hello,
En bon rat de labo j'ai voulu testé le
6-apb en
sniff à des dosages corrects, histoire de voir.
Donc je pèse 70mg et me fait une trace. Eurk ça fait gros tout ça. Bon, je me lance. AARGH ! Je tousse, ça brûle, je tousse, je tousse, je tousse.. Puis après vient le drip, quand ça retombe dans la gorge. Et c'est pas bon du tout, ce goût... quelques haut-le-cœurs plus tard ça passe. Effectivement le produit est actif par voie nasale, je monte, stimulation clean mais pas de gros rush. Manque le coté psyché et légèrement
empathogène qu'on obtient par voie orale. un ami est là , une heure passe, je redose 60mg ( AARGH *tousse* mais pourquoi je m'inflige ça? ). Bon la stimulation est bien là mais c'est quand même bien mieux en
para. Par voie nasale le bien être est vraiment amoindri.
Déçu des effets je drop 90mg d'ephenidine. Elle fait ressortir le coté psyché du
6-apb et c'est tout de suite plus rigolo. Le
dissociatif prend le dessus sur le
6-apb et je finis par ne plus trop le sentir même si la stimulation doit toujours être présente. La nuit passe, je descend avec quelques benzos et m'endors.
Conclusion, en
sniff le produit est actif mais on perd une bonne partie des effets recherchés et prendre une trace est un supplice. Donc voie orale à favoriser effectivement.
Sinon, si il y en a qui passe et qui ont des infos sur des interactions potentiellement mauvaise entre l'ephenidine et le
6-apb je suis preneur. A certains moments ça chauffais étrangement dans mon crâne.
A plus,
NaOOh