metha et Kivexan

pour te répondre le Gecko l'interinaction existante vient d'un nouvelle molecule changée dans ma trithérapie le Kivexan qui ne metabolisr pas la meta je suis a 40mg gelulesJe n'ai jamais connu trop de pbs avec la meta J 4ai commence a 120 pour diminuer et arriver a 40 que je prends en 1 fs j'ai FAIT LE TOUR avec la méta en prendre plus la prendre en 2fs Tout cela pour en arriver a ce triste constant echec Meta antidepresseur somniferes antianxyolytique neuroleptique AVANT AVEC LE DOPE TOUT CELA M'ETAIT INCONNU AVEC LE SQUEN AUSSI Aujourdh'ui lorsque je suis hospitalisée Je dois pouvoir prévoir mes médocs SIdaique bcp de problemes pulmonaires pancréatites on ne me donne rien contre la douleur parceque je prends de la meta J e ne peux compter sur une seule personne a qui je confie ma carte vitala et qui va chercher mes medocs et me les ramene A L hosto un jour on te donne ton traitement et puis on le supprime pour voir si ce n'est pas les medocs dont le meta qui provoque des troubles dans les analyses alors je n'en peux plus je veux arreter tiut ça retourner au skenanqui est donné por un mois et arreter cetee meta de merde qui ne m'a amemé aue des galeres desocialisation des délires qui m'ont fait quitter unconjoint et un appart J'ai desuite associée la méta et l'alcool et c la chute depuis 96 qqls années de bonheur de mettre sortie de ce qui faisait ma vie LE speed depuis l'age de 15 ANS  CETTE TR7S CHERE ADIPERTHROL QUEEN qui m'a ravagée le ceveau dinintel fringanor et puis voyage en asie et k'apaisement avec la morp cela a duré 25 ANS je souffre je suis malade je vis dans un apprt pourri Echouée ici je ne sais why je veut du confort moral de la chaleur et le meta ne me l'amene plus puisque le medoc que l'on ma changé ds ma tritherapie le Kivexan au lieu de Truvada ne métabolise plus les effets de la méta MON MEDECIN veut m'augmenter ma prise de meta passer de 60 alors que suis a 40 DEPUIS 2000 JE VEUX DE LA MORH PENSE AVOIR LE DROIT CREVER EN PAIX

C'est exactement ce genre de  témoignages qui me font peut à  propos des médocs, des personnes dans ton cas que je connais, du temps qui passe et la métha, toujours et jamais suffisante, accompagnée de médocs, encore et encore, des années et se retrouver plus au fond qu'avant, plus au fond que quand il y avait juste la drogue...
Après, la métha permet sans doute d'avoir une vie "normale", si on a un boulot ou autre, bien sur, mais ça désocialise quand ton réseau se compose finalement uniquement de tout ce petit monde de la défonce, il ne reste plus rien.
Alalah dans quelle merde on se met^^

Quant aux médecins, ça doit être possible de trouver quelqu'un de compréhensif non? Il doit bien y avoir un docteur un qui soit un peu moins fermé d'esprit que les autres, à  qui tu puisses parler en toute franchise et qui t'écoute réellement... Parce que finalement c'est TON corps, et tu es la seule à  pouvoir savoir ce qui te convient!!
C'est vrai qu'à  l'hosto (et partout ailleurs en fait^^) souvent il suffit de prononcer le mot "héro" ou "métha" pour qu'on te regarde direct de travers et dès que tu oses demander un truc contre la douleur, ils se demandent si t'es pas entrain de réclamer quelque chose pour te défoncer^^ Mon dernier passage à  l'hosto j'ai joué un jeu (très) dangereux en ne leur disant pas que j'étais accro! J'avais pas le courage d'avouer à  des médecins qui me suivent depuis dix ans que je me destroyais la santé avec c'te merde^^ Du coup vous imaginez la galère, avaler une métha quelques heures avant l'opération, partir à  la -dite opération la peur au ventre tout en essayant de m'auto-rassurer, et après le réveil, une pote qui venait m'apporter de l'héro en cachette pendant les dix jours où je suis restée là  ...promis, je le referai plus la prochaine fois
Mais là  où je voulais en venir, le conseil que je peux te donner c'est d'essayer de trouver un médecin compréhensif, à  qui tu puisse vraiment faire confiance, et qui pourrait directement expliquer à  ceux qui te suivent à  l'hosto quelles sont les implications entre la métha et ta trithérapie. Le truc c'est que si toi tu dit quelque chose à  ces messieurs les docteurs, ils ne t'écouteront pas parce que 1) tu es tox donc pas digne de confiance et 2) tu n'y connais rien en médecine de toute manière... alors que si tu demandes à  ton médecin de confiance de s'adresser directement à  eux, de leur dire de te foutre la paix avec ton traitement et de te donner des anti-douleurs correctement, le message passera mieux :)

Courage à  toi quand même!!

Arf ça craint ça et il y a pas un autre médecin un peu plus à  l'écoute?? ...c'est vrai que c'est chiant et compliqué de changer de médecin, il faut tout ré-expliquer, surtout quand on a un dossier bien rempli et complexe, parfois pour rien parce qu'il faut faire le tour de plusieurs médecins avant de trouver le bon... Mais une fois trouvée la bonne personne, ça peut changer et bien faciliter la vie!

('fin, j'dis ça mais moi, j'en suis toujours au stade pas de médecin ni de traitement )

merci de vos reponses mais voila po j'en suis a 51 ansa augmenter la méta JEne conseille a personne le substitution pour une période de 6 mois a 1 an OK pas plus c un piège le cerveau enmiettes plus de libido plus d'envie Les premieres années si Est ce quelqu'un a déja sniffé de la méta gellules AI TENT2 COMME UNE ADO DE 15 ANS  tellement je me sens mal des crampes sueurs Je repreçise que cela est intervenu après plus de 15 ans de meta suite a un changement de ma trithérapie ou alors c moi qui devellope des crampesmerci me rep

Salut et effectivement tu devrais aller voir d'autre médecin. J'ai vécu à  Nantes un temps, et j'y vais de temps à  autre voir des amis, et il y'as vraiment du personnel compétent là -bas.

Et pour la metha, ne te bile pas, 40 ou 60 ce n'est pas la fin du monde.
Je connais une personne de 60 ans qui est à  environ 100Mg par jour depuis des années et tout vas bien. Disons juste qu'il la prend comme une aide.

Si tu as la jambe cassé, tu seras bien contente d'avoir des béquilles pour te déplacer, ben c'est la même.
Je sais que ce n'est pas pratique, mais c'est un moindre mal.