Pour ma part j'ai même diminuer la fumé, je pense que mes activités, Psycho et safe, y sont pour beaucoup.
Et puis à la longue mes désirs ont changé.
En tout cas mister no, cool de voir qu'il est possible de ne pas être "malade " alcoolique. D'ailleurs ce soir j'ai un petit verre de rouge pour accompagner mon repas et un autre en digestif avec mon stick.
A la tienne. Même pas de vinaigre qu'ils disaient.
wé quand je bosse, je fume beaucoup moins mais je conserve mon pet du matin et deux trois le soir ou mieux, si j'ai de la teinture mère (lP) dans la boite à pharma, je ne fume plus du tout. Des fois, chuis tellement claqué que je ne trouve pas la force de fumer le soir vu que je dors. Au taf, je considère que c'est gâché et cela reste appréciable de faire une pause de 12 heures.
Je me considère comme guéri, disons guéri comme stabilisé, en rémission. Pas bu ce week end... d'ailleurs, j'avais de quoi faire... j'ai de quoi faire. Je garde précieusement cette bouteille quand ma cop aura décidé de boire un apéro. Il me faut un set and setting soigné. Tiens, d'ailleurs, depuis que je canalise ma conso, je suis devenu un buveur exclusif, enfin pour apéro ou soirée. Avant, je pouvais boire de tout, avec certaines préférences pour les long drink. (rhum gin vodka arrangé, pastaga, alcool soda à bulles voire crémants et champagnes, vins et binouzes) Maintenant, il me faut mon sky coca que je sais doser avec une précision chirurgicale. Surtout, quand je sens que j'ai ma dose et que ça sert pas à grand chose (en terme de pur plaisir) d'aller plus loin, je me rince au coca ou autres. J'ai l'impression qu'avec d'autres alcools, je maîtrise un peu moins le dosage sur une soirée. Peut-être aussi que de me limiter à un mix me permet d'esquiver certaines situations... Des fois ma cop a envie d'un apéro après une dure journée. Si je n'ai pas mon mélange favori, c'est juste cool de ne pas l'accompagner avec un verre. ça ne m’empêche pas de passer une bonne soirée avec elle. Elle m'a toujours accompagné quand je prenais sel des zopis ou des stims... jamais jugé pour mes abus. On s'aime tels qu'on est et même quand on est défoncés. Elle m' a toujours soutenu après une OD ou conduit aux urgences et des fois, c'est moi qui lui tient la bassine pasqu'elle se met des claques trop fortes pour sa faible tolérance à l'alcool et au cannabis. Cette semaine, au cas où, je serai prêt. Pareil si jamais des potes passaient aux alentours de l'heure de l'apéro. C'est pas une obligation de l'essorer dans la semaine ; je peux attendre le week-end ou une autre fois si le week end prochain n'est pas propice à une glanderie de chanvres et spiritueux.
Dernière modification par Mister No (22 juin 2015 à 10:24)
Donc niveau consommation d'alcool ça va plutôt bien, malgré un enchaînement de catastrophe funéraire et autres pertes et déceptions. J'ai eu une période où je consommait un peu plus, disons tous les jours. Mais depuis mon retour progressif sur psychoactif je boie moins, étant régulièrement dans des bibliothèques, ou des cafés des fois. Je m'impose alors de partir à la fin de la deuxième bière, car en très peu de temps les 2 bières qui m’enivraient ne me donnait plus la joie des premiers jours.
Je me suis aussi mis au bricolage et à la récupération de palette pour nous faire du mobilier, et je me remets sur la suite de mon mémoire. Les derniers événements avaient eu raison de moi et mon cerveau ne fonctionnait plus comme auparavant. J'ai donc bâcler une partie de mon mémoire.
Au jour d'aujourd'hui j'ai réussi à revenir à une consommation géré comme avant ces incidents. Il ne me reste plus qu'a continuer de retrouver ma place dans la société.
Miky, j'ai ouvert un file ou on parle concept (tu aimes bien les concepts canadiens).
On y parle de dernier verre. Celui qui est en principe la limite a ne pas dépasser. Et qui permet de recommencer son "premier verre" le lendemain. Au premier verre, tu prévoies qu'elle sera le dernier. Ta limite, sinon, tu t'écroules. Tu le calcules, et c'est celui la que tu cherches.
Expression dans les bars: Allez, un ptit dernier obsèques !
Ca devrait te plaire, si tu ne l'as encore écouté.
Tu n'es peut être, de mon point de vue q'un buveur excessif. Peut être pas encore alcoolique. Il y a une barrière et des personnalités qui peuvent faire une différence, la ou ce ne serait pas possible avec d'autres produits. En tout cas, ton file me plait et je rebondis sur ce que tu décris clairement et sans façons. C'est complexe et c'est le produit le plus utilisé tout de meme.
Oui, j’espère aussi des témoignages.
Rico.
bonjour vous avez tout à fait raison, le vrai problème c'est soit disant dernière verre! moi je suis capable de boire 4l de rhum en une journée!
mouais ben moi j'ai replongé, c'est évident, j'ai recommencé a me mentir et à mentir aux autres mais je le sens venir......fourbement, insidieusement.........
Après plusieurs arrêts forcés pour pb judiciaires liés a l'"alcool au volant j'ai du, il y-a 3/4 ans tout stopper définitivement.....Juge d'application des peines, psychiatre en liens avec ce dernier, traitement, prise de sang régulière pour suivi.......bref...un vrai bordel........
Du coup je m'étais fait une vie sans alcool, avec du sport, beaucoup de sport............les suivis étant terminés j'ai décidé il y-a un an de re boire, occasionnellement ( que j'pensais).......au départ c'était avec des limites, me promettant que si je les franchissais, je stopperais tout...mais en fait le diable m'a roulé dans la farine.........j'ai allègrement explosé ces saloperies de limites de merde pour me revautrer dans les mêmes dérapages qu'auparavant..........les mêmes........pires même.......
Hier soir il m'est arrivé un épisode doloureux, un épisodes qui me renvois brutalement a tous ce dont je ne voulais plus.......et une semaine avant je me suis réveillé avec de nouveau marqué en gros dans mon champ de vision "l'alcool a pris le controle de ta vie".........c'est revenu, cette possession.......
Bref je vais pas me mettre à chialer je le sentais venir..............donc hier soir j'ai grave merdé, j'ai eu grave de la chance aussi....et puis cet apem j'ai eu un épisode de grosse grosse chanceµ.....le genre de truc qui t'arrive dans certaines situations ou toute ta vie pourrai basculer connement et tu passe au travers..............et là je me suis dis "c'est un signe"........je dois réagir là ...bannir l'alcool une fois de plus.
Je ne veux pas de traitement et puis pas besoin vu que je peux rester une semaine à faire du sport sans toucher une goutte..mon mal est psychiatrique et même pas psychologique je pense.......c'est bien ce qui me fais peur........fais chier de retourner chez les alcolos anonymes ( on en a parlé sur un topic que j'ai ouvert à ce sujet) mais bon ça va me secouer les puces......et puis je vois pas trop qui pourrait m'aider et surtout comment...suis un peu seul là ...je vais gérer, pas peur...plutot que ça fais chier de voir qu'on a échoué lamentablement mais il ne m'est rien arrivé de grave.......pas encore.
Dernière modification par toon77 (18 septembre 2016 à 22:14)
mouais ben moi j'ai replongé, c'est évident, j'ai recommencé a me mentir et à mentir aux autres mais je le sens venir......fourbement, insidieusement.........
toon77 a écrit
les suivis étant terminés j'ai décidé il y-a un an de re boire, occasionnellement ( que j'pensais).......au départ c'était avec des limites, me promettant que si je les franchissais, je stopperais tout...mais en fait le diable m'a roulé dans la farine.........j'ai allègrement explosé ces saloperies de limites de merde pour me revautrer dans les mêmes dérapages qu'auparavant..........les mêmes........pires même.......
Moi ça fait 45 ans que je suis dedans, en plus d'autres prods... Des arrêts j'en ai fait des tas, de quelques jours à plusieurs mois, mais j'ai toujours fini par retomber dedans.
La dernière fois, c'était pour l'anniversaire de mon frangin... Je n'avais pas bu depuis plus de 6 mois mais je ne m'imaginais pas rester sobre alors que tout le monde serait plus ou moins bourré à la fin de la soirée.
Je me suis dit "une fois exceptionnellement ça ne va pas me faire de mal", et ben si. Le diable a surgit de sa boite et m'a entrainé avec lui...
Depuis je n'ai pas arrêté, j'ai très vite repris ma conso antérieure, un peu plus même...
Maintenant j'essaie de gérer au mieux, j'ai essayé plusieurs méthodes pour réduire ma consommation, mais à chaque fois ça ne dure qu'un temps. Le plus dur, c'est le matin quand j'essaie de tenir le + longtemps possible avant le 1er verre.
Actuellement je tiens jusqu'à environ midi, 13h si je me lève tard...
En plus, comme l'alcool ne m'empêche pas de bosser (au contraire ça me stimule), je n'ai pas vraiment de raison objective de me retenir (à part bien sûr ma santé).
Je sais bien qu'un jour ou l'autre il faudra que je fasse une croix définitive sur ce prod, mais je me dis toujours que j'ai le temps, que je ne suis pas encore un vieillard, même si je n'ai plus vingt ans...
J'ai consommé pas mal de produits différents dans ma vie (et je continue avec le canna et le 2NE1), l'alcool est le seul qui m'ait posé problème !
Je n'ai jamais vraiment été accro à d'autres prods. Même le shit quand je fumais 10 pets par jour (en 83-84) j'ai pu arrêter sans problème et reprendre par la suite une conso modérée (1 pet le soir et encore pas tous les soirs).
Même l'héro ne m'a pas accrochée, mais bon je faisais gaffe à espacer les prises d'au moins une semaine et j'avais toujours du shit pour après. Une seule fois j'ai senti que j'étais sur la mauvaise pente après un w-e "spécial" à taper comme un malade (en 84), du coup j'ai arrêté pendant plusieurs mois... Je précise que je ne prends plus du tout d'héro ni aucun autre opiacé depuis la fin des années 80...
Pourtant l'alcool est une droque légale, pas le cannabis ! Cherchez l'erreur...
NeoX
Dernière modification par NeoX (18 septembre 2016 à 23:27)
bon, j'ai encore merdé...devant tout le monde en plus, j'ai foiré le noà«l a toute ma belle famille et devant mon fils.........
J'ai craqué complet, un épisode très violent en plus........avec perte complète de mémoire sur plusieurs heures, j'ai pris le volant comme un gros connard....insulté mon frangin au tel...ptet aussi un autre pote. ILs étaient tous sur moi pour m’empêcher de partir mais quand c'est comme ça je deviens très violent et ma belle mère a ramassé un coup au passage et j'ai cassé des trucs après avoir été odieux..........
Quand je fais le bilan depuis mon dernier post j'ai réussi tant bien que mal a contenir mon dragon sans fuguer de chez moi bourré ni épisodes violents, mais s'enfiler 6 voir 8 ou 9 bouteilles de pif par week end t'façon y-a un gros soucis.
Je ne me sentais pas bien depuis bien 2 mois, je sentais bien que ça m'échappais complètement, que physiquement j'étais à la ramasse, mon faible équilibre entre le sport la semaine et ma conso du week end s'est brisé depuis quelque semaines........trop dur le sport quand faut te remettre de tous ces litrons de vinasse.
Les cauchemars étaient revenus
Plus le choix, je dois stopper totalement l'alcool. En plus mon fils à 15 ans et maintenant il ne me loupe pas, d'autant plus que je vois a quel point il en souffre. Au lieu de servir d'exemple je suis la honte pour lui. La déception dans les yeux de ma femme.
Je vous avoue que je me sens très très mal là tout de suite et que ce noà«l est calamiteux pour moi.
De plus je dois repasser par tout ce que j'ai déjà vécu et enduré..........stopper la conso, lutter contre les tentations etc...........
Au moins j'ai pas à chercher une bonne résolution pour 2017, je l'ai déjà .
Moi je note que malgré les faits, tu n'es pas en colère, au contraire tu donne l'impression de vouloir t'excuser. Je pense que cette soirée t'aura fait prendre conscience de tes limites et démons qu'il vaut mieux ne pas titillé.
Repose toi, mange de façon reguliere et un peu de tout, bois beaucoup d'eau et ne fait pas trop de sport pour laisser ton foie se reposer. Évite de ressasser la soirée et concentré toi sur toi, t'es ressentit sur l'instant. Une fois apaisé tu arriveras plus facilement à te détacher de cet événement et prendre des décisions qui s'impose si tu veux que certaines choses changes.
Et quand tu te sent près, mais dans pas trop longtemps, appel pour t'excuser.
Bon courage dans cette épreuve, et joyeux Noà«l tout de même.
Les excuses c'est déja fait mais je sent bien qu'ils ont la rage après moi........
LE sport là j'peux pas....je laisse couler quelques jours avant de rebondir............ça me servira à rien de rester au fond........juste besoin de quelques jours pour évacuer.
J'ai lu ton poste sur le Noà«l que ta passer tu me fait grave penser à mon oncle qui comme toi est un bon gars en étant net mais des qu'il piccolais il devait sûrement ressasser les mauvaise chose et sa devient le diable incarne et si ta le malheur de te mettre devant lui il t'emplatre la gueule dans le mûre en plus c'était un maçon et la poigne il l'avait et combien de fois il c'est battu avec mon père ou des type dans la rue en plus c'est un mec qui aimait la baston mais sinon au delà de sa c'était un mec extraordinaire avec une gentillesse hors du commun mais il est décéder ya quelques années maintenant à cause des médicament et l'alcool et pourtant son fils est niquel il a une bonne vie avec une nana une maison un taff etc . Mais ces épisode costaud comme tu la decrit je l'ai vu un paquet de fois ! Et après tu doit souvent regretter et la frustration d'avoir était dans cet état doit te ronger et te fait ramener à reconsommer et tout c'est dure à vivre à force c'est comme une soupape qui est sous pression et qui a un moment explosé et fait des dégâts. ... Mais t'inquiète tu va remonter la pente ta une femme qui t'aime un gosse qui a sûrement envie danse voir son père bien et tout sa te donnera la force d'y arriver j'en suis sûr ! Toi qui aime le sport fait en aime fond histoire d'évacuer ces ondes négative et être bien en faisant de la dopamine et dopamine e l'endorphines purge toi bien ensuite si t'est pas un gars trop fier tu peut aller t'excuser auprès dopamine et la belle famille qui j'en suis sûr doit te haïr à l'heur d'aujourd'hui alors que c'est juste un gars qui est en souffrance qui s'exprime comme il le peut , Et tu verra que tout rentrera dans l'ordre mais c'est clair qui faut aussi que tu t'occupe à mort si tu boss pas en ce moment où t'es en vacances car quand tu tourne en rond c'est fatal ! Et quand ta envie de piccole tu file faire du sport et après tu sera mieux ta confiance va revenir etc ta femme ton fils sera fier de toi et plus tard t'en rigolera de tout sa ! En tout cas c'est tout ce que je te souhaite ! je sait pas quel âge tu as mais fait attention a toi car mon oncle est mort jeune il avait un peu plus de 40 ans il buvait depuis jeune et sa la anéanti il avait pris un gros coup de vieux alors qu'il était bien quand il était jeune il sortais avec des belle nana mais l'alcool la flinguer et ce qui était fou c'était le contraste entre le gars ajeun et quand il buvait c'était vraiment le diable incarner il en foutait plein la gueule à tout le monde il disait tout ce qui penser tout haut il était même ultra blessant et si tu voulait lui rentrer dedans il était prêt à te sortir un shlass et te percer et le lendemain quand tu lui disait une fois qu'il avait redescendu il était choquer de ces qu'il avait pu faire et il croyait pas ce qu'on lui disait il cherchait que c'était un complot qu on ce foutait de lui etc Et son fils il en a vu des épisode de ce style plus d'une fois et sa la traumatiser mais lui justement sa lui a fait l'effet inverse il sait mieux ce contrôler et il est pas addict à l'alcool il fait attention à pas faire les même erreur que son père ! Aller courage mec !
oui je vais remonter la pente mais je suis bien dègue d'avoir dérapé comme ça.
J'étais pas méchant avant, je le deviens dès que l'on se met en travers de mon chemin lorsque j'ai bu.
Eux ils voulaient m’empêcher de prendre le volant......
Pour le sport je régulais avec ça mais ma conso grandissante m'en a éloigné. JE laisse filer la semaine pour purger l'alcool qui me comprime encore le cerveau et je m'y recolle. J’espère que cette foutue dopamine va prendre le relais pour me motiver et que je vais retrouver le niveau que j'ai perdu......on verra.
Sa m'étonné pas que soit deg après coup c'est normal et mon oncle c'était la même quand il s'en rappeller il était frustrer et il rebuvait pour zipper sa c'est un sentiment normal ! Mais comme tu le sait c'est normal et bienveillant qu'ils t'empêche de te tuer en voiture . Après pour le sport t'inquiète quand sa fait moins de trois semaine que ta rien fait sa revient vite mais c'est sur que c'est frustrer de repartir à 0 et c'est aussi pour sa que j'ai aucun jour de repos et je pratique tout les jour entre la musculation la course à pied et la boxe en parallèle je me défouler à mort et pas de jour de repos même si il en faut car sinon c'est dégringolade et perte de motivation si je fait rien ! T'inquiète tu verra que le sport sa te remet bien automatiquement et si t'est vraiment pousse toi bien au bout de tes force et après une heure intensive en cardio tu va être de nouveau joyeux ! Pour moi le sport c'est le meilleur remède du monde contre la dépression et loin devant l'alcool et la came ! C'est gratuit pratique faisable tout le temps et même sans matériel tu peut jouer juste avec le poids de ton corps ! Aller sa va passer vieux
le pire c'est que je le sais. J'ai déccro de tout grâce au sport une centaine de fois.......j'ai réussi à stopper l'alcool une fois 1 ans et une fois 2 ans avant de lentement replonger.
Mais là depuis deux trois mois je sent que ça ne tourne plus rond.......je sais bien que c'est a cause de ma conso grandissante...........je sais aussi qu'en me remettant au sport intensif sans alcool je vais retrouver la patate.....
Mais j'aurais de loin préféré que le clash n'arrive pas dans ces conditions, ma belle famille en à déjà pas mal bavé avec mes conneries par le passé.
Pourtant le soir de noà«l je n'ai bu que du vin, pas d'alcool fort et j'ai craqué mon slip mais complet quoi.........je ne comprends pas........je suis arrivé au bout de ce que je sentais mal tourner depuis ces derniers temps.......j'ai 48 balais et mon corps dis stop je crois......il a laché et ça préviens pas.
La veille j'avais dégommé 3 bout sans soucis et l'avant veille aussi.....fais chié que je dérape comme ça devant autant de monde.....et que ce soit aussi violent.
Mais bon, on va se remettre sur les rails pas le choix.
Salut toon77, Tes posts me font du mal car je ressens ta douleur 5/5 et que cela me rappelle bien des souvenirs. Mais ils me font du bien aussi parce que je sais trop que je ne veux plus me trouver dans ce genre de situations. Nous sommes malades et cette maladie est progressive (et mortelle), donc rien d'étonnant à ce que les épisodes soient de plus en plus violents et incontrôlables. Les rechutes font partie de notre maladie et sont "normales". Leur meilleur carburant, la culpabilité ! Effectivement le sport et l'activité physique en général peuvent être d'une grande aide pour aller mieux, le soutien des groupes de paroles est aussi à mon avis indispensable. Peut-être aussi des bons thérapeutes ? Il me semble que c'est trop difficile de se sortir d'une telle addiction seul, moi je n'y serais pas arrivé. Ne perds pas courage, à 48 ans tu as encore pas mal de temps pour être heureux ?, tu as la chance d'avoir une famille, c'est précieux. Je te souhaite de passer un réveillon plus sympa, fais confiance ! Georgette
j'apporte mon témoignage du Baclofène. il m'a été prescrit complaisamment, sans souci, mais je ne veux plus en reprendre ! je voulais me sevrer de l'écossais, je ne buvais plus que ça ou de la bière hard, ou de la blonde augmentée au gin, à défaut. mon alcoolo dep avait été construite au rouge, insidieusement sur quelques années le problème est d"avoir : 1°) la quantité d'alcool pour la journée 2°) un "plaisir" l'alcool fort, c'est du concentré, et l'irlandais, l'écossais, le breton, ça faisait de la variété. Ameisen a été un gros soutien, psychologiquement j'ai pris mes 20 mg x 3 pour cesser le craving et ça a marché en deux mois ! une sorte de dégout, l'abstinence. je suis devenu completement INDIFFERENT aux alcools, en rayonnages de 10 mètre. si j'en bois à l'occasion d'un apéro, c'est contrôlé !! MAIS, j'ai rechuté, et je ne bois que du vin blanc (en cubi) à la même dose d'alcool qu'avant. je ne veux pas bruler ma dernière cartouche que représente le baclofène. j'ai peur de foirer il y a le salincro, a essayer. en résumé : les produits (type de boissons, traitement) ont une grosse charge psychique. suis le seul à faire mon histoire comme cela ?
Je reviens vers vous car depuis mon "stage" mixie, il est indéniables que mes consommations d'alcool avaient diminués, mais pas mes prises de risques et abus en tous genres (pas uniquement avec des produits).
Suite à un burn-out que j'ai fait il y a peu à cause d'avoir commencé à travailler et passer dans le cadre de la société que je combattais, freiner ma consommation d'alcool sans aide extérieur, ma formation d'un niveau élevé (BAC+4), le décès de ma sœur, ma récente rupture d'avec mon ex - presque 14 ans d'histoires communes - et ma grande déception de l'inactivité et de l'hypocrisie ambiante dans le milieu de le réduction que j'ai pu croisé. J'ai ai croisé tant de personnes que je suis pressé de pouvoir revoir bientôt, mais un grand nombre qui m'ont écœuré du professionnalisme et me tente à redevenir simple bénévole. Mais c'est un HS que j'aborderais dans un blog.
J'ai donc demandé à intégrer un hôpital psychiatrique afin d'endiguer mes idées noirs (meurtre, rejoindre la Syrie pour combattre DAESH...). J'ai eu un traitement lourd à base de loxapam 50 gouttes 3 fois par jour plus sérésta50mg 3 fois par jour et 30 gouttes de téralène à minuit, mais juste quelques jours. Pour accompagner le sevrage d'alcool entrepris et réussi (je n'ai plus de dépendance physique), il m'arrivais d'avoir des abus. Je prend donc des vitamines B1 et B6 3 fois par jours, ainsi que du seresta 50 3 fois par jours, accompagné de téralène (30 gouttes 30 minutes avant mon coucher). Depuis hier soir j'ai rajouter un cachet de mélatonine de 3mg vers 22h30 et que je me suis allongé vers minuit.
Ce séjour je le souhaitais aussi car je commençais à grave abusé sur mes prises de xanax, j’ai déjà avalé toute une tablette durant la journée pour juste stabilisé mon humeur, il devenait urgent que je change mon traitement et seul une hospitalisation avec des professionnels pouvait me permettre de switcher, cela afin de prévenir les éventuels effets secondaires des nouveaux traitements.. Maintenant je n'ai plus d’anti-dépresseur ni d'hypnotique. Juste des nouveaux anxiolytiques et des vitamines.
Saloperies les vitamines, ce n'est pas remboursés, et à 16€ la boite j'en suis à presque 200 euro de traitement pour 2 mois. Ca a intérêt à marcher.
Heureusement que j'ai cette plate-forme aussi pour pouvoir écrire ce que je ressent, car le personnel hospitalier en psychiatrie n'est formé que pour des crises aigu-dépressives pour des séjours courts de quelques jours.
Aujourd'hui je n'ai aucune envie de boire de l'alcool, mais ce n'était pas mon problème j'étais interné pour un choc-post-dépressif avec épisode de violence. Pour m'aider je fais du sport, d'ailleurs ca va être ma séance, entre 1h et 1h30 par jour, que j'accompagne de boisson à base de sodium pour éviter de perdre trop de poids. Aujourd'hui c'est aussi officiellement ma première journée sans tabac. Je comptais tenir la journée avec 1Gr d'herbe de cannabis et ma vapoteuse, mais j'ai peur ce matin d'avoir été trop gourmand.
Si j'ai fait ce post c'est pour dire que même si l'on arrive à maîtriser son addiction physique à l'alcool, le produit créer tant de dégâts qu'il faut faire une cure de vitamine et une béquille d’anxiolytique, temporairement, ou pas si cela nous permet d'avoir une vie sociale. Un soutien psy peut-être aussi un plus, mais en prenant garde au traitement, c'est pourquoi je préfère payer mais voir un psychologue qui ne peut rien me prescrire, et pour les ordonnances c'est ma médecin généraliste qui me suit depuis près de 14 ans envers qui j'ai une totale confiance.
Depuis mon séjour d'une semaine j'ai enfin des projets à moyen termes concernant mon unique personne. Des choses vont changer, mais je pense que mon activisme va prendre un nouveau virage.
Concernant les effets secondaires, en dehors de la constipation passagère du loxapac durant mon séjour et depuis quelques jours auparavant des insomnies qui m’empêchaient de dormir plus de 4h sans être réveillé par un horrible cauchemar à changer les draps. Ici (là où mon ami m’héberge) je ne sais pas si c'est le cadre, la mélatonine ou le fait de fumer de nouveau qui m'aide à dormir, mais cette nuit j'ai pu dormir d'environ 1h du matin à 7h, sans cauchemar et bien réveillé. J'ai aussi eu des contractions de la lanque qui partait très vite avec (honte à moi), je ne sais plus quel cachet durant 2 jours à l'hôpital.
Hier soir je me suis mis une petite claque avec 2 cocktails et une pinte de bière. Ce matin je suis un peu dans le gaz donc je vais faire un peu de marche active pour nettoyer tout çà .
Je reviens vers vous pour faire un nouveau bilan. Entre le sport, ma cigarette éléctronique gouts fruité et du thé (1L maximum, après je passe aux infusions), je ne ressent vraiment pas l'envie de boire. L'autre jour avec ma mère j'ai bu 3 verre de vin plus un demi et je sentais mes nerfs commencé à me titiller. Soit c'est les discussions avec ma mère qui me pesait, soit la bière fut de trop. J'opte pour la bière en trop. Donc j'ai l'impression d'enfin réussir à connaître mes limites. Vivement un concert pour tester ça pendant un moment ou habituellement j'abuse et dérape
Oula, j'ai voulu faire le fière pour la saint-patrick en buvant deux 8.6 (qui ont un meilleur goût qu’auparavant), plus une heineken, ben le lendemain j'avais la crête qui poussait à l’intérieur de mon crâne. Ça m'a bien calmé.
Dernier concert en date, 3 heineken et je suis rentré bien pompette, mais pas îvre, juste de quoi rire un peu malgré mes galères et les jugements dont j'ai été victimes par un ancien ami. Là je vais me faire au moins 2 semaines sans une gouttes d'alcool. De toute façon vue les remarques de mon ancien ami durant une soirée, je n'ai plus trop l'envie de retourné dans ces soirée... Je risque de galérer à me retrouvé une soirée punk sans tombé sur des "pseudo-punk" bourrés de jugements.
La tisane "y'a qu'ça de vrai", car l'eau est trop fade, quoique je me mets des gouttes de fleurs de bach pour gérer mes angoisses et ça modifie un peu le goûts. Donc pour l'instant l'eau pure ne me sert que pour les repas et la nuit.
Aujourd'hui, dimanche 14 mai 2017 je ne consomme toujours plus de façon quotidienne. Si ce n'est pas en soirée je ne dépasse pas les 3 bières, l'envie n'est plus là . Ce soir je vais en concert et pour être sûr de ne pas trop consommer je pars avec seulement 10 euro.
Bon courage pour toutes les personnes qui se sont faites dépassé par leur conso. Aucun espoir n'est perdu.
Il nous incombe à tous, consommateurs occasionnels et réguliers, issus de familles touchées ou non à divers degrés par les excès d'un ou plusieurs de nos paires, de changer notre angle de perception du phénomène. Que cela ne nous concerne en rien ou bien directement ou encore que l'on se fasse du souci pour un proche j'aimerais rappeler combien il est primordial de remettre l'alcool à sa place dans nos esprits. C'est un poison neurotoxique, fortement addictif qui détruit les organes vitaux en empoisonnant nos cellules et qui interfère sur les relations interpersonnelles. Sans oublier les conséquences indirectes de l'ingestion du produit sur notre santé (conduite en état manifeste d'ivresse, violences, viols..). Sachez en effet que la drogue du violeur c'est l'alcool avec 74% des abus sexuels exercés sous intoxication alcoolique.
On a tellement banalisé l'alcool et quand on y réfléchit bien, imagineriez-vous si une X poudre faisait autant de dégâts sur les gens, leurs neurones, leur corps et leurs vies affectives ? Nous ferions vite fait la mesure de cette démesure ! Nous sommes mentalement programmés pour être laxiste avec les alcoolisations massives et impitoyables en matière de considération des drogues.
L'alcool doit impérativement recouvrir le contexte médico-psychologique qui met en lumière ses défaillances les plus néfastes sur l'être humain afin de redonner du sens et de l'espoir à cette société meurtrie. D'un autre côté je pense qu'on devrait renforcer nos liens avec la dimension psychosociale de la boisson. Fort heureusement cette place donnée à l’éthanol dans nos célébrations collectives nous évite depuis des siècles de graves hécatombes comme il a pu être observé au sein de certaines populations indigènes d'Amérique. L'alcool peut ainsi être un élément gustatif fort de ses perspectives gastronomiques et se savourer socialement, en rappelant à chacun de se modérer plutôt que de cultiver l'esprit de compétition en gratifiant les plus gros buveurs. Mais d'où vient cet adage ?
Toutefois je ne vous apprends rien, a on vite fait de déraper dès que nous allons mal. Après tout c'est légal, y'en a à tout coin de rue, on en fait même de la publicité. Les habitudes de consommation ont changé et désormais c'est le binge drinking qui embraye directement le pas sur les possibilités de défonce de l'alcool, une approche sensiblement différente de l'usage festif modéré. C'est sans doute cette tendance sociale actuelle qui fait écho à un style de vie et de pensé addictogènes (OFDT, Tendances). Tout tout de suite, toujours plus vite, encore mieux, plus efficace, plus performant, plus rapide. Moi j'appelle ça le culte de la performance et de l'instantanéité. Assez pour nous rendre vindicatifs, impulsifs et éternellement insatisfaits.
Personnellement je ne bois pas d'alcool, je pense même que je le diabolise et "le tiens pour responsable" du malheur transgénérationnel de ma famille. Aussi loin que l'on remonte généalogiquement, il existe une certaine appétence aux produits psychoactifs chez mes frères et sœur, oncles, cousins, cousines et grands-parents car je vis dans une lignée touchée de plein fouet par les addictions, à l'alcool et aux benzodiazépines notamment.
Surtout actuellement, avec un de mes frères tombé en dépression, il soulage sa douleur avec des spiritueux puissants et ensuite il devient carrément débile, puis il devient agressif et ne s'arrête que lorsqu'il se fracasse au sol et qui lui devient impossible de se mouvoir. De sorte qu'il ne peut plus se resservir un verre mais il se pisse dessus et s'endort après avoir gobé un ou deux valiums (danger de mort).
Je lui ai parlé du baclofène mais selon lui son corps ne devrait pas à avoir besoin d'un composé chimique pour réguler ce qui lui apparaît comme un trouble seul du comportement. Alors que je lui souligne qu'il a des symptômes de sevrage parfois violent à jeun (crises d'épilepsie).
Dernière modification par Caedulis (15 mai 2017 à 06:48)
" Avant, on cherchait à déformer la réalité en prenant du LSD, maintenant que la réalité est déformée, on prend du Prozac pour tenter de la voir normalement ."
Bonjour à vous, je poste ici car je pense qu'ouvrir un thread "ou j'en suis" doit être assez récurant... J'avais déjà ouvert un post où je demandais si le baclo était utile et l'es fini par "ça fait un moi que j'ai pas bu donc c'est cool"... Mais non c'est pas si cool depuis tout ce temps, de ce que j'ai lu de tout les topics sur l'alcool je suis plutôt buveur chronique-compulsif ( ça peut ce dire ça ? ) j'ai eu des périodes 3 verres de whisky, puis 2 flashs le soir + 2,3 valium et un tercian, retour à la bière, arrêt des abus de valium, retour au whisky modéré ( mes 3 verres en fin d'aprèm) puis rebelote flash, pour finir ces derniers temps ( temps de fêtes en plus ) j'ai carrément fait péter la bouteille de whisky avec abus de valium tout les jours pendant un peu plus d'une semaine... prise de conscience arrêt de l'alcool, re-stabilisation du valium. Ah oui entre temps j'ai pris conscience que j'étais sujet à l'effet-rebond en faite c'est surtout ça qui me pousse à écrire aujourd'hui. Déjà je ne peux pas passer moins de 72h sans boire au moins 2 leffes à 6,6 ( c'est déja pas mal ) mais une fois l'effet redescendant c'est la déprime totale, les nerfs qui vont avec et le pire ( ou peut être est ce mieux...? ) c'est que une fois l'effet redescendu je n'ai plus envie de boire mais je suis mal anxieux, nerveux donc envie de m'attaquer au valium mais j'arrive à gérer ce coté la et j'attend le plus tard possible pour le prendre et le tercian vraiment pour dormir. C'est vraiment la merde je me suis sorti de beaucoup de chose,j'ai été polytox chui passé par hp, cure de réinsertion ( CEID ) et niveau vie de tout les jours c'est pas trop mal bientôt du boulot... enfin voila y'a ça !!! je sais que je ne peux m'en empêcher que sur le coup ça me fait du bien mais que après c'est l'enfer et faut ce battre encore et encore pour toujours succomber à petite ou à grosse échelle... J'arrive pas à imaginer et ça me prend la tête comment gérer ça, si je veux être normal faudrait que j'ai un petite dose d'alcool constante dans le sang pour ne pas me taper la déprime mais la petite dose d'alcool me donne envie de plus de plus... Enfin effet rebond je l'est compris. Au final je vous écrit ça mais je n'est pas vraiment de question je me rend compte, c'est juste un putain de témoignage...
PS: dsl message un peu confus
Dernière modification par akcknopol (05 janvier 2018 à 17:52)
Voila qui j'ai remis ça, hier après mes deux bières je me suis envoyé 3 flash de whisky et j'ai pas résisté au valium... aujourdh'hui tête en vrille complet...
Non je n'est pas franchi le pas du baclo, dans le topic ou j'en parlais justement je me suis dis que ce serai inutile. Et franchement avec tout les medoc que j'ai bouffé j'en veux pas d'autres... mais bon c'est vrai que l'alcool devient très problématique et j'avais reussi a avoir qu'un valium par jour mais la aussi je craque facilement quand j'ai bu et l un entraine l'autre...
Plus safe ou pas je pense que les deux sont mauvais et qui prescription de baclo dit suivi addicto et l''addicto de de chez moi est une bille... après faut que je fasse 45 bornes ( pas de permis ) pour les autres les plus près...
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