[ Bromazépam ]

sevrage benzo lysanxia

j'ai été sous lysanxia pendant 2 ans voir même 3 ans peut-être,2/3 cachets/jour et parfois rien pendant 1 semaine,pour moi ce cacheton ne m'a pas accroché du tout.(mon tout premier benzo)
mais tu peux réagir différemment,3 mois et 1 goutte,c'est pas énorme en quantité et en temps pour développer une grosse addiction..après personne ne réagit pareil.
après je suis passé au valium,déjà  plus hard,
ensuite rivotril,(no comment)
puis actuellement seresta qui va pas être simple a arrêter......mais qui m'apporte un vrai + dans ma vie
après je pense que plus le produit fait son job,et plus c'est difficile de s'en passer.
tiens nous au jus !

Merci a vous. Et oui je prends que une gorgee et je jette tout le reste. Mon medecin m a dit de prendre jusqu au printemps et ensuite j arrete progressivement. Mais comme j ai deja entendu que a l arret ca pourrais augmenter les crises d anxiete j ai un peu peut. J ai eu des crises pendant trois ans et la je n ai Plus envie de revivre tout cela.

Le lysanxia...
En théorie, tu ne devrais pas avoir beaucoup de mal à  t'en séparer.
Si jamais ça t'angoisse, un demi tous les jours, puis un quart...puis plus rien sauf si tu sens que tu en as besoin, tu en reprends un demi ou un quart par semaine.
J'ai fait comme ça cet été, les vacances m'ont bien aidée aussi...
Mais tu devrais pas ressentir le manque,en plus tu le prends le matin donc c'est crème comme arrêt.
Je le prenais le soir et le sommeil sans les premiers temps n'est pas le même (sueurs ect), mais je suis extrêmement réactive et puis le simple fait de ne pas prendre le médoc, psychologiquement, ça joue.

Joli déterrage :)

La demie vie d'un médicament c'est le temps qu'il faut pour que la moitié des métabolites actifs soient éliminés de ton corps.
Celle du prazepam est de 36h minimum, c'est donc un benzo propice au sevrage.

Mais comme tout benzos l'arrêt doit se faire progressivement en diminuant les doses et/ou en espaçant les prises.
Je suis étonné que ton médecin t'ai dit que tu pouvais stopper comme ça d'un bloc, surtout après un traitement aussi long.

De plus si tu es toujours angoissé ce n'est peut être pas la solution d'arrêter.

Il y a un risque physique réel a l'arrêt brutal des benzodiazépines, je ne suis pas médecin mais je te le déconseille.

Tu devrais peut être consulter un autre docteur plus a l'écoute et lui expliquer l'entièreté de ton cas.
Il te prescrira peut être une autre molécule si le prazepam ne fait plus son travail, ou te fera un plan de diminution encadré.

Merci à  tous pour vos conseils. Mais quelqu un peut me dire si c est faisable de se sevrer au bout de tant d années. C est surtout ça ma question et qui peut temoigner d avoir pu le faire. Merci.

Je dirais que tu devrais aussi en discuter avec un addictologue (CSAPA par exemple). Car tous les médecins ne maitrisent pas le sevrage aux BZD qui est quand même délicat. Mais si tu vas progressivement, comme le dit Mr No, il ne devrait pas y avoir de pb.
Amicalement

Prescripteur a raison, j'ai eu la chance de trouver un généraliste très compétent pour le sevrage des benzos et surtout, il ne faut pas arréter d'un coup car c'est dangereux pour la santé et risqué et potentiellement mortel, mais aussi parce que c'est prendre en plus le risque que ça ne fonctionne pas et que tu te retrouves plus mal qu'avant le sevrage et que tu risques de reprendre un dosage élevé du coup.
L'arrêt des benzos nécessite un bon accompagnement en plus d'un protocole à  suivre. Il est possible que certaines personnes ne subissent pas trop d'effet rebond, pour d'autres, il ne faut pas avoir peur de faire durer un peu plus longtemps le sevrage, enfin, j'imagine, perso, c'est passé comme une lettre à  la poste dans les délais les plus courts prévus par mon médecin. (si je me souviens bien, en tenant une ou deux semaines à  un dosage très bas un soir sur deux, l'arrêt complet se fait sans difficulté, mais j'avais déjà  bien diminué le dosage quelques semaines auparavant).
Ceci dit, sur ces sevrages finger in the noze, pour un, j'avais un antidépresseur ISRS et le second, je l'ai amorti avec du cannabis.
J'ai ensuite supprimé l'ISRS sans aucune difficulté, toujours avec du cannabis.

T'as eu de la chance de pouvoir amortir le sevrage des benzos avec du cannabis Nono...

En même temps, je consommais déjà , le cannabis peut stimuler l'angoisse chez certains et je ne me permettrais pas à  un naif de lui conseiller de fumer de la "frappe" pour faire glisser un sevrage de benzos.
Avec une ordo pour une alchimie douce et pas anxiogène et un suivi médical, une teinture mère ou un vapo, cela changerait la donne.
Pour en revenir aux benzos, bah c'est pas forcément de la chance même si cela en est une, mais c'est que je les considère peu récréatif et que dans mon cas, avec ou sans benzos, ça ne changeait pas grand chose sur mon état psychique. Sans vraiment le savoir, le cadre du sevrage était propice.
Je trouve depuis mon sevrage bien mieux la vie sans benzos et pourvu que ça dure.
En même temps, j'ai demandé à  arrêter quand je prenais le minimum déjà  depuis un bail. ça allait vraiment bien également, à  tel point que j'oubliais même des prises benzos AD.
Parfois, quand je décidais de prendre un apéro ou de renouer tranquillement avec l'alcool, je ne prenais pas mon benzo du soir pour éviter d'associer, surtout sans tolérance à  l'alcool.
Pis ya un bro qui m'a fait remarquer qu'avec le cannabis, les benzos faisaient finalement double emploi.
Déclic, j'en ai parlé à  mon bib qui m'a dit que ça allait être coton (pour pas me mettre la pression en cas de difficultés) mais qui m'a soutenu et donné un protocole considérant aussi que c'était le moment opportun.
J'ai donc apprécié le tranxène pour deux raisons ; en sortie de sevrage d'alcool avec des doses "défonce" de plusieurs tranxène 50 plusieurs fois par jour et pour me sevrer du lexomil à  un dosage très bas.
Vraiment finger in the noze. De toute manière, je n'avais aucune pression, le traitement ne me posait pas de soucis majeur, j'avais accepté le fait d'être dépendant et surtout, je suis resté de très longues semaines voire des mois à  des dosages très réduits.
J'ai trouvé mes sevrages de paroxétine bien plus compliqués et désagréables à  vivre, brainzaps, vertiges malaises, rebonds rapides mais intense d'un sentiment de v ivre une dépression etc...

Pour le sevrage de benzos, peut-être qu'avec une variété riche en CBD ça pourrait avoir des résultats intéressant, mais tu sais ce que je fume fume_une_joint
Dans le thread Zamal/branlette ils en seraient jaloux.

Je vois le genre, plus tu en fumes, plus tu es défoncé, la tolérance peut même s'inverser.
C'est un truc de fou avec certaines alchimies, tu peux fumer un bocal entier d'une weed, tu n'auras pas les même effets qu'avec un seul joint d'une weed tropicale et/ou d'altitude.
Les effets aussi diffèrent d'une personne à  l'autre et quand je trouve une herbe "électrique" ou juste "wahou", certains font des bads ou vivent mal les effets et ces effets en particulier. Jamais avec un teuch marocain d'import ou un strain "cbd".
Méchoulam a préparé un space cake et a convié des amis et scientifiques à  le tester, le cannabis devenant son sujet d'étude. Certains flippaient et se recroquevillaient, des taiseux devenaient des bavards mondains... Sur une dizaine de personnes, des ressentis différents et des effets différents, parfois radicalement. Certains se marraient, d'autres pas...
Mais c'est une expérience plutôt extrême du cannabis que d'ingérer... ou de n'avoir que des sativa tropicales sous le pouce.
En plus tes sativa des iles vendues dans des boites d'allouf, les commerciales doivent être récoltées un peu trop tôt et être trop stimulantes et pas assez tranquillisantes. Pas ou peu de body et un hight stimulant et euphorisant. Si tu as envie de te marrer ça passe, la moindre part d'angoisse latente peut se réveiller et s'amplifier.
A la limite, tu peux commander des inflos de chanvre et te préparer une teinture avec ce qui pousse par chez toi si tu souhaites utiliser le cannabis de manière différente que ce que te propose le marché où les UV bastonnent.
Tu as aussi la possibilité de produire avec des graines locales un herbe moins forte en prévoyant de récolter en dehors de la saison ou le rayonnement UV est maxi. ça peut permettre de "civiliser" les effets de certaines "landrace".
Sinon, tu as l'option commande de graines avec un bon ratio de CBD avec une cro sous néons quelques semaines et une flo sous le soleil en commençant par l'ombre.

Dernière modification par Mister No (19 octobre 2016 à  12:49)

Viegroo Senior du turfu a écrit

R pour RDR

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Mamoun : Nous sommes de retour
Mammon : Pour vous jouer un joli tour
Mamoun : Afin de préserver le monde des overdoses
Mammon  : Afin de rallier tous les peuples à  notre cause
Mamoun : Afin d'écraser les légendes urbaines et les maladies transmissibles
Mammon  : Afin d'étendre notre pouvoir jusqu'à  la légalisation
Mamoun : Mamoun !
Mamon : Mamon !
Mamoun : La Team RDR plus rapide que la lumière
Mamon : Consommez Safe, ou ce sera la guerre
Miaouss : Miaouss, oui, la guerre !
Mammon : La ferme Miaouss...

J'ai pas pu m'empêcher de faire un cover

Afin de préserver vos veines du syndrome de popeye
Afin de jeter toutes vos aiguilles et passer au plug dans l'oreille
Afin de préserver vos narines à  grand coup de pshit pshit filtré
Afin de se détendre avec une seringue confortablement enfoncée dans le nez
Mammon
GrooGroo
La team LS
Tel un flash anal, plus rapide que la lumière
Virer moi ce paracétamol et arrêtez avec vos threads "sé 1 psylo ma foto???" ou ce sera la guerre....

NoNo, oui la guerre!

Dernière modification par Mammon Tobin (25 octobre 2016 à  01:46)