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Lovetemptation a écrit
Je ne me souviens que trop bien de mon sevrage, qui fut très difficile... J'avais trop honte pour en parler à qui que ce soit d'autre qu'à mon petit ami de l'époque (qui m'avait surprise en plein shoot).
Du coup, je ne connaissais rien de ces traitements de substitutions, et j'avais été obligée d'arrêter d'un coup, et, comme si ce n'était pas suffisant, de faire passer ça pour une sorte de gastro-grippe auprès de ma mère, de faire comme si tout était normal, alors que je souffrais le martyr.
Ça me fait penser au sevrage que ma soeur à fait à une époque (hero), nous avons été voir un médecin super incompétent qui continue d'exercer (j'ai failli me retrouver sur un fauteuil roulant à vie car j'avais une tumeur dans la colonne vertébrale et il me prescrivais des gouttes pour oublier la douleur car elle étais dans ma tête, désolé pour le HS mais ce doc m'as bien pourri ma vie, je le paie encore aujourd'hui....), donc ce médecin prescrivais à ma soeur du............. néo codion...
Sinon Glabouille, je ne veux pas t'effrayer, mais j'étais dans le même cas que ton copain, à la rue, pas envie de m'en sortir, jusqu´à ce qu'une jolie et gentille fille vienne me chercher.
Sans qu'elle ne me demande rien j'ai entrepris un sevrage pour pouvoir vivre quelque chose avec elle. Mais j'ai sombré durant 7 ans (dépression), je l'ai emmené avec elle, et aujourd'hui nous sommes séparé.
Je reconstruit doucement ma vie mais j'avance, de son coté de je sais pas car elle a rompu tout contact.
Mais au final je me suis aperçut que ce n'étais pas pour moi que j'ai fait ce sevrage, mais pour la remercier de m'accepter comme j'étais, d'où ma dépression qui as duré tout le temps de notre relation....
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mikykeupon a écrit
Ça me fait penser au sevrage que ma soeur à fait à une époque (hero), nous avons été voir un médecin super incompétent qui continue d'exercer (j'ai failli me retrouver sur un fauteuil roulant à vie car j'avais une tumeur dans la colonne vertébrale et il me prescrivais des gouttes pour oublier la douleur car elle étais dans ma tête, désolé pour le HS mais ce doc m'as bien pourri ma vie, je le paie encore aujourd'hui....), donc ce médecin prescrivais à ma soeur du............. néo codion...
Tu parles de ce sirop pour la toux à la codéine???? Ce médecin devrait être interdit d'exercer pour ce qui a fait subir à toi et à ta soeur...
mikykeupon a écrit
Mais au final je me suis aperçut que ce n'étais pas pour moi que j'ai fait ce sevrage, mais pour la remercier de m'accepter comme j'étais, d'où ma dépression qui as duré tout le temps de notre relation....
Je vois ce que tu veux dire... Moi aussi c'était pareil. Je le faisais pour le garder. Quand il m'a quittée, je me sentais de nouveau vide, un vide que je voulais combler avec toutes ces merdes... Mais au final j'ai tenu bon (et je tiens encore) pour moi. Je me considère comme une sorte de rescapée (j'ai perdu quelqu'un de cher à cause de ça). Maintenant, bien que je remplace ça par autre chose (somnifères entre autres), je suis fière d'avoir tenu bon, et avec l'expérience, chaque jour ou je tiens sans shoot me rends plus forte et je le fais désormais pour moi... Mon ex n'a finalement été que l'élément déclencheur... Mais j'avoue que j'avais besoin de cette rupture pour continuer d'avancer, pour oublier quelle loque humaine j'ai été devant lui...
Glabouille j'espère que pour toi il en sera différemment et que son sevrage marchera, avec toi. Je te le souhaite de tout coeur.
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