Déjà la bible nous enseignait que nous étions COUPABLES. Mais les religions, sources d´ordre social, étant de plus en plus considérées comme des superstitions, la science a pris le relais. Maintenant nous sommes coupables d´être accros. Euh, coupables ? Non plutôt malades. De pôvres petites victimes souffrant de dépendance. Mais le marché de la pharmacodépendance est quasi saturé. Heureusement la science, toujours à l´affut de nouvelles opportunités, a engendré tout un tas de spécialités et d´ « experts » qui ont réussi à convaincre des millions de personnes qu´elles sont « addicts » à la sexualité. Un nouveau fléau. Ainsi, figurez-vous, chers asudiens, qu´aux USA, ils sont plus de 900 « spécialistes ». Certains « guérissent » même l´homosexualité.
Nul doute que cela va entraîner une prolifération de campagnes de « prévention », sensibilisation… avec tous les petits métiers et industrie du « soin »… et peu à peu se propager chez nous. Les addictologues nous avaient prédit des épidémies de
crystal, Ice et autres
methamphétamines mais c´est l´onanisme, la satyriasis, la fureur utérine, la manustupration, la chiromanie et tout un tas de graves et perverses psycho-pathologies qui vont se répandre comme la vérole sur le bas clergé.
A l´instar des « salles d´injection à moindre risque» avec les fameux « conseils d´accompagnement à l´injection », il est absolument indispensable d´envisager des dispositifs d´accompagnement à la branlette. Desfois qu'il y en des qui ne sauraient pas s'y prendre.
Des boulots, des carrières et « de la maille » en perspective… en ces temps de chômage.
D´ailleurs
SAFE, dont on connaît l´intérêt pour la
réduction des risques, pourrait déjà planifier l´implantation de distributeurs de gants. (Faudrait quand même pas que les branleurs attrapent des ampoules).
Ceux que ça intéresse peuvent jeter un coup d´œil : (ça vient de mediapart.fr donc "c'est très sérieux")
http://www.dijonscope.com/014597-sevrer … etats-unisWilliam Burroughs disait: l'usage de la plupart des drogues (et principalement des
opiacés) est un plaisir solitaire.
« après ma première manustupration active, j'eus comme le sentiment que j'avais commis un crime ». - — (Dr Léon Thoinot, Attentats aux mœurs et perversions du sens génital, leçon XIV ; Octave Doin éditeur, Paris, 1898, page 322.) source : wikipedia
Dernière modification par Gilac (13 juillet 2011 à 03:33)