Salut tout seul.
Personne en ligne !
Je ne suis peut être pas sur le bon post ? Y'a quelqu'un, hé oh...
Extra de
méthadone.... Euh non, juste
méthadone....
Que faut-il faire quant on en a plein le culs mais que la corde ne peux pas être une option ?
Et bien on prend le fusil !!!
Ah ok, bon bah alors salut, heureux de vous avoir rencontré sur psychoactif....
Mauvaise blague à part, j'appel à l'aide pour tournage en rond dans sa tronche !!!
Je suis un yoyo géant et mon mental ne sait plus sur quoi construire l'avenir très proche.
(Attention ce post n'est pas qui je suis, mais un espace pour libérer ce qui me casse les tagnettes).
J'en suis à trois adictologues et un algologue (qui traite l'algie) et putain de non de non d'un ours attrapé et retourné sur une souche, je n'arrive pas à avoir un regard clair sur ce qui est bon dans mon cas précis puisque nous sommes tous des cas précis, donc précisément unique.
J'ai mis une année à réfléchir, à vous lire, à écrire et une fois décidé à me sevrer de l'oxynorm par un autre opiacé qu'est la
méthadone, mais qui offre plus de stabilité possible (d'après les médecins).
Donc oui je veux être vraiment stabilisé et non je ne veux pas continuer l'oxynorm car il ne me le permet pas assez longtemps.
Evidement nous sommes tous d'accord en terme d'addiction douloureuse, le mieux est de ne rien prendre, mais comment est-ce possible quant on en meurt d'envie et que tel un chien qui campe sous la fenêtre d'une chienne en chaleur, il n'existe plus grand chose d'autre. Ahououououhou
Mon problème : J'aime l'ivresse
opioïde.
Pourquoi c'est un problème ? : Parce que cela fini toujours par m'apporter de la souffrance psychique et physique quand je change la quantité.
A vous lire je comprend maintenant qu'il est possible de ce défoncer avec ! Mais j'étais persuadé que ce n'était pas possible ! Comme quoi j'ai encore un gros travail de recherche à faire et que je n'ai pas dû aller voir suffisamment tout les posts ainsi que d'autres sites.
Du coup, entre le
doc en chef qui veut me refiler des pilules pour l'humeur et l'autre qui me dit qu'un
sevrage d'opiacé c'est rien du tout, juste une semaine ou deux à l'hôpital... Oui c'est facile car il y a des infirmières en culotte qui te massent, te font de bons petits plats et écoute quand tu parles... Mais cela ne s'appel pas un hôpital ! Mais un rêve nocturne, la preuve en est avec l'auréole au matin, sur le drapé.
Donc non
Doc, un
sevrage c'est pas juste deux semaines et on passe à autre chose... Ce serait merveilleux mais je crois que cette pratique n'a lieu qu'au pays de OUI OUI.
J'ai essayé le switch avec du
skénan LP ce qui m'a valus d'être bien malade quelques jours, avec des passages aux toilettes où j'en ai profité pour changer la couleur des murs et la déco.
Je n'arrive pas à me tenir à la prescription du
doc avec l'oxynorm, avaler les gélules, ce qui empêche de faire une titration correcte.
Est-ce qu'il existe une personne bien calée dans le domaine pour me renseigner sur la dose
méthadone qui pourrait correspondre à 100 mg d'oxynorm (LR) par jour, car je vais chercher au marché blanc si je peux en trouver et commencer chez moi le switch.
Le
CSAPA près de chez moi et où j'allais, n'a plus de médecin depuis plusieurs mois. Nous sommes orphelins livré à nous même. Oh lala, tout seul ! Mais cela risque de constituer une envie de se droguer....
L'autre
CSAPA plus loin, m'a fait un accueil téléphonique des plus déplorables car la secrétaire ne voulais pas entendre le fait que le
doc de l'hôpital ou le
CSAPA près de chez moi, soient prêts à faire la passation des dossiers médicaux pour éviter de tout reprendre à zéro, mais non ! Je dois quand même voir l'éducateur (que je suis moi-même) pour voir si je dois être orienté vers un médecin..... Ou non ! Ah oui il pourrait y avoir des chances que je n'ai pas besoin d'un médecin. On ne sait jamais si je me suis trompé et qu'en réalité sur les boîtes que je consomme c'est marqué "Haribo c'est beau la vie" boîte de 1 kilo.
Un fusils, c'est ça ?
Une fois de plus je m'auto étrangle devant la gloire française autruchienne qui verrouille tout ce qui lui fait peur.
A l'avance merci pour vos futurs réponses ou reproches, je suis tout nu au milieu d'un champs et aucun panneau pour me dire ou j'habite.
Putain, y'aurait pas quelqu'un qui pourrait me filer un GPS parce que je trouve la route un peu longue et les bâtons dans les roues ne me facilitent pas l'avancer.
Je ne suis pas mûr pour arrêter les
opiacés, avec le temps j'ai appris que rien n'était gravé dans le marbre et que la maturité s'acquiert avec le temps.
Quand j'étais gamin je me demandais toujours comment je ferais pour savoir conduire à 18 ans et ça m'inquiété, alors je démarré la voiture de mes parents et j'essayé de conduire dans le lotissement où j'habité. Bon ok j'avais neuf ans, mais c'étais important pour moi de savoir à l'avance si j'y arriverais.
Depuis j'ai compris que dans la vie, la maturité se présenterai le jour nécessaire pour faire face, mais pas avant.
Depuis j'ai eu mon permis !!!!
Alors ça y'est pour la décision
méthadone, je suis en face. Mais je suis aussi en face de gens qui doivent tamponner : apte ou réformé.
A l'avance merci.
Amarnath