Bonjour Anonyme,
À priori, si le sjsr est lié au
sevrage, ça devrait passer avec le temps. Il faut en supporter les désagréments.
Le froid, c'est encore le plus efficace.
Le sjsr a cette particularité relou: plus t'y penses plus t'en souffre. C'est vicieux ^^
Pour les douleurs, les bains chauds c'est très efficace, j'aime bien faire un bouillon d'huiles essentielles bien choisies et je me détend en fumant un pétard de
weed.
Le
cbd aurait aussi de bons résultats sur le sjsr (comme sur Parkinson d'ailleurs).
HS dopaminergique
Bon ça va sans doute hérisser le poil des chercheurs en neurosciences mais je vais vulgariser et donc manquer de précision.
Personnellement, je ne trouve pas ça ouf qu'une substance comme la morphine, qui est un neurotransmetteur, foute en vrac les neurotransmissions. D'autant qu'au delà des effets antalgiques, les opioïdes ont une action sur le système de récompense. De la même manière que la nicotine, l'alcool ou la cocaïne par exemple, les récepteurs sont saturés de dopamine avec le produit ce qui génère une production équivalente de glutamate, qui iront se fixer sur les récepteurs une fois libérés de la dopamine générant, entre autre de l'agitation, de l'agressivité et de l'anxiété, c'est ce qui provoque le fameux craving (afin de remplir à nouveau la jauge de dopamine).
L'addiction est liée au système dopaminergique.
Je pense personnellement que l'addiction n'est qu'une fonction cognitive... Alors les histoires de volonté...(à ne pas confondre avec la motivation, qui est aussi une fonction cognitive).
PS: PAD, j'sais pas si j'déchire mais j'suis souvent déchirée ^^
Dernière modification par Gentle Iron (06 septembre 2017 à 10:20)