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- Damss
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Accroc à la codéine depuis deux ans, j'ai enfin réussi à m'en sortir.
J'ai commencé a cause de migraines qui m’empêchaient de pouvoir m'endormir en prenant 2 à 3 comprimés de dafalgans codéine 500/30mg je ne me suis pas vu tombé dans cette spirale, et j'en suis tres vite devenu accroc sans même m'en rendre compte.
Au bout de quelque mois en prendre instinctivement sans même avoir de douleur était une chose commune, et je me suis rendu compte de mon addiction le jour ou je suis tombé à cours et ou la crise de manque est apparue.
Je suis resté comme cela pendant une bonne année et demie, puis j'ai décider de me prendre en main et de voir des professionnels pour me faire aider.
J'ai été dans un centre d'aide aux addictions, ou l'on m'a gentiment proposé de me faire "interner" pour 1 mois minimums, sans visites, sans ordinateurs et à me mêler à la vie de personnes complêtement détruites par la drogue. A vrai dire je n'avait pas envie de me mêler à ces personnes pour m'en sortir car ca me faisait plus mal au coeur qu'autre chose et ca me cassait un petit peu le moral. Puis 1 mois d'internement alors qu'on a un travail, je trouve cela un petit peu rude.
J'ai donc décider de voir mon médecin traitant pour avoir une aide extérieur. Celui ci m'a gentiment traité de drogué sans même prendre le temps de m'aider et sans même écouter ce que j'avais à dire. Bref c'était la cata.
Suite a cette visite avec le médecin, j'ai décider de ne plus demander d'aide à personne à part à moi même et j'ai commencer à diminuer les doses progressivement à base de -1 demi-comprimé par semaine. Ca a été dur, mais pour ma santé c’était nécessaire. puis au bout de quelques mois, j'ai réussi à me stabiliser à 3/4 comprimés par jours et là , je me suis dit que c'était le moment et j'ai stopper net.
Les trois permiers jours ont été durs mais sans plus mais 3 premières nuits on été cauchemardesque. Impossible de trouver le sommeil, des impatiences dans tout le corps, des sueurs tout le temps et mal aux muscles des bras et des jambes. Un reel supplice. Ma copine m'a beaucoup soutenu et j'en suis heureux.
Cela fait maintenant une semaine que j'ai arrêté et je me sens beaucoup mieux et moins fatigué qu'avant. J'ai toujours des envies d'en reprendre, mais je suis motivé comme jamais pour ne jamais avoir a le faire. J'ai également encore de légère impatiences le soir que je calme avec de l'euphitose.
Au final, j'ai trouvé ce sevrage plus facile que ca à quoi je m'attendais. Et je suis plutot fier de moi a vrai dire
Maintenant je suis bloqué avec le clomipramide 75mg. A l'époque j'en prenais 3 par jours et suite aux effets indésirable j'ai voulu arrêter (prise de poid de 10kg en 3mois a peine, anorgasmie fin' des trucs pas cool quoi). La psy qui m'avait prescrit ça comme traitement de fond pour mes crises d'angoisse m'avait assuré que c'etait sans risque d'addiction et malheureusement, lorsque j'essaie d'arrêter, c 'est vraiment pire que tout.
J'ai réussi a arrêter les Benzo sans aucun soucis (juste quelque tremblements) et la codéine sans trop de problème, mais le sevrage du clomipramine me provoque des vertiges insoutenable au point que j'ai l'impression d'avoir des arythmies (je n'en ai aucune pourtant).
J'ai déjà essayé l’arrêt pendant 4/5 jours il y a deux mois en en prenant juste un demi pour passé les symptômes de crise de manque (c'était inefficace) et ma question est la suivante.
Est-ce que le fait d'avoir pris ce demi comprimé tout les jours lorsque j’étais en sevrage a pu prolonger les effets de la crise de manque ?
Parce que étant passé désormais à 40mg, j'envisage de ré-arreter brusquement histoire de me sortir de ma dernière addiction et de redevenir complétement sains
J'ai commencé a cause de migraines qui m’empêchaient de pouvoir m'endormir en prenant 2 à 3 comprimés de dafalgans codéine 500/30mg je ne me suis pas vu tombé dans cette spirale, et j'en suis tres vite devenu accroc sans même m'en rendre compte.
Au bout de quelque mois en prendre instinctivement sans même avoir de douleur était une chose commune, et je me suis rendu compte de mon addiction le jour ou je suis tombé à cours et ou la crise de manque est apparue.
Je suis resté comme cela pendant une bonne année et demie, puis j'ai décider de me prendre en main et de voir des professionnels pour me faire aider.
J'ai été dans un centre d'aide aux addictions, ou l'on m'a gentiment proposé de me faire "interner" pour 1 mois minimums, sans visites, sans ordinateurs et à me mêler à la vie de personnes complêtement détruites par la drogue. A vrai dire je n'avait pas envie de me mêler à ces personnes pour m'en sortir car ca me faisait plus mal au coeur qu'autre chose et ca me cassait un petit peu le moral. Puis 1 mois d'internement alors qu'on a un travail, je trouve cela un petit peu rude.
J'ai donc décider de voir mon médecin traitant pour avoir une aide extérieur. Celui ci m'a gentiment traité de drogué sans même prendre le temps de m'aider et sans même écouter ce que j'avais à dire. Bref c'était la cata.
Suite a cette visite avec le médecin, j'ai décider de ne plus demander d'aide à personne à part à moi même et j'ai commencer à diminuer les doses progressivement à base de -1 demi-comprimé par semaine. Ca a été dur, mais pour ma santé c’était nécessaire. puis au bout de quelques mois, j'ai réussi à me stabiliser à 3/4 comprimés par jours et là , je me suis dit que c'était le moment et j'ai stopper net.
Les trois permiers jours ont été durs mais sans plus mais 3 premières nuits on été cauchemardesque. Impossible de trouver le sommeil, des impatiences dans tout le corps, des sueurs tout le temps et mal aux muscles des bras et des jambes. Un reel supplice. Ma copine m'a beaucoup soutenu et j'en suis heureux.
Cela fait maintenant une semaine que j'ai arrêté et je me sens beaucoup mieux et moins fatigué qu'avant. J'ai toujours des envies d'en reprendre, mais je suis motivé comme jamais pour ne jamais avoir a le faire. J'ai également encore de légère impatiences le soir que je calme avec de l'euphitose.
Au final, j'ai trouvé ce sevrage plus facile que ca à quoi je m'attendais. Et je suis plutot fier de moi a vrai dire
Maintenant je suis bloqué avec le clomipramide 75mg. A l'époque j'en prenais 3 par jours et suite aux effets indésirable j'ai voulu arrêter (prise de poid de 10kg en 3mois a peine, anorgasmie fin' des trucs pas cool quoi). La psy qui m'avait prescrit ça comme traitement de fond pour mes crises d'angoisse m'avait assuré que c'etait sans risque d'addiction et malheureusement, lorsque j'essaie d'arrêter, c 'est vraiment pire que tout.
J'ai réussi a arrêter les Benzo sans aucun soucis (juste quelque tremblements) et la codéine sans trop de problème, mais le sevrage du clomipramine me provoque des vertiges insoutenable au point que j'ai l'impression d'avoir des arythmies (je n'en ai aucune pourtant).
J'ai déjà essayé l’arrêt pendant 4/5 jours il y a deux mois en en prenant juste un demi pour passé les symptômes de crise de manque (c'était inefficace) et ma question est la suivante.
Est-ce que le fait d'avoir pris ce demi comprimé tout les jours lorsque j’étais en sevrage a pu prolonger les effets de la crise de manque ?
Parce que étant passé désormais à 40mg, j'envisage de ré-arreter brusquement histoire de me sortir de ma dernière addiction et de redevenir complétement sains
Pour changer de vie, il suffit d'un choix
Parfois, faut fuir les grandes villes où personne ne vit la joie
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- Mister No
- Pussy time
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Maintenant je suis bloqué avec
Il te faudrait poser ces questions à ton psy, pour le sevrage de l'AD...
Ensuite, vu ce que tu dis, je trouve ta situation vraiment compliquée ; tu es traité pour des angoisses et en parallèle, tu consommes de la codéine et tu fais un sevrage seul. Cela fait beaucoup à gérer pour une seule personne.
Il faudrait aussi que tu prennes conscience que l'on peut être sain sous traitement et complètement barré sans prise en charge. Je ne dis pas que c'est ton cas, mais c'est risqué de vouloir tout faire tout seul, du sevrage à la prise en charge médicamenteuse. Tu le dis toi-même, cela ne t'a pas réussi avec les anti-douleur.
Tu peux changer de médecin si tu sens que tu n'es ni écouté ni compris.
J'ai réussi a arrêter les Benzo sans aucun soucis (juste quelque tremblements) et la codéine sans trop de problème, mais le sevrage du clomipramine me provoque des vertiges insoutenable au point que j'ai l'impression d'avoir des arythmies (je n'en ai aucune pourtant). - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 80#p219080
Pour chaque molécule, il existe un protocole de sevrage ; quand j'avais arrêté net un AD pour cause de vacances et de perte d'ordo, j'ai vraiment morflé en l’arrêtant net. Quand j'ai voulu l’arrêter par la suite avec le soutien de mon médecin, il m'a donné un protocole de sevrage et je n'ai pas remarqué d'effets secondaires liés à l'arrêt.
Cela peut même être potentiellement mortel d’arrêter les benzos net.
Je te déconseille de jouer avec la chimie de ton cerveau sans en informer ton médecin qui pourra alors t'éviter des erreurs.
Au final, j'ai trouvé ce sevrage plus facile que ca à quoi je m'attendais. Et je suis plutot fier de moi a vrai dire - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 80#p219080
Vraiment heureux pour toi. Sois vigilent, le sevrage, c'est pas forcément le plus compliqué à gérer, vient l'après, la vie sans codéine et le vide que ça peut laisser. Le sevrage ne résout pas tout.
Dernière modification par Mister No (25 avril 2016 à 09:57)
Just say no prohibition !
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- Damss
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- Inscrit le 23 Apr 2016
- 35 messages
Merci de ta réponse.
Alors a vrai dire j'en ai parlé à la psy de l'arret des AD. Celle-ci m'avait gentiment expliquer qu'elle n'était pas compétente pour me faire arrêter les médicaments qu'elle m'avait prescrit (je vous jure que ce n'est pas une blague).
J'avais déjà pris plusieur AD à l'époque dont l'effexor,le zyprexa et le seroplex auquel je suis resté accroché sept ou 8 mois et que j'ai du stoppé parce que j'avais perdu mon emploi et donc je n'avait plus de mutuel. Et une facture de pharma a 80 euros c'est pas hyper cool.
J'avais plutot bien réussi a gerer la dépréssion et j'en suis sorti tout seul, en m'aérant le cerveau comme je pouvais.
J'ai fait des crise d'angoisse ou j'avais l'impression de faire des infarctus suite à la mort d'un proche qui m'avait pas mal touché et, j'ai fait tout les test possible et imaginable et je vais mieux, sincèrement. C'est pourquoi j'envisage l'arret du clomipramine.
Puis, il y a les effets secondaires sont vraiment horrible. Surtout la prise de poid que je n'arrive pas a perdre alors que je fais une trentaine de minute de sport par jour et que je mange très sainement.
Puis l'anorgasmie me bouffait vraiment la vie...
Alors a vrai dire j'en ai parlé à la psy de l'arret des AD. Celle-ci m'avait gentiment expliquer qu'elle n'était pas compétente pour me faire arrêter les médicaments qu'elle m'avait prescrit (je vous jure que ce n'est pas une blague).
J'avais déjà pris plusieur AD à l'époque dont l'effexor,le zyprexa et le seroplex auquel je suis resté accroché sept ou 8 mois et que j'ai du stoppé parce que j'avais perdu mon emploi et donc je n'avait plus de mutuel. Et une facture de pharma a 80 euros c'est pas hyper cool.
J'avais plutot bien réussi a gerer la dépréssion et j'en suis sorti tout seul, en m'aérant le cerveau comme je pouvais.
J'ai fait des crise d'angoisse ou j'avais l'impression de faire des infarctus suite à la mort d'un proche qui m'avait pas mal touché et, j'ai fait tout les test possible et imaginable et je vais mieux, sincèrement. C'est pourquoi j'envisage l'arret du clomipramine.
Puis, il y a les effets secondaires sont vraiment horrible. Surtout la prise de poid que je n'arrive pas a perdre alors que je fais une trentaine de minute de sport par jour et que je mange très sainement.
Puis l'anorgasmie me bouffait vraiment la vie...
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- bighorsse
- Banni
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concernant ton antidepresseur tu devrais consulter plutot que de l'arreter d un coup ; ce n'est pas du tout conseillé
de plus tu souffres quand même d un trouble important qui a justifier ce traitement en particulier
vas tu mieux ? es tu gueri de ces troubles ?
ou tu penses que c comme la codeine ,ça s arrete point barre?
tout peut s'arreter bien sur mais il vaut mieux le faire dans de bonnes conditions
descendre en progressif par ex
de plus tu souffres quand même d un trouble important qui a justifier ce traitement en particulier
vas tu mieux ? es tu gueri de ces troubles ?
ou tu penses que c comme la codeine ,ça s arrete point barre?
tout peut s'arreter bien sur mais il vaut mieux le faire dans de bonnes conditions
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- Damss
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- Inscrit le 23 Apr 2016
- 35 messages
Ces médicaments traitaient de légères crises d'angoisses qui même lorsque j'etais en pseudo sevrage ne sont pas réaparrue. Je vais essayer de voir un medecin d'ici peu pour lui parler de ce problème avec cet AD qui m'apporte plus d'effets indésirable que bénéfique. Et essayer un autre traitement si besoin il y a.
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- prescripteur
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Bravo pour la codeine. Serais tu OK pour mettre ton témoignage dans le psychowiki ?
http://www.psychoactif.org/psychowiki/i … u_tramadol
Pour la clomipramine je pense qu'il faut vraiment etre progressif. Il n'y a pas de forme goutte mais il y en a avec le laroxyl (amitryptilline) qui est assez proche. Vois avec ton medecin mais ce serait , je pense, une option en diminuant par exemple d'1/4 tous les 15 jours au maximum (passer de l'equivalent de 40 à 30 mg/j par exemple) mais plus lentement si besoin. Pour la sécurité moins 10% tous les 15 jours est recommandé par certains.
Comme le montre http://www.sciencedirect.com/science/ar … 2715001512
L'amitryptilline (Laroxyl) et la clomipramine sont quasiment équivalents pour les doses (mg pour mg).
Amicalement
http://www.psychoactif.org/psychowiki/i … u_tramadol
Pour la clomipramine je pense qu'il faut vraiment etre progressif. Il n'y a pas de forme goutte mais il y en a avec le laroxyl (amitryptilline) qui est assez proche. Vois avec ton medecin mais ce serait , je pense, une option en diminuant par exemple d'1/4 tous les 15 jours au maximum (passer de l'equivalent de 40 à 30 mg/j par exemple) mais plus lentement si besoin. Pour la sécurité moins 10% tous les 15 jours est recommandé par certains.
Comme le montre http://www.sciencedirect.com/science/ar … 2715001512
L'amitryptilline (Laroxyl) et la clomipramine sont quasiment équivalents pour les doses (mg pour mg).
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (25 avril 2016 à 12:11)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- Damss
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Bravo pour la codeine. Serais tu OK pour mettre ton témoignage dans le psychowiki ?
Il n'y a aucun soucis c'est grâce a des témoignage que j'ai eu la force de m'arrêter. Si le mien peut aider ne serait-ce qu'une personne, c'est cool :)
Je vais parler du laroxyl au nouveau médecin que j'ai trouvé alors, dans tout les cas je suivrais le conseil des 10 % par 2/3 semaine. J'ai des comprimé de 10mg plus une boite pour couper les cachets au besoin. Je vais prrendre ma calculette et préparer les doses pour les deux semaine à venir.
Sinon à part l'euphitose, connaissez vous quelque chose de naturel qui pourrait aider a vaincre ces symptomes de manque ?
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- prescripteur
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Personnellement j'aime bien l'euphytose. Même la revue Prescrire d'habitude très critique dit plutot du bien de la valeriane. Mais le fait que ce soit une plante ("naturelle") n'est pas un gage ni d'efficacité ni d'absence de toxicité !! Ainsi le millepertuis est un AD "naturel" mais a pas mal d'interactions et d'effets secondaires. Et je ne parle pas de la cigüe.....
Si on parle de naturel je serais plutot pour regarder du côté du non médicamenteux, sport, sommeil (et "petits moyens" pour le favoriser) , vie saine, méditation etc..
Amicalement
Si on parle de naturel je serais plutot pour regarder du côté du non médicamenteux, sport, sommeil (et "petits moyens" pour le favoriser) , vie saine, méditation etc..
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S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- JeRe
- bugcore life
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Je prends de la valeriane quand j'ai un peu de mal a m'endormir et ça marche plutot pas mal. Bon j'en prends pas tous les jours car je suis pas un insomniaque mais parfois ça aide. Ma mere qui prenait du teresta pour dormir depuis que je lui ai fais decouvrir la valeriane a jetter ses boites et elle me dit qu'elle a retrouvé un bon sommeil et se reveille pas avec une espece de brume.Et pareil elle en prends pas tous les jours alors que le teresta c'etait son 1/2 cp par jour.
Je suis uniquement maitre de ma vie mais domestique de ce qui reste.
quand on sait pas ou l'on va il faut y'aller et le plus vite possible !! proverbe shadok !
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- Damss
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- 35 messages
Je pense que je vais passer à la pharmacie prendre de l'aubépine et de la valériane ce soir pour calmer le stress récurent dû à l’arrêt de la codéine et au boulot.
J'ai lu qu'il y avait peut-être une légère toxicité pour le foie avec la valériane, mais je pense que c'est comme tout, il faut rester dans le raisonnable et ne pas en abuser.
J'ai lu qu'il y avait peut-être une légère toxicité pour le foie avec la valériane, mais je pense que c'est comme tout, il faut rester dans le raisonnable et ne pas en abuser.
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- J-Cat
- ...
- Inscrit le 22 Feb 2016
- 151 messages
Salut Damms,
Je prends également de la codéine depuis deux ans environ.
J'ai récemment réussi à diminué de moitié ma conso, d'une boite à une demi boite (c'est déjà ça...).
Sur les moments de manque, il m'est arrivé de me faire un thé de Kratom, ou mâcher 2/3 feuilles fraiches , mais j'ai cru comprendre qu'il ne fallait pas en faire une habitude...
ça marche relativement bien pour moi, et gomme efficacement les désagréments physiques, mais je pense que je suis assez réceptive à tout ça.
Il m'arrive de temps en temps aussi de me faire un genre de décoction de lotus bleu (10 min sur le feu), à laquelle je rajoute hors du feu de la mélisse fraiche et de la verveine. Personnellement, j'aime beaucoup ce mélange le soir.
Il m'est même arrivée être un peu collée dans l'aprem après 3 bonnes tasses de ce breuvage.
Sinon, en ce moment, c'est la saison des coquelicots, tu peux partir en récolte, les mettre à sécher en une couche (les pétales), et t'en servir en infusion.
Il parait que ça fonctionne assez bien pour l'apaisement, et en plus tu fais des promenades...
Les miens sont au séchage. J'ai pas encore testé.
Une homéopathe m'a prescrit du millepertuis en comprimé et du lithium en oligosol car j'étais un peu "tendue" on va dire, et je sais pas si c'est ça mais je me sens bien mieux depuis...
Voilà quelques pistes, et félicitations pour tes efforts.
Portes-toi bien et bon courage.
Je prends également de la codéine depuis deux ans environ.
J'ai récemment réussi à diminué de moitié ma conso, d'une boite à une demi boite (c'est déjà ça...).
Sur les moments de manque, il m'est arrivé de me faire un thé de Kratom, ou mâcher 2/3 feuilles fraiches , mais j'ai cru comprendre qu'il ne fallait pas en faire une habitude...
ça marche relativement bien pour moi, et gomme efficacement les désagréments physiques, mais je pense que je suis assez réceptive à tout ça.
Il m'arrive de temps en temps aussi de me faire un genre de décoction de lotus bleu (10 min sur le feu), à laquelle je rajoute hors du feu de la mélisse fraiche et de la verveine. Personnellement, j'aime beaucoup ce mélange le soir.
Il m'est même arrivée être un peu collée dans l'aprem après 3 bonnes tasses de ce breuvage.
Sinon, en ce moment, c'est la saison des coquelicots, tu peux partir en récolte, les mettre à sécher en une couche (les pétales), et t'en servir en infusion.
Il parait que ça fonctionne assez bien pour l'apaisement, et en plus tu fais des promenades...
Les miens sont au séchage. J'ai pas encore testé.
Une homéopathe m'a prescrit du millepertuis en comprimé et du lithium en oligosol car j'étais un peu "tendue" on va dire, et je sais pas si c'est ça mais je me sens bien mieux depuis...
Voilà quelques pistes, et félicitations pour tes efforts.
Portes-toi bien et bon courage.
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- J-Cat
- ...
- Inscrit le 22 Feb 2016
- 151 messages
Tu peux aussi t'aider avec des huiles essentielles.
Avec quelques recherches et quelques tests, je suis sûre que tu trouveras ton huile essentielle "doudou".
Je te donne quelques idées : agrume genre orange ou bergamote (ma préférée), basilic tropical, marjolaine à coquille...
En cas de coup de stress ou d'angoisse, j'en mets quelques gouttes dans le creux des poignets et je les frotte l'un contre l'autre près de mon nez. Sur le plexus aussi.
Un bon truc pour détourner certaines émotions désagréables et retrouver sa sérénité...
Avec quelques recherches et quelques tests, je suis sûre que tu trouveras ton huile essentielle "doudou".
Je te donne quelques idées : agrume genre orange ou bergamote (ma préférée), basilic tropical, marjolaine à coquille...
En cas de coup de stress ou d'angoisse, j'en mets quelques gouttes dans le creux des poignets et je les frotte l'un contre l'autre près de mon nez. Sur le plexus aussi.
Un bon truc pour détourner certaines émotions désagréables et retrouver sa sérénité...
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- bighorsse
- Banni
- Inscrit le 19 Mar 2007
- 8506 messages
des huiles essentielles pour "detourner des sensations desagreables"...genre: des odeurs?
non serieusement je vois pas bien le rapport entre les huiles et la deccro..
non serieusement je vois pas bien le rapport entre les huiles et la deccro..
l angoisse est le vertige de la liberté
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- J-Cat
- ...
- Inscrit le 22 Feb 2016
- 151 messages
Ben il y a plein d'huiles essentielles qui sont efficaces contre le stress et l'angoisse.
Les plantes sont nos amies, et les huiles essentielles concentrent leur vertus.
Je pense que ça peut vraiment être utiles pour l'apaisement.
C'est pas seulement pour chasser les mauvaises odeurs...
Les plantes sont nos amies, et les huiles essentielles concentrent leur vertus.
Je pense que ça peut vraiment être utiles pour l'apaisement.
C'est pas seulement pour chasser les mauvaises odeurs...
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- Recklinghausen
- Adhérent PsychoACTIF
- Inscrit le 09 Mar 2015
- 6185 messages
Salut,
Juste pour dire que les huiles essentielles sont utilisées dans certaines cultures pour améliorer le quotidien depuis bien longtemps...
Bon ben évidemment... Rien à voir avec une 20ène de cachous bleus vanillés absorbés
Pour l'arrêt de la codéine... Je dirais que c'est maintenant que tout commence :
Tout d'abord, renseigne toi bien sur le phénomène de PAWS.
Et je t'incite à commencer à pratiquer un sport ( la marche, minimum une demi heure ( et plus si affinités ) pas trop lente ) afin de commander à ton cerveau de fabriquer naturellement des endorphines.
Pourquoi ne pas également te tourner vers des pratiques comme la méditation ou la sophrologie ( si tu as les moyens financiers car ce n'est pas remboursé par la sécu ) ?
Attention également à ne pas remplacer l'addiction à la codéine par une consommation d'alcool de plus en plus importante...
Mes cessions alcool sont généralement plus dévastatrices sur mon organisme que les autres
Prends soin de toi,
Reck.
PS : Alors, ça a donné quoi la valériane et l'aubépine ?
Juste pour dire que les huiles essentielles sont utilisées dans certaines cultures pour améliorer le quotidien depuis bien longtemps...
Bon ben évidemment... Rien à voir avec une 20ène de cachous bleus vanillés absorbés
Pour l'arrêt de la codéine... Je dirais que c'est maintenant que tout commence :
Tout d'abord, renseigne toi bien sur le phénomène de PAWS.
Et je t'incite à commencer à pratiquer un sport ( la marche, minimum une demi heure ( et plus si affinités ) pas trop lente ) afin de commander à ton cerveau de fabriquer naturellement des endorphines.
Pourquoi ne pas également te tourner vers des pratiques comme la méditation ou la sophrologie ( si tu as les moyens financiers car ce n'est pas remboursé par la sécu ) ?
Attention également à ne pas remplacer l'addiction à la codéine par une consommation d'alcool de plus en plus importante...
Mes cessions alcool sont généralement plus dévastatrices sur mon organisme que les autres
Prends soin de toi,
Reck.
PS : Alors, ça a donné quoi la valériane et l'aubépine ?
L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.
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- Damss
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- Inscrit le 23 Apr 2016
- 35 messages
Tout d'abord, merci pour tout vos conseils.
Effectivement c'est maintenant que tout commence, j'ai pu m’apercevoir que le sevrage physique était relativement facile. Maintenant je doit me battre avec mon envie d'en reprendre. Mais personnellement ça me fait le même effet que la clope. Genre j'ai envie d'en reprendre à fond, ça reste le temps que j'y pense, puis je me concentre sur autre chose et ca passe.
Après c'est vrai que je me sens relativement vide. Comme s'il manquait quelque chose à mon cerveau pour que tout puisse être normal.
D'autant que je n'ai pas de chance, je ne peut pas jeter tout mes comprimés, car ma copine comme moi est migraineuse, et il n'y a que les médicaments à base de codéine ou de tramadol qui la calme...
Sinon, oui, comme dit J-CAT c'est la saison des coquelicots, je vais aller faire ma petite cueillette le week end prochain et en profiter pour cueillir de la valériane également. je vais essayer de la 100% bio en infusion comme ça. :)
Puis c'est vrai que j'ai lu sur tout ce qui est
Pour ce qui est de l'aubépine et la valériane, ça me calme vachement, ça fait même du bien, après évidemment que ça n'a rien a voir avec la codéine, mais ça a ses effets. Autre avantage que cela me procure c'est que j'ai tendance a avoir des douleurs thoraciques dûent au stress ou autre. Et depuis ça, je n'ai pratiquement plus rien.
Je t'invite a aller lire le post que j'ai fait la dessus ou je témoigne des effets bénéfique que ca a sur moi; https://www.psychoactif.org/forum/t1856 … .html#divx
Pas d’inquiétude, pour l'alcool, j'ai pas mal de personne de mon entourage qui y ont été ou qui y sont encore addict.
Et même si je bois déjà trop selon moi, je ne bois uniquement qu'en soirée, ou a de très très rares occasions.
En revanche j'ai pensé à me prendre un peu de weed et à m'en fumer un peu de temps en temps et ne m'autoriser que cette folie lorsque gros besoin il y a. M'enfin bon, je verrai pas envie de retomber dans autre choses.
Sinon, maintenant que je suis clean je vais enfin pouvoir avoir les effets bénéfique du sport sur le physique. Les médicament me faisaient légèrement grossir et je n'arrivait pas à perdre les 10kg en trop que j'avais malgré le sport et l'alimentation équilibré. Donc pas de soucis la dessus, ma demie heure de sport par jour sera faite. Je vais me refaire une vraie santé. :)
Effectivement c'est maintenant que tout commence, j'ai pu m’apercevoir que le sevrage physique était relativement facile. Maintenant je doit me battre avec mon envie d'en reprendre. Mais personnellement ça me fait le même effet que la clope. Genre j'ai envie d'en reprendre à fond, ça reste le temps que j'y pense, puis je me concentre sur autre chose et ca passe.
Après c'est vrai que je me sens relativement vide. Comme s'il manquait quelque chose à mon cerveau pour que tout puisse être normal.
D'autant que je n'ai pas de chance, je ne peut pas jeter tout mes comprimés, car ma copine comme moi est migraineuse, et il n'y a que les médicaments à base de codéine ou de tramadol qui la calme...
Sinon, oui, comme dit J-CAT c'est la saison des coquelicots, je vais aller faire ma petite cueillette le week end prochain et en profiter pour cueillir de la valériane également. je vais essayer de la 100% bio en infusion comme ça. :)
Puis c'est vrai que j'ai lu sur tout ce qui est
Pour ce qui est de l'aubépine et la valériane, ça me calme vachement, ça fait même du bien, après évidemment que ça n'a rien a voir avec la codéine, mais ça a ses effets. Autre avantage que cela me procure c'est que j'ai tendance a avoir des douleurs thoraciques dûent au stress ou autre. Et depuis ça, je n'ai pratiquement plus rien.
Je t'invite a aller lire le post que j'ai fait la dessus ou je témoigne des effets bénéfique que ca a sur moi; https://www.psychoactif.org/forum/t1856 … .html#divx
Pas d’inquiétude, pour l'alcool, j'ai pas mal de personne de mon entourage qui y ont été ou qui y sont encore addict.
Et même si je bois déjà trop selon moi, je ne bois uniquement qu'en soirée, ou a de très très rares occasions.
En revanche j'ai pensé à me prendre un peu de weed et à m'en fumer un peu de temps en temps et ne m'autoriser que cette folie lorsque gros besoin il y a. M'enfin bon, je verrai pas envie de retomber dans autre choses.
Sinon, maintenant que je suis clean je vais enfin pouvoir avoir les effets bénéfique du sport sur le physique. Les médicament me faisaient légèrement grossir et je n'arrivait pas à perdre les 10kg en trop que j'avais malgré le sport et l'alimentation équilibré. Donc pas de soucis la dessus, ma demie heure de sport par jour sera faite. Je vais me refaire une vraie santé. :)
Pour changer de vie, il suffit d'un choix
Parfois, faut fuir les grandes villes où personne ne vit la joie
Hors ligne
- J-Cat
- ...
- Inscrit le 22 Feb 2016
- 151 messages
Salut Damss (et les autres),
Tu peux aussi te faire assez facilement un sirop avec les pétales de coquelicot.
J'en ai fait un ce we et franchement, c'est carrément bon et je trouve ça vraiment apaisant.
Plein de rêves colorés la nuit dernière.
J'ai lu que le coquelicot contenait un alcaloïde sédatif (rhoeadine) qui est genre une benzodiazépine naturelle. ça vaut le coup d'essayer et c'est super facile à faire si tu as un peu de temps devant toi.
Je te donne ma recette qui est un mélange de plusieurs :
200g de pétales (ça fait un tiers de gros sac en papier pour les courses de fleurs)
Faire bouillir 800ml d'eau et ajouter les pétales hors du feu en remuant.
Laisser reposer le tout au frais, couvert pendant environ 24h.
Filter. J'ai récup 820g de jus.
Ajouter 1kg de sucre et remettre sur le feu.
Quand ça bout, j'ai laisser cuire 10 min, mais plus c'est possible, car le mien est un peu liquide.
J'ai rajouter un demi citron pressé filtré pour la conservation.
Mettre en bouteille ou bocaux préalablement stérilisés (10 min dans de l'eau qui bout).
Et voilà , le plus fastidieux, c'est d'enlever tous les pétales des fleurs...
Bon c'est sûr, c'est pas de la rachacha, mais bon, ça fait quand même du bien au moral.
Allez, bonne cuisine, si tu es motivé...
Tu peux aussi te faire assez facilement un sirop avec les pétales de coquelicot.
J'en ai fait un ce we et franchement, c'est carrément bon et je trouve ça vraiment apaisant.
Plein de rêves colorés la nuit dernière.
J'ai lu que le coquelicot contenait un alcaloïde sédatif (rhoeadine) qui est genre une benzodiazépine naturelle. ça vaut le coup d'essayer et c'est super facile à faire si tu as un peu de temps devant toi.
Je te donne ma recette qui est un mélange de plusieurs :
200g de pétales (ça fait un tiers de gros sac en papier pour les courses de fleurs)
Faire bouillir 800ml d'eau et ajouter les pétales hors du feu en remuant.
Laisser reposer le tout au frais, couvert pendant environ 24h.
Filter. J'ai récup 820g de jus.
Ajouter 1kg de sucre et remettre sur le feu.
Quand ça bout, j'ai laisser cuire 10 min, mais plus c'est possible, car le mien est un peu liquide.
J'ai rajouter un demi citron pressé filtré pour la conservation.
Mettre en bouteille ou bocaux préalablement stérilisés (10 min dans de l'eau qui bout).
Et voilà , le plus fastidieux, c'est d'enlever tous les pétales des fleurs...
Bon c'est sûr, c'est pas de la rachacha, mais bon, ça fait quand même du bien au moral.
Allez, bonne cuisine, si tu es motivé...
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- Damss
- Nouveau membre
- Inscrit le 23 Apr 2016
- 35 messages
Salut J-Cat
Alors pour le coquelicot effectivement j'ai un peu lu sur le sujet. Mais c'est un peu flou à vrai dire.
Certains disent que l’alcaloïde est plus présent dans la coque du coquelicot et je n'arrive pas à trouver les bons dosages pour celles là .
En attendant de partir à la cueillette demain après midi (faut en profiter avec ce beau temps), j'ai acheté des gellules à la pharmacie.
Bon ça calme vachement mais j'ai toujours ce léger vide dû à la codéine. Cette nuit j'ai rêvé que je rinçais du néocodion pour m'en enfiler quelque un, et ca m'a posé dans mon rêve.
Sinon j'ai un magasin d'huiles essentielles dans ma ville, je vais aller y faire un tour dans l'après midi pour trouver mon bonheur et je t’écrirai pour te dire ce que j'ai trouvé. j'ai l'impression de devenir un vrai hippie avec toute mes plantes x)
Ceci dit peut-être que quelqu'un peut m’éclairer, mais est-ce possible d'avoir encore des traces de sevrage physique encore maintenant ?
J'ai encore des impatiences le soir quand viens le moment d'aller me coucher et j'ai quelque fois mal aux muscles comme pendant le sevrage. C'est pas aussi intense mais c'est présent.
Sinon pour m'aider un peu, j'ai pris rendez vous dans un cmp pour leur parler du sevrage et pour me libérer un peu. D'autant plus qu'à ce que j'ai pu comprendre ils voient pas mal de gens addict.
En espérant qu'il puisse m'aider.
Bonne journée à vous ! :)
Alors pour le coquelicot effectivement j'ai un peu lu sur le sujet. Mais c'est un peu flou à vrai dire.
Certains disent que l’alcaloïde est plus présent dans la coque du coquelicot et je n'arrive pas à trouver les bons dosages pour celles là .
En attendant de partir à la cueillette demain après midi (faut en profiter avec ce beau temps), j'ai acheté des gellules à la pharmacie.
Bon ça calme vachement mais j'ai toujours ce léger vide dû à la codéine. Cette nuit j'ai rêvé que je rinçais du néocodion pour m'en enfiler quelque un, et ca m'a posé dans mon rêve.
Sinon j'ai un magasin d'huiles essentielles dans ma ville, je vais aller y faire un tour dans l'après midi pour trouver mon bonheur et je t’écrirai pour te dire ce que j'ai trouvé. j'ai l'impression de devenir un vrai hippie avec toute mes plantes x)
Ceci dit peut-être que quelqu'un peut m’éclairer, mais est-ce possible d'avoir encore des traces de sevrage physique encore maintenant ?
J'ai encore des impatiences le soir quand viens le moment d'aller me coucher et j'ai quelque fois mal aux muscles comme pendant le sevrage. C'est pas aussi intense mais c'est présent.
Sinon pour m'aider un peu, j'ai pris rendez vous dans un cmp pour leur parler du sevrage et pour me libérer un peu. D'autant plus qu'à ce que j'ai pu comprendre ils voient pas mal de gens addict.
En espérant qu'il puisse m'aider.
Bonne journée à vous ! :)
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- bighorsse
- Banni
- Inscrit le 19 Mar 2007
- 8506 messages
je me demande quel goût à le coquelicot ? c est une fleur si belle avec sa corole rouge, son coeur noir...une vraie tentatrice la "fille"!
enfant j'aimais cueillir des coquelicots pour les offrir en bouquet à ma mère ; à chaque fois c etait pareil ;le temps d arriver à la maison, il ne me restait que les tiges , quelques pauvres coroles fanées
enfant j'aimais cueillir des coquelicots pour les offrir en bouquet à ma mère ; à chaque fois c etait pareil ;le temps d arriver à la maison, il ne me restait que les tiges , quelques pauvres coroles fanées
l angoisse est le vertige de la liberté
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- J-Cat
- ...
- Inscrit le 22 Feb 2016
- 151 messages
Salut Damss,
Je pense que c'est normal d'avoir encore parfois des syndromes de sevrage physique, ça peut durer assez longtemps je crois.
ça fait combien de temps que tu as tout stoppé maintenant, 3 semaines il me semble.
Au fur et à mesure elles devraient s'éloigner et finir par disparaitre.
Tu as fais un bon morceau de chemin, tiens bon...
Je pense que c'est normal d'avoir encore parfois des syndromes de sevrage physique, ça peut durer assez longtemps je crois.
ça fait combien de temps que tu as tout stoppé maintenant, 3 semaines il me semble.
Au fur et à mesure elles devraient s'éloigner et finir par disparaitre.
Tu as fais un bon morceau de chemin, tiens bon...
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- papa royko
- Nouveau membre
- Inscrit le 13 May 2016
- 4 messages
salut à tous
bien joué Damss, courage et confiance pour la suite
En tout cas ton post va aider beaucoup de gens , j'en suis sûr (et moi le premier!)
j'ai une saloperie d'hernie discale et j'suis addict depuis 3 ans à la codéine, jvai essayer d'arreter tranquilou en suivant tous les bons conseils de cette page. Merci à toi aussi J-cat j'aime bien les plantes!
mais bon... des fois j'me dis aussi que avec une conso raisonnée d'opiacée on peux ptet vivre normalement, avec les bons produits adaptés à mon cas et un suivi medical... j'sais pas
Je suis tombé assez vite dans la came quand j'étais jeune avec la sensation que c'était "mon prod" j'ai arréter sans trop de soucis (avec un changement radical de vie) mais quelques années plus tard c'est pas un hasard si je retombe dans la codéine je pense...
En tout cas je vais tenter l'aventure du sevrage grace à toi, je vois le doc vendredi prochain , je vous tiens au jus!
tchuss
bien joué Damss, courage et confiance pour la suite
En tout cas ton post va aider beaucoup de gens , j'en suis sûr (et moi le premier!)
j'ai une saloperie d'hernie discale et j'suis addict depuis 3 ans à la codéine, jvai essayer d'arreter tranquilou en suivant tous les bons conseils de cette page. Merci à toi aussi J-cat j'aime bien les plantes!
mais bon... des fois j'me dis aussi que avec une conso raisonnée d'opiacée on peux ptet vivre normalement, avec les bons produits adaptés à mon cas et un suivi medical... j'sais pas
Je suis tombé assez vite dans la came quand j'étais jeune avec la sensation que c'était "mon prod" j'ai arréter sans trop de soucis (avec un changement radical de vie) mais quelques années plus tard c'est pas un hasard si je retombe dans la codéine je pense...
En tout cas je vais tenter l'aventure du sevrage grace à toi, je vois le doc vendredi prochain , je vous tiens au jus!
tchuss
Dernière modification par papa royko (13 mai 2016 à 05:22)
faisons tous notre part pour changer le monde, colibri powa!
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- Recklinghausen
- Adhérent PsychoACTIF
- Inscrit le 09 Mar 2015
- 6185 messages
Salut,
@ Damss :
Voilà une petite discussion ou il est question de coquelicots... Et une façon de ne pas jeter les têtes car comme tout aliment, il mérite d'être utilisé au maximum ( la faune et la flore... Tuer n'est pas un problème lorsque le maximum est consommé... j'arrête tout de suite, je vais tartiner ma life et c'est pas le but ).
https://www.psychoactif.org/forum/t1439 … .html#divx
Pis renseigne toi bien sur le PAWS... C'est toujours bien de savoir ce que l'on risque de ressentir.
Je ne pense pas que l'affronter soit la meilleure des solutions ( en règle générale, toute bataille amène une soif de revanche chez le perdant )... Même pas sur que se soit possible.
Mais c'est toujours sympa de savoir que les ressentis sont juste due à une sorte de flash back et sont dus à une ancienne consommation.
@ papa minute soupe ( je savais que commencer à monter dès le matin n'était peut-être la meilleure des bonnes idées du jour )
J'aurais tendance à penser que même si la dualité est une part important de chaque personnalité, le mieux est d'arriver à faire un choix.
Vu que ce sont des douleurs, j'imagine que la prise de codeine est journalière...
Si les douleurs ont décidé de quitter ta dépouille terrestre afin d'aller taquiner d'autres gens aux alentours ( dans le cas contraire, ça devient de la souffrance inutile et il ne sera pas question qu'une personne autre que toi te demande de stopper ces médicaments )...
Il y a moyen de commencer à envisager une suppression progressive de la consommation de codeine.
Douuuuuucement... C'est plus de chance de réussite sur un long terme.
Le soucis est que cette molécule n'agit pas que sur la douleur mais quelquefois également sur le moral ( surtout quand t'arrête d'en prendre ).
Après, il n'y a rien d'écrit car chaque personne est unique.
Et si la baisse par palier n'est pas satisfaisante, que tu ressens des sentiments négatifs trop compliqués à gérer...
Suffira de gérer avec le toubib !
Continuer ton traitement à la codéine avec pourquoi pas un médicament codéiné à Libération Prolongée ou switcher ( remplacer par ) vers un TSO ( généralement de la buprénorphine )...
L'important est de vivre bien... Pas besoin de culpabiliser... Sinon que devrais je dire... J'ai deux médicaments jour pour me maintenir en vie sur un long terme ( et je parle juste de physique, pas de mental )...
T'es à combien de mg de codé/ jour ? Si c'est pas trop indiscrêt.
Prenez soin de vous,
Reck.
@ Damss :
Voilà une petite discussion ou il est question de coquelicots... Et une façon de ne pas jeter les têtes car comme tout aliment, il mérite d'être utilisé au maximum ( la faune et la flore... Tuer n'est pas un problème lorsque le maximum est consommé... j'arrête tout de suite, je vais tartiner ma life et c'est pas le but ).
https://www.psychoactif.org/forum/t1439 … .html#divx
Pis renseigne toi bien sur le PAWS... C'est toujours bien de savoir ce que l'on risque de ressentir.
Je ne pense pas que l'affronter soit la meilleure des solutions ( en règle générale, toute bataille amène une soif de revanche chez le perdant )... Même pas sur que se soit possible.
Mais c'est toujours sympa de savoir que les ressentis sont juste due à une sorte de flash back et sont dus à une ancienne consommation.
@ papa minute soupe ( je savais que commencer à monter dès le matin n'était peut-être la meilleure des bonnes idées du jour
)J'aurais tendance à penser que même si la dualité est une part important de chaque personnalité, le mieux est d'arriver à faire un choix.
Vu que ce sont des douleurs, j'imagine que la prise de codeine est journalière...
Si les douleurs ont décidé de quitter ta dépouille terrestre afin d'aller taquiner d'autres gens aux alentours ( dans le cas contraire, ça devient de la souffrance inutile et il ne sera pas question qu'une personne autre que toi te demande de stopper ces médicaments )...
Il y a moyen de commencer à envisager une suppression progressive de la consommation de codeine.
Douuuuuucement... C'est plus de chance de réussite sur un long terme.
Le soucis est que cette molécule n'agit pas que sur la douleur mais quelquefois également sur le moral ( surtout quand t'arrête d'en prendre ).
Après, il n'y a rien d'écrit car chaque personne est unique.
Et si la baisse par palier n'est pas satisfaisante, que tu ressens des sentiments négatifs trop compliqués à gérer...
Suffira de gérer avec le toubib !
Continuer ton traitement à la codéine avec pourquoi pas un médicament codéiné à Libération Prolongée ou switcher ( remplacer par ) vers un TSO ( généralement de la buprénorphine )...
L'important est de vivre bien... Pas besoin de culpabiliser... Sinon que devrais je dire... J'ai deux médicaments jour pour me maintenir en vie sur un long terme ( et je parle juste de physique, pas de mental )...
T'es à combien de mg de codé/ jour ? Si c'est pas trop indiscrêt.
Prenez soin de vous,
Reck.
L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.
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- Damss
- Nouveau membre
- Inscrit le 23 Apr 2016
- 35 messages
@papa royko
Je suis super content que mon post puisse te donner un peu de courage.
Pour L’arrêt de la codéine je pense que comme toute les addictions il ne faut pas partir en se disant que ca va être dur et que tu vas en chier. Je pense qu'il faut te dire que tu es fort et que tu peux le faire et surtout rester cool avec ton corps. Il faut que l'envie d'arrêter reste présente, mais que tu reste conscient des besoins de ton corps, l'écouter et baisser les doses selon ce que lui accepte.
Personnellement pour trouver les doses de diminutions je faisait quelque chose de simple, je prenais ma dose "normal" pendant une journée et la journée suivante je descendais les doses pour voire si une crise de manque se faisait ressentir et jauger l'intensité de celle-ci. Et je comblais le manque en prenant de petites doses jusqu'à ce qu'il disparaisse en faisant attention de ne pas revenir à la dose initiale. J'attendais une semaine ou deux et je recommençais. jusqu'à arriver à 2/3 comprimés par jour comme dit dans le post ci-dessus.
L'important c'est de ne pas te forcer et ne pas forcer ton corps a faire quelque chose qu'il ne veut pas faire pour le moment. Il faut rester à l'écoute et ne pas le brusquer. Quitte à prendre 6 mois pour arrêter, tu t'en fiche, dis toi que c'est une course de fond, et que chaque pas (même infime) est un pas vers la victoire, et la fierté que tu auras par rapport à cela sera ton moteur tout le long du sevrage.
Pour moi, le plus dur est passé au bout de 3 jours, mais c'est largement tenable. Essaie de t'occuper le plus possible. Joue aux jeux vidéo (j'te conseille Metalgear V :p), regarde des films ou des séries, sors boire un coup ou profiter du soleil s'il y en a. Le soleil te met de bonne humeur et aide à la libération de la sérotonine dans ton cerveau.
Lors de l’arrêt, calme toi avec les plantes. Désormais je prend des pilules concentrés avec une libération prolongée de la plantes. J'en prend beaucoup de différente et je me sens moins stressé que lorsque je prenais de la codéine. La liste si tu la veux est: Valériane, Millepertuis, passiflore, aubépine, escholtzia, coquelicot. Et là je vais tenter les fleurs de Bach dont la Rock rose et le mimulus. je te donnerais des nouvelles de ces produits quand je les prendrais car il arrivent ce week end.
A savoir que les plante mettent une bonne semaine a faire vraiment effets au niveau de ton corps donc n’arrête pas la prise si tu ne sens pas d'effets immédiat (c'est un peu comme pour les AD).
Essaie également de voir un psy ou une infirmière pour parler et lacher tout ca. Car crois moi ca soulage et on se sent fier quand on en parle. et la fierté ca apporte encore plus de courage pour la suite et le PAWS.
Bref si tu as des questions n'hésite pas, je serai heureux de te répondre et te t'aider dans ta démarche. Après tout on est là pour l'entraide ! :)
Bonne journée à toi et bon courage
@Recklinghausen
J'me suis pas mal renseigné sur le PAWS, et comme dit plus haut, je m'aide avec les plantes, ca atténue tout ca.
Je pense que de toute manière je me considèrerai toute ma vie comme addict. Cela me permettra de savoir me contrôler, et de ne pas reprendre de substances dans le genre étant donné que je sais que j'y suis sensible, que j'aime beaucoup ca, et que je pourrais retomber dedans aisément.
Pour moi c'est comme la cigarette, des gros fumeurs arrêtent , mais malgré ca (sauf certains cas rare), ils continuent d'avoir des envie de cigarette toute leur vie.
Pour ce qui est des symptômes de dépression, je rigole au maximum, je me laisse du temps libre, rien qu'à moi, j’évacue mes tensions en faisant du sport, en jouant ou en me perdant dans un bouquin. J'apprend à aimer la vie un peu plus qu'avant et ca fonctionne. Pour le moment mis à part les Flash de symptômes de manques physique qui disparaissent et réapparaissent brièvement, tout vas bien. :)
Je suis super content que mon post puisse te donner un peu de courage.
Pour L’arrêt de la codéine je pense que comme toute les addictions il ne faut pas partir en se disant que ca va être dur et que tu vas en chier. Je pense qu'il faut te dire que tu es fort et que tu peux le faire et surtout rester cool avec ton corps. Il faut que l'envie d'arrêter reste présente, mais que tu reste conscient des besoins de ton corps, l'écouter et baisser les doses selon ce que lui accepte.
Personnellement pour trouver les doses de diminutions je faisait quelque chose de simple, je prenais ma dose "normal" pendant une journée et la journée suivante je descendais les doses pour voire si une crise de manque se faisait ressentir et jauger l'intensité de celle-ci. Et je comblais le manque en prenant de petites doses jusqu'à ce qu'il disparaisse en faisant attention de ne pas revenir à la dose initiale. J'attendais une semaine ou deux et je recommençais. jusqu'à arriver à 2/3 comprimés par jour comme dit dans le post ci-dessus.
L'important c'est de ne pas te forcer et ne pas forcer ton corps a faire quelque chose qu'il ne veut pas faire pour le moment. Il faut rester à l'écoute et ne pas le brusquer. Quitte à prendre 6 mois pour arrêter, tu t'en fiche, dis toi que c'est une course de fond, et que chaque pas (même infime) est un pas vers la victoire, et la fierté que tu auras par rapport à cela sera ton moteur tout le long du sevrage.
Pour moi, le plus dur est passé au bout de 3 jours, mais c'est largement tenable. Essaie de t'occuper le plus possible. Joue aux jeux vidéo (j'te conseille Metalgear V :p), regarde des films ou des séries, sors boire un coup ou profiter du soleil s'il y en a. Le soleil te met de bonne humeur et aide à la libération de la sérotonine dans ton cerveau.
Lors de l’arrêt, calme toi avec les plantes. Désormais je prend des pilules concentrés avec une libération prolongée de la plantes. J'en prend beaucoup de différente et je me sens moins stressé que lorsque je prenais de la codéine. La liste si tu la veux est: Valériane, Millepertuis, passiflore, aubépine, escholtzia, coquelicot. Et là je vais tenter les fleurs de Bach dont la Rock rose et le mimulus. je te donnerais des nouvelles de ces produits quand je les prendrais car il arrivent ce week end.
A savoir que les plante mettent une bonne semaine a faire vraiment effets au niveau de ton corps donc n’arrête pas la prise si tu ne sens pas d'effets immédiat (c'est un peu comme pour les AD).
Essaie également de voir un psy ou une infirmière pour parler et lacher tout ca. Car crois moi ca soulage et on se sent fier quand on en parle. et la fierté ca apporte encore plus de courage pour la suite et le PAWS.
Bref si tu as des questions n'hésite pas, je serai heureux de te répondre et te t'aider dans ta démarche. Après tout on est là pour l'entraide ! :)
Bonne journée à toi et bon courage
@Recklinghausen
J'me suis pas mal renseigné sur le PAWS, et comme dit plus haut, je m'aide avec les plantes, ca atténue tout ca.
Je pense que de toute manière je me considèrerai toute ma vie comme addict. Cela me permettra de savoir me contrôler, et de ne pas reprendre de substances dans le genre étant donné que je sais que j'y suis sensible, que j'aime beaucoup ca, et que je pourrais retomber dedans aisément.
Pour moi c'est comme la cigarette, des gros fumeurs arrêtent , mais malgré ca (sauf certains cas rare), ils continuent d'avoir des envie de cigarette toute leur vie.
Pour ce qui est des symptômes de dépression, je rigole au maximum, je me laisse du temps libre, rien qu'à moi, j’évacue mes tensions en faisant du sport, en jouant ou en me perdant dans un bouquin. J'apprend à aimer la vie un peu plus qu'avant et ca fonctionne. Pour le moment mis à part les Flash de symptômes de manques physique qui disparaissent et réapparaissent brièvement, tout vas bien. :)
Pour changer de vie, il suffit d'un choix
Parfois, faut fuir les grandes villes où personne ne vit la joie
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