Shoot à  coté, 1er fois

jo a écrit

@ synchro : oui moi ca va, pas shooté depuis un mois, rien tapé non plus....et bientot, dans 3 semaines, le "jo de suisse" ne sera plus qu'un mauvais souvenir !!!heuresement, trop facile de pécho sur lausanne.

Bon sinon, pour en revenir à  la discu, moi je dirais avant d'attaquer les petites veines fragiles des mains, moi je regarderai bien eu dessous du coude, ou ailleurs dans le bras....mais après j'ai franchement pas envie de donner de conseil après 20g de coke.....jtrouve ca aussi flippant que dingue....et j'espere seulement que jerem a chopé de la C de mauvaise qualité, moins forte.....

COOL ! Bravo toi..

bighorsse a écrit

moi non plus je ne crois pas qu'il s'agisse d'une artère!
quand on prend un morphinique on peut légitimement s'attendre à  ressentir ces picotements aux extrémités....non?

ouf tant mieux...
ca me rassure.

jo a écrit

hey, mais outre le sang qui vient au rythme des pulsations, on le sent quand meme passer quand n est dans l'atrere, nan?

Nan un prélèvement correctement effectué avec l'habileté nécessaire pour être "juste dedans" et sous-entendu la rapidité avec laquelle on "plante et on enfonce l'aiguille pile poil", n'est pas plus douloureux qu'un prélèvement veineux. In fine. Si ce n'est que les endroits où l'on effectuait (professionnellement) ce type de prélèvement ne sont pas coutumiers. Il faut donc mettre l'appréhension de côté (pour les personnes conscientes), et faire au mieux. Ce qui n'est pas simple, je te l'accorde.

Quant aux usagers qui tapent dans une artère (y'en a ...), quel que soit l'endroit, le risque est surtout l'hémorragie, l'hématome (comme dit Miky, il faut compresser avec patience et longueur de temps après), et savoir faire : pour ne pas casser une aiguille (d'insuline) qui n'est pas faite pour. Le matériel utilisé dont je parlais n'avait rien à  voir, mais n'engendrait pas vraiment davantage de douleur. Le psychisme est mauvais camarade aussi sur ce coup... Ceci dit, la sensibilité au niveau du poignet ne peut être écartée, elle existe bel et bien. Quant au niveau fémoral, il faut "taper" beaucoup plus profond" ; et la méthode pour bien faire la chose fait que si la personne est consciente, sans analgésique, elle aura mal, presque à  tous les coups... A savoir que la compression à  effectuer après le prélèvement est tout aussi douloureuse que le prélèvement en lui-même, mais "je" n'avais pas forcément le temps ou le "loisir" de l'expliquer avant. Moins on en dit sur un acte qui reste malgré tout douloureux, mieux ça vaut...

HS : C'est comme pour une ponction lombaire... Bien faite, on ne sent rien. Et je peux le confirmer dans un sens comme dans l'autre... (et "bien faite" ne tient nullement compte de l'habileté de l'exécutant, bien trop d'autres facteurs entrent en jeu à  ce moment-là ...)

Il en va tout autrement d'une ponction de moelle osseuse (en iliaque ou au niveau du sternum) par exemple. Mais pareil, moins on dramatise les choses, mieux ça se passe, en règle générale...