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Dernière modification par samaritaine72 (11 juin 2013 à 09:22)
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Dernière modification par elychips (11 novembre 2013 à 12:56)
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Dernière modification par lestat (15 novembre 2013 à 16:57)
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Dernière modification par Croismoi (16 novembre 2013 à 23:21)
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psychoniac a écrit
Salut,
Pour moi le cannabis ne me sert plus à me percher depuis déjà un bon moment.
Et depuis que j'ai stopper les autres prods il y à un an il me sert carrément de béquilles pour ne pas picoler ou prendre d'autre truc.
Il me permet de calmer mes angoisses et aussi d'affronter la vie quotidienne sans péter les plombs.
Je crois même qu'il me procure plus de stabilité que la paroxétine ou le tercian.
Voilà à bientôt.
Je plussoie ce message également.
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rados a écrit
salut!
en ce qui me concerne, le cannabis m'a permis de stopper certaines consommations, notamment celle de MD. Apres en avoir tapé tous les jours pendant un peu plus d'un mois et demi (sniffée, mélangée a l'alcool, et pas mal de fume), certains proches m'ont incité (assez violemment d'ailleurs ^^) a stopper complètement. c'est alors que j'ai substitué ce prod et l'alcool (que je consommais quotidiennement, mais sans grosse dépendance, peut etre un peu psychologique, mais tres soutenable) , par la ganjah, qui m'a permis d'éviter de péter les plombs (nerveux de nature, a tendance hyperactif, je vous raconte pas sous amphet ).
ça m'a aussi permis d'atténuer une depression, qui, a mon avis, a toujours été plus ou moins presente, mais accentué par l manque de MD.
aujourd'hui, je consomme le cannabis, en douille, par manque de moyen financier, et, je dois avouer que je suis dépendant, à cette formidable plante, et rêve, comme Samaritaine, de me débarrasser de toute forme de dépendance, et surtout, à celle du trafic!!!
j'ai un connaissance, qui a réussi, (avt de replonger, 6 mois apres..) a effectuer un sevrage a l'alcool, et a la came, surtout grace au cannabis, et quelque benzos. pour l'avoir accompagné un an tous les jours dans cette démarche, je peux assurer que sans beuh, il n'aurait pas tenu, et ne serait plus parmis nous...
$
Encore une fois, je plussoie, je n'aurais pas eu d'herbe poour m'aider lors de mon sevrage d'hero (il y a quelques années maintenant), je n'aurait jamais tenu ( sevrage sec, enfin, sans TSO, medocs pour les symptomes, cannabis pour l'anxiété, calmer les courbatures etc. (par contre, il augmente légèrement le manque après la proise je trouve, surtout les sensations de chaud froid, mais ça passe en 5 min)
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Dernière modification par Bicicle (31 décembre 2013 à 03:19)
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Bicicle a écrit
Après, cet effet contre-productif vient peut-être de l'abus... C'est sur que fumer joint sur joint n'aide pas forcément à faire d'autres activités. Mais peut-être qu'avec modération, voire à doses plus petites, histoire de pas se saturer en THC (qui est connu pour avoir des vertus déprimantes)... A voir ! Car avec l'Amnesika (variété sativa) que j'avais il y a genre 2 ans, si j'en prenais une mini dose, genre un tiers de joint, là ça avait un effet plus bénéfique. Mais dès que j'abusais, c'était l'inverse.
Après, ce sont que des constatations personnelles, rien de fiable donc.
Mêmes constatations que toi sur ce problème du dosage. Dès que je commence à avoir les symptômes d'une surconsommation, je pèse chaque matin la quantité nécessaire à mon bien-être (entre 1 et 2 grammes selon la qualité et le moment) et ne dépasse pas ce que je me suis fixé.
Résultat : pas de démotivation et une arrivée sur soixante ans plutôt sympatoche (plus de tentations pour des choses plus hard que je laisse à de plus jeunes que moi).
Il va sans dire que j'ai vécu mon traitement VHC (trithérapie) bien plus facilement avec que sans (certains animateurs du forum ont vu ma tronche pendant le traitement).
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exemple d'ordonnance type, sachant qu'on varie fréquemment pour limiter l'accoutumance :
contre l'anxiété sociale :
- seroplex 20mg : 1 le matin
- tercian à volonté
pour dormir :
- seresta 50, 4 comprimés
- theralène 4% : 50 à 100 gouttes le soir
- mélatonine : 8mg quand on peut (les autistes ne produisent pas ou peu cette mollécule nécessaire à l'endormissement.. et la sécu ne rembourse que quand elle le veut bien)
- Zopiclone 7.5mg : 1 comprimé au coucher + autant que nécessaires pour se rendormir lors des fréquents réveils nocturnes
- noctamide 2mg : plusieurs cachets en complément
+ anti-épileptiques
et du tramadol pour les douleurs
Par le passé, j'ai également été mis, entre-autres, sous risperdal à hautes doses. J'ai été un légume pendant deux ans.
Malgré tout cela, autant le dire, je dors peu et mal. Par contre, évidemment, j'ai la tête dans le cul toute la journée.
Je ne parle même pas de la dégénerescence neuronale induite par toutes ces merdes, dont je ressens déjà les premiers effets à même pas 35 ans. Le Seresta, par exemple, est connu pour favoriser Alzheimer (et j'ai des antécédants familiaux). Quant aux somnifères, j'en prends quotidiennement depuis bientôt 20 ans alors qu'une prescription n'est pas censée excéder 6 mois. hmm
J'ai consulté de nombreux psychiatres, spécialistes du sommeil, neurologues... Tous ont avoué leur incapacité à trouver quelque solution à mes problèmes. Et tous ont reconnu que le cannabis était la meilleure option.
Les spécialistes (psys et neurologues) m'ont en effet conseillé de maintenir ma conso de cannabis puisqu'elle me permet de diminuer les médocs. Ils me disent "le cannabis, c'est pas top, mais beaucoup moins nocif que ce qu'on vous prescrit, alors si ça marche... continuez !" . Et plusieurs m'ont confirmé ce que j'avais lu dans différentes études anglo-saxonnes et témoignages, à savoir que certaines variétés de cannabis sont efficaces pour atténuer certains symptômes autistiques. Par contre, attentention pour l'épilepsie : certaines variétés calment les crises ; d'autres les amplifient ; et c'est encore très peu documenté.
En cultivant une variété au taux de CBD élevé pour dormir, une autre pour calmer l'épilepsie, une pour soulager les douleurs et une plus stimulante pour contrer les effets secondaires des somnifères et limiter l'anxiété sociale, on a pu diviser les doses de médicaments par 4 à 5 et j'ai pu continuer mes études et bosser, ce que je ne peux pas faire sans cannabis.
Mais il ne faut pas fumer n'importe quoi n'importe comment. Sinon je suis juste stone toute la journée et c'est contre-productif.
Suite à la saisie de mes plants on a dû remonter les doses de neuroleptiques, je dors très peu et très mal, et je suis de nouveau dans le coltard en journée, ce qui me rend totalement improductif. L'anxiété sociale liée à l'autisme est aussi beaucoup plus handicapante. J'ai beaucoup de mal à me concentrer. Et j'ai refait deux crises d'épilepsie. À ce jour, je ne vois pas de solution.
Je précise que ma consommation était très importante : 10 à 20g par jour, facile. J'avais arrêté le tabac. J'ai repris depuis que je suis en rade de weed.
Dernière modification par Emz0 (23 janvier 2017 à 10:20)
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