois violemment, mais je vois qu'il ne veut pas... Et moi non plus.... On a tous les deux envie que ça aille mieux et finir nos jours ensemble, mais avec le temps l'espoir s'amenuise et on commence à vivre avec cette fatalité... Enfin lui surtout car il se sent pas aimé, trahi constamment et il se dit que je ne changerais jamais... Mais je ne pense pas que j'ai besoin de changer. Pour moi le seul espoir est que lui reprenne confiance en lui, en moi, en nous, et quil soit moins parano sur tout... À ce moment, si je vois qu'il arrête de m'accuser de tout et n'importe quoi, je serais plus détendue, et n'aurais pas de crainte le jour où je mets du rouge à lèvre alors que d'hab je n'en mets pas... Par exemple... Et du coup je me sentirais plus détendue et il me trouveras certainement plus sincère, et tout va s'enchaîner... Je vais m'habiller mieux et prendre soin de moi, car je ne vais pas me dire qu'il pense que je fais ça pour les autres... Et il me trouveras plus féminine donc il me me montreras, et comme je me sentirais jolie, et appréciée, je perdrais sûrement du poids pour luk plaire encore plus car j'aurais plus de stress deja, et j'aurais envie de le reconquérir. Et du coup bah si il n'est plus parano, il comprendra que je fais tout ça pour lui et pas pour un autre et donc tout ira mieux car il reprendra confiance et ça ravivra la flamme.
Putain il est 7h passé, à la
base je me suis dit"hop j'en prends une trace pour me détendre, "et puis une deuxième quand il est allé se coucher parce que je serais seule et je portais boire un coup avec sans que ça paraisse suspect. Et puis aussi je suis plus détendue, puisqu'il me voit pas, il peut pas capter que j'ai pris.... Et au final, j'ai écrit toute la nuit, j'ai parlé de ma life, certainement insignifiante et ennuyant, et j'ai entamé mon deuxième g que je ne devais pas toucher avant mi novembre au moins, car il doit me rester au mois un demi pour une soirée le 24....bref je me suis foiré, j'ai du taper un bon défi, voire 0,7en 7h... C'est tranquille, 0,1 par heure en moyenne....
Non en fait en réfléchissant, j'ai du taper plus... Pas loin de 1g parce que à un moment, je les enchaînait toutes les demie heure, et puis je connais mes différents stade de defonce. Lol la je suis trop defoncee pour un 0,7lol. Même si c'est de la bonne.
Bref j'ai planté mon programme de conso du mois. C veut dire que si j'en veux pour ma soirée bah j'en touche pas une trace jusqu'à la bas. Tandis que normalement j'avais prévu un g pour les petites traces du soir qui détendent ou j'en prends une ou deux, et un g pour la soirée, et la semaine qui reste.... Mais la, ça va être ceinture.... Ou prostitution... Lol.... Quoi que j'avoue que quand je veux vraiment je trouve toujours un moyen.... Tandis que si j'ai une facture impayée de 80€ je la laisse traîner jusqu'aux huissiers ou jugement.... J'en souris car c'est ridicule, et je me rends bien compte que je privilégie une drogue, malsaine, qui ne m'apporte que de l'illusion, un pansement, et qu en plus je ne contrôle pas (je vais encore regretter dans deux heures au boulot et la je vais souffrir même physiquement) je le sais mais à ce moment où je prends, déjà le temps s'arrête, et toute notion de logique ou de raisonnable ou même de légal ou politiquement correct, toutes les valeurs acquises plus jeune, je m'en bat les c... Royalement... Mais je le sais que c'est pas bien, pas correct etc, mais ça me passe par dessus la tête, je me pose même pas la question.
Quand j'en parle comme ça, je me dis que c'est flippant et que vu de l'extérieur, ça fait vraiment grosse tox dépendante... Mais j'ai pas cette impression... C'est par période, defois je peux m'en passer des semaines, et defois ça devient une obsession et j'y pense tous les jours jusqu'à ce que j'aie.
Et oui je réfléchis au budget, mais je me dis"oh je me débrouillerais fin du mois, au pire je cherchz la bouffe au resto du cœur, ou je vends quelques trucs de la maison, jme disque on aura toujours un paquet de pâtes. Et les factures toute façon on est tellement endetté que à part le loyer, je n'y porte même plus attention car de toute façon on a jamais le budget pour les payer donc j'attends les huissiers, le recouvrement... Et je fais des échéanciers en dernier recours. Et pour les trucs genre impôts, ils finissent par prélever sur ma paie ou mon compte. Donc voilà, je paye le loyer je réfléchis à toujours avoir une solution même d'emprunt pour mettre de l'essence pour aller bosser, et manger qqch jusqu'à la fin du mois, et avoir au moins du
tabac, même en petite quantité pour tenir le mois.... Ça je fais ça en général le 2du mois, puis le loyer passé ', les téléphones, les assurances, la cantine... Je retire en général u' e centaine d'euros pour la nounou au Black. Et 200€au max, sino'100€pour ma conso que j'essaye de faire durer le plus tard possible..... Et en général, le 4du mois, mon compte est vide.... Puis les allocs arrivent, avec130€et c'est ça quj me sert à acheter deux trois trucs pour compléter les courses, et au moins 70€pour un plein vers le 10du mois.
En général je remets de l'essence vers le 25, mais la je suis toujours en galère, donc je vends un truc, et je fais 50ou 30€ ou je mendie chez ma mere20€ou chez mon homme pour qu'il tape dans son black(ça c'est u' autre sujet qui fache, il ne paye rien en vie courante mais accumule le Black jusqu'à defois plusieurs milliers d'euros, mais selon lui c'est son Black, ça compte pas dans les revenus du foyer, c'de St en cas d'extrême urgence, ou pour se faire plaisir lui.)
Bref le 8du mois en général je n'ai plus rien et la carte bloquée. Alors que si je tapais pas... J'aurais facile 200€de plus voire 300 ou 400les mois ou mon homme met la main au portefeuille pour les courses. Mais j'achète ça comme un produit de nécessité... Ah j'ai reçu mai payé, je vais faire des courses de l'essence, les clopes et enfin la
coke.... Parce que e' général, ça fait une semaine que je l'attends bref m
A conscience se pose des questions, sans pour autant me faire culpabiliser et c'est ça le pire... J'ai deux petites voix dans ma tête, une, lointaine avec les principe, la logique, la raison, qui me dit que je pourrais m'e' passer surtout dans notre situation financière, et qui me dit en plus que c'est pas bien, pour ma santé, mon mental mon physique, qui me freine dans mon taf car je fais des conneries comme aujourd'hui à taper toute la nuit et aller bosser perchée puis en bad
descente au taf mal comme un chien.... Et j'ai l'autre petite voix qui me dit "on s'en bat les couilles, pour le moment ça gère, même si parfois tu galère, tu gère, alors profite, et puis faut bien crever de qqch"
Et cette deuxième voix, je l'entends même pas, je me pose même pas la question j'agis sans me demander si je devrais ou pas, j'ai envie, je chope, et puis j'en prends deux ou trois par e que faut que ça tienne le mois parce que je sais que le dix du mois j'ai plus une thune alors faut le prendre maintenant c'est prioritaire
Olalaaa du coup ça fit des heures que je rédigé ce post que personne ne lira mais qui a occupé ma nuit et m'a certainement fait du bien inconsciemment j'avais certainement besoin de parler. Même si je ressens pas de bonheur ou de soulagement profond comme parfois quand on prend avec mon homme, je vois bien que c'était pas transcendant et que ça servait pas à grand chose de taper autant ce soir, eten plus je sais je je vais être en malaise toute la journée, et que je risque d essayer de décaler ce
craving et le rendre plus doux en tapant quel qu'es tracés au taf. Je sais aussi que c'est pas bien et légalement répréhensible, au delà dj fait que arriver au boulot alcoolisé et défoncé soit dur à gérer.... Je sais tout ça.... Mais je ne regrette jamais, je me dis toujours que c'était cool et que si je suis mal à en crever le lendemain bah c'est le pris à payer, c'est parce que j'ai été trop faible, mais en même temps, j'ai aimé, donc je ne regrette pas... Du coup, j'ai pas la force de refuser ou de me dire que je ne devrais pas, puisque je ne regrette pas... Ça me fait du bien en quelque sorte parfois plus, parfois moins mais je m'en fous, ça me sors de ma dépression et mes idées noires.... En fait c'est ça qui me fait le plus peur au final, c'est de me rendre compte que je ne regrette rien, que je n'ai pas été sentiment de saturation ou d'avoir abusé après de gros we comme mes potes ou mon mari. Eux après un
festival, il disent, oh j'ai abusé, je fais une pause.... Moi je dis :c'est quand la prochaine fois, c'était trop bien
Et quand mon mari écoute la voix de la raison et que il ralentit d'un coup Sans preavis et que il en prend un g une fois tous les trois mois sans se stresser. Et que moi je me rends compte que je ne peux pas, si on fait un break, faut que je me prépare psychologiquement. Et j'ai tendance à compenser en
alcool. D'ailleurs... Ou quand il dit, on a pas de sous on a dix mille dettes et on mange que des pâtes on peut pas se le permettre, et que moi je fais la gueule comme une gamine capricieuse. Parce que peu importe qu'on ait pas énormément de sous, on a assez maintenant pour prendre un g, même un demi, defois je mendie, pour calmer mes envies.... Bref je deviens sacrément dépendante à cette connerie. Même si je sais qu'il n'y a pas de dépendance physique, je suis tellement faible psychologiquement depuis quelques années que j'en perds toute notion de raison et je veux mon instant de bonheur ou d'évasion, quel qu'en soit le prix à payer ou les privations à la fin du mois.. La petite voix de la raison me dit que je devrais m'inquiéter et consulter, mais j'ai déjà pris rdv et n'y suis pas allée, car j'ai aucune envie d'arrêter, et sans envie, comment se faire aider à arrêter ???? Je n'ai pas la motivation ou le prétexte qui me pousse à arrêter, comme la santé, les sous ou autre.... En fait, je ne me soucie pas de ça. C'est ça qui est inquiétant....
Même quand mon mari me fait son speech en disant, faut qu'on arrête, ou ralentisse, t'as vu le pogno' qu'on a claqué, on aurait pu partir plusieurs fois en tour dj monde et partager des instants aussi en famille avec les enfants.... Ou même quand il me dit c'est pas bon pour notre santé, notre cœur etc.... Ça ne me touche pas, c'est horrible à dire.
Bo' je suis censée partir au boulot dans cinq minutes pour être à l'heure et je suis tjrs en pyj. Alors j'essaye d'assurer et je pense vous récrire dans la journée. Ça fait ma thérapie gratuite. Lol bisous