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Dernière modification par LeDoc (30 août 2012 à 01:35)
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Dernière modification par seba59 (30 août 2012 à 02:07)
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Dernière modification par Stelli (30 août 2012 à 04:35)
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Merci en tout cas pour ton empathie avec les usagers de drogue(s), c'est tellement rare dans le monde médical (un cours devrait etre donner lors des etudes de medecine, je trouve)
Comme tu as raison... Mais je suis pas sûr que l'empathie s'apprenne à l'école !
@stelli: Tu as raison de rappeler des choses élémentaires. En effet, chauffer quelques secondes pourra à la rigueur tuer quelques germes parmi les moins résistants, mais ne rendra jamais l'eau stérile...
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seba59 a écrit
les injections, ou le probleme est que l'on ne chauffe pas le melange eau/coke et toute sorte de germes sont envoyer dans les veines, tandis que l'hero est chauffer jusqu'au bouillonment ce qui tue pas mal de crasses. Et lorsque on injecte a coter on ne le sent pas parce que anestesie locale.
Ma phrase a pu etre malecrite ou malcomprise, je ne parle pas d un mélange stérile pour l'hero et bien sur que ca prendrait des heures (si c'est meme possible). Merci d'avoir preciser mon idee.
seba59
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Stelli a écrit
Comment ils prennent en charge la coke aux US? Vu qu'ils ont plus de recul, ils ont peut-être un début de solution, une forme de prise en charge inexistante en France?
Car c'est vrai qu'il faut admettre qu'elle est quasi inexistante, de part l'absence de substituts. Vu que la dépendance est psychique, ne faudrait-il pas axer les soins sur ce point? Je me demande (mais ça implique des recherches) s'il ne serait pas possible de trouver une molécule équivalente à l'Aotal pour l'alcool? Même si c'est insuffisant si c'est la seule réponse apportée et que le patient doit adhérer à la démarche au risque qu'il abandonne simplement le traitement.
Les quelques publications que j'ai pu voir qui traitent du sujet ne proposent pas vraiment une prise en charge différente qu'il s'agisse de cocaïne sniffée, fumée ou injectée. En gros, c'est thérapie cognitivo-comportementale, entretiens motivationnels et quelques molécules qui sont toujours à l'étude mais qui ne semblent pour l'instant pas convaincantes en terme de réduction du craving (un précurseur de neurotransmetteur, l'acétyl-cystéine, des anti épilieptiques comme le topiramate [Epitomax], le lévétiracétam [Keppra], ou la tiagabine [Gabitril], et la réserpine).
Tu vois, tout ce que tu as proposé est effectivement ce qui se fait déjà (prise en charge psychique et tentatives de trouver une molécule anti craving). :)
Stelli a écrit
J'ai entendu dire (à ma grande surprise) que du Subutex avait été prescrit à des cocaïnomanes, non dépendants aux opiacés. Ça m'a franchement mise hors de moi... Je ne crois pas que ça fasse partie des cas pour lequel la bupré a reçu l'AMM ? Qu'en est-il dans les textes? En plus d'une inefficacité totale à ce que j'en sais, je ne vois pas l'intérêt de CRÉER une dépendance inexistante à la base, pour tenter de se débarasser d'une autre... Qu'en pensez-vous? Des échos chez vous d'une telle utilisation de la bupré pour une dépendance à la coke?
À mon avis, c'est une belle connerie. Rendre quelqu'un dépendant aux opiacés pour traiter sa dépendance à la cocaïne est stupide : la plupart des usagers du Bus métha à Marseille continuent à injecter la coke. Même si parfois certains utilisent les opiacés pour gérer les descentes de coke, ce sont des personnes qui sont déjà dépendantes aux opiacés. On va pas aller créer une dépendance là où elle existe pas, quand même !?
Stelli a écrit
Bref, je n'ai pas beaucoup de réponses non plus, surtout des interrogations, un besoin aussi... mais je pense que ce n'est effectivement qu'en en discutant, en concertation avec les premiers concernés qu'on réussira à trouver petit à petit à des solutions adaptées aux besoins de chacun.
C'est bien ce que je me propose de faire ici, notamment, et au Bus avec les usagers qui me parlent de leurs difficultés avec les injections de coke. Et comme toujours dans ce cas de figure, plus on est nombreux à réfléchir, plus on pourra trouver de débuts de solutions !
Dernière modification par LeDoc (01 septembre 2012 à 12:09)
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Dernière modification par sativa67 (01 septembre 2012 à 11:59)
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J'ai déjà entendu parler de ça de façon confidentielle. L'iboga est utilisé de façon non officielle depuis les années 1980 pour traiter diverses addictions, surtout l'alcool et les opiacés. Mais ses modes d'actions pharmacologiques sont assez divers : agoniste sérotoninergique (comme la DMT, la psilocybine, le LSD ou la mescaline), action dissociative par antagonisme avec le récepteur NDMA (comme la kétamine), et agoniste des récepteurs opioïdes kappa (comme la salvinorine). Il semblerait qu'on l'utilise pour traiter les addictions essentiellement pour faire un travail d'introspection spirituelle. Et pourquoi pas, si ça convient à certaines personnes ?
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LeDoc a écrit
Il semblerait qu'on l'utilise pour traiter les addictions essentiellement pour faire un travail d'introspection spirituelle.
Pas seulement, le sevrage par Ibogaine a déjà était effectué en milieux hospitalier (donc très loin du rituel bwiti, et sans guidage spirituel).
J'avais posté une vidéo en 4 partie d'un test clinique (au Canada il me semble), qui s'était avérai concluant.
La Slovénie est un des pays qui scientifiquement parlant travaille beaucoup sur les effets de l'Ibogaine a ouvert des cures de désintoxication (toujours en milieux hospitalier).
Il y a plusieurs années une Américaine et son équipe d'un laboratoire pharmaceutique avais consacré toutes ses recherches sur le potentiel de l'Ibogaine en matière d'addiction, mais aussi pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs, et ont lui a coupé les vivres petit a petit ...
Elle avais eu le malheur de publier sur un site ouvert juste pour cela, ses résultats et aussi son incompréhension face au blocage du laboratoire et de plusieurs organisme de santé Américaine : bilan elle et son équipe furent viré. (Vu que l'on ne pose pas de brevet sur une plante, qui dit pas de brevet dit pas d'argent)
J'espère qu'un jour la France enlèvera ses œillères sur les méthodes alternative de sevrage, comme le "sevrage rapide" avec l'Iboga ou l'UROD (que nos amis Belges pratique en clinique et donne de très bon résultats)
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Dernière modification par lindia (01 septembre 2012 à 16:28)
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LLoigor a écrit
Pas seulement, le sevrage par Ibogaine a déjà était effectué en milieux hospitalier (donc très loin du rituel bwiti, et sans guidage spirituel).
J'avais posté une vidéo en 4 partie d'un test clinique (au Canada il me semble), qui s'était avérai concluant.
La Slovénie est un des pays qui scientifiquement parlant travaille beaucoup sur les effets de l'Ibogaine a ouvert des cures de désintoxication (toujours en milieux hospitalier).
Voilà qui est intéressant, mais j'imagine que tout ça est surtout étudié dans l'addiction aux opiacés ? La cocaïne reste un champ peu exploré, à mon avis car le syndrome de manque physique n'est pas aussi caricatural qu'avec l'héroïne (et les opiacés en général). Bien que le craving de la cocaïne entraîne des comportements que l'on considère avec le recul comme étant complètement barges (voir le témoignage de @lindia, qui est bien représentatif il me semble). Je noterais au passage que le craving du tabac, une vraie drogue dure (très toxique et très addictive), peut aussi pousser à des comportements absurdes, comme déambuler de nuit sous la pluie à la recherche d'une tige au lieu de rester sagement au pieu en attendant que ça passe. :)
LLoigor a écrit
(Vu que l'on ne pose pas de brevet sur une plante, qui dit pas de brevet dit pas d'argent)
Attends que les labos arrivent à fabriquer une molécule similaire à l'iboga, mais avec un brevet, et qui serait au moins vaguement actif sur le craving, les études ne tarderaient pas à pleuvoir…
C'est vrai que ça serait bien. Un beau témoignage d'UROD (Ultra Rapid Opiate Detoxication) sur le site d'ASUD : http://www.asud.org/asud_journal/articl … -UROD.html . Malheureusement, la cocaïne n'a pas de traitement substitutif et n'agit pas que sur un groupe bien déterminé de récepteurs qui pourraient être bloqués par une substance définie (comme c'est le cas avec la naltrexone et les récepteurs opiacés).
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Ibogaine is an indole alkaloid that is obtained either by extraction from the iboga plant or by semi-synthesis from the precursor compound voacangine, another plant alkaloid. A full organic synthesis of ibogaine has been achieved. The synthesis process is too expensive and challenging to be used to produce a commercially significant yield, primarily due to the need to conduct the synthesis in an anoxic environment.
Mais pour que des laboratoires des pays les plus riches (les pays qui fabriquent nos médoc quoi) bloquent les recherches et refusent toutes autres alternative (UROD), je ne peux m'empêcher de penser qu'il y ai une histoire d'argent ...
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C'est effectivement ce qu'on fait pour l'instant, faute de mieux. On peut aussi accompagner un sevrage d'héro de la même manière, en traitant chaque symptôme par le médicament adapté pendant quelques jours.
J'ai déjà lu ça, mais je ne vois vraiment pas en quoi ça pourrait avoir le moindre effet autre que placebo. J'imagine que cette histoire d'aspirine vient des complications cardio-vasculaires de la cocaïne et du risque d'infarctus. Malgré tout, l'aspirine n'est vraiment pas le traitement d'urgence d'un infarctus et surtout pas à ces doses-là : l'effet anti-agrégant plaquettaire (c'est à dire anti caillot) apparaît à des doses très faibles d'aspirine de l'ordre de 100 mg, donc dix fois moins que pour l'effet antalgique ! Et cet effet n'est pas immédiat. On ne peut pas espérer «dissoudre» un caillot dans une artère avec deux aspirines… :)
Mais si quelqu'un est en panique totale parce que son cœur s'emballe, que cette panique est amplifiée par le côté «flippant» de la coke, on peut avoir un genre d'«effet Larsen» sur la panique : mon cœur bat fort, ce qui me fait flipper, donc mon cœur bat encore plus fort, donc je flippe encore plus, etc.
Dans ce cas-là , il faut simplement faire de la réassurance, garder le contact (verbal et physique), atténuer tout ce qui serait stressant (bruit, lumière, attitudes de panique des témoins) et… patienter le temps que les effets de la coke s'amenuisent. Je pense que faire prendre des aspirines, faire respirer dans un sac, etc. sont des mesures inutiles mais qui peuvent quand même participer à la réassurance et donc avoir un effet bénéfique.
Malheureusement pas. Sinon, le traitement des OD de cocaïne seraient vachement plus simple…
Il y a un genre de vaccin qui est à l'étude. Si on arrive à faire fabriquer des anticorps anti cocaïne, ces anticorps iront se fixer sur la cocaïne et l'empêcheront d'arriver jusqu'au cerveau. Quelques études préliminaires ont donné des résultats, mais on est loin de pouvoir l'acheter en pharmacie… Et puis se poserait de toutes façons le problème de ceux qui veulent pouvoir continuer un usage récréatif occasionnel (ce qui ne serait plus possible avec le vaccin).
Dernière modification par LeDoc (02 septembre 2012 à 18:19)
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Dernière modification par seba59 (02 septembre 2012 à 19:54)
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seba59 a écrit
Pour le truc de deux aspirine, j'en ai parler a mes potes qui prenne de la coke et plusieurs m'ont deja remercier. En fait, l'explication c'etait que le corps considere la coke comme un poison et que avec les aspirine l'evacuation du "poison" se fait bcp bcp plus rapidement. A par ca, moi j'ai pas plus d'explication mais je pe te dire que ca marche...
Comme je le disais plus haut, j'ai pas d'explication pharmacologique à donner sur l'influence de l'acétyl-salicylate (l'aspirine) sur la benzoyl-méthyl-ecgonine (la cocaïne), à part l'effet placebo. Tant qu'on a pas de contre-indication (genre gastrite ou ulcère), pas de problème, l'important c'est que ça marche. On s'en fout un peu si c'est pas scientifique, hein. La médecine, c'est 10% de science et 90% de pifométrie. :)
Mais va savoir s'il n'y a pas une interaction entre les voies d'élimination de l'aspirine et celle de la cocaïne, c'est possible, je suis pas pharmacologue. En tout état de cause, si l'amélioration avec l'aspirine est quasi immédiate, c'est que c'est surtout l'effet placebo qui fonctionne ; il faut compter entre trois quarts d'heure et une heure avant qu'un médicament puisse avoir un effet quelconque par voie orale.
Et comme je disais, on s'en fout de savoir comment ou pourquoi, si ça marche et que ça tue pas, faut le faire quand même !
lindia a écrit
si il est déjà arrivé à quelqu´un de pareilles hallucinations, cela m´intéresse aussi.
Après avoir écumé les forums anglophones (www.drugs-forum.com et www.bluelight.ru), je n'y ai pas retrouvé d'expériences d'hallucinations au sens propre. De la parano, oui, mais pas d'hallus. À savoir que les usagers américains touchent de la coke de bien meilleure qualité (ils sont plus près de la source), et certains usagers qui ont eu accès à de la cocaïne pure estiment que l'énervement, la parano extrême, etc. sont surtout causés par les produits de coupe, essentiellement des speeds, de la phénacétine, de la caféine, du lévamisole, etc.
Comme la C est très coupée en Europe, il n'est pas impossible qu'une grande part des effets extrêmes soient en fait dus au lévamisole ou à la phénacétine, par exemple.
Stelli a écrit
En fait d'hallus, j'ai plutôt l'impression que la parano est tellement importante qu'on est PERSUADÉ qu'il y a quelqu'un d'autre, tellement persuadé qu'on interprète ce qu'on voit dans le sens de ce qu'on croit, en adaptant la réalité à notre délire pour les faire coïncider.
C'est vrai que la parano extrême peut mener à l'interprétation de phénomènes d'apparence normaux, mais pas aux hallucinations. Mais si t'as des débuts d'hallu à cause du lévamisole, par exemple, ça va pas aider ta parano… :)
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LeDoc a écrit
La médecine, c'est 10% de science et 90% de pifométrie.
Belle honnêteté
Ron.
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Le lévamisole est un anti parasitaire qui, à fortes doses, présente des propriétés psychostimulantes : c'est un inhibiteur des monoamines oxydases et un inhibiteur de la recapture des cathécholamines (l'adrénaline, la noradrénaline et la dopamine). Pour en savoir un peu plus, lire la réponse du modérateur dans le post suivant : www.drogues-info-service.fr/?Coke-et-levamisole et le document http://www.ofdt.fr/BDD/sintes/ir_050121_leva.pdf.
Steli a écrit
Je me demande quand même, pourquoi ces produits en particulier sont ils utilisés comme coupe? Ils potentialisent un effet recherché? Ils sont peu chers? Quelle est la raison?
Tous les produits de coupe sont utilisés pour maximiser la quantité de produit à moindre coût, évidemment. Mettons que tu sois pleine aux as et que t'achètes 200 g de très bonne C. Si avec 100 g tu fais 500 g, tu gardes 100 g de bonne C et tu te fais 400 x 60 € (en moyenne), soit 24 000 €, moins ce que t'ont coûté les 200 g initiaux. Évidemment, plus t'es loin de la source, plus c'est comme l'homéopathie : à force de diluer, y'a plus de principe actif. Sauf si on croit à la mémoire des produits de coupe. :)
De façon formelle, on distingue les adultérants, qui sont des produits actifs (évidemment moins chers que la coke, sinon ça n'a plus d'intérêt) et les diluants, qui sont des produits neutres, mais qui pèsent sur la balance : poudre de craie, verre pilé, divers minéraux, et toutes sortes de saloperies qu'on va pas énumérer ici.
Quand on analyse un échantillon de drogue, on mesure les substances illicites et les adultérants les plus connus. On en déduit ensuite une estimation de la quantité de diluants.
Quand aux diverses rumeurs concernant des produits de coupe hyper dangereux comme la strychnine, la mort-aux-rats, etc., bien qu'il y ait des rapports très anecdotiques à ce sujet, il faut garder à l'esprit que les trafiquants et les dealers ont plutôt intérêt à garder les usagers en vie qu'à les tuer. Tu vendrais ta merde à qui, si tu les tuais tous ?
Les trafiquants et les dealers sont des gens pragmatiques.
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seba59 a écrit
Ben oui, je suppose que les etude sur l'effet de l'aspirine sur la coke et sur les "poussiere" n'ont jamais ete mener, normal.. J'avais oublier que ca marche aussi pour les poussiere, quand on injecte une crasse qui te met dans un etat pas poss froid intense, dents qui claque et difficulter extreme a coordonner ses mouvements, la aussi ca marche les 2 aspirine apres un attente de +/- 30minutes degresivement on retrouve son etat normal, mais la premiere (et meme les autres) fois c'est tres flippant, on croit qu'on va crever...
Pour les «poussières», je comprends mieux. Il y a une réaction intense du système immunitaire contre un agresseur qui est envoyé directement dans le système circulatoire, souvent dans des proportions supérieures à celles qui sont rencontrées normalement quand on chope un rhume ou une gastro, parce que normalement, ça passe par des filtres naturels, comme la muqueuse nasale, l'intestin ou le foie, qui ont leur propres modes de défense qui atténuent déjà l'action des germes ou des toxines. Dans le cas d'une poussière, c'est comme si le système immunitaire se mettait en route à toute berzingue pour contrer le plus rapidement possible cette invasion (qui peut aussi être une substance, comme un truc allergique, ou une toxine produite par des bactéries dans le cas de l'eau stagnante). L'aspirine calme les symptômes qui résultent de la mise en route du système immunitaire : fièvre (alternance de frissons et de sueurs), fatigue intense, douleurs musculaires, etc.
Peut-être que dans le cas d'une panique induite par les effets de la coke ou des produits de coupe, si des personnes ont déjà vécu l'apaisement relatif provoqué par l'aspirine dans le cas d'une poussière, l'anticipation des effets bénéfiques fait qu'en quelques minutes, la panique sort de son cycle infernal et qu'on se sent déjà apaisé. Tant mieux ! N'oublions pas que le paracétamol lutte aussi contre les effets d'une suractivation du système immunitaire sans avoir les effets néfastes de l'aspirine (l'aspirine, comme tous les anti inflammatoires, peut provoquer des gastrites ou des ulcères).
seab59 a écrit
Merci le Doc, c'est très cool de nous eclairer, quand tu le peut.
J'ai pas tant de mérite que ça, c'est mon métier, hein !
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Dernière modification par lindia (03 septembre 2012 à 21:57)
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