@loizeau ;
Pour commencer, je compatie vraiment à t'es galères l'ami, j'espère que ce que tu vie ou a vécu est désormais la representativité du passé. J'espère que le fait que toi tu touches le fond remonte vers une meilleur situation globale-holisitque.
Quand à moi, je ne pense pas, aux dires que tu me décontes "être dans le fond du trou, dans la galère ultime et arrassante comme décadante et sournoise comme harissante et mordelente, fraudelante, mordifiante et dans la permésivité de la complaisance fondamentalement privieuse.
Toutefois, je touche le fond moyennement je pense si j'attribue avec une courbe chronologique mes liens/choses/ sentiments quotidien à être dans le fond du trou.
En vérité au niveau amies c'est déjà le trou sachant que je n'en ai pas (je suis solitaire et marginalisé de la societé). Quant à ma famille elle sait que je prends de la
came et il (je pense sans trop savoir) en souffrent, mais souvent alors là je ne sais point pour le moment.
Là je vais me coucher tard avec le très peu de
Coke qu'il me reste à essayer tant bien que mal à espacer le plus possible les prises permanantes qui s'enchainent à vitesse Grand "V"...
Le pire ?!? Demain nous sommes le 3 janvier et je ne vais pas avoir de
Coke ou d'autres
cames jusqu'au 5 là ou je touche ma thune... J'essaye de relativisé en me disant que je peux travailler mon psychisme et mes pulsions, mes envies, mes désires, mes souhaits ennivrant souhaitant ardemement et foncièrement l'envie irréprésible de reprendre (le fameux "craving")... Alors je vais devoir faire avec, attendre 3 jours alors que je tape tous les jours de la
Coke pratiquement depuis de très longs mois déjà... ='(
J'espère souffrir le moins possible et j'ai surtout l'envie que cela passe vite pour que le manque qui est bio-psychologiques soit le plus faible possible. Je pense que je vais essayer d'endurer cette épreuve en me disant et racontant intérieurement, dans mon "être - si je le trouve et peut communiquer avec lui" de me rendre plus "courageux".
Car oui, je pense que arrêter pendant 3 jours la
Coke sans rien d'autres (à part
valium - qui d'ailleurs ne m'aide pas pour le
craving) va être difficile ! Je vais donc avec le peu de thune qu'il me reste prendre des bières pour ressentir quelque chose, juste le vouloir de ressentir quelque chose d'alonçant dans l'antinomisme de la réalité quotidienne et permanante en termes d'effets, de sensations, de sentiments, d'humeurs, de pensées...
Courage, courage me dis-je maintenant à 23h54 le 2 janvier 2019 que oui quelques jours pour un polytoxicomane sans drogues peut-être un vrai calvaire.
Je pense et je vais essayer de relativisé me dire c'est pas grave, tout va bien, il en est question que de 3 jours et tout va bien se passer, les fameuses pensées dites "positives" pour mieux aller.
Donc je touche le fond pour répondre à ton message mais partiellement, ce qui est qu'au même, je me l'accorde, difficile par moment dû surtout à l'ennui.
Bien à toi l'ami,
Fais attention à toi,
Disso
Dernière modification par Dissociaman (03 janvier 2019 à 18:49)