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Traditional forms of CAM [Complementary and Alternative Medecine] have been successfully practiced for millennia, but a molecular approach to medicine now prevails. Whether acting through material, temporal, energetic, or spatial dimensions, we propose that revered ancient IM [Integrative Medecine] techniques operate, at least in part, through molecular regulation, specifically, epigenetic modification, to achieve their healing function. Identification of this epigenetic connection between IM and gene expression makes it possible for humans not merely to heal, but to thrive. This is especially true with respect to temporal and energy medicine, where mind over matter becomes more than a catchy phrase; it could literally be “mind over gene” in this context. Our work describes how IM may function as an epigenetic modulator for equilibrating the body to peak efficiency and wellness. Furthermore, continued investigation into the molecular mechanisms responsible for the healing effects conveyed through IM will generate valuable insight into the role of epigenetics in healing and contribute to improvements in overall treatment outcome, wellbeing, and longevity.
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Dernière modification par janis (16 janvier 2019 à 11:31)
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Dernière modification par TALC (16 janvier 2019 à 17:03)
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TALC a écrit
De loin, on dirait un cas de baratin pseudo-scientifique exemplaire mais en lisant l'article de plus près, il s'agirait d'intégrer des éléments de pseudo-médecine (ou medecine alternative), aux traitements conventionnels de manière régulière ?
ces éléments de pseudo-médecine ayant montrés leurs efficacité sur l'expression des gênes (epigénétique) au préalable. J'ai bon ?
A la lecture de l'article posté par Janis, la médecine intégrative remonte aux années 90.
L'article que j'ai posté est une synthèse récente de la connaissance des mécanismes épigénétiques qui expliqueraient comment certaines pratiques que l'on considère comme alternatives fonctionneraient. A partir de ce moment-là je ne vois pas la pertinence d'appeler cela de la pseudo-médecine, sinon pour la discréditer a priori. A partir du moment où l'on peut démontrer que ces pratiques régulent l'expression des gènes et ont un effet sur la santé et le bien-être, pourquoi continuer à les qualifier de "pseudo-médecine"? Du moins pas dans le cadre de la recheche de mécanismes épigénétiques qui expliquerait leur effet.
TALC a écrit
Ps: le facteur d'impact n'est pas terrible, la fondation chopra est citée dans l'article et l'article a été cité qu'une fois dans une publication sur l'acupuncture, le doute m'assaille.
Tu es sûrement plus qualifié que moi pour en juger, est-ce que tu pourrais expliquer ce qu'est la fondation chopra, et aussi ce que signifie le fait qu'une sorte de revue d'expériences déjà réalisées ne soit pas plus citée que cela? Que toutes leurs références sont pourries, pas sérieuses?
Dernière modification par TALC (24 janvier 2019 à 15:36)
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TALC a écrit
L'epi-génetique étant un domaine en pleine expansion, il me parait étrange de constater que cette article a été cité très peu.
Ça pourrait effectivement venir du fait que les chercheurs qui ont mis les yeux dessus ont jugés les références peu fiable ( chopra/ ayurveda / medecine chinoise) mais aussi du fait que finalement ce domaine de recherche contient peu de spécialiste.. Tu peux voir les références en toutes fin de l'article.
Oui, comme je trouve le sujet très intéressant, sans compter que j'adore l'idée que l'épigénétique puisse parvenir à réconcilier en partie médecine(s) alternative(s) et médecine occidentale, la question de fond est bel et bien de savoir ce que valent toutes ces références et à vue d'oeil je suis incapable d'en juger. Si le facteur d'impact de l'article lui-même en est un indicateur je prends, néanmoins il y a des recherches sérieuses conduites dans le domaine et c'est en partant d'une de ces recherches sérieuses que je suis tombée sur cet article...
Dernière modification par TALC (24 janvier 2019 à 15:14)
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Mais ok j'entend bien, moi ce qui me plait avec l'epi-genetique c'est le fait de pouvoir changer l'expression de ses gênes
C'est aussi simple que cela et c'est surtout rassurant.
Un pied de cannabis deviendra parfois entièrement purple uniquement quand il est cultivé en extérieur avec une forte amplitude thermique et restera vert quand cultivé en placard.
Frédéric Saldmann avance ses chiffres : pour lui, "la génétique, ça ne pèse à tout casser que 15%". Le reste ? Le mode de vie. Le médecin prend l'exemple du cancer de la prostate : "Chez 70% des hommes en Europe et aux États-Unis, on trouve des cellules cancéreuses dans la prostate. Quand on va en Inde en zone rurale, c'est 10%. Quand ces gens migrent en Europe ou aux Etats-Unis", ils rejoignent les 70%.
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[ Forum ] Culture - Drogues, toxicomanie et médecine en 1952.
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