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Dernière modification par Disturb (01 décembre 2013 à 15:27)
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Dernière modification par raatus (01 décembre 2013 à 12:17)
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raatus a écrit
Prescrire du zolpidem à un patient qui consomme du cannabis (dans le cadre d'insomnies transitoires dues à un sevrage par ex.) pourquoi pas. Mais il y a quand même d'autres médicaments qui font le taf correctement (théralène, atarax) et qui présentent l'avantage de ne pas risquer d'aggraver trop la situation. Mon avis perso c'est pourquoi pas, mais après échec avec d'autres médicaments.
.
Je suis d'accord à 3000%
Perso, je suis pour la prescription de ces médicaments seulement par des psychiatres. Un peu plus de contrôle ne ferait pas de mal à nos cerveaux. Mais ce n'est que mon avis
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Nutmeg a écrit
Perso, je suis pour la prescription de ces médicaments seulement par des psychiatres.
Désolé mais je ne suis pas d'accord.
Heureusement que je n'ai pas a passer devant un psychiatre (et me faire décortiquer) pour me faire prescrire un hypnotique ou un benzo.
Y a de très bon médecin et y en a des mauvais, mais je pense que les actes de mauvais médecin (qui prescrirai des benzo a tours de bras et en grosse quantité sans jamais parler a leurs patients du pourquoi du comment par exemple) ne doivent pas pénaliser tout le monde.
Si demain faudrait impérativement consulter des psychiatres pour avoir des benzo (sans compter que le stylnox n'en est pas une), et ben on serai je pense très nombreux a être dans la merde.
Après visiblement tu as des soucis avec le stylnox, tu en as prit de manière récréative, je te cite "j'en abusais pour me défoncer"
Voir sujet ici :
http://www.psychoactif.org/forum/viewtopic.php?id=8590
Je comprend que le sevrage soit rude pour toi, je prend du stylnox depuis de nombreuse années tous les soirs, et une fois j'ai fait un arrêt brutal, j'avoue c'était extrêmement désagréable (idée qui arrive a toutes vitesse dans la tête, angoisse etc).
Mais en même temps c'est comme tout benzo et affiliés, il ne faut pas faire un sevrage brutal surtout après des années de prises quotidienne, et moi c'est ce que j'ai fait, et en connaissance de causes.
Et si j'en prendrai pour me "défoncer", personnellement je ne souhaiterai quand même pas, que l'on impose la prescription de benzo uniquement par des psychiatre.
Pour d’innombrables raisons.
Maintenant c'est sur que le stylnox comme les benzo, comporte une addiction et des sevrage, qui chez certaines personnes sont vécu comme les pires, et pour d'autres qui se passent très bien.
Voila, après comme pour toi, ce n'est que mon avis :)
LLoigor
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Niglo a écrit
Un traitement benzo ou assimilé n'est pas à prendre à la légère et les généralistes,j'espère,en ont parfaitement conscience.
Ils en ont conscience, pour la plupart oui. Mais le réel problème et j'en discute avec de nombreux médecins, est que ceux ci ne sont pas bien formés à la relation thérapeutique, ou par exemple, comment dire NON à un patient. En France, un patient qui ressort sans ordonnance est quelque chose de rare.
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Nutmeg a écrit
En France, un patient qui ressort sans ordonnance est quelque chose de rare.
exact, perso je trouve que c'est comme ça qu'on reconnait un bon psychiatre par exemple! La personne qui te prescrit des anti-depresseurs ou des benzos dès la première rencontre est en général incompétente ou désintéressée du patient. Bon, il y a toujours des exceptions mais je parle de façon générale...
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elychips a écrit
Nutmeg a écrit
En France, un patient qui ressort sans ordonnance est quelque chose de rare.
exact, perso je trouve que c'est comme ça qu'on reconnait un bon psychiatre par exemple! La personne qui te prescrit des anti-depresseurs ou des benzos dès la première rencontre est en général incompétente ou désintéressée du patient. Bon, il y a toujours des exceptions mais je parle de façon générale...
Exactement. Je pense que prescrire des BZD ou des AD au bout de 10 minutes de consult', c'est un peu limite. Certes, ça arrange la majorité des gens parce qu'eux mêmes arrivent au cabinet avec leur diagnostic et les médicaments qu'ils souhaitent avant même d'avoir discuté avec le médecin! Je parle de tout type de médicaments, pas seulement psychotropes.
Enfin à mon humble avis, la donne va changer dans les prochaines années. (Combien de temps, ça...mystère et boule de gomme)
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Nutmeg a écrit
d'autant que la France est vraiment au top du podium pour ces prescriptions!
Personnellement j'y vois pas un argument.
Car "Oui" la France est championne dans la prescription de plein de sortes de médicaments.
Mais dans les autres pays voisins, un généraliste délivre tout comme en France lui aussi des benzo, nul besoin de psychiatre.
Et pourtant ces mêmes pays ne sont au top du classement, pourquoi ?
C'est peut être que si problème il y a, c'est pas uniquement du fait des médecins.
Et puis si on parle des psychiatres, perso pour en avoir vu, et avoir entendu moult témoignages, c'est pas bien glorieux non plus :
les prescriptions de neuroleptique a tour de bras quand tu traverse une légère dépression, ça y va !!
Pour ma part, a cause d'une erreur "d'aiguillage" (rendez vous avec un psychologue, erreur je me retrouve devant le psychiatre), bref il as plus que lourdement insisté pour que je prenne 1 AD et 1 neuroleptique, m'as posé ses questions "type" du bon psychiatre.
Bilan : J'ai failli perdre un œil a cause de son super nouveau médicament qui était récent sur le marché a l'époque.
Des exemples comme cela, j'en ai a la pelles, donc les généralistes sont loin d'être les champions de la "prescription a tour de bras et de s'en foutre du patient"
En revanche que certaines classes de médicament comme certain neuroleptique soit plutôt réservé a des spécialistes, donc les psychiatre : oui surement :)
Mais le zolpidem, c'est un un peu trop exagérer je trouve
Si on le prend "correctement" sans vouloir se défoncer avec, et qu'avec les années on deviens addict, et qu'on pratique un sevrage par étape, y a pas de raisons que cela se passe mal (et j'en parle avec mon doc avec qui il a fait moulte sevrage du Zolpidem, aucun soucis : quand la personne a bien respecter les conseils)
En revanche si on se décalque la tronche et qu'on s'envoie 4 boites par jours (voir plus pour certaines personnes, y a des personnes qui s'en envoie des quantités monstrueuse, comme avec d'autres médicament ceci dit ...), ou qu'après des années on fait un sevrage brutal ...
Et bien oui forcement parfois y a des "couac".
Mais la, c'est peut être la façon de l'utiliser qu'il faut remettre en cause
Et pour finir sur le zolpidem, comme je le mentionnais j'en ai déjà parlé avec mon médecin, il m'as dit que oui c'était assez prescrit (enfin pas forcement plus que d'autres benzo, etc ..), dans toutes les classes de populations, tous les ages, mais qu'en général c'est pour de courte période (comme c'est logiquement prévu).
J'imagine même pas une personne proche de la retraite qui a un peu de mal a s'endormir le soir a cause de soucis perso ou tout autres motif, et qui soit obligé de prendre un rendez vous chez un psychiatre pour du stylnox (je prend cet exemple pour une fois avoir discuté avec un homme proche de la retraite et qui venais renouveler son ordonnance de zolpi)
En revanche d'autres médicament, la oui perso je suis d'accord que peut être les généraliste ne devrais pas être la source de la primo-prescription (certain neuroleptique, ou certains AD, etc ..) mais uniquement du renouvellement.
LLoigor
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LLoigor a écrit
J'imagine même pas une personne proche de la retraite qui a un peu de mal a s'endormir le soir a cause de soucis perso ou tout autres motif, et qui soit obligé de prendre un rendez vous chez un psychiatre pour du stylnox (je prend cet exemple pour une fois avoir discuté avec un homme proche de la retraite et qui venais renouveler son ordonnance de zolpi)
LLoigor
Je n'avais pas pensé à ça !
Ceci dit, il ne faut pas négliger la prévalence des troubles psychiques chez les personnes âgées!
Alors, qu'est ce qu'on pourrait faire ?
Généraliste pour une première prescription et dans la limite d'utilisation d'un mois ou deux semaines je ne sais plus ce qui est mentionné sur la notice. Ensuite, ouste, chez le psychiatre ! Quoi, c'est un peu trop rude?
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Nutmeg a écrit
Alors, qu'est ce qu'on pourrait faire ?
Généraliste pour une première prescription et dans la limite d'utilisation d'un mois ou deux semaines je ne sais plus ce qui est mentionné sur la notice. Ensuite, ouste, chez le psychiatre ! Quoi, c'est un peu trop rude?
Peut être pas aussi direct mais quelque chose comme cela pourrait être une solutions pour certaines personnes.
En tout cas, un bon généraliste devrai au moins après 4 semaines de prescription (comme dit sur la notice), pousser le questionnement sur le pourquoi de vouloir continuer.
Et en fonction, voir si le généraliste continue a en prescrire (si la personne est raisonnable, prend bien la bonne posologie, etc ...) ou voir a orienter la personne vers un psychologue, psychiatre.
Et comme il est dit également dans la notice :
"Ce traitement médicamenteux ne peu a lui seul résoudre les difficultés liées a une insomnie. Il convient de demander conseil à votre médecin. Il vous indiquera les conduites pouvant favoriser le sommeil.
An cas de persistance ou d'aggravation de l'insomnie après une période courte de traitement, consultez votre médecin"
Comme quoi, l'utilisateur a quand même une responsabilité (ceci dit qui lit tout le temps entièrement les notices ^^), et par conséquent au delà de 1 mois de traitement, d'une part le patient devrai faire la démarche d'en parler a son médecin, et le médecin qui prescrit au dela d'un mois, devrai lui aussi, creuser un peu avec son patient.
Après il assure la marge en mettant "un mois", mon docteur m'as dit qu'il avais (en donnant les bonne recommandation) arrêter beaucoup de personne qui en prenais depuis 1 an, et tout c'était bien passé (en faisant une diminution progressive je suppose).
Au final je pense que si on a un bon médecin, et qu'on est responsable vis a vis de son traitement, le zolpidem on peu en laisser la charge au généraliste.
Après je suis d'accord qu'un généraliste qui prescrit certains neuroleptique par exemple, la j'aurai peut être tendance a penser que cela devrai d'abord passer par une primo-prescription via un psy
Mais bon je doute que ce soit près de changer, comme tu le disais les Français n'aiment pas ressortir sans leurs ordonnances ^^
Et quand c'est carrément le patient qui la dicte au médecin, la y a danger (et je présume que c'est plus fréquent qu'on ne le pense ... )
LLoigor
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imseya a écrit
Merci pour toutes vos reponses je n'en est pas pris hier et ce soir je vais ne prendre et dormir directement alors si cela est inutile de rester eveillé.Encore merci de toutes vos reponses :)
Les effets hallucinant sont très éphémères
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