[ Mode de consommation ]

Arriver à fumer le crack occasionnellement

Salut,

Je consomme du crack occasionnellement depuis bien 5 ans...

Tellement à l'occasion que je ne compte pas les jours, et je ne sais même pas te dire c'était quand (en août je crois, une toute petite session).

Mais c'est peut-être que ses effets me soûlent vite : ou c'est du bon produit du coup à un moment j'ai un « trop plein » de défonce – d'autant plus qu'avec les effets de la coke en général et du crack en particulier, je galère à être focus, concentrée, efficace....– ou c'est un peu du produit qui marche pas et là bien que la frustration me donne envie de continuer, je finis par en avoir marre.

C'est clair que par contre sur le moment je kiffe et j'enchaîne les fumes.

Mais en général, je sais pas je dois fumer tous les 3 ou 6 mois, parfois des moments plus frequents mais c'est rare.

Je limite mes session par des petites quantités initiales, par le passage à des downeurs (benzo ou opiacés, de préférence came) et un rite de fin défonce avec le nettoyage du matos et changement de place (enfin changement d'endroits si possible).

D'une part, j'ai pas l'impression de me « limiter » ou me mettre la pression sur ma conso (souvent c'est la méthode pour moi pour déclencher un craving), mais aussi de l'autre car ce n'est pas le seul produit avec lequel je me défonce.

Je vois très très bien « l'effet week-end » que tu décris. Après une semaine de taf j'ai envie de me défoncer la gueule et du week-end end ça transbordé sur la semaine...

Mais comme je consomme d'autres produits stim (speed, MD, 3...), hallucinogènes (LSD, champignon) ou carrément des downeurs (ketamine, came, morphine, dhc, etc) – ou l'indétrônable alcool– mon envie de défonce n'est pas du tout concentré sur le crack.

Selon les périodes j'ai des we bien occupés qui font que l'envie de défonce passe en deuxième plan...ou au moins une défonce fonctionnelle qui ne m'empêche pas de faire les choses (souvent de la route, du sport, découverte de nouveaux endroit, soirées, sorties culturelles, bla bla ça dépend). Et puis que j'ai pas trop de répercussions sur la semaine quand même.

Dernière modification par cependant (20 octobre 2022 à  12:07)

Salut,
Pour ma part 3ans de conso occasionnelle (3/4 fois l'an), juste quelques dérapage lorsque j'ai découvert le produit.

J'en ai repris récemment avec des amis mais j'ai trouvé l'effet décevant lorsqu'on en met pas assez alors je suis vite retourné aux traces.

Étant plutôt fan de consommation festive j'avoue avoir du mal à trouver mon compte avec cette drogue cependant je sais que de temps en temps l'envie d'un bon flash me fait y retourner et pour le moment ça va comme ça...

Gourmand a écrit

Alors pour ma part, si ça peut t’aider au cas où

Je me retrouve avec mon collègue de rush et on se fait une à deux fois par an max.

Je me met pas de pression, le travail me prend la plus part de mon temps mais voila on se retrouve une à deux fois par an pour une grosse grosse soirée base.

On se bloque un week-end, 20g consommer et je sais que après que le moment d’en revouloir est passer et le craving aussi, bah j’ai un écœurement tellement la redescente est blasante puis je rattaque ma semaine de boulot donc je me force à oublier et je me sens on va dire rassasier car j’estime me l’avoir coller correctement.

Je consomme plus rien d’autre à côté depuis 5ans et c’est la seule chose que je me voile pas la face et que j’aime consommer mais pas régulièrement car bien trop nocif pour la santé et la vie en général.


En tout cas, j’ai l’impression que dès que j’y repense, c’est dur à y oublier, admettons notre dernier rendez vous date de mars avril et là on se re prépare pour début novembre donc j’y pense vu que je sais que je vais repratiquer et vu qu’on s’organise très à l’avance et le maximum au mieux bah l’appel est là forcément.

Mais je dirais, que le travail et ma femme me tienne.

Voilà :)

C’est vrai que je suis daccord , le travail et l’entourage sa permet de tenir bon et de se mettre des priorités au quotidien…

cependant a écrit

Salut,

Je consomme du crack occasionnellement depuis bien 5 ans...

Tellement à l'occasion que je ne compte pas les jours, et je ne sais même pas te dire c'était quand (en août je crois, une toute petite session).

Mais c'est peut-être que ses effets me soûlent vite : ou c'est du bon produit du coup à un moment j'ai un « trop plein » de défonce – d'autant plus qu'avec les effets de la coke en général et du crack en particulier, je galère à être focus, concentrée, efficace....– ou c'est un peu du produit qui marche pas et là bien que la frustration me donne envie de continuer, je finis par en avoir marre.

C'est clair que par contre sur le moment je kiffe et j'enchaîne les fumes.

Mais en général, je sais pas je dois fumer tous les 3 ou 6 mois, parfois des moments plus frequents mais c'est rare.

Je limite mes session par des petites quantités initiales, par le passage à des downeurs (benzo ou opiacés, de préférence came) et un rite de fin défonce avec le nettoyage du matos et changement de place (enfin changement d'endroits si possible).

D'une part, j'ai pas l'impression de me « limiter » ou me mettre la pression sur ma conso (souvent c'est la méthode pour moi pour déclencher un craving), mais aussi de l'autre car ce n'est pas le seul produit avec lequel je me défonce.

Je vois très très bien « l'effet week-end » que tu décris. Après une semaine de taf j'ai envie de me défoncer la gueule et du week-end end ça transbordé sur la semaine...

Mais comme je consomme d'autres produits stim (speed, MD, 3...), hallucinogènes (LSD, champignon) ou carrément des downeurs (ketamine, came, morphine, dhc, etc) – ou l'indétrônable alcool– mon envie de défonce n'est pas du tout concentré sur le crack.

Selon les périodes j'ai des we bien occupés qui font que l'envie de défonce passe en deuxième plan...ou au moins une défonce fonctionnelle qui ne m'empêche pas de faire les choses (souvent de la route, du sport, découverte de nouveaux endroit, soirées, sorties culturelles, bla bla ça dépend). Et puis que j'ai pas trop de répercussions sur la semaine quand même.

C’est vrai que moi je consomme plus d’autres produit depuis que j’ai gouté au crack …même le snif j’ai l’impression de « gâcher » si je la conso de cette manière …

cependant a écrit

Salut,

Cam27 a écrit

même le snif j’ai l’impression de « gâcher » si je la conso de cette manière …

sur ça je te rejoins, loi j'ai trouvé la combine de considérer la coke en sniff et celle basée, comme deux prod différents. En sniff c'est plutôt en soirée, en partageant souvent.
Alors que le crack en petit comité...

Et du coup, j'essaye pas de le voir comme gaspillage (même sui l'idée me traverse l'esprit !!), mais comme la recherche d'autres effets. À dix dans un backstage, ça serait bien plus compliqué fumer du crack...sans compter la pesanteur du regard moralisateur sur la molécule. Bref, une bonne trace de coke c'est plus adaptée au contexte pour moi...du coup j'arrive à ne pas regretter et à profiter.

Effectivement ma polyconso me met un peu à l'abri de me focaliser sur une seule molécule, ce qui rends les choses bien plus faciles pour moi...

Cc,

Oui tu as raison je pense quil faut voir les deux comme deux prods differents… c’est vrai que la polyconso met à l’abri, moi cetait vraiment que en sniff au depart mais des que j’ai commencé a baser la cetait la misere dans ma tete, je voulais consommer ma cc que comme sa, quitte a misoler malheureusement pour faire ma session tranquil, il y avait plus du tout le côté festif , cetait uniquement pour avoir mon flash

Gourmand a écrit

Cam27 a écrit

C’est vrai que moi je consomme plus d’autres produit depuis que j’ai gouté au crack …même le snif j’ai l’impression de « gâcher » si je la conso de cette manière …

Désoler de la réponse tardive,
Là dessus je te rejoins ! Personnellement, depuis que j’ai goûté en fume, impossible de me remettre quelque chose dans le nez, exactement comme toi l’impression de gâcher

Perso tout dépend, le contexte et perso j'ai toujours ressenti les effets différemment suivant le.s ROA.s

Puis comme mon ROA de prédilection c'est le sniff ben si j'en sniff c'est que je suis par exemple dans un contexte festif.

Dernière modification par meumeuh (27 octobre 2022 à  06:48)