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- Yonku
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Salut tout le monde j'aimerais savoir que ce que à changé tout types de drogues (tabac, alcool y compris) dans votre vie (social, travaille, train de vie, études, etc...) en négatif comme en positif ?
Dernière modification par Yonku (28 août 2020 à 21:28)
Le bonheur artificielle n'est pas un vrai bonheur.
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- Lokys
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Salut Yonku, perso les opiacés m'ont permis d'être plus calme et de mieux me concentrer (TDAH) et d'être moins anxieux et de moins réfléchir (HPI), mais tous ça à un prix, car maintenant, sans opiacé je suis encore pire qu'avant, je suis irritable, sanguin (je monte vite le ton), impossible de pas être anxieux, impossible de me concentrer etc... J'ai besoin des opiacés, après les autres prod, de n'importe quel type qu'elles soient, hors opiacés, ne m'ont rien apporté à part des expériences, des leçons (surdose par exemple, ça m'a apprit la RdR) et des bons souvenirs.
Surtout le cannabis, j'ai passé tellement d'après midi et de soirée avec les copains sous cannabis, j'en ai des souvenirs plein la tête, ça me rend nostalgique et au bord des larmes...
Surtout le cannabis, j'ai passé tellement d'après midi et de soirée avec les copains sous cannabis, j'en ai des souvenirs plein la tête, ça me rend nostalgique et au bord des larmes...
Un oxynorm pour être en forme
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- Yonku
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Pour ma part je suis mitigé car dans certains moment sa à été ma dernière chance de m'y en sortir et de l'autre sa accentué mes problèmes qui été enfui.
En vrai je trouve que sa à un impact négatif sur moi car maintenant je trouve que la vie est si fade est triste sans aucune drogues donc je n'arrive pas à les arêter
Rien n'arrive à arrêter mes angoisse intempestif et ma mélancolie. Quand je suis pas sous effet j'ai l'impression d'être h24 en dépression.
En vrai je trouve que sa à un impact négatif sur moi car maintenant je trouve que la vie est si fade est triste sans aucune drogues donc je n'arrive pas à les arêter
Rien n'arrive à arrêter mes angoisse intempestif et ma mélancolie. Quand je suis pas sous effet j'ai l'impression d'être h24 en dépression.
Le bonheur artificielle n'est pas un vrai bonheur.
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- Yonku
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Et pour ton MP @Lokys je ne sais pas pourquoi mais je ne peut pas y répondre.
Le bonheur artificielle n'est pas un vrai bonheur.
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- Lokys
- Medicozaure
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Yonku a écrit
Pour ma part je suis mitigé car dans certains moment sa à été ma dernière chance de m'y en sortir et de l'autre sa accentué mes problèmes qui été enfui.
En vrai je trouve que sa à un impact négatif sur moi car maintenant je trouve que la vie est si fade est triste sans aucune drogues donc je n'arrive pas à les arêter
Rien n'arrive à arrêter mes angoisse intempestif et ma mélancolie. Quand je suis pas sous effet j'ai l'impression d'être h24 en dépression.
Je suis exactement dans le même cas de figure que toi, et je pense que tu peux pas répondre au MP parce que tu n'as pas assez poster de message
Un oxynorm pour être en forme
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- Pommecanelle
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Pour ma part comme je ne bois ni ne fume pas du tout mes premières traces de speed j'ai eu l'impression que ça m'a vachement ouvert l esprit déjà, et en soirée j'appréciais vraiment de pouvoir parler aussi facilement aux gens et d être alerte jusqu'à pas d heures. C'est des expériences que je ne regrette pas car malgré les descentes difficiles j'ai passé de très bons moments.
Pour le reste bah ça fais a peu près un an que la c ou les Taz me font plus de mal que de bien, le ratio bonne soirée /descente chiante tire vraiment vers la négative, et comme en plus ça me stress de me dire qu'en tapant je vais en chier pendant deux jours je passe même plus vraiment de bonnes soirées par peur du lendemain..
Il me faudrait une longue pause, ou pause définitive mais je ne pense pas être prête pour ça..
Pour le reste bah ça fais a peu près un an que la c ou les Taz me font plus de mal que de bien, le ratio bonne soirée /descente chiante tire vraiment vers la négative, et comme en plus ça me stress de me dire qu'en tapant je vais en chier pendant deux jours je passe même plus vraiment de bonnes soirées par peur du lendemain..
Il me faudrait une longue pause, ou pause définitive mais je ne pense pas être prête pour ça..
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L'impact est financier évidemment. Il peut être une sacré, moustiqu,
Lesgardes un poliomyélite je la geveggyuparty
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"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)
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- JellyFish's Dream
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Salut,
Tout comme Régular Psyché, jnai que de bonnes expériences avec les psychés, hormis 1 ou 2 moment un peu stressant. Mais j'ai jamais fais de bad avec.
Par contre, si le cannabis est vraiment ma drogue quotidienne, que j'aime réellement et que je trouve passionnante, ma dépendance et mon addiction face à la plante me bouffent la vie.
Avec la weed, je suis heureux sous deux conditions : soit je suis complètement sevré du thc, soit je le consomme avec beaucoup de modération. Et les deux sont dur à faire.
Jsuis en plein sevrage, et jle vis pas vraiment bien.
Tout ça pour pisser dans un gobelet, pour prouver à l'état que je ne suis pas un dangereux toxicomane qui donne de l'argent aux vilains terroristes qui empoisonnent notre jeunesse afin de diluer l'amour de notre patrie dans des vapeurs narcotiques et délétères.
Heureusement qu'on a la prohibition. Une fierté nationale.
Aah, le pays de la liberté et des droits de l'homme. Je suis vraiment un traître à ma race, en osant lever le ton contre nos belles institutions.
J'ai honte.
Je pense mériter d'être punis. Merci.
Allez, maintenant je vais acheter beaucoup d'alcool pour donner plus de mon flouz à l'état. Et me bourrer jusqu'à me tuer. J'ai le droit à ça ? C'est autorisé ?
Ou alors je me gave de benzo, avant de prendre le volant pour travailler. C'est ok normalement.
(je me suis laissé glisser vers mon ressenti. Voilà ce que m'a apporté le cannabis ces derniers temps. déso pour les sarcasmes un peu hs, mais ça mfait plaisir.)
JFD
Tout comme Régular Psyché, jnai que de bonnes expériences avec les psychés, hormis 1 ou 2 moment un peu stressant. Mais j'ai jamais fais de bad avec.
Par contre, si le cannabis est vraiment ma drogue quotidienne, que j'aime réellement et que je trouve passionnante, ma dépendance et mon addiction face à la plante me bouffent la vie.
Avec la weed, je suis heureux sous deux conditions : soit je suis complètement sevré du thc, soit je le consomme avec beaucoup de modération. Et les deux sont dur à faire.
Jsuis en plein sevrage, et jle vis pas vraiment bien.
Tout ça pour pisser dans un gobelet, pour prouver à l'état que je ne suis pas un dangereux toxicomane qui donne de l'argent aux vilains terroristes qui empoisonnent notre jeunesse afin de diluer l'amour de notre patrie dans des vapeurs narcotiques et délétères.
Heureusement qu'on a la prohibition. Une fierté nationale.
Aah, le pays de la liberté et des droits de l'homme. Je suis vraiment un traître à ma race, en osant lever le ton contre nos belles institutions.
J'ai honte.
Je pense mériter d'être punis. Merci.
Allez, maintenant je vais acheter beaucoup d'alcool pour donner plus de mon flouz à l'état. Et me bourrer jusqu'à me tuer. J'ai le droit à ça ? C'est autorisé ?
Ou alors je me gave de benzo, avant de prendre le volant pour travailler. C'est ok normalement.
(je me suis laissé glisser vers mon ressenti. Voilà ce que m'a apporté le cannabis ces derniers temps. déso pour les sarcasmes un peu hs, mais ça mfait plaisir.)
JFD
"L'Histoire est écrite et réécrite à chaque seconde,
Regarde ces fils de **** ça svoit tout dsuite qjsuis pas dce monde. "
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- Amevagabonde
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Bonjour ,
Pour ma part le cannabis m'a apporté du réconfort et de l'apaisement, et au début de l'inspiration. Je me répétais pendant longtmps que c'était une drogue douce et sans addiction physique alors je ne pourrais pas être "addict"..aujourd'hui il régule mon humeur et fait que je déprime beaucoup quand j'arrête même 2 jours.. sans pour autant avoir vraiment besoin de fumer .
Bref, Pour ce qui est des études, la weed me démotive, procrastination, anxiété sociale (qui traine depuis un moment et que la weed a réveillé un peu...), je me suis renfermée sur moi même.
Cependant il m'a ouvert à certaine perspective, genre de pas se laisser aller dans la consommation etc... etre dans le refus de tout ce que la société produit sur l'humain... être un petit soldat bien pensant qui ne remet rien en question... C'est peut être même le thc qui m'a aidé à trouver ce que je voulais faire... ou être... mais maintenant il faudrait que j'arrive à avancer sans, même si dire ça me fait comme un pincement.
La perception que tu as quand tu as fumé est décalé et je ressens une ouverture à la première taffe, un autre angle de vue non négligeable.
Le tabac m'a rendu sur les nerfs tout le temps j'ai l'impression je suis sans cesse stressé. C'est un stresse latent. je suis moins aliéné qu'avant mais j'en ai besoin comme j'ai besoin de manger casiment. Je regrette beaucoup d'avoir commencer à fumer si tot et il ne m'a pas apporté rien de positif concrètement.
La mdma m'a appris à sortir ce qui n'arrivais pas à sortir, elle agit comme un purificateur en général, (évidemment c'est toxique mais sur le plan psychologique .. ça m'a aidé.) et calme l'anxiété.
Je n'ai jamais été dépendant de la md mais j'aime ça et je sais que je compte sur elle dans les moments et soirée ou j'ai envie de vraiment me défouler et me lâcher.
Cependant je trouve que les séquelles neurologique sont pas ouf... le jours de la déscente et le surlendemain je me sens un comme en cage, un peu débile, un peu flemmarde...Mais ça vaut le coup pour toute les putains de soirée que j'ai passé avec, comme si elles étaient interminables, géniales...
Voilà tout ! :)
Pour ma part le cannabis m'a apporté du réconfort et de l'apaisement, et au début de l'inspiration. Je me répétais pendant longtmps que c'était une drogue douce et sans addiction physique alors je ne pourrais pas être "addict"..aujourd'hui il régule mon humeur et fait que je déprime beaucoup quand j'arrête même 2 jours.. sans pour autant avoir vraiment besoin de fumer .
Bref, Pour ce qui est des études, la weed me démotive, procrastination, anxiété sociale (qui traine depuis un moment et que la weed a réveillé un peu...), je me suis renfermée sur moi même.
Cependant il m'a ouvert à certaine perspective, genre de pas se laisser aller dans la consommation etc... etre dans le refus de tout ce que la société produit sur l'humain... être un petit soldat bien pensant qui ne remet rien en question... C'est peut être même le thc qui m'a aidé à trouver ce que je voulais faire... ou être... mais maintenant il faudrait que j'arrive à avancer sans, même si dire ça me fait comme un pincement.
La perception que tu as quand tu as fumé est décalé et je ressens une ouverture à la première taffe, un autre angle de vue non négligeable.
Le tabac m'a rendu sur les nerfs tout le temps j'ai l'impression je suis sans cesse stressé. C'est un stresse latent. je suis moins aliéné qu'avant mais j'en ai besoin comme j'ai besoin de manger casiment. Je regrette beaucoup d'avoir commencer à fumer si tot et il ne m'a pas apporté rien de positif concrètement.
La mdma m'a appris à sortir ce qui n'arrivais pas à sortir, elle agit comme un purificateur en général, (évidemment c'est toxique mais sur le plan psychologique .. ça m'a aidé.) et calme l'anxiété.
Je n'ai jamais été dépendant de la md mais j'aime ça et je sais que je compte sur elle dans les moments et soirée ou j'ai envie de vraiment me défouler et me lâcher.
Cependant je trouve que les séquelles neurologique sont pas ouf... le jours de la déscente et le surlendemain je me sens un comme en cage, un peu débile, un peu flemmarde...Mais ça vaut le coup pour toute les putains de soirée que j'ai passé avec, comme si elles étaient interminables, géniales...
Voilà tout ! :)
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- Yopski
- ♫♪ Devant le mur ♪♫
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ça dépends des drogues et des personnes je pense ...
- La clope m'a appris ce qu'était la vraie dépendance, et qu'elle ne sert à rien (la clope) ...
- Le cannabis m'a appris à décompresser et à gérer le manque car comme tout le monde, je croyais qu'il ne générait pas de dépendances physique. Je suis devenu un pro pour me sevrer en douceur et sans douleur
- La coke m'a appris que je n'aimais pas la coke ni le sniff et que toutes les drogues ne sont pas bonnes
- La Mdma m'a appris a danser jusqu'au bout de la nuit et m'a rendu plus sociable et empathique.
- Le LSD et les champis m'ont appris à voir le monde autrement et que la mort n'est certainement pas la fin de tout. Ils m'ont aussi appris qu'il y a de "bonnes drogues" qui enrichissent et aident à "déverrouiller" certaines partie de notre cerveau. (Blocage, traumatisme, personnalité, ....).
La drogue m'a aussi appris à être raisonnable car il ne faut jamais, Oh grand jamais, abuser des bonnes choses (et c'est valable pour tout)
- La clope m'a appris ce qu'était la vraie dépendance, et qu'elle ne sert à rien (la clope) ...
- Le cannabis m'a appris à décompresser et à gérer le manque car comme tout le monde, je croyais qu'il ne générait pas de dépendances physique. Je suis devenu un pro pour me sevrer en douceur et sans douleur
- La coke m'a appris que je n'aimais pas la coke ni le sniff et que toutes les drogues ne sont pas bonnes
- La Mdma m'a appris a danser jusqu'au bout de la nuit et m'a rendu plus sociable et empathique.
- Le LSD et les champis m'ont appris à voir le monde autrement et que la mort n'est certainement pas la fin de tout. Ils m'ont aussi appris qu'il y a de "bonnes drogues" qui enrichissent et aident à "déverrouiller" certaines partie de notre cerveau. (Blocage, traumatisme, personnalité, ....).
La drogue m'a aussi appris à être raisonnable car il ne faut jamais, Oh grand jamais, abuser des bonnes choses (et c'est valable pour tout)
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C'est vrai que le LSD nous donne une autre vision du monde, personnellement j'ai trouvé que c'était une expérience enrichissante et mémorable.
Les amphétamines et le méthylphénidate (4 fluoro généralement) m'ont appris que le cerveau est capable de beaucoup plus de choses et que ce que nous utilisons comme ressources est infime. Pour le travail et les cours cela s'est avéré très utile.
De manière plus générale, que les expériences soient bonnes et parfois mauvaises, l'usage des stup m'a montré sur qui je pouvais compter dans la vie de tous les jours. Cet usage a également contribué à développer des troubles sous-jacents enfouis, et peut être révélé ma véritable personnalité.
Les amphétamines et le méthylphénidate (4 fluoro généralement) m'ont appris que le cerveau est capable de beaucoup plus de choses et que ce que nous utilisons comme ressources est infime. Pour le travail et les cours cela s'est avéré très utile.
De manière plus générale, que les expériences soient bonnes et parfois mauvaises, l'usage des stup m'a montré sur qui je pouvais compter dans la vie de tous les jours. Cet usage a également contribué à développer des troubles sous-jacents enfouis, et peut être révélé ma véritable personnalité.
Akaion a écrit
L'impact est financier évidemment. Il peut être une sacré, moustiqu,
Lesgardes un poliomyélite je la geveggyuparty
Ouch. Les dégâts du zolpidem.
Sorry
Dernière modification par Akaion (31 août 2020 à 01:42)
"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)
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