Dernière modification par Gaspardo (05 novembre 2013 à 10:59)
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Dernière modification par prescripteur (05 novembre 2013 à 13:01)
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Dernière modification par filipe (06 novembre 2013 à 12:54)
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Gaspardo a écrit
J'ai toujours eu une super pêche mais là je me choppe tout ce qui traîne. Je crois que même le physique ne supporte plus...Je crois franchement que je dois aller consulter quelqu'un pour avoir de l'aide car je n'arrive plus à prendre de recul.
Cela conforte à mes yeux 2 choses :
- quand ce n'est plus la bouche qui parle mais le corps, à travers divers maux...il est temps de mettre des mots sur ce qui se passe !! Mais il est où important à mon sens de le faire en présence, en verbalisant ces mots (60% de la communication est non verbale, par les gestes, les mimiques, les postures) et non plus seulement virtuellement comme nous le faisons ici, en t'aidant comme nous pouvons (on reste donc dans les 40% qui restent de la communication...en éludant les 60 % évoqués plus haut). Tu as franchement besoin d'une aide exterieure à ta famille, d'un soutien psychologique et corporel (puisque le corps ne suit plus...va te faire suivre)
- "prendre du recul" passera donc par consulter (petit rappel : l'une des missions des CSAPA est d'accueillir aussi l'entourage). Tu as donc toute ta place dans un CSAPA, y compris dans la structure où ton fils se rend...et j'inciterai même à te rendre dans cette structure là plus particulièrement afin que l'équipe soignante puisse travailler sur ce qui vous lie voire vous attache, ton fils et toi...pour mieux défaire ce lien dans un accompagnement qui éviterait les arrachements successifs dont vous semblez faire les frais tous les 2...et que chacun puisse prendre ou reprendre son autonomie dans une séparation supportable (c'est ce que j'entends très fort entre vous à la lecture de tes post : la question de la distance...trop près (il DOIT venir manger à table, par exemple) ou trop loin (et c'est toi qui souffre quand il ne répond pas au téléphone, autre exemple)
Si tu n'as pas encore fait la démarche de consulter pour toi-même, en tant que mère d'un UD en plein parcours (et je sais que ce n'est pas facile), interroge toi sur ce que le maintien de la situation qui "ne bouge pas" peut finalement t'apporter...cela te permet-il de garder une certaine place de "garde fou" ? Et quelle autre place trouver alors si ce n'est celle-là ? Et que crains-tu s'il n'a plus de garde-fou ? Des conséquences pires que celles vécues actuellement ?
Toutes ces questions sont à poser...ou le seront, quand tu te sentiras prête pour le faire (mon petit conseil qui vaut ce qu'il vaut : n'attend pas l'incident grave, pour ton fils ou pour toi-même)
cordialement
psychodi
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Dernière modification par filipe (06 novembre 2013 à 19:37)
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