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Dernière modification par Meumeuh (15 novembre 2020 à 08:02)
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Dernière modification par prescripteur (15 novembre 2020 à 09:36)
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Dernière modification par JellyFish's Dream (15 novembre 2020 à 10:47)
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Marco 68 a écrit
En plus il est tenu au secret médical
Il y a des exceptions au secret médical, la toxicomanie en est une il me semble.
En rajoutant la possibilité de tomber sur un médecin qui ne connaît pas les substances et qui adopte tout de suite une position moralisatrice, j'y réfléchierais à deux fois avant de lui en parler.
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Il y a des exceptions au secret médical, la toxicomanie en est une il me semble.
Je ne sais pas au Quebec (et Canada) mais en France non. Ce qui est obligatoire c'est les violences aux mineurs et la prévention des violences (pouvant faire accuser de non assistance à personne en danger) + maladies professionnels, infectieuses, grossesse et naissance. Il est possible que des médecins se trouvent fondés à dénoncer des mineurs qu'ils estiment en danger, ce qu'ils peuvent faire sans leur avis (voir derniere ref).
https://sante.fr/secret-medical-respect … -violation
Dérogation au secret médical : ce qui est prévu par la loi
En matière de santé publique, le législateur a prévu la divulgation de certaines informations relatives à l'état de santé des personnes. Les dérogations au secret médical concernent la déclaration des maladies professionnelles (loi du 30 octobre 1946), des accidents du travail, des maladies contagieuses (art. L 11 et suivants du Code de la santé publique), mais aussi de l’établissement des certificats médicaux permettant la protection des majeurs incapables ou l'hospitalisation des malades mentaux.
Enfin, le médecin bénéficie d’une dérogation au secret médical lorsqu’il s’agit de déclarer des faits pouvant avoir des conséquences graves pour certaines personnes, notamment les privations et sévices, de nature sexuelle, subis par des mineurs de quinze ans ou des personnes qui ne sont pas en mesure de se protéger compte tenu de leur âge ou de leur état psychique ou physique (article 434-3 du code pénal).
https://www.juritravail.com/Article/dos … cal/Id/204
3. Les dérogations « circonstanciées » au secret médical
Elles sont aussi appelées « dérogations facultatives » car elles concernent des circonstances très particulières. Il convient de les énumérer, afin de caractériser la violation du secret.
Sont des dérogations facultatives la transmission d'informations médicales relatives :
- Aux toxicomanies, qui entrent aussi dans le cadre des dérogations obligatoires,
- A l'activité au sein des établissements de santé, publics ou privés (art. L6113-7 CSP),
- A la recherche dans le domaine de la santé,
- A l’assurance-vie,
- Aux litiges relatifs à la rente viagère,
- Au testament,
- Au secret partagé. Ainsi, sont admis à partager une partie du secret les médecins des organismes sociaux, afin de permettre aux assurés un remboursement des prestations,
- A la personne de confiance. La loi autorise en effet celle-ci à recevoir les informations nécessaires destinées à permettre d'apporter un soutien direct au patient en cas de diagnostic ou de pronostic grave,
- Aux ayants-Droits d’une personne décédée.
Je ne vois pas en quoi la toxicomanie entre dans le champ des declarations obligatoires (à part alcooliques dangereux et certificat d'internement contre avis medical ou medecine du travail). Peut etre le chapitre en gras ci dessous. qui exige l'accord du patient sauf s'il est mineur ou vulnérable.
https://www.service-public.fr/particuli … its/F34302
Infraction pénale
Il y a des situations où un professionnel de santé doit ou est autorisé à communiquer des informations sur son patient.
Ainsi, le secret médical est levé dans les cas suivants d'infractions pénales :
Privations ou sévices laissant supposer que des violences physiques, sexuelles ou psychiques ont été commises. L'accord de la victime est nécessaire avant de communiquer l’information au procureur de la République sauf si la victime est mineure ou incapable de se protéger.
Violence conjugale si la vie de la victime est en danger immédiat et qu'elle ne peut pas se protéger. Le professionnel de santé doit s'efforcer d'obtenir l'accord de la victime. Si la victime maintient son refus, le professionnel de santé doit l'informer qu'il signale les faits au procureur de la République.
Ceci dit je rejoins ce qui est dit sur la prudence à adopter vis à vis de ton médecin. Peut etre y aller progressivement pour tester et ne pas avoir trop de choses révélées.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (15 novembre 2020 à 12:49)
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j'ai deja épluché les psychowiki des substances qui m'intéressent et j'y retournerai le moment venu afin de bien doser ,je compte pas faire de melange les premieres fois de toutes façons
. J'ai procédé à une recuisine, et les résultats sur ma santé nasal m'ont changé la vie. Surtout que je traçais (et vais bientôt retraçer) quotidiennement.
Merci jvai aller voir ça parce que j'avoue que si jpeu minimiser les chances de saigner du nez ça me ferait une chose de moins sur laquel m'inquiété
Encore merci à tous de votre aide
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