Mauvaise expérience avec le DCK

Régular Psyché a écrit

Régular Psyché 

Bonjour,

Bon ben grosse claque... c est pas exclu que tu sois en possession d autre chose...

Sinon ça paraît quand même vraiment étrange... t es dans des dosages " raisonnable" selon les tableaux...

Tu veux pas envoyer en analyses ? Genre energy control, sintes etc ...

Courage !

Ocram

Régular Psyché a écrit

J'ai pas trouver masse de reponses a mes recherches quand au DCK. Je pensais qu'on avais pas trop de recul et je voulais donc que les gens fasse extrêmement gaffe avec ça et c'est pour sa que j'ai mis un titre en mode propagande anti drogue des années 50 ^^...

Je vais y modifié de trois truc jpense, pour etre plus en mode faite très gaffe que de blamer la mollécule en elle meme…

Meme si j'ai toujours plus l'impression d'avoir ingérer du poison qu'un quelconque dissociatif..

Et sinon après tout sa j'avais acheter de la C et ma balance marchais plutôt bien. Peut etre a l'instant T comme tu dis elle a bugé qui sait…

Et non Ocram après ce mauvais délire j'ai pas vraiment réfléchit j'ai tout jeter. Mais c'est con en effet j'aurais du faire analyser ce truc

Bonne idée ahah c'est clair que là ça fait vraiment guerre à la drogue mdrr

Mais sinon quelque soit le modèle ou la gamme de ta balance dès que tu pèses quelques chose sous les 50mg et particulièrement quand c'est un RC c'est primordial de faire plusieurs mesures et dans des conditions quasi scientifiques :
- balance posée sur une table ou le sol bien à plat dans un lieu sans vibration
- pas de vent / courant d'air
- éloigné de tout appareil électronique ou magnétique
- pas de musique/tv à fond
- toujours recalibrer sa balance
- vérifier les piles
- peser avec déjà un poids sur la balance (coupelle vendue avec, cup pour injection, feuille ou gélule pour parachute) afin de détendre la partie mécanique de la balance

Régular Psyché a écrit

Merci pour les retours. Mais je suis un peu dègue le titre du topic n'es pas modifiable…

Bonsoir,

Tu peux en faire la demande à la modération, il le feront sans problèmes à mon avis.

Ocram

Régular Psyché a écrit

J'ai pas trouver masse de reponses a mes recherches quand au DCK. Je pensais qu'on avais pas trop de recul et je voulais donc que les gens fasse extrêmement gaffe avec ça
Régular Psyché

Je ne peux qu'approuver ta démarche, d'autant plus qu'il s'agit d'un produit relativement nouveau et méconnu.

Pour ma part, j'ai testé la DCK récemment. J'avais découvert l'existence de ce produit sur un shop proposant des RC en vente "libre". Je cliquais au hasard de la multitude de molécules proposées par le site (je n'en connaissais à peu près aucune) et classées par ordre alphabétique, jusqu'à ouvrir la page relative à la DCK. Tout de suite la deuxième moitié du nom complet de ce produit — "deschlorokétamine" — a retenu mon attention, et je sentais déjà se déployer, aux quatre coins de mon corps, ce délicieux mélange de curiosité et de gourmandise que suscite un dessein transgressif.

J'ai eu je pense la chance de m'être adressé à un shop doté d'une certaine conscience professionnelle. La page de la DCK, comme toute autre page consacrée à un produit vendu par le site, faisait ainsi apparaître, bien en évidence, les avis laissés par les internautes à l'égard de la deschlorokétamine. Tous ou presque insistaient sur la force de la molécule en question ainsi que sur la nécessité d'en prendre des quantités infinitésimales. Un autre élément mettait aisément la puce à l'oreille quant à la puissance de la DCK : le fait que la plus petite quantité disponible à l'achat soit de 0,1 g, là où d'autres substances (telles que la 3-MMC) se vendent en doses de 1 g minimum. Qu'il s'agisse ou non d'une mesure préventive volontaire de la part du shop, le fait est que se voir proposer une toute petite quantité comme point de départ incite à la prudence autant qu'il inspire une certaine forme de confiance. C'est d'ailleurs le choix que j'ai fait au moment de mettre pour la première fois de la DCK dans mon panier (les techniques marketing fonctionnent à fond sur moi, c'est terrifiant) : le petit échantillon test de 0,1 g, qui dans le fond n'en est pas vraiment un.

L'expérience aura été très concluante, en ce qui me concerne, ainsi que pour les différents amis à qui j'ai fait essayer : ni décès (cool), ni CK (ou alors si : Louis CK ; sinon, rien qui de près ou de loin raccorde avec l'esthétique Calvin Klein).

À chaque fois j'ai confectionné le même microrail (2 à 3 cm de long, pour une épaisseur équivalente à celle d'un fil à scoubidou), tâchant de compenser l'absence de balance de précision qui me caractérise par un alliage de bon sens paysan, de juste appréciation des proportions, et de psychorigidité que je m'efforce de faire passer pour de la rigueur scientifique.

Les effets auront été sensiblement les mêmes pour nous tous : cinq à dix minutes de stupéfaction et d'hébétude (le produit perche instantanément), de type "je suis posé… mais sur une autre planète que le canapé", avant que n'émerge un sentiment de légère euphorie, comme une brise au rire léger qui vous soulèverait délicatement — divine surprise ! —, et c'est tout juste si vous avez le temps de comprendre que oui, vous voguez dans les airs qu'elle vous a soigneusement déposé sur le dancefloor (dans les 10 m2 du salon, en l'occurrence, quelque part entre une chaise Ikea et la décidément très encombrante table basse jonchée de bières vides, de pailles souillées et de verres crades, le tout saupoudré de cendres froides et de miettes de tabac).

Après avoir dansé nous est venue l'envie de nous poser… et c'est à ce moment précis qu'ont commencé les fous rires. Deux à trois heures à raconter des conneries et à imaginer des situations à la noix, ponctuées de jeux de mots et d'autres absurdités du même genre à raison d'une occurrence toutes les dix secondes à peu près. Et l'impression tenace que les effets du microrail ne se dissiperaient jamais, pour le meilleur du meilleur. Autant vous dire qu'on a fini le pochon. (J'ai dû faire une quinzaine de traces au total.)