Bad trip cannabis

Hello tout le monde,

Alors voici ma petite histoire. Je prends tous les jours de l'abilily (neuroleptique), et je fume régulièrement du cannabis. Aujourd'hui après 2/3 joints 'j'étais totalement percher comme jamais, hyper défoncer au cannabis, j’étais raid tendu comme un piquet et d'un coup les premier symptômes ont commencer à  apparaître. Contraction musculaire, cou tendu comme jamais, mal au cervicales. Bref une horreur ! Une horreur ! Le mal qui ma hanter a été d'une dureté inimaginable, mon cou me faisait un mal de chien ! Il se pliait et tourner vers le coté gauche très fortement comme un torticolis. La douleur était intenable... Je décide d’appeler le 18.

J'attends et appel le 18 et il me mette en relation avec le 15 (samu), j'attends chez moi totalement angoisser, je me roule par terre de douleur, ma tête tire sur le coter et une force me fait pousser ma tête sur le coter, en me penchant mon corps doit suivre ma tète qui tourne, je tourne en rond en marchant je me jette par terre histoire de trouver une solution, une position agréable pour mon cou mais impossible. La douleur était sans égal de se que j'ai ressenti dans ma vie. Puis les ambulanciers arrivent. 

Le trajet dans l'ambulance a été plutôt bonne en comparaison des douleurs que j'avais avant chez moi. Une fois arriver à  l’hôpital, c'est le spectacle incroyable auquel je ne m'attendais pas.

J'arrive à  l’hôpital et les douleur intenable soit dit en passant sont revenues. J’étais avec d'autres patients, dans l’hôpital je commence à  me jeter par terre pour trouver une position agréable pour mon cou et mes cervicales, je me roule par terre je tourne en rond sur moi même. Bref je ne comprenais plus rien de ce qui m'arrivais. Les gens me regardais de ce que je me souviens, et je devais surement être pour eux un divertissement... Je n'y a pas fait plus attention que ça; j'hurle en disant "pitier aidez moi, je vous en supplie faite quelque chose je n'en peux plus la douleur est trop intense. Je vous précise que tout ce que j'ai dit est la vérité, parce que je  ne pense pas qu'on m'est prit au sérieux... Je me rappelle encore de la tête des deux ambulanciers hommes qui sont venu me chercher chez moi. Le sourire au lèvre pour l'un, l'autre rigoler carrément.... Non c'est vrai, j'ai été abasourdi, je n'y croyais pas... Comment et pourquoi ont ils l'air de ne pas me prendre au sérieux, ils seront rester condescendant avec moi tout en rester poli. Vous savez rester poli mais se foutre de la gueule d'une personne pour paraître passable on va dire. Incroyable, même un c'est foutu de ma gueule en faisant comprendre qu'il ne faisait pas se travail pour se genre de chose !

Bref revenons à  l’hôpital, j’étais par terre en tournant sur moi même criant, hurlant de l'aide. Au bout d'un moment une infirmière me met sur un lit, mais mon cou se tord dans tous les sens et mon corps doit suivre la trajectoire de mon cou sinon je me craque le cou. Pour vous donnez un exemple, essayez de tourner votre tête le plus à  gauche que vous pouvez, c'est bon ? Maintenant vous voyez que ca bloque, au bout d'un moment le coup ne peut plus se tourner, moi mon cou malgré tourner à  gauche encore donc je devais obligatoirement tourner mon corps sinon mon coup faisait un 360 carrément. Bref sur le lit je me tourne dans tous les sens, emplit de douleur atroce, toujours en demandant de l'aide. Mais rien. Rien, les infirmières passaient devant moi sans rien faire, sans rien dire, m'ignorant et me laissant dans cet état d'horreur. Intérieurement j'ai pleurer, pas en vrai mais au fond de moi. Je me suis dit je suis à  l’hôpital, jamais de ma vie je n'es endurer une telle souffrance, et on me laisse crever comme un chien. A force de gueuler des anti douleur au bout d'une 15/25 minutes environ il me donne du paracetamol.

Evidemment le temps que ça fasse effet je reste dans ma souffrance au niveau de la tête, du cou, des cervicales. J'étais tellement intenable qu'ils ont commencer à  sortir des attaches bleu, ils 'mont attacher au lit !!! Oui oui, ils m'ont attacher de force au lit pour que j’arrête mon vacarme. Soit dit en passant tout ce que je souhaitais c 'étais trouver une position confortable pour mon cou. Une fois attacher, les douleurs ont diminuer, mais c'était plutôt inconfortable. Donc je suis attacher au lit et ils m’emmène dans un autre secteur de l’hôpital, le secteur psychiatrique. Là  ils m'ont laisser et les douleurs ont repris encore plus fortement que tout à  l'heure, j'étais encore plus tendu, mon cou se tournait tellement que je faisais des rond sur moi même en marchant pour que mon corps suive, je déambulais dans les couleurs tel un ravagé, les autres ont du me prendre pour un véritable cinglé ou un mec trop bizarre tellement j'étais mal. Au bout d’environ 30 minutes de pure souffrance en leur disant "tuez moi tuez moi je n'en peux plus, faite moi dormir de force ou tuez moi" Voilà  ce que je leur est dit, je souhaitais pendant quelques secondes mourir pour ne plus souffrir. Hop il me ré attache encore une fois, car il m'avait détacher entre temps. Nouvelle fois attacher il me passe du valium à  boire. Je suis attacher sur le lit avec du valium et du paracetamol mon cou va mieux quand je suis attacher, je n'ai plus mal, je crois même m'être endormi quelque minutes.

En me réveillant je vois une femme, une addictologue qui me questionne, vous avez prit quoi de la kéta ou d'autres choses ? Je dit non, non juste du cannabis. Elle me dit que j'ai fait un bad trip, avec une forte angoisse. Elle me dit, tout ça c'est psychologique. Je lui est dit c'est pas possible ! Comment l'esprit humain peut il faire souffrir à  ce point ? J'ai halluciner quand elle ma dit que je venais de faire un bad trip, à  cause du cannabis, ça a contracter les muscles du cou, et l'angoisse à  accentuer les contractions musculaire au niveau des cervicales, créant comme des convulsions, comme un torticolis.

Bref après cette aventure, mon premier bad trip qui procure des douleurs inimaginables au corps était psychologique. Bref j'en ressort en ayant plus mal mais en sentant toujours des contractions au niveau du cou, chez moi je ne peux m’empêcher de me faire un joint... le dernier en plus. J'ai hésiter mais j'en avait trop besoin après ce que je venais de vivre, même si apparemment le cannabis était en cause je sentais que je devais juste me décontracter, ça a été une grosse erreur ! Même si en fumant je n'ai rien eu, mais je pense que je voulais défier la vie, me dire a oui vraiment cannabis tu m'a fait ça, je ne perdrais pas face à  toi, regarde je te fume ! Je me suis détendu chez moi en écoutant du Chopin (musique classique) pour me détendre le plus et je me suis endormi.

Aujourd’hui j'écris ça nous sommes le lendemain, je peux tourner mon cou mais je ressens une petite contraction qu'au même.

C'est une expérience que je souhaite à  personne de vivre ! C'est une sensation horrible de douleur, le corps et surtout le psychisme humain est particulièrement incroyable, le psychisme agit sur le corps de manière extrenement forte. Enfin j'ai a prendre du paracetamol et du Thiocolchicoside. Voilà  ma petite histoire, d'un bad trip que j'ai vécu (selon l'addictologue), qui a été douleur physique et psychique intense.

Surtout amies psycho faites attention à  vous, prenez soins de vous, portez vous bien

Bien à  vous;

Disso