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Merci de la reponse
La carbamazepine c'est pour l'effet thymoregulateur pas pour l'épilepsie.
Et en cas d'arrêt brutal de tout, les sensations hyper désagréables arrivent au bout de combien de temps?
1 jour,2 jours,3 jours, 4 jours davantage?
Et si je reprends après tout d'un coup mon traitement normal, ça annule les réactions du sevrage assez vite?
Merci davance
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Dernière modification par prescripteur (06 juin 2023 à 14:56)
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prescripteur a écrit
Bonjour, même si la Carbamazepine est prescrite pour la bipolarité, son arret brutal, surtout combiné à celui du valium augmente le risque de convulsions.
Combien de temps ? Difficile de repondre, probablement quelques dizaines d'heures.
Quand à la reversibilité du sevrage, il est probable mais à condition d'y survivre.
Amicalement
Ah oui d'y survivre carrément..
Mais je peux tenter de baisser sertraline à 50 mg par jour au lieu de 150 mg
Et de prendre 300mg quetiapine par jour au lieu de 600 mg
Sans toucher au valium 20mg ou à la carbamazepine 400mg.
Ce que je risque c'est d'être plus deprimé?? C'est probable?
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L'arrêt brutal du traitement peut exposer à un syndrome de sevrage : insomnie, maux de tête, nausées, diarrhées, vomissements, sensations vertigineuses et irritabilité. Il est recommandé de diminuer progressivement les doses sur une période d'au moins 1 à 2 semaines.
Dernière modification par prescripteur (06 juin 2023 à 15:49)
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Dernière modification par prescripteur (06 juin 2023 à 16:52)
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Dernière modification par guérir (06 juin 2023 à 19:05)
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Dernière modification par guérir (07 juin 2023 à 10:41)
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Salut Guérir !
Je ne peux pas répondre exactement à tes questions, mais j'espère que mon témoignage te sera un peu utile quand même.
guérir a écrit
Et si je reprends après tout d'un coup mon traitement normal, ça annule les réactions du sevrage assez vite?
Quand j'ai commencé les benzos et les ISRS, donc quand mes doses quotidiennes étaient encore relativement faibles, j'ai souvent oublié de les prendre les week-ends de teuf. Ca allait bien, je buvais pas mal d'alcool, donc je n'y pensais pas. J'ai mis un peu de temps à comprendre ce qui m'arrivait. Le dimanche, donc au bout de 24H à 48H sans benzo, un syndrome de manque se faisait sentir, sous forme d'une très forte anxiété, et d'un mal-être général dur à décrire, mais presque physique. Ca s'arrêtait dès que je reprenais mon traitement.
Pour un oubli de Benzo, le mieux-être était obtenu en 1H ou 2H. Pour un oubli d'ISRS, ça pouvait durer jusqu'au lendemain. Testé avec Lysanxia/Prazépam, Zoloft/Sertraline et Prozac/Fluoxétine.
Mais ça, c'est un "petit" manque (tout est relatif), occasionné par une petite conso, pas encore très prolongée (6 mois maxi). Ensuite, j'oubliais plus^^
guérir a écrit
Et en cas d'arrêt brutal de tout, les sensations hyper désagréables arrivent au bout de combien de temps ?
1 jour,2 jours,3 jours, 4 jours davantage?
Concernant les Benzo et les ISRS, j'ai arrêté net les deux en même temps, lors d'une hospi sous contrainte. C'était en 1999, donc je ne suis plus très sûr pour le timing, ça commence à dater... Mais ça donnera une idée.
L'essentiel de mes symptômes provient de l'arrêt des benzos. Je prenais des doses de ouf tous les jours, genre 600mg-800mg de Tranxène/Clorazépate et 2mg-10mg de Rohypnol/Flunitrazépam. Alors que mes doses d'ISRS étaient thérapeutiques, même si c'était le max.
Clairement, tous les symptômes ne sont pas apparus le 1er jour.
Il est utile de préciser que lors de ce sevrage en HP, j'avais quand même du Tercian/Cyamémazine (100mg/jours) et du Lepticure/Tropatépine. Quand je me suis pleins de ne plus pouvoir m'alimenter, j'ai même eu droit à du Parkinane/Trihexyphénidyle EN PLUS du Lepticure. Je n'ose même pas imaginer sans rien d'autre...
J1 C'est très pénible.
J2 Ca empire.
J3 C'est vraiment l'enfer.
...
J8 Ca commence à se calmer.
...
J10 le pire est passé.
...
J30 je me considère comme rétabli.
J40 je suis libéré de l'HP, donc le reprends les benzos aussi sec que je les ai arrêtés.
Mes principaux symptômes :
- Angoisses++, non-stop jusqu'à J8-J10.
- Insomnies++, aucun repos de J3 à J8.
- Pendant le sommeil, sueurs froides, je me réveille grelottant dans un lit détrempé. Changement des draps obligatoire (enfin, en HP, rotation entre mes draps sales et une couverture apportée par ma copine).
- Tremblements++, au point de ne plus pouvoir rouler une clope, ni amener un verre à ma bouche sans en renverser, ni m'alimenter proprement. Je trouve ma bouche, mais la trajectoire assiette-bouche est carrément ingérable. Les aliments tombent avant. Faut pas espérer se servir d'une fourchette. Même avec une petite cuillère ou avec les doigts, c'est franchement pas facile. Et pas moyen de résoudre le truc en approchant plus la tête de l'assiette, parce que tu trembles tellement que t'as vite fait de finir la gueule dans ta bouffe^^
- Raideurs/crispations musculaire : à partir de J2-J3, mes mouvements sont devenus difficiles. Comme le lendemain d'une séance de sport très très intense où les muscles sont tous raides et courbaturés au taquet, mais en bien pire. Et c'est généralisé à tous les muscles, on en découvre plein dont on avait même pas conscience de l'existence avant^^
- Difficulté de déglutition : au point de ne pas parvenir à m'alimenter J3.
- Brûlure d'estomac++, au point de faire une hernie hiatale (je pense que c'est apparu à ce moment-là, mais c'est invérifiable, ça n'a été diagnostiqué que des années après). La douleur est permanente et tourne à l'obsession.
- Troubles de l'accommodation : mes yeux n'arrivent plus à faire la netteté sur les objets sans un énorme effort de concentration qui prend du temps, genre 30 secondes, pour un réflexe dont on n'à même pas conscience en temps normal. De plus, si je rentre dans une pièce éclairée, il me faut plusieurs minutes pour ne plus être ébloui/aveuglé, et inversement pour les pièces sombres.
- Difficultés d'élocutions/articulation : je ne reconnais pas ma voix, je parle comme une caricature de débile mental. Le moindre mot me demande un effort presque surhumain. J'ai l'impression de mettre toute mon énergie comme pour m'époumoner et crier, mais il ne sort qu'un faible bafouillis d'une voix pâteuse. On a du mal à me comprendre.
- Perte des capacités de concentration/réflexion : je n'arrive plus à réfléchir à l'amélioration de ma situation. Comment me sortir de ce mauvais pas ? C'est trop d'efforts intellectuels, on verra plus tard...
Quelques années après, quand j'ai voulu arrêter de moi-même, j'ai diminué progressivement, d'abord l'ISRS, ensuite les benzos. J'ai rien senti du tout, ça a été d'une facilité déconcertante. J'en ai été le premier surpris. Si tu n'as pas de cravings incontrôlables à prendre des benzos, je ne comprendrais vraiment pas que tu t'infliges un sevrage sec. Sans compter les risques vitaux dont t'as parlé Prescripteur.
Quant à la Quetiapine et la Carbamazepine, je n'en ai jamais pris. Mais ça peut t'intéresser de lire ce qui m'est arrivé avec le Tercian/Cyamémazine. Les molécules me semblent quand même très différentes, mais ça reste une expérience d'arrêt d'un antipsychotique. Il y a peut-être un (vague) parallèle à faire avec la Quetiapine. Au fil des hospis, mon traitement a été monté à 600mg/jours. Quelques mois après mon arrêt volontaire des benzos, j'ai arrêté net le Tercian. Les psychiatres m'avaient toujours dit qu'il n'y avait pas de dépendance/sevrage. Quelques jours après, j'ai fait un genre de dépersonnalisation, alors que je ne suis pas sujet à ce genre de symptôme habituellement. Ca n'a duré que quelques minutes heureusement, mais je me suis vraiment senti devenir fou, j'ai cru que je ne redescendrais plus. Quelques minutes de terreur absolue que je n'oublierais jamais... Heureusement, la peur d'alerter les voisins et de finir en HP m'a motivé à retenir mes hurlements réflexes. La prochaine fois, je baisserai les doses progressivement^^ En dehors de ça, je me suis senti un peu déstabilisé, limite hypomaniaque, mais rien de vraiment pénible comme pour les Benzos ou les ISRS.
guérir a écrit
Ce que je risque c'est d'être plus deprimé?? C'est probable?
T'as quand même un traitement costaud.
Si t'arrêtes tout du jour au lendemain, ton cerveau risque d'être complètement retourné. A mon avis, c'est mettre toutes les chances de ton côté pour décompenser. Arrêter net ce que tu prends, ça pourrait faire taper une crise à n'importe qui, même quelqu'un qui n'a jamais eu aucun problème psy ! Donc tes symptômes habituels risquent d'être exacerbés, et peut-être même que tu auras des symptômes que tu n'as jamais eus avant, comme ma déperso à l'arrêt du Tercian.
Si on parle d'un arrêt plus progressif, ce que tu risques, c'est surtout de ne plus profiter des aspects positifs de ton traitement. Et pour ça, c'est toi l'expert. Est-ce que tu déprimes moins avec ce traitement ? As-tu moins de phobies sociales ? Est-ce que tu angoisses moins ? Est-ce que tu dors mieux ? Etc.
Peut-être que tu penses à arrêter parce que tu doutes des bénéfices. Mais dans ce cas, pourquoi ne pas envisager un arrêt une molécule après l'autre, en te laissant le temps de faire le point sur comment tu te sens. Si tu arrêtes tout en même temps, tu ne sauras jamais ce que t'apportait telle ou telle molécule. Et c'est dommage, parce que ça pourrait t'être utile pour la suite...
J'espère que tu ne vis aucune circonstance fâcheuse, contrainte de la vie ou autre, qui t'oblige à arrêter contre ton grès.
Prends soin de toi :)
Dernière modification par Pesteux (07 juin 2023 à 15:29)
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Pesteux a écrit
Salut Guérir !
Je ne peux pas répondre exactement à tes questions, mais j'espère que mon témoignage te sera un peu utile quand même.
guérir a écrit
Et si je reprends après tout d'un coup mon traitement normal, ça annule les réactions du sevrage assez vite?
Quand j'ai commencé les benzos et les ISRS, donc quand mes doses quotidiennes étaient encore relativement faibles, j'ai souvent oublié de les prendre les week-ends de teuf. Ca allait bien, je buvais pas mal d'alcool, donc je n'y pensais pas. J'ai mis un peu de temps à comprendre ce qui m'arrivait. Le dimanche, donc au bout de 24H à 48H sans benzo, un syndrome de manque se faisait sentir, sous forme d'une très forte anxiété, et d'un mal-être général dur à décrire, mais presque physique. Ca s'arrêtait dès que je reprenais mon traitement.
Pour un oubli de Benzo, le mieux-être était obtenu en 1H ou 2H. Pour un oubli d'ISRS, ça pouvait durer jusqu'au lendemain. Testé avec Lysanxia/Prazépam, Zoloft/Sertraline et Prozac/Fluoxétine.
Mais ça, c'est un "petit" manque (tout est relatif), occasionné par une petite conso, pas encore très prolongée (6 mois maxi). Ensuite, j'oubliais plus^^
guérir a écrit
Et en cas d'arrêt brutal de tout, les sensations hyper désagréables arrivent au bout de combien de temps ?
1 jour,2 jours,3 jours, 4 jours davantage?Concernant les Benzo et les ISRS, j'ai arrêté net les deux en même temps, lors d'une hospi sous contrainte. C'était en 1999, donc je ne suis plus très sûr pour le timing, ça commence à dater... Mais ça donnera une idée.
L'essentiel de mes symptômes provient de l'arrêt des benzos. Je prenais des doses de ouf tous les jours, genre 600mg-800mg de Tranxène/Clorazépate et 2mg-10mg de Rohypnol/Flunitrazépam. Alors que mes doses d'ISRS étaient thérapeutiques, même si c'était le max.
Clairement, tous les symptômes ne sont pas apparus le 1er jour.
Il est utile de préciser que lors de ce sevrage en HP, j'avais quand même du Tercian/Cyamémazine (100mg/jours) et du Lepticure/Tropatépine. Quand je me suis pleins de ne plus pouvoir m'alimenter, j'ai même eu droit à du Parkinane/Trihexyphénidyle EN PLUS du Lepticure. Je n'ose même pas imaginer sans rien d'autre...
J1 C'est très pénible.
J2 Ca empire.
J3 C'est vraiment l'enfer.
...
J8 Ca commence à se calmer.
...
J10 le pire est passé.
...
J30 je me considère comme rétabli.
J40 je suis libéré de l'HP, donc le reprends les benzos aussi sec que je les ai arrêtés.
Mes principaux symptômes :
- Angoisses++, non-stop jusqu'à J8-J10.
- Insomnies++, aucun repos de J3 à J8.
- Pendant le sommeil, sueurs froides, je me réveille grelottant dans un lit détrempé. Changement des draps obligatoire (enfin, en HP, rotation entre mes draps sales et une couverture apportée par ma copine).
- Tremblements++, au point de ne plus pouvoir rouler une clope, ni amener un verre à ma bouche sans en renverser, ni m'alimenter proprement. Je trouve ma bouche, mais la trajectoire assiette-bouche est carrément ingérable. Les aliments tombent avant. Faut pas espérer se servir d'une fourchette. Même avec une petite cuillère ou avec les doigts, c'est franchement pas facile. Et pas moyen de résoudre le truc en approchant plus la tête de l'assiette, parce que tu trembles tellement que t'as vite fait de finir la gueule dans ta bouffe^^
- Raideurs/crispations musculaire : à partir de J2-J3, mes mouvements sont devenus difficiles. Comme le lendemain d'une séance de sport très très intense où les muscles sont tous raides et courbaturés au taquet, mais en bien pire. Et c'est généralisé à tous les muscles, on en découvre plein dont on avait même pas conscience de l'existence avant^^
- Difficulté de déglutition : au point de ne pas parvenir à m'alimenter J3.
- Brûlure d'estomac++, au point de faire une hernie hiatale (je pense que c'est apparu à ce moment-là, mais c'est invérifiable, ça n'a été diagnostiqué que des années après). La douleur est permanente et tourne à l'obsession.
- Troubles de l'accommodation : mes yeux n'arrivent plus à faire la netteté sur les objets sans un énorme effort de concentration qui prend du temps, genre 30 secondes, pour un réflexe dont on n'à même pas conscience en temps normal. De plus, si je rentre dans une pièce éclairée, il me faut plusieurs minutes pour ne plus être ébloui/aveuglé, et inversement pour les pièces sombres.
- Difficultés d'élocutions/articulation : je ne reconnais pas ma voix, je parle comme une caricature de débile mental. Le moindre mot me demande un effort presque surhumain. J'ai l'impression de mettre toute mon énergie comme pour m'époumoner et crier, mais il ne sort qu'un faible bafouillis d'une voix pâteuse. On a du mal à me comprendre.
- Perte des capacités de concentration/réflexion : je n'arrive plus à réfléchir à l'amélioration de ma situation. Comment me sortir de ce mauvais pas ? C'est trop d'efforts intellectuels, on verra plus tard...
Quelques années après, quand j'ai voulu arrêter de moi-même, j'ai diminué progressivement, d'abord l'ISRS, ensuite les benzos. J'ai rien senti du tout, ça a été d'une facilité déconcertante. J'en ai été le premier surpris. Si tu n'as pas de cravings incontrôlables à prendre des benzos, je ne comprendrais vraiment pas que tu t'infliges un sevrage sec. Sans compter les risques vitaux dont t'as parlé Prescripteur.
Quant à la Quetiapine et la Carbamazepine, je n'en ai jamais pris. Mais ça peut t'intéresser de lire ce qui m'est arrivé avec le Tercian/Cyamémazine. Les molécules me semblent quand même très différentes, mais ça reste une expérience d'arrêt d'un antipsychotique. Il y a peut-être un (vague) parallèle à faire avec la Quetiapine. Au fil des hospis, mon traitement a été monté à 600mg/jours. Quelques mois après mon arrêt volontaire des benzos, j'ai arrêté net le Tercian. Les psychiatres m'avaient toujours dit qu'il n'y avait pas de dépendance/sevrage. Quelques jours après, j'ai fait un genre de dépersonnalisation, alors que je ne suis pas sujet à ce genre de symptôme habituellement. Ca n'a duré que quelques minutes heureusement, mais je me suis vraiment senti devenir fou, j'ai cru que je ne redescendrais plus. Quelques minutes de terreur absolue que je n'oublierais jamais... Heureusement, la peur d'alerter les voisins et de finir en HP m'a motivé à retenir mes hurlements réflexes. La prochaine fois, je baisserai les doses progressivement^^ En dehors de ça, je me suis senti un peu déstabilisé, limite hypomaniaque, mais rien de vraiment pénible comme pour les Benzos ou les ISRS.
guérir a écrit
Ce que je risque c'est d'être plus deprimé?? C'est probable?
T'as quand même un traitement costaud.
Si t'arrêtes tout du jour au lendemain, ton cerveau risque d'être complètement retourné. A mon avis, c'est mettre toutes les chances de ton côté pour décompenser. Arrêter net ce que tu prends, ça pourrait faire taper une crise à n'importe qui, même quelqu'un qui n'a jamais eu aucun problème psy ! Donc tes symptômes habituels risquent d'être exacerbés, et peut-être même que tu auras des symptômes que tu n'as jamais eus avant, comme ma déperso à l'arrêt du Tercian.
Si on parle d'un arrêt plus progressif, ce que tu risques, c'est surtout de ne plus profiter des aspects positifs de ton traitement. Et pour ça, c'est toi l'expert. Est-ce que tu déprimes moins avec ce traitement ? As-tu moins de phobies sociales ? Est-ce que tu angoisses moins ? Est-ce que tu dors mieux ? Etc.
Peut-être que tu penses à arrêter parce que tu doutes des bénéfices. Mais dans ce cas, pourquoi ne pas envisager un arrêt une molécule après l'autre, en te laissant le temps de faire le point sur comment tu te sens. Si tu arrêtes tout en même temps, tu ne sauras jamais ce que t'apportait telle ou telle molécule. Et c'est dommage, parce que ça pourrait t'être utile pour la suite...
J'espère que tu ne vis aucune circonstance fâcheuse, contrainte de la vie ou autre, qui t'oblige à arrêter contre ton grès.
Prends soin de toi :)
Ouhahou un grand merci pour ton super témoignage.
Merci beaucoup à toi je prends note de tout ...
Superbe retour.merci d'avoir pris tout ce temps
Dernière modification par guérir (07 juin 2023 à 23:54)
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