- ZombyWoof
- Psycho sénior
- Inscrit le 30 May 2013
- 685 messages
Un jour, un gars qui avait arrêté net de boire, m'a dit la chose suivante:
"L'alcool, ça coûte cher, ça rend malade, et après les problèmes sont toujours là , voir encore plus graves".
Il avait raison, mais moi j'étais bien pris, au point que quand je lui disais que je venais, il avait de la 8.6 spécialement pour moi, tout comme je lui amenais des Gitanes, parce qu'il était à 5 paquets, mais là c'est lui qui était coincé.
-----------------------------------------
Vous pouvez sauter la narration de mon "pathos", pour en venir à l'actualité signalée par une ligne de *****************************
-----------------------------------------
Première chose, j'ai très longtemps pensé qu'il était plus dur d'arrêter de fumer que de boire, avant de me rendre compte que ça dépendait des individus.
C'est vrai q'ayant 65 ans, "j'enterre" plus de potes de crabes du fumeur que d'alcoolisme, comme ma belle soeur, il y a 7 mois, 45 ans, et demain un gars super sympa que j'ai connu arpète en 1971 quand j'ai bossé dans l'imprimerie. Il avait 57 ans, un boulot en or, mais saloperie de clope...
Je vais essayer de ne pas parler de l'illicite dans ce post, surtout de ma dépendance. Je n'ai jamais vu ma mère boire, alors que son 2ème mari (avec qui j'ai donc vécu), était torché quasiment tous les jours; Il y avait le rituel par dessus l'impasse: "Oh, François, tu viens en boire un"? Et c'était la tournée des caves des voisins alentours; Bien que je le dépasse de 16 cms à 17 ans, j'étais "le gamin" ou son "beau fils", mais dans les tournées qui se succédaient, j'étais obligé d'y passediazepam, quietapine, cannabis, alcool, r, quand ils ne sortaient pas la gnôle.
Mon père, lui, engagé dans la marine en 1939, torpillé à Gibraltar en 1943, ne buvait que du rouge, et très raisonnablement, disons au max, un litre par jour en mangeant, mais hélas, c'est sa 2ème femme qui se torchait! Un jour un de ses collègues avait été muté en Martinique, et il a voulu me faire goûter le vieux rhum qu'il avait reçu, sauf que sa femme a certifié ne l'avoir jamais vue; Mais je savais bien car sa fille aînée d'une première union faisait la souillon, et un jour ou elle avait pris l'ascenseur avec moi, j'ai vu des flasks dans le cabas; Elle m'a expliqué que c'était "pour maman, mais faut pas le dire à papa".
Bon, si je ne me souviens pas de ma première cuite (j'avais 3 ans) c'est qu'il ne fallait pas laisser trîner des verres de muscat à portée d'un grand bébé...
1962 arrivée dans une ville de 5000 habitants dans le Cantal, ma seule préoccupation était les filles, les surboums, et la mob promise que je n'ai jamais eu; environ 2 ans après, J-A., un ami (décédé à 30 ans d'alcoolisme), pratiquait avant l'heure le binge drinking; Puis on faisait les bals ensemble et quand la drague ne marchait pas, ben devinez?
Je me souviendrais toujours d'un type qui m'a surement sauvé la vie, j'avais chouré une bouteille de pastis au bout d'un comptoir, et à 2 on se l'est torchée au goulot! Je m'étouffais dans mon vomi, quand le gars en question m'a pris vigoureusement un bras sous le ventre en me foutant de grandes baffes dans le dos.
Des comme ça, j'en ai des dizaines en mémoire.
1965, je fais connaissance d'un dénommé Sami, qui avait un look ravageur, blond, cheveux longs lunettes noires tout le temps, et alors qu'on piétinait sur des airs de "Jerk", lui se contorsionnait ét faisait de l'air guitar à genoux devant la scène; mais surtout, il avait un énorme crucifix en ébène et argent et un étui en peau de chèvre, le tout sur un lacet autour du cou; L'étui c'était son shilom (pas de joints en ce temps), et le bas de son crucifix se dévissait, pour y planquer son Chitral ou son Mazar, même du Bombay black; Bien sur, autour du cou, le "safi" indispensable.
Les claques qu'il m'a fait prendre en me racontant sa route! d'ailleurs il m'a connecté dans un rade vers l'opéra de Marseille, rue du Baignoir il me semble, et on y descendait avec sa 4L pourrave, en mettant 2 jours pour remonter; Puis il a disparu, et en 67, malgré quelques incursions marseillaises, j'ai repris mes petites habitudes festives alcoolisées, jusqu'au 14 juillet, ou dans un accident, ma copine de 17 ans est morte sous mes yeux dans un accident de voiture; Le pote qui conduisait était grammé, j'ai arrêté net, ravagé de chagrin.
Comme j'avais loupé le bac, ma mère m'a trouvé un taf d'élève éduc dans une école de sourds, puis il a fallu que j'aille servir la mère-patrie, à savoir aller passer 11 mois sous les cocotiers d'un atoll du pacifique nommé Hao. Là , la binouse et le cambusard, c'était obligatoire! A l'accueil de Faaa (aéroport et transit de Tahiti, on avait la bière pression gratos, alors on prenait des boîtes d'un litre d'Evian (que je n'ai vu que là bas), on vidait la flotte et on torchait la Manuïa ou la 33 à volonté!
Une fois sur l'atoll, c'était guère mieux: J'étais à la tour de contrôle, 2ème classe, et mon taf le matin, était de passer au bar, prende un carton de 33 mousses, le monter, poser sur un tabouret, et faire givrer la clim pendant que je balayais en attendant les sous-offs... à 13h, la journée était finie, et je redescendais les cadavres avant d'aller manger, puis sieste, plongée, voile, glandouillage, cette fois à la sangria! Car le cambusard était gratos, il suffisait d'aller remplir un seau au mess troupe, couper des fruits dedans, sucre, et mettre de la glace; Dur dès fois de se lever du hamac, d'autant que le soir il y avait toujours une chouille dans un bâtiment proche ou dans le nôtre... L'armée? Excellente occasion pour picoler!
bon, rentré en france je retrouve ma future femme, du taf comme correcteur d'imprimerie, sérieux, toussa, gamin, projets d'appart, sauf que moi qui pesait 69 Kgs fin 70 (pour 1m86, ma mère m'appelait Gandhi, j'étais partiquement à à 90 en 3 ans! Bon, beau-papa fromager qui faisait péter sa pièce de bleu de 3kg5 toute les semaines, ça y faisait, mais aussi le litre de rouge pour 2 repas était devenu un par repas, plus les arrosages au boulot, sorties du soir dans un pub assez souvent n'y étaient pas pour rien; En gros j'aimais bien boire, d'autant qu'on avait monté une confrérie rabelaisienne avec des potes, et qu'on y faisait punch et sangria dans des poubelles plastique, les grosses bleues.
Mon divorce n'a rien eu à voir avec l'alcool, mon ex ayant préféré son chef de service, un ingénieur qui gagnait 7 fois mon salaire (!) Bast.
mais quoi de mieux qu'une telle situation pour sombrer? Ben je vais en faire hurler certains, c'est l'acide qui m'a sauvé; en effet, j'en prenais tellement que l'alcool était secondaire vu qu'il ne me faisait rien en trip. Sauf le champagne Laurent-Perrier rosé qui chatouillait agréablement, surtout au lit: faire l'amour des heures en buvant ce nectar et sous acide, une des plus belles expériences de ma vie...
Je raccourcis: pendant mes études, je me tenais à carreau, c'était fumette et acide, mais sage au taf.
Fin du pavé...
****************
Ma grande addiction a commencé en 1998; Jusque là j'avais un très bon boulot (à mon compte), une femme que j'adorais, que je gatais, c'était certain, je finirais ma vie avec elle!
Coup de tonnerre début 97, contrôle fiscal, 70 000f d'impôts avec "prime" de 300% pour déclaration frauduleuse!
Vu que c'était ma cop's qui s'occupait de ma compta, il y avait un lézard (j'ai su par la suite qu'elle avait omis plein de choses), et je me suis retrouvé avec mes comptes bloqués, impossibilité de travailler, la ruine...
Heureusement, j'avais un peu plus de 50 000balles en liquide, mais je me suis retrouvé au RMI; Puis engueulade un jour, car il manquait 500 balles; Elle avait 2 fils, et le plus jeune 12 ans voulait des "nike".
Grosse colère, le gamin a dit qu'il ne voulait plus me voir, et j'ai failli être à la rue, j'ai même un peu fait la manche, habité une piaule crasseuse, et elle m'a jeté comme un tampax usagé (c'est l'idée qui m'est venue).
Alors pour voir du monde, n'importe qui, ça a été les rades, puis trop cher pour moi, la 8.6, qui faisait vraiment 8°6 et non pas 7°2; je passais mes journées sous un marché couvert ou sur des bancs, et je me rappelle que pour ne pas avoir a faire des aller/retour je demandais de la glace au poissonier (après, la fraîcheur, je m'en foutais, tant qu'il y avait la quantité.
J'étais tellement raide qu'une fois, un copain est venu me réveiller en me disant qu'il avait vu qu'on m'avait taxé ma montre, je n'avais rien senti.
J'ai trouvé un appart de misère, à côté d'un bar, dont j'avais aidé les patrons à leur installation, et même sans une thune, j'avais de bons amis qui me disaient: "pas d'argent entre nous: bois"!
C'était la bière au mètre, les spéciales, les mélanges, en plus de la 8.6 (un jour j'ai retrouvé une étiquette de cette bière collée sur mon pare-brise).
En 1999, j'ai eu un sursaut: remplacement d'un collègue avec beaucoup de monnaie à la clé (j'ai pu me payer une moto, voyage à New-York, un beau VTT, en seulement 72 jours de boulot, oui mais des journées de 16 à 18h), sauf que j'étais toujours sous pression, mais là , au rouge et au pastis que m'offraient les paysans de la montagne...
Puis c'est vraiment retombé après, plus de taf, déprime, et comme je devenais sourd, AH cotorep 80%.
Les premières années après 99, tous les mois de Janvier je m'imposais un mois de pause, que je respectais plus ou moins, mais on va dire que depuis 93, il n'y a pas eu beaucoup de jours ou j'aie peu bu, et quasiment aucun ou je n'ai pas bu; C'était du genre, j'étais sur le voilier de mon cousin à St-Mandrier, je m'escampais jusqu'a la supérette, je prenais 4 bières fortes , j'en buvais 2 sur un banc vers les boulistes, 2 de l'autre côté du port, et en revenant, j'en prenais 4, 2 avant de rentrer au bateau, puis jouant les naïfs je ramenais les 2 autres en lui en proposant une, qu'il refusait; le soir on invitait ou était invités à la cérémonie de la "kémia", et les doses de pastaga sur un bateau, c'est pas les boules de bistrots.
Une chose cependant, depuis cette époque, je me réservais une lucidité après m'être levé pour faire une chose par jour, genre administration, toubib, banalités...
Puis, dès l'aprèm, je reprenais mon imprégnation, sans vraiment de plaisir, mais comme un junk attend le fix salvateur.
a une époque, j'ai essayé de reprendre de l'activité physique, mais je suis trop cassé de partout, et le tunnel a continué, jusqu'au début de ce mois (mai 2013) ou je devais me rendre dans l'Eure du 8 au 12 pour la concentre annuelle de mon club, une bouffée d'oxygène, même si c'est une chouille de plus, mais sur la route, sobre au max; Mais tout se liguait contre moi: Un ami découvre que mon cadre se coupait en 2, et me ressoude ça au MIG, plus quelques amélioration, un autre réduit une fuite d'air à l'arrière (elle fait quand même 97CV ma mémère, pour ses 220 kgs), et paf! Personne pour garder ma chienne, que j'emmène d'habitude, mais son harnais avait laché.
désespéré, j'en parle à mon frère, qui accepte, vraiment pour "me rendre service". je lui donne ma parole que si j'arrive à faire cette concentre, j'arrête de boire! attention, de boire de façon compulsive, mais je n'exclus pas un coup de vin en mangeant chez des amis ou quelques autres exceptions, je sais que ça ne va pas me pousser à reboire le lendemain, j'ai vu ma volonté quand j'ai stoppé net le tabac il y a 15 ans (bien sur, pour un bédo je peux en mettre, mais je préfère les cultures d'amis au shilom ou au bang)...
Et voilà , ça fait 20 jours que je tiens, et je sais que ça durera, à mo âge, faut ménager la machine, et je m'y prends tard.
Je me marre quand je vais dans un magasin, je tourne la tête en passant devant les binouses, et je regarde les jus de fruits
Pour ce qui est des risques et des aides:
Voir mon pédigree dans ma présentation, et j'ajoute que j'ai bossé 2 ans en alcoologie, que je sais qu'il n'y a pas de risque de DT, vu que je m'hydrate suffisamment, que j'ai un organisme robuste, et c'est gonflé, mais j'emprunterais une expression à keith Richards: "ce que je prends moi, vous tuerait peut-être, vous"...
De plus, je pense que j'ai un très bon métabolisme de l'alcool déshydrogénase, car je n'ai jamais la gueule de bois, jamais mal au crâne, mais vraiment jamais.
Pas de béquille thérapeutique non plus; mon traitement disons "psy", c'est une alternance de'Imovane et de Noctamide pour dormir, et pas mal de lexomil, mais il y a longtemps que ce n'est plus efficace, alors des fois, je ne prends que les médocs pour la tension et l'acide urique.
Au passage, j'ai un stock de Tramadol 200LP, car il n'est plus efficace pour mes douleurs, je prends des AINS qui me conviennent mieux, et même pour un mal de dents, après 2 Tramadol, une bonne vieille paire d'efferalgan me calme quelques heures.
Voilà , "to be continued"!
"L'alcool, ça coûte cher, ça rend malade, et après les problèmes sont toujours là , voir encore plus graves".
Il avait raison, mais moi j'étais bien pris, au point que quand je lui disais que je venais, il avait de la 8.6 spécialement pour moi, tout comme je lui amenais des Gitanes, parce qu'il était à 5 paquets, mais là c'est lui qui était coincé.
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Vous pouvez sauter la narration de mon "pathos", pour en venir à l'actualité signalée par une ligne de *****************************
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Première chose, j'ai très longtemps pensé qu'il était plus dur d'arrêter de fumer que de boire, avant de me rendre compte que ça dépendait des individus.
C'est vrai q'ayant 65 ans, "j'enterre" plus de potes de crabes du fumeur que d'alcoolisme, comme ma belle soeur, il y a 7 mois, 45 ans, et demain un gars super sympa que j'ai connu arpète en 1971 quand j'ai bossé dans l'imprimerie. Il avait 57 ans, un boulot en or, mais saloperie de clope...
Je vais essayer de ne pas parler de l'illicite dans ce post, surtout de ma dépendance. Je n'ai jamais vu ma mère boire, alors que son 2ème mari (avec qui j'ai donc vécu), était torché quasiment tous les jours; Il y avait le rituel par dessus l'impasse: "Oh, François, tu viens en boire un"? Et c'était la tournée des caves des voisins alentours; Bien que je le dépasse de 16 cms à 17 ans, j'étais "le gamin" ou son "beau fils", mais dans les tournées qui se succédaient, j'étais obligé d'y passediazepam, quietapine, cannabis, alcool, r, quand ils ne sortaient pas la gnôle.
Mon père, lui, engagé dans la marine en 1939, torpillé à Gibraltar en 1943, ne buvait que du rouge, et très raisonnablement, disons au max, un litre par jour en mangeant, mais hélas, c'est sa 2ème femme qui se torchait! Un jour un de ses collègues avait été muté en Martinique, et il a voulu me faire goûter le vieux rhum qu'il avait reçu, sauf que sa femme a certifié ne l'avoir jamais vue; Mais je savais bien car sa fille aînée d'une première union faisait la souillon, et un jour ou elle avait pris l'ascenseur avec moi, j'ai vu des flasks dans le cabas; Elle m'a expliqué que c'était "pour maman, mais faut pas le dire à papa".
Bon, si je ne me souviens pas de ma première cuite (j'avais 3 ans) c'est qu'il ne fallait pas laisser trîner des verres de muscat à portée d'un grand bébé...
1962 arrivée dans une ville de 5000 habitants dans le Cantal, ma seule préoccupation était les filles, les surboums, et la mob promise que je n'ai jamais eu; environ 2 ans après, J-A., un ami (décédé à 30 ans d'alcoolisme), pratiquait avant l'heure le binge drinking; Puis on faisait les bals ensemble et quand la drague ne marchait pas, ben devinez?
Je me souviendrais toujours d'un type qui m'a surement sauvé la vie, j'avais chouré une bouteille de pastis au bout d'un comptoir, et à 2 on se l'est torchée au goulot! Je m'étouffais dans mon vomi, quand le gars en question m'a pris vigoureusement un bras sous le ventre en me foutant de grandes baffes dans le dos.
Des comme ça, j'en ai des dizaines en mémoire.
1965, je fais connaissance d'un dénommé Sami, qui avait un look ravageur, blond, cheveux longs lunettes noires tout le temps, et alors qu'on piétinait sur des airs de "Jerk", lui se contorsionnait ét faisait de l'air guitar à genoux devant la scène; mais surtout, il avait un énorme crucifix en ébène et argent et un étui en peau de chèvre, le tout sur un lacet autour du cou; L'étui c'était son shilom (pas de joints en ce temps), et le bas de son crucifix se dévissait, pour y planquer son Chitral ou son Mazar, même du Bombay black; Bien sur, autour du cou, le "safi" indispensable.
Les claques qu'il m'a fait prendre en me racontant sa route! d'ailleurs il m'a connecté dans un rade vers l'opéra de Marseille, rue du Baignoir il me semble, et on y descendait avec sa 4L pourrave, en mettant 2 jours pour remonter; Puis il a disparu, et en 67, malgré quelques incursions marseillaises, j'ai repris mes petites habitudes festives alcoolisées, jusqu'au 14 juillet, ou dans un accident, ma copine de 17 ans est morte sous mes yeux dans un accident de voiture; Le pote qui conduisait était grammé, j'ai arrêté net, ravagé de chagrin.
Comme j'avais loupé le bac, ma mère m'a trouvé un taf d'élève éduc dans une école de sourds, puis il a fallu que j'aille servir la mère-patrie, à savoir aller passer 11 mois sous les cocotiers d'un atoll du pacifique nommé Hao. Là , la binouse et le cambusard, c'était obligatoire! A l'accueil de Faaa (aéroport et transit de Tahiti, on avait la bière pression gratos, alors on prenait des boîtes d'un litre d'Evian (que je n'ai vu que là bas), on vidait la flotte et on torchait la Manuïa ou la 33 à volonté!
Une fois sur l'atoll, c'était guère mieux: J'étais à la tour de contrôle, 2ème classe, et mon taf le matin, était de passer au bar, prende un carton de 33 mousses, le monter, poser sur un tabouret, et faire givrer la clim pendant que je balayais en attendant les sous-offs... à 13h, la journée était finie, et je redescendais les cadavres avant d'aller manger, puis sieste, plongée, voile, glandouillage, cette fois à la sangria! Car le cambusard était gratos, il suffisait d'aller remplir un seau au mess troupe, couper des fruits dedans, sucre, et mettre de la glace; Dur dès fois de se lever du hamac, d'autant que le soir il y avait toujours une chouille dans un bâtiment proche ou dans le nôtre... L'armée? Excellente occasion pour picoler!
bon, rentré en france je retrouve ma future femme, du taf comme correcteur d'imprimerie, sérieux, toussa, gamin, projets d'appart, sauf que moi qui pesait 69 Kgs fin 70 (pour 1m86, ma mère m'appelait Gandhi, j'étais partiquement à à 90 en 3 ans! Bon, beau-papa fromager qui faisait péter sa pièce de bleu de 3kg5 toute les semaines, ça y faisait, mais aussi le litre de rouge pour 2 repas était devenu un par repas, plus les arrosages au boulot, sorties du soir dans un pub assez souvent n'y étaient pas pour rien; En gros j'aimais bien boire, d'autant qu'on avait monté une confrérie rabelaisienne avec des potes, et qu'on y faisait punch et sangria dans des poubelles plastique, les grosses bleues.
Mon divorce n'a rien eu à voir avec l'alcool, mon ex ayant préféré son chef de service, un ingénieur qui gagnait 7 fois mon salaire (!) Bast.
mais quoi de mieux qu'une telle situation pour sombrer? Ben je vais en faire hurler certains, c'est l'acide qui m'a sauvé; en effet, j'en prenais tellement que l'alcool était secondaire vu qu'il ne me faisait rien en trip. Sauf le champagne Laurent-Perrier rosé qui chatouillait agréablement, surtout au lit: faire l'amour des heures en buvant ce nectar et sous acide, une des plus belles expériences de ma vie...
Je raccourcis: pendant mes études, je me tenais à carreau, c'était fumette et acide, mais sage au taf.
Fin du pavé...
****************
Ma grande addiction a commencé en 1998; Jusque là j'avais un très bon boulot (à mon compte), une femme que j'adorais, que je gatais, c'était certain, je finirais ma vie avec elle!
Coup de tonnerre début 97, contrôle fiscal, 70 000f d'impôts avec "prime" de 300% pour déclaration frauduleuse!
Vu que c'était ma cop's qui s'occupait de ma compta, il y avait un lézard (j'ai su par la suite qu'elle avait omis plein de choses), et je me suis retrouvé avec mes comptes bloqués, impossibilité de travailler, la ruine...
Heureusement, j'avais un peu plus de 50 000balles en liquide, mais je me suis retrouvé au RMI; Puis engueulade un jour, car il manquait 500 balles; Elle avait 2 fils, et le plus jeune 12 ans voulait des "nike".
Grosse colère, le gamin a dit qu'il ne voulait plus me voir, et j'ai failli être à la rue, j'ai même un peu fait la manche, habité une piaule crasseuse, et elle m'a jeté comme un tampax usagé (c'est l'idée qui m'est venue).
Alors pour voir du monde, n'importe qui, ça a été les rades, puis trop cher pour moi, la 8.6, qui faisait vraiment 8°6 et non pas 7°2; je passais mes journées sous un marché couvert ou sur des bancs, et je me rappelle que pour ne pas avoir a faire des aller/retour je demandais de la glace au poissonier (après, la fraîcheur, je m'en foutais, tant qu'il y avait la quantité.
J'étais tellement raide qu'une fois, un copain est venu me réveiller en me disant qu'il avait vu qu'on m'avait taxé ma montre, je n'avais rien senti.
J'ai trouvé un appart de misère, à côté d'un bar, dont j'avais aidé les patrons à leur installation, et même sans une thune, j'avais de bons amis qui me disaient: "pas d'argent entre nous: bois"!
C'était la bière au mètre, les spéciales, les mélanges, en plus de la 8.6 (un jour j'ai retrouvé une étiquette de cette bière collée sur mon pare-brise).
En 1999, j'ai eu un sursaut: remplacement d'un collègue avec beaucoup de monnaie à la clé (j'ai pu me payer une moto, voyage à New-York, un beau VTT, en seulement 72 jours de boulot, oui mais des journées de 16 à 18h), sauf que j'étais toujours sous pression, mais là , au rouge et au pastis que m'offraient les paysans de la montagne...
Puis c'est vraiment retombé après, plus de taf, déprime, et comme je devenais sourd, AH cotorep 80%.
Les premières années après 99, tous les mois de Janvier je m'imposais un mois de pause, que je respectais plus ou moins, mais on va dire que depuis 93, il n'y a pas eu beaucoup de jours ou j'aie peu bu, et quasiment aucun ou je n'ai pas bu; C'était du genre, j'étais sur le voilier de mon cousin à St-Mandrier, je m'escampais jusqu'a la supérette, je prenais 4 bières fortes , j'en buvais 2 sur un banc vers les boulistes, 2 de l'autre côté du port, et en revenant, j'en prenais 4, 2 avant de rentrer au bateau, puis jouant les naïfs je ramenais les 2 autres en lui en proposant une, qu'il refusait; le soir on invitait ou était invités à la cérémonie de la "kémia", et les doses de pastaga sur un bateau, c'est pas les boules de bistrots.
Une chose cependant, depuis cette époque, je me réservais une lucidité après m'être levé pour faire une chose par jour, genre administration, toubib, banalités...
Puis, dès l'aprèm, je reprenais mon imprégnation, sans vraiment de plaisir, mais comme un junk attend le fix salvateur.
a une époque, j'ai essayé de reprendre de l'activité physique, mais je suis trop cassé de partout, et le tunnel a continué, jusqu'au début de ce mois (mai 2013) ou je devais me rendre dans l'Eure du 8 au 12 pour la concentre annuelle de mon club, une bouffée d'oxygène, même si c'est une chouille de plus, mais sur la route, sobre au max; Mais tout se liguait contre moi: Un ami découvre que mon cadre se coupait en 2, et me ressoude ça au MIG, plus quelques amélioration, un autre réduit une fuite d'air à l'arrière (elle fait quand même 97CV ma mémère, pour ses 220 kgs), et paf! Personne pour garder ma chienne, que j'emmène d'habitude, mais son harnais avait laché.
désespéré, j'en parle à mon frère, qui accepte, vraiment pour "me rendre service". je lui donne ma parole que si j'arrive à faire cette concentre, j'arrête de boire! attention, de boire de façon compulsive, mais je n'exclus pas un coup de vin en mangeant chez des amis ou quelques autres exceptions, je sais que ça ne va pas me pousser à reboire le lendemain, j'ai vu ma volonté quand j'ai stoppé net le tabac il y a 15 ans (bien sur, pour un bédo je peux en mettre, mais je préfère les cultures d'amis au shilom ou au bang)...
Et voilà , ça fait 20 jours que je tiens, et je sais que ça durera, à mo âge, faut ménager la machine, et je m'y prends tard.
Je me marre quand je vais dans un magasin, je tourne la tête en passant devant les binouses, et je regarde les jus de fruits
Pour ce qui est des risques et des aides:
Voir mon pédigree dans ma présentation, et j'ajoute que j'ai bossé 2 ans en alcoologie, que je sais qu'il n'y a pas de risque de DT, vu que je m'hydrate suffisamment, que j'ai un organisme robuste, et c'est gonflé, mais j'emprunterais une expression à keith Richards: "ce que je prends moi, vous tuerait peut-être, vous"...
De plus, je pense que j'ai un très bon métabolisme de l'alcool déshydrogénase, car je n'ai jamais la gueule de bois, jamais mal au crâne, mais vraiment jamais.
Pas de béquille thérapeutique non plus; mon traitement disons "psy", c'est une alternance de'Imovane et de Noctamide pour dormir, et pas mal de lexomil, mais il y a longtemps que ce n'est plus efficace, alors des fois, je ne prends que les médocs pour la tension et l'acide urique.
Au passage, j'ai un stock de Tramadol 200LP, car il n'est plus efficace pour mes douleurs, je prends des AINS qui me conviennent mieux, et même pour un mal de dents, après 2 Tramadol, une bonne vieille paire d'efferalgan me calme quelques heures.
Voilà , "to be continued"!
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
(Seule la quantité fait le poison).
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Ex "hard-droguiste"
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Le baclofène, j'en ai parlé à mon généraliste; On parle très franchement comme si on bossait ensemble, et il m'a renvoyé à une revue médicale en ligne (réservée aux professionnels) sur les effets secondaires: A part la baisse de tension qui serait un plus pour moi, il y a des vertiges (j'en ai déjà ), des nausées, et vu que je suis gavé de BZD, peut-être un risque de potentialisation.
Lui trouve qu'il y a un phénomène de mode, vu la demande qu'il reçoit par rapport au Révia, que j'ai essayé avec peu de succès.
Dans mon pavé, j'ai oublié que quelque chose que je connais bien m'a foutu la trouille: La polynévrite! J'ai connu un SDF irlandais qui se chiait sous lui, puis ça a été béquilles, chaise roulante, et enfin, hospitalisation et réussite totale; Comme il parle 4 langues, il est médiateur à mi-temps du conseil général auprès des SDF ne parlant pas le français; Actuellement il taffe pour 6 mois en Australie...
J'ai en face de moi ma gratte, ma basse, mon uke et 2 amplis pleins de poussière, que je n'ai plus touché depuis très longtemps, vu que j'ai le nerf ulnaire gauche bouffé. (enfin, je fais un peu de slide sur le uke, genre "you gotta move", des trucs simples).
Dans les choses pénibles du sevrage, ce qui me gène le plus, c'est le froid! le thermomètre à côté de moi indique 19.3, et ben je me caille.
Sinon, je surveille ma carapace morale, ayant des tendances bipolaires, mais 15 ans sans amour, sans un seul vrai câlin, ça endurcit. je vais voir si je suis capable de remporter un autre défi: ne pouvant plus jouer, je me tourne vers le slide, plus exactement vers la cigar box guitar à 3 cordes, car quand on a beaucoup creusé le rock, comme dit Jack White, on prend un express pour le blues, ce vieux blues du delta, le didley bow et toutes ces choses.
Je n'entends plus qu'au casque, mais je veux m'attaquer à ces répertoires, comme Son House ou Blind Willie Johnson, par exemple; De plus c'est un exemple, le dernier cité étant très pauvre et aveugle, sa musique transperce littéralement; Elle sera ma compagne de décroche, je l'espère, et je ne suis pas très pauvre, mais moins de 800€ par mois, je vais tout faire moi même, c'est commencé.
je suis persuadé qu'il faut avoir une vision plus loin quand on veut se défaire d'une assuétude aussi dominatrice. D'ailleurs, tous les jours je mets 2€ dans une cagnotte, pour ma moto et mon projet musical; je l'ai oublié...hop, c'est fait!
Maintenant, je me ferais bien un gros spliff d'Orange Bud avec mon Schweppes!
Lui trouve qu'il y a un phénomène de mode, vu la demande qu'il reçoit par rapport au Révia, que j'ai essayé avec peu de succès.
Dans mon pavé, j'ai oublié que quelque chose que je connais bien m'a foutu la trouille: La polynévrite! J'ai connu un SDF irlandais qui se chiait sous lui, puis ça a été béquilles, chaise roulante, et enfin, hospitalisation et réussite totale; Comme il parle 4 langues, il est médiateur à mi-temps du conseil général auprès des SDF ne parlant pas le français; Actuellement il taffe pour 6 mois en Australie...
J'ai en face de moi ma gratte, ma basse, mon uke et 2 amplis pleins de poussière, que je n'ai plus touché depuis très longtemps, vu que j'ai le nerf ulnaire gauche bouffé. (enfin, je fais un peu de slide sur le uke, genre "you gotta move", des trucs simples).
Dans les choses pénibles du sevrage, ce qui me gène le plus, c'est le froid! le thermomètre à côté de moi indique 19.3, et ben je me caille.
Sinon, je surveille ma carapace morale, ayant des tendances bipolaires, mais 15 ans sans amour, sans un seul vrai câlin, ça endurcit. je vais voir si je suis capable de remporter un autre défi: ne pouvant plus jouer, je me tourne vers le slide, plus exactement vers la cigar box guitar à 3 cordes, car quand on a beaucoup creusé le rock, comme dit Jack White, on prend un express pour le blues, ce vieux blues du delta, le didley bow et toutes ces choses.
Je n'entends plus qu'au casque, mais je veux m'attaquer à ces répertoires, comme Son House ou Blind Willie Johnson, par exemple; De plus c'est un exemple, le dernier cité étant très pauvre et aveugle, sa musique transperce littéralement; Elle sera ma compagne de décroche, je l'espère, et je ne suis pas très pauvre, mais moins de 800€ par mois, je vais tout faire moi même, c'est commencé.
je suis persuadé qu'il faut avoir une vision plus loin quand on veut se défaire d'une assuétude aussi dominatrice. D'ailleurs, tous les jours je mets 2€ dans une cagnotte, pour ma moto et mon projet musical; je l'ai oublié...hop, c'est fait!
Maintenant, je me ferais bien un gros spliff d'Orange Bud avec mon Schweppes!
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
(Seule la quantité fait le poison).
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Ex "hard-droguiste"
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J'ai essayé le Révia aussi, sans succès non plus. Le baclofène mon généraliste ne veut pas pour le moment.
je me suis tourné très récemment sur csapa à côté de chez moi, je vais enfin pouvoir discuter/argumenter avec un addictologue, rien n'est perdu
je me suis tourné très récemment sur csapa à côté de chez moi, je vais enfin pouvoir discuter/argumenter avec un addictologue, rien n'est perdu
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- ZombyWoof
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Sacré métier, addictologue, faut une carapace et de l'humanité en même temps!
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
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- Alain Will
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Un immense merci 
Zombywoof pour ton témoignage !! On ne peut plus complet :)
Si effectivement tu ne crains pas le DL (Delirium Tremens), je veux bien te croire. Il est fort possible que la tolérance acquise puisse jouer un rôle mais je ne suis pas alcoologue...
Et de facto, je ne me permettrais pas de donner une prescription. Cela est hors-charte sur le forum de surcroit...
Mais il est vrai qu'en cas de sevrage (fermé, voire ambulatoire selon les personnes), il est souvent prescrit des médocs dont l'un est sur prescription médicale, l'autre (accessible en ambulatoire) restant à la charge de la personne... Encore faut-il connaitre le dosage adéquat en fonction de la personne...
L'un (prescrit) a des effets "benzodiazépines-Like", l'autre permet d'éviter certaines encéphalopathies, qui elles, peuvent être irréversibles... Ça, c'est le cauchemar fatal à éviter à tout prix...
Il va de soi que je te souhaite succès dans ta démarche, d'avoir aussi un encadrement (psychologue-psychiatrique dans un centre ouvert, ce qui ne t'engage à rien), et de bien prendre soin de toi...
Un sevrage d'alcoolo-dépendance n'est jamais simple. Tous les témoignages que j'ai pu avoir, ayant été aussi concerné, le confirment.
Certains vont "hurler" : mais l'alcool consommé de façon "abusive" et addictive, est une des pires des drogues : tellement accessible (comme l'est le tabac dont on parle beaucoup quant aux cigarettes électroniques ces jours-ci, mais cela est une autre histoire )
Juste un dernier mot : attention, le Revia est un antagoniste des opiacés ! (Chlorhydrate de naltrexone) ! Quant au Baclofène, j'avais promis il y a quelques temps d'apporter mon témoignage personnel ; pas encore fait, mais ça va venir (il y a eu une très mauvaise information auprès du généraliste qui me l'a prescrit (à ses risques et périls et surtout aux miens
). J'en ai eu confirmation très récemment via un post de "prescripteur" sur le forum).
Amicalement, et dans l'attente de te lire encore,
Alain W.
Zombywoof pour ton témoignage !! On ne peut plus complet :)Si effectivement tu ne crains pas le DL (Delirium Tremens), je veux bien te croire. Il est fort possible que la tolérance acquise puisse jouer un rôle mais je ne suis pas alcoologue...
Et de facto, je ne me permettrais pas de donner une prescription. Cela est hors-charte sur le forum de surcroit...
Mais il est vrai qu'en cas de sevrage (fermé, voire ambulatoire selon les personnes), il est souvent prescrit des médocs dont l'un est sur prescription médicale, l'autre (accessible en ambulatoire) restant à la charge de la personne... Encore faut-il connaitre le dosage adéquat en fonction de la personne...
L'un (prescrit) a des effets "benzodiazépines-Like", l'autre permet d'éviter certaines encéphalopathies, qui elles, peuvent être irréversibles... Ça, c'est le cauchemar fatal à éviter à tout prix...
Il va de soi que je te souhaite succès dans ta démarche, d'avoir aussi un encadrement (psychologue-psychiatrique dans un centre ouvert, ce qui ne t'engage à rien), et de bien prendre soin de toi...
Un sevrage d'alcoolo-dépendance n'est jamais simple. Tous les témoignages que j'ai pu avoir, ayant été aussi concerné, le confirment.
Certains vont "hurler" : mais l'alcool consommé de façon "abusive" et addictive, est une des pires des drogues : tellement accessible (comme l'est le tabac dont on parle beaucoup quant aux cigarettes électroniques ces jours-ci, mais cela est une autre histoire
)Juste un dernier mot : attention, le Revia est un antagoniste des opiacés ! (Chlorhydrate de naltrexone) ! Quant au Baclofène, j'avais promis il y a quelques temps d'apporter mon témoignage personnel ; pas encore fait, mais ça va venir (il y a eu une très mauvaise information auprès du généraliste qui me l'a prescrit (à ses risques et périls et surtout aux miens
). J'en ai eu confirmation très récemment via un post de "prescripteur" sur le forum).Amicalement, et dans l'attente de te lire encore,
Alain W.
Dernière modification par Alain Will (31 mai 2013 à 23:55)
Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.
Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)
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salut
n'ayant jamais tomber dans la dépendance a l'alcool mais c'est pas pour ça que je n'en consomme pas car j'aime bien boire un bon gros vers de rouge a chaque repas (les gros vers a wisky) et dans l'après-midi une canette de heineken ou super boke (bière portugaise éxélente) mais comme je l'ai dit je ne suis pas dépendant car si je mange chez un ami et qu'il n'a pas de vin je ne pète pas un plomb le repas sera juste un peu moins bon mais c'est pas bien grave par-contre quand je suis au café j'aime bien aussi boire un bon petit cognac (charente oblige loling) après mon café.
sinon j'ai un ami de 49 ans qui a bien galéré avec l'alcool car il buvais 5 litres de rouge/jours le cubi je n'apelle même pas ça du vin car c'est gaver de sulfites et autres colorents....
et il a donc perdu son permis car il est passer au tribunal pour conduite avec 1,87gr d'alcool par litres dans le sang et c'étais pas la première fois qu'ils l'attrapais donc comme il étais en recidive il lui ont retirer sont permis définitivement il a vraiment galéré pour s'en sortir après plusieurs hospitalisation en (HO) hospitalisation en demande du prefet et il m'a dit qu'il s'en ai sortis grace au valium 10mg 4 fois par jour et du noctamide le soir pour dormir et je suis très content pour lui car il c'est bien battu mais je l'ai vu a l'hosto faire un delirium tremens et il lui on fait direct une intra-musculaire de valium pour le calmer ce genre de crise fait vraiment peur a voir.
perso je pense que l'alcool est une drogue dure car il y a une dépendance psychologique très importante et physique aussi quand je vois des gens de ma famille me dire que l'alcool est moins dangeureux que le cannabis ça me rend furax mais bon ça c'est un autre sujet.
HAVE FUN!!!
n'ayant jamais tomber dans la dépendance a l'alcool mais c'est pas pour ça que je n'en consomme pas car j'aime bien boire un bon gros vers de rouge a chaque repas (les gros vers a wisky) et dans l'après-midi une canette de heineken ou super boke (bière portugaise éxélente) mais comme je l'ai dit je ne suis pas dépendant car si je mange chez un ami et qu'il n'a pas de vin je ne pète pas un plomb le repas sera juste un peu moins bon mais c'est pas bien grave par-contre quand je suis au café j'aime bien aussi boire un bon petit cognac (charente oblige loling) après mon café.
sinon j'ai un ami de 49 ans qui a bien galéré avec l'alcool car il buvais 5 litres de rouge/jours le cubi je n'apelle même pas ça du vin car c'est gaver de sulfites et autres colorents....
et il a donc perdu son permis car il est passer au tribunal pour conduite avec 1,87gr d'alcool par litres dans le sang et c'étais pas la première fois qu'ils l'attrapais donc comme il étais en recidive il lui ont retirer sont permis définitivement il a vraiment galéré pour s'en sortir après plusieurs hospitalisation en (HO) hospitalisation en demande du prefet et il m'a dit qu'il s'en ai sortis grace au valium 10mg 4 fois par jour et du noctamide le soir pour dormir et je suis très content pour lui car il c'est bien battu mais je l'ai vu a l'hosto faire un delirium tremens et il lui on fait direct une intra-musculaire de valium pour le calmer ce genre de crise fait vraiment peur a voir.
perso je pense que l'alcool est une drogue dure car il y a une dépendance psychologique très importante et physique aussi quand je vois des gens de ma famille me dire que l'alcool est moins dangeureux que le cannabis ça me rend furax mais bon ça c'est un autre sujet.
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L'ivrogne et l'enfant disent ce qu'ils ont sur le coeur.
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- ZombyWoof
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Ben tu vois, ça n'aura pas traîné! 2h 27, couché avant minuit avec un noctamide et 2 témesta, j'ai loupé la phase d'endormissement en matant la télé, et je viens de me relever pour prendre un Imovane, encore une nuit blanche avec certainement réveil vers midi voire plus...
Pour mon cas, je rajoute que j'ai un bon psychiatre, un vieil ami, qui sait de quoi il parle, puisqu'avant d'avoir fini sa médecine, sa cop's et lui revenaient de thaïlande, elle avec 100g entre le soutif et le vagin; Donc un ancien junky, mais un "Monsieur" maintenant, qui essaye de coller un max de gens sous lithium, et leur recommande la clinique dont il est actionnaire; Sauf qu'entre nous, c'est toujours "tanchon" de la grande époque qui était raide 24/24. Il m'a dit que pour arrêter l'alcool, aucune béquille ne valait la volonté, m'a prescrit ce que j'ai voulu (attention, pour mon addiction), mais a baissé les bras, malgré tout. Enfin il m'a fait avoir l'AH 80%, ce qui m'a sorti de la dèche RMI.
Ce qui est catégorique dans ma détermination, c'est mon âge; De 49 à 65 ans le temps s'est accéléré, et peu de choses ont bougé en bien, par contre j'étais parapentiste, j'ai abandonné, le bateau, je n'ai plus la force et la souplesse, il ne me reste que ma chère vieille moto, car, si je ne peux pas marcher longtemps (pas plus de 200m, maintenant), assis, je peux faire mes 500 bornes (avec des pauses) pour répondre a une invitation d'amis dans les Pyrénées. Puis rouler en moto, c'est un demi maximum tous les 200 bornes, et bien sur, je ne le fais même pas.
Donc, si je vis encore 10 ans, j'aurai 75 ans; Au train ou mon corps me lache, et ayant bossé comme intervenant en maison de retraite, ce sera "l'exit bag", plutôt que les aides-soignantes je m'en foutistes qui n'attendent que la fin de leur taf en infantilisant les vieux, ce qui est horrible: Elles ne connaissent pas leur vécu et elles leur parlent mal, en je m'en foutistes qu'elles sont.
Donc, à 75 ans, j'espère bien être encore sur une bécane, voir mieux, un side-car!
Cette détermination me guide, comme un allumé de la foi part en pélerinage (au passage je suis athée et zététicien à l'extrème), et donc, tant que je pourrais, je roulerai, même si monter une tente y dormir et en sortir est épuisant pour moi; mais il ya des gîtes, et bien sur les amis.
Si je continue avec cette rage de vivre, je m'y tiendrais, sans faire comme l'an dernier chez ces amis du sud, prétexter d'aller faire un loto pour me taper 4 8.6, parce que si je pouvais me servir, il n'y avait que de la Heineken, de la pisse d'âne, pour moi. Tricher quand on a buffet ouvert, c'est typiquement un comportement d'alcoolo! Pour dire, L., mon ami qui me considère comme un mec qui lui a servi d'exemple il y a 35 ans, m'installe un hamac entre un palmier et une haie, avec voile antisoleil, et m'amène une boutanche de rosé dans les glaçons, sur une tablette. Idem au bord de leur piscine, c'est toujours "tu veux quoi"?
Bon, ça sera l'extra des vacances, mais sans tricher cette année, en me modérant, et dès le moteur en marche, stop tisane pour une durée indéterminée.
Bien que je sois noob ici, je joue franc jeu, et si je fais un faux pas j'en parlerais.
Mais je ne veux pas gâcher le peu qui me reste à vivre, bien au contraire. On dit qu'un Auvergnat est têtu comme 10 bretons, et j'ai du sang des 2; Manquait le déclic, et c'est bien parti!
à suivre!
Pour mon cas, je rajoute que j'ai un bon psychiatre, un vieil ami, qui sait de quoi il parle, puisqu'avant d'avoir fini sa médecine, sa cop's et lui revenaient de thaïlande, elle avec 100g entre le soutif et le vagin; Donc un ancien junky, mais un "Monsieur" maintenant, qui essaye de coller un max de gens sous lithium, et leur recommande la clinique dont il est actionnaire; Sauf qu'entre nous, c'est toujours "tanchon" de la grande époque qui était raide 24/24. Il m'a dit que pour arrêter l'alcool, aucune béquille ne valait la volonté, m'a prescrit ce que j'ai voulu (attention, pour mon addiction), mais a baissé les bras, malgré tout. Enfin il m'a fait avoir l'AH 80%, ce qui m'a sorti de la dèche RMI.
Ce qui est catégorique dans ma détermination, c'est mon âge; De 49 à 65 ans le temps s'est accéléré, et peu de choses ont bougé en bien, par contre j'étais parapentiste, j'ai abandonné, le bateau, je n'ai plus la force et la souplesse, il ne me reste que ma chère vieille moto, car, si je ne peux pas marcher longtemps (pas plus de 200m, maintenant), assis, je peux faire mes 500 bornes (avec des pauses) pour répondre a une invitation d'amis dans les Pyrénées. Puis rouler en moto, c'est un demi maximum tous les 200 bornes, et bien sur, je ne le fais même pas.
Donc, si je vis encore 10 ans, j'aurai 75 ans; Au train ou mon corps me lache, et ayant bossé comme intervenant en maison de retraite, ce sera "l'exit bag", plutôt que les aides-soignantes je m'en foutistes qui n'attendent que la fin de leur taf en infantilisant les vieux, ce qui est horrible: Elles ne connaissent pas leur vécu et elles leur parlent mal, en je m'en foutistes qu'elles sont.
Donc, à 75 ans, j'espère bien être encore sur une bécane, voir mieux, un side-car!
Cette détermination me guide, comme un allumé de la foi part en pélerinage (au passage je suis athée et zététicien à l'extrème), et donc, tant que je pourrais, je roulerai, même si monter une tente y dormir et en sortir est épuisant pour moi; mais il ya des gîtes, et bien sur les amis.
Si je continue avec cette rage de vivre, je m'y tiendrais, sans faire comme l'an dernier chez ces amis du sud, prétexter d'aller faire un loto pour me taper 4 8.6, parce que si je pouvais me servir, il n'y avait que de la Heineken, de la pisse d'âne, pour moi. Tricher quand on a buffet ouvert, c'est typiquement un comportement d'alcoolo! Pour dire, L., mon ami qui me considère comme un mec qui lui a servi d'exemple il y a 35 ans, m'installe un hamac entre un palmier et une haie, avec voile antisoleil, et m'amène une boutanche de rosé dans les glaçons, sur une tablette. Idem au bord de leur piscine, c'est toujours "tu veux quoi"?
Bon, ça sera l'extra des vacances, mais sans tricher cette année, en me modérant, et dès le moteur en marche, stop tisane pour une durée indéterminée.
Bien que je sois noob ici, je joue franc jeu, et si je fais un faux pas j'en parlerais.
Mais je ne veux pas gâcher le peu qui me reste à vivre, bien au contraire. On dit qu'un Auvergnat est têtu comme 10 bretons, et j'ai du sang des 2; Manquait le déclic, et c'est bien parti!
à suivre!
Dernière modification par ZombyWoof (01 juin 2013 à 05:27)
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
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Ex "hard-droguiste"
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- Phoenix
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Et ne parlons pas des psychiatres... (pas les imprimantes à ordonnances, hein, les vrais )
Bienvenue par ici!
Ta présentation est touchante!
)Bienvenue par ici!
Ta présentation est touchante!
Discendi et Docendi.
Apprendre et Enseigner.
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- ZombyWoof
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@Gofix: Tu as répondu pendat que je tapais ma réponse, alors voilà de l'eau au moulin du sujet, du vécu.
J'habite un quartier "social", RSA, gens sous tutelle, foyer d'immigrés surpeuplé, etc, et beaucoup d'alcoolique et quelques polytoxicos; Il ya un voisin, "Zonzon" (son prénom est Louison, rien à voir avec la taule), qui n'a qu'une seule occupation de la journée, faire des aller/retour chez Lidl en s'arrêtant aux bars, et revenir avec en moyenne 3 briques de rouge dégueu, ce qui me laisse supposer qu'il boit bien 8 litres par jour. Il ne se lave pas, laisse pourrir les repas qu'on lui livre à domicile, ne se change que quand ses fringues sont en lambeaux, d'ailleurs il dort avec ; des fois, un voisin plein de compassion lui lave les cheveux, les coupe et le rase; Il est plus qu'à l'ouest, parce qu'il ne sait pas quel jour on est, ce qui fait que le dimanche, voyant lidl fermé, il pousse jusqu'a la gare soit environ 4 kms de plus, chez l'épicier arabe pour acheter ses litres, toujours en marchabnt vite et en trainant sa canne (il ne s'appuie jamais dessus, il la traine; Il jette la menue monnai en dessous d'un euro, au point qu'un jour, la femme du copain en sortant sa poubelle a récupéré 35€ en pièce rouges... bref, caricatural!
mais ce type là , tu le sèvres brutalement, c'est au moins le DT, et surement, il claque!
Il emmerde personne, est poli, alors ça passe; Bon il s'est fait squatter par des dealers du coin qui avaient mis une serrure a une de ses chambres pour leurs petites affaires, qui lui ont volé son saxo, mais là l'AS a réagi et les jeufs sont venus; ben il paraît que c'était proppre chez lui quand il avait ses parasites.
Au sujet du DT: Le premier que j'ai vu, je n'étais pas encore infirmier, un mec de 22ans qui buvait depuis l'adolescence, impressionnant! Les costauds du coin l'ont maitrisé, les pompiers ont venus et je n'ai pas su la suite; Le 2ème, j'étais étudiant, très rigolo, le mec: Un gros crade qu'on nous a amenés quia vait le slip collé au cul par la merde séchée (disons les choses comme elle sont, l'alcool pousse à la négligence), et quand on a voulu le baigner, on s'est rendu compte qu'il avait un humérus cassé (même pas mal), et il me demandait en montrant le mur, ce que c'était ces poissons-lune qui sortaient des murs; Comme il n'était pas agresso, je luiai répondu que c'était une nouveauté que l'hôtel avait mis en place pour ses clients, il a juste dit ah bon, s'est laissé décrotter, puis est parti pour son bras! même pas une piqûre de rien du tout.
Par contre, au SAMU, j'ai vu un vrai violent; Vu ma carrure, le boss aimait bien m'emmener quand il y avait des patients agités; On avait un code: éva" pour Valium, Dro pour droleptan, un neuroleptique à tombé un cheval, j'avais une shooteuse ddans chaque poche; Quand le mec a commencé à sauter par dessus le lit en voyant des blouses blanche, il m'a dit "Dro", et je me suis exécuté à travers le futal! Le temps qu'onevite 3 marrons et qu'on en prenne 2 autres pour de bon, il s'est effondré en moins de 5 secondes. Après, on l'a mis en surveillance car ce genre de produit a plein d'effets secondaires et qu'on ne connaissait pas ses éventuelles pathologies ou traitements, donc direct la réa qui jouxtait le SAMU.
je ne parle que de 3 cas, mais quand on parlait dans un autre post de Bicicle, je crois, du vieux qui buvait de l'alcool camphré, j'ai connu ça plusieurs fois, notamment en alcoologie, ou un patient n'était autre que mon cordonnier que sa femme avait fait coller en PO (d'ailleurs elle a divorcé, pour épouser son frère et récupérer l'affaire): plusieurs fois il m'a demandé de lui rentrer du rhum, et j'ai insisté que non, au delà de perdre mon taf, c'était contre la moralité de mon métier que j'avais choisi; Il a ouvert son armoire a sorti une bouteille d'aqua velva, cul se devant moi, et m'a dit "moi le goût je m'en fout, c'est le degré qui m'intéresse"!
Plus vieux, en 70, pendant mon service dans le pacifique, les tahitiens qui bossaient pour l'armée buvaient n'importe quoi, au point qu'on ne fermait même plus les armoires à clé, vu qu'il cherchaient les after-shave et autres eau de cologne. Il y en a même un qui en est mort, pensant trouver une bouteille d'alcool, il s'en est enquillé la moitié et a eu l'oesophage cramé sur toute la longueur! le gars de l'hosto ont dit qu'il a mis plusieurs jours à claquer!
bon, l'Imovane monte pas, je ne sais plus quoi faire!
@+
J'habite un quartier "social", RSA, gens sous tutelle, foyer d'immigrés surpeuplé, etc, et beaucoup d'alcoolique et quelques polytoxicos; Il ya un voisin, "Zonzon" (son prénom est Louison, rien à voir avec la taule), qui n'a qu'une seule occupation de la journée, faire des aller/retour chez Lidl en s'arrêtant aux bars, et revenir avec en moyenne 3 briques de rouge dégueu, ce qui me laisse supposer qu'il boit bien 8 litres par jour. Il ne se lave pas, laisse pourrir les repas qu'on lui livre à domicile, ne se change que quand ses fringues sont en lambeaux, d'ailleurs il dort avec ; des fois, un voisin plein de compassion lui lave les cheveux, les coupe et le rase; Il est plus qu'à l'ouest, parce qu'il ne sait pas quel jour on est, ce qui fait que le dimanche, voyant lidl fermé, il pousse jusqu'a la gare soit environ 4 kms de plus, chez l'épicier arabe pour acheter ses litres, toujours en marchabnt vite et en trainant sa canne (il ne s'appuie jamais dessus, il la traine; Il jette la menue monnai en dessous d'un euro, au point qu'un jour, la femme du copain en sortant sa poubelle a récupéré 35€ en pièce rouges... bref, caricatural!
mais ce type là , tu le sèvres brutalement, c'est au moins le DT, et surement, il claque!
Il emmerde personne, est poli, alors ça passe; Bon il s'est fait squatter par des dealers du coin qui avaient mis une serrure a une de ses chambres pour leurs petites affaires, qui lui ont volé son saxo, mais là l'AS a réagi et les jeufs sont venus; ben il paraît que c'était proppre chez lui quand il avait ses parasites.
Au sujet du DT: Le premier que j'ai vu, je n'étais pas encore infirmier, un mec de 22ans qui buvait depuis l'adolescence, impressionnant! Les costauds du coin l'ont maitrisé, les pompiers ont venus et je n'ai pas su la suite; Le 2ème, j'étais étudiant, très rigolo, le mec: Un gros crade qu'on nous a amenés quia vait le slip collé au cul par la merde séchée (disons les choses comme elle sont, l'alcool pousse à la négligence), et quand on a voulu le baigner, on s'est rendu compte qu'il avait un humérus cassé (même pas mal), et il me demandait en montrant le mur, ce que c'était ces poissons-lune qui sortaient des murs; Comme il n'était pas agresso, je luiai répondu que c'était une nouveauté que l'hôtel avait mis en place pour ses clients, il a juste dit ah bon, s'est laissé décrotter, puis est parti pour son bras! même pas une piqûre de rien du tout.
Par contre, au SAMU, j'ai vu un vrai violent; Vu ma carrure, le boss aimait bien m'emmener quand il y avait des patients agités; On avait un code: éva" pour Valium, Dro pour droleptan, un neuroleptique à tombé un cheval, j'avais une shooteuse ddans chaque poche; Quand le mec a commencé à sauter par dessus le lit en voyant des blouses blanche, il m'a dit "Dro", et je me suis exécuté à travers le futal! Le temps qu'onevite 3 marrons et qu'on en prenne 2 autres pour de bon, il s'est effondré en moins de 5 secondes. Après, on l'a mis en surveillance car ce genre de produit a plein d'effets secondaires et qu'on ne connaissait pas ses éventuelles pathologies ou traitements, donc direct la réa qui jouxtait le SAMU.
je ne parle que de 3 cas, mais quand on parlait dans un autre post de Bicicle, je crois, du vieux qui buvait de l'alcool camphré, j'ai connu ça plusieurs fois, notamment en alcoologie, ou un patient n'était autre que mon cordonnier que sa femme avait fait coller en PO (d'ailleurs elle a divorcé, pour épouser son frère et récupérer l'affaire): plusieurs fois il m'a demandé de lui rentrer du rhum, et j'ai insisté que non, au delà de perdre mon taf, c'était contre la moralité de mon métier que j'avais choisi; Il a ouvert son armoire a sorti une bouteille d'aqua velva, cul se devant moi, et m'a dit "moi le goût je m'en fout, c'est le degré qui m'intéresse"!
Plus vieux, en 70, pendant mon service dans le pacifique, les tahitiens qui bossaient pour l'armée buvaient n'importe quoi, au point qu'on ne fermait même plus les armoires à clé, vu qu'il cherchaient les after-shave et autres eau de cologne. Il y en a même un qui en est mort, pensant trouver une bouteille d'alcool, il s'en est enquillé la moitié et a eu l'oesophage cramé sur toute la longueur! le gars de l'hosto ont dit qu'il a mis plusieurs jours à claquer!
bon, l'Imovane monte pas, je ne sais plus quoi faire!
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Merci Phoenix!
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- Portoxico
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Loling Zomby
on a le même traitement ou quoi car moi aussi mes deux imovanes quotidiens ont decider de faire la grêve
et je prend aussi du temesta 2,5mg a raison de 4/jour je crois que cette nuit sera blanche.
have fun!!!
on a le même traitement ou quoi car moi aussi mes deux imovanes quotidiens ont decider de faire la grêve
et je prend aussi du temesta 2,5mg a raison de 4/jour je crois que cette nuit sera blanche.have fun!!!
L'ivrogne et l'enfant disent ce qu'ils ont sur le coeur.
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- ZombyWoof
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Ben elle l'est.Ca m'évitera un enterrement demain! je penserai très fort au copain, et à cette saloperie de tabac!
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
(Seule la quantité fait le poison).
--------------------------------------------
Ex "hard-droguiste"
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- ZombyWoof
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Des nouvelles:
J'arrive à un mois (malgré le coup de canif dans le contrat de samedi, une chouille, puis sobre dès dimanche), mais alors il y a une chose qui me gave, c'est l'insomnie, les insomnies, plus exactement!
Que c'est pénible de se gaver de BZD, Noctamide et autres pour n'avoir juste que les yeux lourds, finir par s'endormir à 3 ou 4 h du mat', alors que j'aimerai bien me lever plus tôt...
Non, pas drôle, parce qu'en plus, je pionce 10 heures environ!
Heureusement que j'ai de la volonté (pour certaines choses, sinon j'aime bien glander aussi), donc je m'impose de faire au moins une chose importante par jour, administrations, jardin, nettoyage à ma portée -je suis bien obligé-, mais ça ne pas pouvoir dormir avant minuit pour être frais le matin, c'est chiant.
'Credi, je vais voir mon généraliste et lui demander un peu plus hard comme somnifère, mais je ne veux pas substituer une dépendance à une autre!
Pfffffff!!!!!
J'arrive à un mois (malgré le coup de canif dans le contrat de samedi, une chouille, puis sobre dès dimanche), mais alors il y a une chose qui me gave, c'est l'insomnie, les insomnies, plus exactement!
Que c'est pénible de se gaver de BZD, Noctamide et autres pour n'avoir juste que les yeux lourds, finir par s'endormir à 3 ou 4 h du mat', alors que j'aimerai bien me lever plus tôt...
Non, pas drôle, parce qu'en plus, je pionce 10 heures environ!
Heureusement que j'ai de la volonté (pour certaines choses, sinon j'aime bien glander aussi), donc je m'impose de faire au moins une chose importante par jour, administrations, jardin, nettoyage à ma portée -je suis bien obligé-, mais ça ne pas pouvoir dormir avant minuit pour être frais le matin, c'est chiant.
'Credi, je vais voir mon généraliste et lui demander un peu plus hard comme somnifère, mais je ne veux pas substituer une dépendance à une autre!
Pfffffff!!!!!
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
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- pouety
- Nouveau Psycho
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@Zombiwoof : c'est super que tu tiennes bon, parce que l'alcool, quand. on en devient dépendant, c'est vraiment très dur d'arrêter, tant l'addiction est forte... et puis l'alcool, tu en trouves à tous les coins de rues, bonjour la tentation !
ça fait un mois que tu tiens bon : bravo !
ça fait un mois que tu tiens bon : bravo !
Dernière modification par pouety (11 juin 2013 à 01:10)
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- ZombyWoof
- Psycho sénior
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Merci Pouety.
Mais tout ça résulte d'un challenge; Depuis 15 ans j'ai arrêté le tabac, et en même temps "elle est partie" (sortez les violons", sauf que je n'ai pas supporté et je me suis jeté sur la bière forte, en augmentant les quantités, sans y réfléchir. Bien sur, de temps en temps c'était le rhum blanc ou la vodka en cocktails approximatifs, mais j'ai rarement laissé une bouteille sans la finir.
Ma seule punition, était un vomi désagréable au réveil, d'ou, seau à côté du lit, c'était programmé, et JAMIS un mal de tronche ni une gueule de bois, juste une demie journée de grosse fatigue, et rebelote le soir d'après...
Mais, bon, j'arrive à 65 balais et il ne me reste plus très longtemps à bien profiter de la vie, alors fallait faire un choix, finir la destruction consciencieusement et terminer en chaise roulante à l'hosto, ou arrêter et focaliser sur autre chose.
Pour moi, c'est la moto, les amis et je sens que je vais faire des tests de RC, mais j'ai de l'hypertension, depuis 2000 qui a été une année "coke à donf" et surtout cette HTA est "portale" (de la veine porte), ce qui signe que c'est l'alcool qui l'entretient.
Comme je passe tous les ans coloscopie et endoscopie (on m'a enlevé un petit crabe qui allait devenir mauvais), la toubib m'a fait faire une batterie de scanners, eccodopplers, IRM et j'en passe, et je n'ai pas de cirrhose, juste des signes que ça pourrait ne pas tarder...
Bon, nous dans le médical on se méfie parfois un peu trop, mais là , je me suis persuadé qu'il fallait que je survive (en plus j'ai un petit-fils de même pas 4 ans que j'aimerai un peu voir grandir), alors, j'ai guetté un évènement qui "se barrait en couille", en me jurant que si ça se passait bien, j'arrêtais toute consommation compulsive et régulière, et comme pour le tabac en 1998, je sais que je tiendrais, je veux même trouver la vie belle, alors que je suis assisté, parce que ça urge.
J'essaye de positiver à mort, je fuis les anciens potes "bad vibes", et, étant quand même hors-norme pour mon âge, je me tourne vers des plus jeunes, ou des gens de mon âge qui n'ont pas renié d'être d'anciens 68ards!
Donc, j'y arriverai... C'est difficile a expliquer, mais c'est un mélange d'instinct de survie, de me rattraper des "années noires" que je viens de vivre, et aussi, comme mon corps physique me lache, me rattraper sur le mental.
Voili Voilou! Je suis comme un volcan qui sortirait de son sommeil, là , j'en suis à la phase des premières secousses; Bon, on fait pas du neuf avec du vieux, mais si à 75 ans je tiens toujours sur ma moto, je crois que je serai très heureux; Tout ça en prenant de la dope comme de bons petits plats, pour le plaisir pas pour grossir! lol...
Une fois réglée cette affaire de sommeil, je vais me réactiver, commencer par 3 kms de vélo par jour (je ne peux pas courir, je suis cassé de partout), puis augmenter pour tomber un paquet de kilos, mais ça sera dur, car depuis le stop-tisane, j'ai des fantasmes de glaces, de choses sucrées; Là aussi, c'est pas gagné!
Et toujours pas sommeil, alors que j'ai dentiste à 11h, tout à l'heure
Mais tout ça résulte d'un challenge; Depuis 15 ans j'ai arrêté le tabac, et en même temps "elle est partie" (sortez les violons", sauf que je n'ai pas supporté et je me suis jeté sur la bière forte, en augmentant les quantités, sans y réfléchir. Bien sur, de temps en temps c'était le rhum blanc ou la vodka en cocktails approximatifs, mais j'ai rarement laissé une bouteille sans la finir.
Ma seule punition, était un vomi désagréable au réveil, d'ou, seau à côté du lit, c'était programmé, et JAMIS un mal de tronche ni une gueule de bois, juste une demie journée de grosse fatigue, et rebelote le soir d'après...
Mais, bon, j'arrive à 65 balais et il ne me reste plus très longtemps à bien profiter de la vie, alors fallait faire un choix, finir la destruction consciencieusement et terminer en chaise roulante à l'hosto, ou arrêter et focaliser sur autre chose.
Pour moi, c'est la moto, les amis et je sens que je vais faire des tests de RC, mais j'ai de l'hypertension, depuis 2000 qui a été une année "coke à donf" et surtout cette HTA est "portale" (de la veine porte), ce qui signe que c'est l'alcool qui l'entretient.
Comme je passe tous les ans coloscopie et endoscopie (on m'a enlevé un petit crabe qui allait devenir mauvais), la toubib m'a fait faire une batterie de scanners, eccodopplers, IRM et j'en passe, et je n'ai pas de cirrhose, juste des signes que ça pourrait ne pas tarder...
Bon, nous dans le médical on se méfie parfois un peu trop, mais là , je me suis persuadé qu'il fallait que je survive (en plus j'ai un petit-fils de même pas 4 ans que j'aimerai un peu voir grandir), alors, j'ai guetté un évènement qui "se barrait en couille", en me jurant que si ça se passait bien, j'arrêtais toute consommation compulsive et régulière, et comme pour le tabac en 1998, je sais que je tiendrais, je veux même trouver la vie belle, alors que je suis assisté, parce que ça urge.
J'essaye de positiver à mort, je fuis les anciens potes "bad vibes", et, étant quand même hors-norme pour mon âge, je me tourne vers des plus jeunes, ou des gens de mon âge qui n'ont pas renié d'être d'anciens 68ards!
Donc, j'y arriverai... C'est difficile a expliquer, mais c'est un mélange d'instinct de survie, de me rattraper des "années noires" que je viens de vivre, et aussi, comme mon corps physique me lache, me rattraper sur le mental.
Voili Voilou! Je suis comme un volcan qui sortirait de son sommeil, là , j'en suis à la phase des premières secousses; Bon, on fait pas du neuf avec du vieux, mais si à 75 ans je tiens toujours sur ma moto, je crois que je serai très heureux; Tout ça en prenant de la dope comme de bons petits plats, pour le plaisir pas pour grossir! lol...
Une fois réglée cette affaire de sommeil, je vais me réactiver, commencer par 3 kms de vélo par jour (je ne peux pas courir, je suis cassé de partout), puis augmenter pour tomber un paquet de kilos, mais ça sera dur, car depuis le stop-tisane, j'ai des fantasmes de glaces, de choses sucrées; Là aussi, c'est pas gagné!
Et toujours pas sommeil, alors que j'ai dentiste à 11h, tout à l'heure
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- ZombyWoof
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5 semaines, état des lieux:
J'ai arrêté le 12 mai, samedi 8 juin, il y a eu une chouille, donc coup de canif dans le contrat; Le lendemain j'ai bu une bière, et c'est tout; Avant-hier j'ai fait du Mojito pour des potes, je l'ai gouté en le préparant, mais valeur d'un verre à vin;
-------------------------------------------
Ce qui va bien:
-Je sens que je ne reprendrai pas une conso compulsive, je n'ai pas envie de bière forte, ni de rien, mais je ne resterai pas dans mon coin si l'ambiance est bonne.
-Ma tirelire s'épaissit; En mettant 2€ quand j'y pense, je viens de fairele change, j'ai 40€, déjà ça de pris pour l'essence de ma moto!
-------------------------------------------
Ce qui ne va pas bien:
-Sommeil: C'est du grand nawak! Obligé de prendre du noctamide et autres BZD, et même 50 mg de Loxapac (un neuroleptique d'action rapide), pour dormir 5 à 7 heures, alors qu'avant c'était plutôt 10.
-Fatigue: Incroyable, j'ai l'impression d'avoir vieilli de 5 ans, j'ai des envies de coke ou d'amphèts, tellement je pique du nez.
-Tension: Ma tension artérielle a baissé, ce qui est bon, vu que je frisais les 20 de maxi, là , je ne dépasse pas 15 (ce qui explique peut-être la fatigue).
Conclusion:
Le moral y était au début, je suis toujours optimiste, mais c'est une sorte de manque; Pas besoin de le prouver, mais 15 ans d'alcoolisme ça "tient chaud", mais arrêter net, c'est dur, pas les premiers jours, mais au bout de 3 semaines; Je ne parle que de mon cas, en n'oubliant pas que je suis né 3 ans après la guerre, donc un "vioque", maintenant.
Les envies? Pas l'alcool, mais une bonne écroule le soir, et du speed pendant la journée.
Vu le budget, et surtout pour ne pas remplacer une dépendance par une autre, je me limite au Red Bull.
Voilà .
J'ai arrêté le 12 mai, samedi 8 juin, il y a eu une chouille, donc coup de canif dans le contrat; Le lendemain j'ai bu une bière, et c'est tout; Avant-hier j'ai fait du Mojito pour des potes, je l'ai gouté en le préparant, mais valeur d'un verre à vin;
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Ce qui va bien:
-Je sens que je ne reprendrai pas une conso compulsive, je n'ai pas envie de bière forte, ni de rien, mais je ne resterai pas dans mon coin si l'ambiance est bonne.
-Ma tirelire s'épaissit; En mettant 2€ quand j'y pense, je viens de fairele change, j'ai 40€, déjà ça de pris pour l'essence de ma moto!
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Ce qui ne va pas bien:
-Sommeil: C'est du grand nawak! Obligé de prendre du noctamide et autres BZD, et même 50 mg de Loxapac (un neuroleptique d'action rapide), pour dormir 5 à 7 heures, alors qu'avant c'était plutôt 10.
-Fatigue: Incroyable, j'ai l'impression d'avoir vieilli de 5 ans, j'ai des envies de coke ou d'amphèts, tellement je pique du nez.
-Tension: Ma tension artérielle a baissé, ce qui est bon, vu que je frisais les 20 de maxi, là , je ne dépasse pas 15 (ce qui explique peut-être la fatigue).
Conclusion:
Le moral y était au début, je suis toujours optimiste, mais c'est une sorte de manque; Pas besoin de le prouver, mais 15 ans d'alcoolisme ça "tient chaud", mais arrêter net, c'est dur, pas les premiers jours, mais au bout de 3 semaines; Je ne parle que de mon cas, en n'oubliant pas que je suis né 3 ans après la guerre, donc un "vioque", maintenant.
Les envies? Pas l'alcool, mais une bonne écroule le soir, et du speed pendant la journée.
Vu le budget, et surtout pour ne pas remplacer une dépendance par une autre, je me limite au Red Bull.
Voilà .
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- pouety
- Nouveau Psycho
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Tu es dans une bonne dynamique, c'Est encourageant. Je comprends tes envies d'ecroule le soir...j'Ai les mêmes, et pas que le soir. Continue ainsi à t'accrocher et à tenir bon. Honnêtement, chapeau ! Rester stoïque devant l'alcool, t'as du mérite, vu comme l'alcool est addictif
Tous mes encouragements !
Tous mes encouragements !
Dernière modification par pouety (18 juin 2013 à 22:14)
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- ZombyWoof
- Psycho sénior
- Inscrit le 30 May 2013
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Si tu veux, le plus fort de ma motivation vient du fait qu'il faut "ménager la machine", surtout quand tu te traînes, passé un âge et les années d'excès.
Je suis tout étonné d'arriver à 65 balais, à 30 ans j'étais persuadé que je n'y arriverai jamais, alors, qu'il me reste 5, 10 ou 15 ans à vivre, j'ai vraiment envie que ça soit bien.
Déjà qu'il m'a fallu plus de 10 ans pour accepter de vivre seul, j'ai bien envie de profiter un dernier coup de la vie, vu que "j'enterre" les copains à tour de bras...
J'ai oublié dans mon CR: La bouffe!
Je me gave de glaces et autres conneries, ça, c'est pas glop!
Je suis tout étonné d'arriver à 65 balais, à 30 ans j'étais persuadé que je n'y arriverai jamais, alors, qu'il me reste 5, 10 ou 15 ans à vivre, j'ai vraiment envie que ça soit bien.
Déjà qu'il m'a fallu plus de 10 ans pour accepter de vivre seul, j'ai bien envie de profiter un dernier coup de la vie, vu que "j'enterre" les copains à tour de bras...
J'ai oublié dans mon CR: La bouffe!
Je me gave de glaces et autres conneries, ça, c'est pas glop!
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- pouety
- Nouveau Psycho
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C'est un bon projet de vie : prendre soin de soi... et profiter du temps qu'Il nous reste. Je suis plus jeune que toi, pas franchement au top dé la forme, jamais trop fait d'excès. Au contraire, à cause de mes soucis de santé, j'ai dû me brider et vivre une vie très plan-plan... je n' enquille pas la solitude.. du coup, j'ai plus envie de m'assomer pour ne plus ressentir autant de tristesse.
Comme quoi, certaines périodes simples propices que d'autres pour l'arrêt de conso -quel que soit le.prod- et la motivation est un facteur essentiel..
Continue bien sur cette voie de la sagesse...
Comme quoi, certaines périodes simples propices que d'autres pour l'arrêt de conso -quel que soit le.prod- et la motivation est un facteur essentiel..
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- ZombyWoof
- Psycho sénior
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Merci Pouety, et bon courage à toi aussi!
Un terme que je trouve mal approprié, c'est "usage récréatif"; Il y a des récréations qui sont trop longues; Maintenant, ce sera les exceptions, un bon verre en mangeant, un whisky au coin du feu, et c'est tout.
Un terme que je trouve mal approprié, c'est "usage récréatif"; Il y a des récréations qui sont trop longues; Maintenant, ce sera les exceptions, un bon verre en mangeant, un whisky au coin du feu, et c'est tout.
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- ZombyWoof
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Félure:
J'ai eu un doute, vendredi, car j'en bavais trop, je ne savais pas si c'était la maladie de Lyme (positif stade II), ou le contrecoup du sevrage;
J'ai essayé 2 litres de bière "pas forte", et ça allait mieux; Psychisme, ou véritable effet?
Aujourd'hui, j'ai acheté 2 8.6, j'en ai bu une, puis je me suis senti "coincé", j'ai donné, la 2ème à un mec qui tapait la manche.
Putain d'alcool, on retombe vite, mais ça va, c'est passé, je cachetonne plutôt.
J'ai eu un doute, vendredi, car j'en bavais trop, je ne savais pas si c'était la maladie de Lyme (positif stade II), ou le contrecoup du sevrage;
J'ai essayé 2 litres de bière "pas forte", et ça allait mieux; Psychisme, ou véritable effet?
Aujourd'hui, j'ai acheté 2 8.6, j'en ai bu une, puis je me suis senti "coincé", j'ai donné, la 2ème à un mec qui tapait la manche.
Putain d'alcool, on retombe vite, mais ça va, c'est passé, je cachetonne plutôt.
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- prescripteur
- Modérateur
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????????????????????????????????????????
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (24 juin 2013 à 22:38)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- ZombyWoof
- Psycho sénior
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Pour dormir et mes douleurs! qui veut 30 kgs
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- ZombyWoof
- Psycho sénior
- Inscrit le 30 May 2013
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Bad news!
2 mois après mon arrêt brutal, tout se passait bien, je m'autorisais de ci de là une chouille ou un verre en mangeant (pratique, la moto, on sait les risques de boire et conduire), puis il y a eu le coup de canif (de couteau) programmé, du 14 au 21 chez des amis dans les Pyrénées, avec l'apéro, le rosé en mangeant, la bière fraîche dans la piscine, et la coupe colonel à la vodka polonaise en "night cap".
Une soirée dégustation de Whisky, en finissant sur des Islay comme l'excellent Laphroaigh, pour terminer, puis le 22 re-régime sec, avec 480 kms de moto au programme...
J'arrive pour replonger dans les soucis, en même temps que je sens monter une période dépressive (Hé oui, je suis bipolaire et bien conscient de mes phases).
Samedi, sous prétexte d'aller voir un vieux copain qui fermait son bouclard pour cause de retraite, je me suis isolé et j'ai bu 2 bières à 8°; Aujourd'hui, pareil, les 2 mêmes...
Je suis rentré, en faisant quelques courses, les bouteilles d'alcool me faisaient de l'oeil, mais je n'ai pas craqué; Cependant, je n'ai que les BZD pour me filer un très léger coup de main, et c'est sur, je tournerai encore à 4 heures du matin.
La solitude plus la déprime, ça met la barre très haut quand on veut arrêter! Et même pas de THC, parce que pas de fric, surtout qu'il n'y a que du "tcherno" dans le trou du cul du monde où je zone!
2 mois après mon arrêt brutal, tout se passait bien, je m'autorisais de ci de là une chouille ou un verre en mangeant (pratique, la moto, on sait les risques de boire et conduire), puis il y a eu le coup de canif (de couteau) programmé, du 14 au 21 chez des amis dans les Pyrénées, avec l'apéro, le rosé en mangeant, la bière fraîche dans la piscine, et la coupe colonel à la vodka polonaise en "night cap".
Une soirée dégustation de Whisky, en finissant sur des Islay comme l'excellent Laphroaigh, pour terminer, puis le 22 re-régime sec, avec 480 kms de moto au programme...
J'arrive pour replonger dans les soucis, en même temps que je sens monter une période dépressive (Hé oui, je suis bipolaire et bien conscient de mes phases).
Samedi, sous prétexte d'aller voir un vieux copain qui fermait son bouclard pour cause de retraite, je me suis isolé et j'ai bu 2 bières à 8°; Aujourd'hui, pareil, les 2 mêmes...
Je suis rentré, en faisant quelques courses, les bouteilles d'alcool me faisaient de l'oeil, mais je n'ai pas craqué; Cependant, je n'ai que les BZD pour me filer un très léger coup de main, et c'est sur, je tournerai encore à 4 heures du matin.
La solitude plus la déprime, ça met la barre très haut quand on veut arrêter! Et même pas de THC, parce que pas de fric, surtout qu'il n'y a que du "tcherno" dans le trou du cul du monde où je zone!
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- drugstore cowboy
- Repose en Paix
- Inscrit le 27 Feb 2013
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Mauvaise passe pas Zombywoof, si je pouvais faire quelque chose pour toi mais hélas...
t'inquiète c'est surement une mauvaise passe, bon courage personne n'est invicible.
Sincèrement et amicalement.
DC
t'inquiète c'est surement une mauvaise passe, bon courage personne n'est invicible.
Sincèrement et amicalement.
DC
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- Ricoson
- Adhérent PsychoACTIF
- Inscrit le 28 Jun 2012
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ZBW, si j'en avais les moyens physique, soit pas de boulot cette semaine et le fiston chez sa Mère, j'irai dans mon spot en "cage d'escalier" dont je t"'ai parlé en MP chercher de la Ganja de qualité, et irai prendre le train directement pour rejoindre ton patelin.
Reprends la barre et tiens bon le vent, camarade.
Facile a dire me répondras tu avec ton langage d'un gout nature et sans détour.
C'est quoi ta vielle moto 900C ?? Je ne pèse pas lourd pour te freiner.... On ferai une moyenne tout a fait correcte, et on irait trainer entre les volcans, en se racontant des histoires d'ancien combattant.
Je parle tout le temps, et tu serai vite fatigué, mais le THC te le ferai oublié.
Mes amitiés "grand frère" et retrouve le "bon temps rouler".
Quand je suis en retraite, fin 2014, je t'amène au bord du bayou.....
RicoSon.
Reprends la barre et tiens bon le vent, camarade.
Facile a dire me répondras tu avec ton langage d'un gout nature et sans détour.
C'est quoi ta vielle moto 900C ?? Je ne pèse pas lourd pour te freiner.... On ferai une moyenne tout a fait correcte, et on irait trainer entre les volcans, en se racontant des histoires d'ancien combattant.
Je parle tout le temps, et tu serai vite fatigué, mais le THC te le ferai oublié.
Mes amitiés "grand frère" et retrouve le "bon temps rouler".
Quand je suis en retraite, fin 2014, je t'amène au bord du bayou.....
RicoSon.
Dernière modification par Ricoson (30 juillet 2013 à 06:24)
Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!
La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.
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- mariemeuh
- Psycho junior
- Inscrit le 05 Jan 2013
- 209 messages
Bonjour!
pas évident tout ça! De plus, quand peut on estimer que sa consommation est excessive? A partir de combien de verres (ou bouteilles)? Où mettre le curseur?
Tout ce que je sais c'est que j'avais une relation malsaine vis à vis de ce produit. Une consommation excessive: je ne me considérais "bien" que lorsque j'avais réussi à vider la bouteille, mais bien sûr quelque fois j'en débouchais une seconde. Impossible de m'arrêter tant qu'elle n'était pas vide.... Je ne ressentais plus l'ivresse, juste de la fatigue et je tombais dans un sommeil lourd, lourd de rêves pas agréables. Je n'avais pas le vin mauvais (heureusement) peut être un peu triste.... (je ne sais si j'ai commencé à boire plus que de raison si j'étais dépressive, ou si c'est ma conso qui m'a rendue dépressive).
A un moment donné ai eu honte d'aller vider tous mes cadavres en verre qui s'entrechoquaient... si bien que je suis passée au cubi, plus pratique! ma consommation devenait de plus en plus importante. A qui en parler? Ma famille m'avait déjà fait une ou 2 remarques en rigolant, faut dire que j'arrivais à me contenir "en société", mais dès que je rentrais chez moi direction mon cubi.... Puis j'ai arrêté de sortir pour ne pas avoir à rencontrer les gendarmes sur la route...
Puis est venu le temps où l'image dans le miroir me déplaisait, le temps où mes mains tremblaient lorsqu'il fallait que je mette les clefs dans les serrures pour ouvrir les salles de classe, puis est venu le temps où j'ai commencé à pleurer chez le psy, le jour où je me suis posée des questions, le jour où je me suis dit "c'est plus possible", le jour où j'ai arrêté.... Il y a 3 ans.
Parfois il me semble entendre une petite voix qui me dit "juste un verre et c'est tout", mais je me connais assez pour savoir que je n'aurai pas la force de ne prendre que cet unique verre. Je me dis parfois que lorsque je saurai ma dernière heure venue je boirai à nouveau.....
3 ans que je me dis "un jour après l'autre", que j'avance à petit pas, que je ne crie pas victoire. Mon père buvait (en Italie aussi boire fait partie du savoir vivre) et je me souviens de quelques unes de ses colères quand il avait exagéré, mon grand frère boit énormément (mais n'a pas de souci selon lui avec sa consommation), et moi j'ai bu (espère que je peux définitivement en parler au passé)...
Il me semble aussi que l'on fait une différence entre un homme qui boit (c'est pas bien mais on comprend) et une femme (on ne lui trouve que peu d'excuses).
Tous les lundis des amis viennent manger chez moi, il y a du vin mais dès qu'ils partent, s'il en reste un fond, je le vide immédiatement dans l'évier.... je dois être vigilante, je me sais fragile vis à vis de ce produit (j'ai même mis à la poubelle un petit tonneau de bière pression qui me faisait de l'oeil récemment).
3 ans plus tard je me dis encore "un jour après l'autre" et je crois que ces mots là m'accompagneront longtemps encore...
Aujourd'hui je vais mieux, j'ai une meilleure image de moi-même, et alors qu'au début de mon abstinence je rêvais souvent que je buvais un bon verre de vin, je dors mieux et je ne fais plus de rêve de la sorte, j'en avais parlé au psy tellement j'en avais été troublée et mal au réveil....
Je garde un boîte d'espéral comme garde fou, je ne veux plus revivre mon passé, et être amoureuse ça aide pas mal aussi!
Bonne journée à tous et courage à tous ceux qui en ont besoin!
pas évident tout ça! De plus, quand peut on estimer que sa consommation est excessive? A partir de combien de verres (ou bouteilles)? Où mettre le curseur?
Tout ce que je sais c'est que j'avais une relation malsaine vis à vis de ce produit. Une consommation excessive: je ne me considérais "bien" que lorsque j'avais réussi à vider la bouteille, mais bien sûr quelque fois j'en débouchais une seconde. Impossible de m'arrêter tant qu'elle n'était pas vide.... Je ne ressentais plus l'ivresse, juste de la fatigue et je tombais dans un sommeil lourd, lourd de rêves pas agréables. Je n'avais pas le vin mauvais (heureusement) peut être un peu triste.... (je ne sais si j'ai commencé à boire plus que de raison si j'étais dépressive, ou si c'est ma conso qui m'a rendue dépressive).
A un moment donné ai eu honte d'aller vider tous mes cadavres en verre qui s'entrechoquaient... si bien que je suis passée au cubi, plus pratique! ma consommation devenait de plus en plus importante. A qui en parler? Ma famille m'avait déjà fait une ou 2 remarques en rigolant, faut dire que j'arrivais à me contenir "en société", mais dès que je rentrais chez moi direction mon cubi.... Puis j'ai arrêté de sortir pour ne pas avoir à rencontrer les gendarmes sur la route...
Puis est venu le temps où l'image dans le miroir me déplaisait, le temps où mes mains tremblaient lorsqu'il fallait que je mette les clefs dans les serrures pour ouvrir les salles de classe, puis est venu le temps où j'ai commencé à pleurer chez le psy, le jour où je me suis posée des questions, le jour où je me suis dit "c'est plus possible", le jour où j'ai arrêté.... Il y a 3 ans.
Parfois il me semble entendre une petite voix qui me dit "juste un verre et c'est tout", mais je me connais assez pour savoir que je n'aurai pas la force de ne prendre que cet unique verre. Je me dis parfois que lorsque je saurai ma dernière heure venue je boirai à nouveau.....
3 ans que je me dis "un jour après l'autre", que j'avance à petit pas, que je ne crie pas victoire. Mon père buvait (en Italie aussi boire fait partie du savoir vivre) et je me souviens de quelques unes de ses colères quand il avait exagéré, mon grand frère boit énormément (mais n'a pas de souci selon lui avec sa consommation), et moi j'ai bu (espère que je peux définitivement en parler au passé)...
Il me semble aussi que l'on fait une différence entre un homme qui boit (c'est pas bien mais on comprend) et une femme (on ne lui trouve que peu d'excuses).
Tous les lundis des amis viennent manger chez moi, il y a du vin mais dès qu'ils partent, s'il en reste un fond, je le vide immédiatement dans l'évier.... je dois être vigilante, je me sais fragile vis à vis de ce produit (j'ai même mis à la poubelle un petit tonneau de bière pression qui me faisait de l'oeil récemment).
3 ans plus tard je me dis encore "un jour après l'autre" et je crois que ces mots là m'accompagneront longtemps encore...
Aujourd'hui je vais mieux, j'ai une meilleure image de moi-même, et alors qu'au début de mon abstinence je rêvais souvent que je buvais un bon verre de vin, je dors mieux et je ne fais plus de rêve de la sorte, j'en avais parlé au psy tellement j'en avais été troublée et mal au réveil....
Je garde un boîte d'espéral comme garde fou, je ne veux plus revivre mon passé, et être amoureuse ça aide pas mal aussi!
Bonne journée à tous et courage à tous ceux qui en ont besoin!
Je suis Charlie
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- Ricoson
- Adhérent PsychoACTIF
- Inscrit le 28 Jun 2012
- 1820 messages
Bonjour Marie.
Quel témoignage riche d'enseignement.
Profite l'amoureuse.
J'ai vécu une histoire de cul avec une nana a ma sortie de ma première période.
Elle était dans ma Boite. On lichait tous les deux comme des fous. Elle était sympa, mais l'amour, comme le cul tous les jours bourrés, ca m'a gavé.
Puis j'ai rencontré ma femme (mon ex maintenant) dans une boite de Salsa. Elle était gaie, mais je voyais bien que c'était rare pour elle. Je m'étais dit. Si elle ne fumes pas de pétard, elle sera mienne.
Les addictions en couple, c'est dur.
Elle m'a dit. Ça jamais et c’était vrai.
Je l'ai épousé.........ce qui n'a pas empêché de capoter.
Rico
Quel témoignage riche d'enseignement.
Profite l'amoureuse.
J'ai vécu une histoire de cul avec une nana a ma sortie de ma première période.
Elle était dans ma Boite. On lichait tous les deux comme des fous. Elle était sympa, mais l'amour, comme le cul tous les jours bourrés, ca m'a gavé.
Puis j'ai rencontré ma femme (mon ex maintenant) dans une boite de Salsa. Elle était gaie, mais je voyais bien que c'était rare pour elle. Je m'étais dit. Si elle ne fumes pas de pétard, elle sera mienne.
Les addictions en couple, c'est dur.
Elle m'a dit. Ça jamais et c’était vrai.
Je l'ai épousé.........ce qui n'a pas empêché de capoter.
Rico
Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!
La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.
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