C'est rare de trouver des graines stabilisées et ce n'est pas ce qui fait l'intérêt récréatif.
Déjà qu'une même graine va donner des résultats différents en fonction des modes de culture, sur un pacson de 10, ce qui fait aussi l'intérêt, c'est la diversité.
Le thérapeutique si il ne part pas de clones rencontre la même problématique.
Même les plus grandes réputées depuis des décennies ne sont pas stables, par exemple, la Jack Herer a toujours eu au moins trois types de plantes.
Après, dans l'expression de ces différences, tu vas trouver des plantes particulières, comme la sour diesel où tu auras la "riri cut".
D'un point de vue génétique, j'ai déjà observé sur des cross, sur une centaine d'individus féminisés l’apparition de deux pieds mâles, ce qui m'a fortement surpris.
Je sais que le pollen est très volatile, je n'écarte pas une conta de deux grains de pollen, mais l'épigénétique peut jouer des tours, en revanche, l'expression chromosomique nettement moins.
Je me demande toujours si il est possible d'obtenir 1 à 2 % de mâles sur une population féminisée qui compte moins de 5 % de moénéicie discrète et le reste de femelles. (outdooor/semis exclusivement)
D'un point de vue assemblage chromosomique, ça parait difficile à imaginer, tout ce que j'ai appris me fait penser que non, une plante réversée pour fabriquer des sacs de pollen reste fem par sa nature chromosomique.
Pour des plantes polydiploïdes ?
RQS est une maison sérieuse, ils sauront te répondre et même en français il me semble.
J'ai torturé certaines de leurs génétiques, une WW au point que je n'ai pas vu de clochettes malgré des variations de photopériode, de nature de lumière et un séance prélèvement de boutures en préflow.
Dernière modification par Mister No (04 mars 2019 à 09:16)