Lolla a écrit
Salut,
Je fumais depuis l'âge de 13 ans, régulièrement jusqu'à 20 ans, puis j'ai rencontré un mec qui était vraiment contre le cannabis, du coup j'ai arrêté pendant 7 ans, sans que ça me manque vraiment. On étaient entourés de gens qui ne fumaient pas (je crois que ça aide) jusqu'à ce que je le quitte.
Et là c'est reparti de plus belle, du jour au lendemain, et puis le destin a voulu que je ne rencontre que des (gros) fumeurs dans ma vie.
Le truc c'est que j'ai eu des périodes où je fumais comme un porc et après je passais 6 mois sans fumer, limite ça me dégoûtais, jusqu'à ce que je m'arrête comme ça, sans comprendre, du jour au lendemain.
Depuis environ 3 ans je ne fume plus du tout toute seule, j'en ai chez moi pour les potes qui passent prendre l'apéro et sinon je crapote un peu en soirée mais il faut qu'elle soit vraiment bonne sinon ça me donne des nausées et je gerbe.
Je pense qu'à la base je ne dois pas être une "vraie fumeuse", par contre tout ce qui est stims, je ne refuse jamais... et ça ça me manque vraiment, j'en rêve même la nuit, mais ça c'est un autre débat...
C'est quoi les stims ?
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Citron_fr a écrit
Lolla a écrit
Salut,
Je fumais depuis l'âge de 13 ans, régulièrement jusqu'à 20 ans, puis j'ai rencontré un mec qui était vraiment contre le cannabis, du coup j'ai arrêté pendant 7 ans, sans que ça me manque vraiment. On étaient entourés de gens qui ne fumaient pas (je crois que ça aide) jusqu'à ce que je le quitte.
Et là c'est reparti de plus belle, du jour au lendemain, et puis le destin a voulu que je ne rencontre que des (gros) fumeurs dans ma vie.
Le truc c'est que j'ai eu des périodes où je fumais comme un porc et après je passais 6 mois sans fumer, limite ça me dégoûtais, jusqu'à ce que je m'arrête comme ça, sans comprendre, du jour au lendemain.
Depuis environ 3 ans je ne fume plus du tout toute seule, j'en ai chez moi pour les potes qui passent prendre l'apéro et sinon je crapote un peu en soirée mais il faut qu'elle soit vraiment bonne sinon ça me donne des nausées et je gerbe.
Je pense qu'à la base je ne dois pas être une "vraie fumeuse", par contre tout ce qui est stims, je ne refuse jamais... et ça ça me manque vraiment, j'en rêve même la nuit, mais ça c'est un autre débat...C'est quoi les stims ?
Salut Citron
Dans ce post Lolla explique que tout ce qui est stims lui manque, au point d'en rêver parfois !
Tant qu'à faire je te propose un petit topo rapidos, comme ça tu sauras de quoi certaines personnes parlent sur les forums
Les stims (stimulants) sont des produits psychotropes, qui ont pour effet principal de stimuler, lol ^^ psychostimulant plus exactement !
Je te cite quelques exemples avec les plus connus : le café (la caféine), la cocaïne, les amphetamines (speed de rue, méthamphétamine), la ritaline (méthylphénidate) médicament utilisé pour les TDAH et parfois détourné.
La (les) cathinone(s) est un alcaloïde provenant du khat (arbuste africain) et possède des effets très proches des amphétamines, voici également quelques exemples de produits issus de cette famille : la 3-MMC, 4-MEC, MDPV, etc.
Si tu as des questions, n'hésite pas !
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Carrément de la volonté avant tout
Bonjour, je ne sais pas ce que tu entends par là mais à PA nous sommes plutot méfiants sur ce genre d'avis. Qui donne à entendre que si on n'arrive pas à arrêter (quand on le veut) c'est un simple manque de volonté.
L'addictologie a montré que l'addiction est une pulsion très forte à laquelle la plupart des personnes qui désirent se sevrer doivent se confronter et ils ne sont pas toujours gagnants. Mais c'est vrai aussi de nombreuses maladies (diabete, hypertension etc..) avec lesquelles on doit composer faute de pouvoir les vaincre. Mais comme ça n'est pas des maladies "volontaires" les entrepreneurs de morale font une distinction qui ne sert à rien sur le plan thérapeutique, sauf à humilier l'usager en difficulté.
Mais si on considère que c'est un problème de santé, et heureusement, on a pu developper un certain nombre d'aides qui permettent à l'usager d'arriver à ce qu'il souhaite, non par la volonté mais par des méthodes thérapeutiques. Citons les TSO, les psychothérapies, l'entretien motivationnel, l'éducation thérapeutique etc..
Amicalement
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psychototo a écrit
Citron_fr a écrit
C'est quoi les stims ?Salut Citron
Dans ce post Lolla explique que tout ce qui est stims lui manque, au point d'en rêver parfois !
Tant qu'à faire je te propose un petit topo rapidos, comme ça tu sauras de quoi certaines personnes parlent sur les forums
Les stims (stimulants) sont des produits psychotropes, qui ont pour effet principal de stimuler, lol ^^ psychostimulant plus exactement !
Je te cite quelques exemples avec les plus connus : le café (la caféine), la cocaïne, les amphetamines (speed de rue, méthamphétamine), la ritaline (méthylphénidate) médicament utilisé pour les TDAH et parfois détourné.
La (les) cathinone(s) est un alcaloïde provenant du khat (arbuste africain) et possède des effets très proches des amphétamines, voici également quelques exemples de produits issus de cette famille : la 3-MMC, 4-MEC, MDPV, etc.
Si tu as des questions, n'hésite pas !
Merci, je serai plus calé sur le sujet maintenant.
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prescripteur a écrit
Carrément de la volonté avant tout
Bonjour, je ne sais pas ce que tu entends par là mais à PA nous sommes plutot méfiants sur ce genre d'avis. Qui donne à entendre que si on n'arrive pas à arrêter (quand on le veut) c'est un simple manque de volonté.
L'addictologie a montré que l'addiction est une pulsion très forte à laquelle la plupart des personnes qui désirent se sevrer doivent se confronter et ils ne sont pas toujours gagnants. Mais c'est vrai aussi de nombreuses maladies (diabete, hypertension etc..) avec lesquelles on doit composer faute de pouvoir les vaincre. Mais comme ça n'est pas des maladies "volontaires" les entrepreneurs de morale font une distinction qui ne sert à rien sur le plan thérapeutique, sauf à humilier l'usager en difficulté.
Mais si on considère que c'est un problème de santé, et heureusement, on a pu developper un certain nombre d'aides qui permettent à l'usager d'arriver à ce qu'il souhaite, non par la volonté mais par des méthodes thérapeutiques. Citons les TSO, les psychothérapies, l'entretien motivationnel, l'éducation thérapeutique etc..
Amicalement
Hey !
Ce que personnellement j'entends par "volonté" c'est cette CHOSE que veut l'humain et qui tend à se manifester par une décision effective conforme à une intention.
Nous savons tous que l'âge, le sexe, la maturité cérébrale, la personnalité et l’humeur d’un individu jouent un rôle important sur son risque individuel et sur le plan neurobiologique, le niveau d'activité des neurotransmetteurs qui régissent notre fonctionnement et notre comportement peut varier d'un individu à l'autre et constituer chez certains une vulnérabilité vis-à-vis du risque d’addiction. Des variations génétiques expliquent aussi en partie la variabilité des effets ressentis par chacun face à une même drogue. Elles peuvent AUSSI être favorables à l’émergence d’une addiction.
Du côté du produit, l’addiction peut s’installer plus ou moins rapidement : après une ou quelques prises (crack, cocaïne...), plus progressivement, voire très lentement (alcool, les jeux …). Tout dépend du potentiel addictif de la substance ou de la pratique, qui dépend lui-même de la nature et de l’intensité de son interaction avec les neurotransmetteurs. Le tabac, puis l’héroïne, la cocaïne ou l’alcool sont ainsi les produits les plus à risque et dont la consommation problématique est la plus fréquente, contrairement aux jeux vidéo, ou de hasards par exemple.
Enfin, l’influence de l’environnement (stress, contexte social et amical, présence de troubles psychiques…) est aussi déterminante. Par exemple, le principal facteur de risque de dépendance au tabac est d’avoir grandi au sein d’un foyer de fumeurs facilitant l’accès au tabac. De même que l’addiction au cannabis est fortement associée au fait d’avoir eu des amis fumeurs au moment de l’adolescence.
Les premières conséquences sont spécifiques et immédiates. Euphorie, perte de contrôle, diminution du stress, désinhibition : elles varient selon la nature de la substance ou de la pratique. Un risque vital immédiat lié à l’usage excessif existe dans certains cas (overdose, coma éthylique). Une étude coordonnée par l’OFDT estime en outre que la conduite après une prise excessive d’alcool multiplie par 8,5 le risque d’être responsable d’un accident mortel. Si le conducteur a également consommé du cannabis, ce risque est multiplié par 15.
Les secondes conséquences sont d’ordre comportemental.
Ensuite viennent les répercussions médicales, psychologiques et psychiatriques sur le long terme.
Le diagnostic de dépendance est normé, il repose sur des critères bien définis, fixés par des instances internationales de santé mentale et répertoriés dans un manuel, le Diagnostic and Statistical manual of Mental disorders (DSM). Parmi ces critères, on trouve la perte de contrôle de soi, l’interférence de la consommation sur les activités scolaires ou professionnelles, ou encore la poursuite de la consommation malgré la prise de conscience des troubles qu’elle engendre. Un sujet est considéré comme souffrant d’une addiction quand il présente ou a présenté, au cours des 12 derniers mois, au moins deux des onze critères suivants :
- Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou de jouer (craving)
- Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance ou au jeu
- Beaucoup de temps consacré à la recherche de substances ou au jeu
- Augmentation de la tolérance au produit addictif
- Présence d’un syndrome de sevrage, c’est-à-dire de l’ensemble des symptômes provoqués par l’arrêt brutal de la consommation ou du jeu
- Incapacité de remplir des obligations importantes
- Usage même lorsqu'il y a un risque physique
- Problèmes personnels ou sociaux
- Désir ou efforts persistants pour diminuer les doses ou l’activité
- Activités réduites au profit de la consommation ou du jeu
- Poursuite de la consommation malgré les dégâts physiques ou psychologiques
L’addiction est qualifiée de faible si 2 à 3 critères sont satisfaits, modérée pour 4 à 5 critères et sévère pour 6 critères et plus.
Les experts du DSM ne recensent comme addiction que les dépendances aux substances et celle aux jeux vidéo et d’argent. Les usages intensifs de smartphone, l’hyperactivité sexuelle ou professionnelle ne sont pas, à ce jour, considérés comme d’authentiques addictions car on ne dispose pas de données scientifiques convaincantes en ce sens.
La prise en charge d’une addiction est multidisciplinaire et nécessite le plus souvent l’association d’un traitement médicamenteux, d’une prise en charge psychologique individuelle et/ou collective et d’un accompagnement social.
Mais le succès dépend essentiellement de la motivation du patient à se sevrer, puis de l’amélioration durable de ses conditions de vie et de son estime de soi : trouver un emploi, mener des activités, avoir des centres d’intérêt, trouver un rôle et une utilité dans la vie sociale. Les groupes de parole (Alcooliques Anonymes, Alcool-Assistance, Croix Bleue, Addiction alcool Vie libre, Narcotiques anonymes…) ont une grande importance pour y parvenir. Ils offrent un soutien majeur, pendant et après le sevrage, grâce aux échanges d’expériences de personnes qui ont vécu le même type de parcours.
Il est clair que l'on peut se fixer une date limite pour l'arrêt total et se donner les moyens avec une VOLONTÉ solide pour y parvenir.
Il est clair aussi que l'on peut considérer que la volonté et les pulsions addictives n'ont aucune corrélation et donc c'est ancré puisque nous n'allons jamais réussir à se sevrer (ceci s'applique sur beaucoup de sujets; verre moitié plein/vide)
Ma démarche était d'encourager et non "D'HUMILIER"!?!???!!!!????!!!!!??!!!!?!!??!!!?!!
Il est bien de relever la distinction qui fait polémique mais je pense que vous devriez changer votre approche unilatérale pour une clarification non punitive.
Bien à vous.
Renseignez-vous des maladies "mentales" qui existent bel et bien, notamment le syndrome de Munchausen
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Il est clair que l'on peut se fixer une date limite pour l'arrêt total et se donner les moyens avec une VOLONTÉ solide pour y parvenir.
Il est clair aussi que l'on peut considérer que la volonté et les pulsions addictives n'ont aucune corrélation et donc c'est ancré puisque nous n'allons jamais réussir à se sevrer (ceci s'applique sur beaucoup de sujets; verre moitié plein/vide)
Ma démarche était d'encourager et non "D'HUMILIER"!?!???!!!!????!!!!!??!!!!?!!??!!!?!!
Merci de tous ces rappels sur la dépendance. Remarquons toutefois que l'OMS (CIM ou classification Internationale des Maladies) inclut la notion d'usage simple, qui n'est pas un diagnostic puisque pas un problème de santé et donc l'echelle des diagnostics ne commence qu'à l'usage problématique.
Et qu'elle ne distingue pas là dessus les produits légaux et les illégaux.
https://www.who.int/substance_abuse/ter … ition1/fr/
https://www.has-sante.fr/upload/docs/ap … ndance.pdf
Je comprend que ta démarche n'était pas d'humilier et je ne t'ai pas condamné, j'ai juste dit que PA était méfiant.
Bonjour, je ne sais pas ce que tu entends par là mais à PA nous sommes plutot méfiants sur ce genre d'avis. Qui donne à entendre que si on n'arrive pas à arrêter (quand on le veut) c'est un simple manque de volonté.
De nombreux témoignages montrent que l'entourage , lui et pas toi en effet, humilie souvent l'usager (même quand il y a un usage simple) sur le thème "si tu voulais vraiment, tu pourrais" ,"c'est de la faiblesse morale" etc...
Je redis donc que ce genre de discours n'est pas utile sur le plan thérapeutique. De nombreux usagers constatent les effets secondaires de leur consommation et la diminuent ou l'arrêtent sans aide extérieure, ils font donc usage de leur volonté.
Par exemple pour le tabac ils représentent environ 70% de ceux qui arrêtent de fumer.
Mais quand ils n'y arrivent pas, plutot que d'incriminer une mauvaise volonté, on doit reconnaitre qu'il s'agit d'une addiction, donc d'un problème de santé et que leur volonté (toujours présente et importante c'est vrai) a besoin d'être aidée, pas critiquée.
Donc on doit se tourner vers des méthodes thérapeutiques qui ne sont pas une alternative à la volonté mais au contraire un booster de volonté. Il est clair que la volonté fait partie intégrante de toutes les méthodes thérapeutiques, qui ne marchent pas "à l'insu du plein gré". Et les techniques qui font appel à la contrainte et non à la volonté de l'usager ne marchent pratiquement jamais.
Donc d'accord sur la volonté , mais en admettant qu'elle doit parfois être aidée. Et que les injonctions du type "si tu veux tu peux" ou "just say no" ne sont pas efficaces.(et notons que pendant que Mme Reagan faisait la promo du "just say no", son mari avait monté une filière d'importation de crack aux USA pour financer la contre revolution au Nicaragua ! Tout ça pour dire que la "morale" est parfois assez immorale).
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (26 septembre 2020 à 15:44)
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Dernière modification par Psyché-D-LiK (01 octobre 2020 à 05:05)
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Dernière modification par Zefy (02 octobre 2020 à 22:38)
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Dernière modification par CrystalCalled (03 octobre 2020 à 07:22)
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CrystalCalled a écrit
Mais, n'oubliez pas que la perception de ce genre de ressentis subjectif est très différente selon les personnes, donc ce que je dis ne concerne que moi et ne nie en rien la souffrance de chacun. Merci de bien vouloir comprendre que mon intention n'est et n'a jamais été de nier cette dernière !!!
Bon vent, et surtout, bon courage à tous et à toutes... Ciao y'all
... c'est toi Jonathan? T'as fusionné avec le "nègre" de Charles Duchaussois depuis notre dernière conversation?
MT
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Mammon Tobin a écrit
... c'est toi Jonathan? thinking T'as fusionné avec le "nègre" de Charles Duchaussois depuis notre dernière conversation? tongue
Sherlock ou docteur Livingstone ?
Merci pour ta vue perçante Mammon, pas tant à la retraite que ça.
Bises
Fil
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Je lui ai ramené des clients, et on a trouvé un arrangement, un pochon pour 5 clients et chaque mois un gramme de freebase fait avec une coke qu'il faisait lui même venir d'Amérique du sud grâce à ses mules, et cette année la, voyant que en goûtant une fois sa coke, je n'étais pas du tout satisfait, je lui explique qu'il s'est fait avoir, lui n'en consommant pas du tout, et il me propose comme ça, dans la cage d'escaliers en se croisant, 30.000€ pour simplement aller avec lui la bas goûter la cc pour lui dire laquelle en valait le coup et le prix, drogue plus voyage, allé, retour.
J'AI IMMÉDIATEMENT REFUSÉ !!!C'ÉTAIT UN GAMIN GENTIL MAIS BÊTE AU POINT DE S'ACHETER DE MULTIPLES SIGNES EXTÉRIEURS DE RICHESSE TRÈS TRÈS VOYANT, TOUS LE QUARTIER LE SAVAIT!!!
&
Rien que le début de l'histoire où il va s'acheter une enveloppe de weed, il en fait tout un roman d'espionnage
J'ose pas imaginer le récit de la fois où il était aller s'acheter des clopes un dimanche où le tabac du coin était fermé..
"C'était une chaude journée d'été sous le soleil de l'Est Parisien, mon fidèle revendeur de nicotiana tabacum, Chico, qui m’accueillait toujours d'un grand sourire dévoilant ses dents en or jaunis par l'usage des Gitane capolrales sans filtres auxquelles il avait pris goût en Algérie, en poussant des "Sénôr Croco, Sénior Croco! Pour vous, toujours le meilleur tabac Camel oui oui! Tu es ici chez toi mon ami, après tout, tou m'a sauvé la vie des guérilléros au Brésil tou té souviens?"
Ce jour là, sa porte toujours si accueillante était barrée d'un sombre "FERME" n'augurant rien de bon.
Heureusement, les fournisseurs de tabac blonds m'aimant comme un frère étaient nombreux près de la gare.
C'était une chaude journée d'été sous le soleil de l'Est Parisien, mais au fond je sentais que mon périple ne faisait que commencer..."
MT
Dernière modification par Mammon Tobin (03 octobre 2020 à 11:43)
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