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- ElSabio
- Antifa...narchiste
- Inscrit le 02 Dec 2016
- 1288 messages
Bonjour,
Quels sont exactement les effets secondaires dont tu parles ?
Prend-tu une benzodiazépine en association avec le Sélincro ?
Bien amicalement.
Quels sont exactement les effets secondaires dont tu parles ?
Prend-tu une benzodiazépine en association avec le Sélincro ?
Bien amicalement.
Dernière modification par ElSabio (03 décembre 2017 à 14:14)
« La liberté des autres, étend la mienne à l'infini ».
Mikhaïl Bakounine
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- ElSabio
- Antifa...narchiste
- Inscrit le 02 Dec 2016
- 1288 messages
Les effets secondaires que tu décris sont courants avec le Selincro, cela devrait se régler assez rapidement, à condition de diminuer/arrêter ta consommation d'alcool.
Concernant le Lexomil, c'est ton médecin qui t'as prescrit ce médicament en supplément du Selincro ?
Il faudrait, au cas où tes symptômes s'amplifiaient ou duraient, lui en parler et peut-être switcher sur une autre molécule car le Bromazépam est un hypnotique avec des effets amnésiants et je pense qu'avec de l'alcool, c'est pas le combo le plus sûr.
Bien amicalement.
P.S : Il te faut être patiente avec les réponses qu'on peut t'apporter, les gens sont bénévoles sur PychoActif donc nous ne sommes pas toujours en ligne, merci de ta compréhension.
Concernant le Lexomil, c'est ton médecin qui t'as prescrit ce médicament en supplément du Selincro ?
Il faudrait, au cas où tes symptômes s'amplifiaient ou duraient, lui en parler et peut-être switcher sur une autre molécule car le Bromazépam est un hypnotique avec des effets amnésiants et je pense qu'avec de l'alcool, c'est pas le combo le plus sûr.
Bien amicalement.
P.S : Il te faut être patiente avec les réponses qu'on peut t'apporter, les gens sont bénévoles sur PychoActif donc nous ne sommes pas toujours en ligne, merci de ta compréhension.
Dernière modification par ElSabio (03 décembre 2017 à 14:27)
« La liberté des autres, étend la mienne à l'infini ».
Mikhaïl Bakounine
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- chipie
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 Dec 2017
- 14 messages
oui je comprends que ayez bcp de monde mais si on a besoin de parler pour eviter un verre par exempple??une urgence?
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- chipie
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 Dec 2017
- 14 messages
comment arreter ce processus l a ddictologue le sait! au bout de 2 petits verres de bierres on dirait que j ai bu une bpoutelle! transpiraton enorme
le peux pas sortir ds ma famille os cour!!!!
le peux pas sortir ds ma famille os cour!!!!
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- gaspard99
- Psycho junior
- Inscrit le 12 Sep 2017
- 480 messages
Je me permet de te répondre; déja tu demande une réponse trop rapide; et si il n'y a pas sur le forum une personne "spécialiste" ou qui connaisse ton traitement tu n'auras pas de réponse de suite, paciente c tout s'que je peu te dire, moi je ne connais pas le selincro. Courage.
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- gaspard99
- Psycho junior
- Inscrit le 12 Sep 2017
- 480 messages
Je te copie/colle un post de reck sur l'espéral, cela te donnera peut etre une piste ou idée...
Salut,
La demie vie de l'Esperal varie entre 60 et 120 heures.
Alors, il n'y a pas de risque létal lorsqu'il y a consommation d'alcool lorsque l'usager est sous l'effet de ce médicament.
Cependant, les effets indésirables sont tels que l'usager ne peut plus boire de boisson alcoolisée.
Attention, un usager consommant ce médicament doit faire également attention aux excipients de certains médicaments. Une très faible dose d'alcool est suffisante pour déclencher cette avalanche d'effets indésirables !!!!
Il est donc très important de bine faire attention à ce qui est consommé.
Suivant la métabolisation de la personne, la durée à prévoir pour pouvoir consommer à nouveau de l'alcool est d'où moins une demie vie. Mais il est admis qu'il faut laisser à minima 72 heures entre la prise d'alcool et la.prise de ce sulfaremide.
Pour que le médicament soit considéré comme éliminé de l'organisme, il est admis qu'il faut laisser passer 5 demie vie.
Il est donc éliminé entre 300 et 600 heures après la dernière prise, soit entre 14 et 28 jours.
Pendant cette durée, la consommation d'alcool peut engendrer des effets indésirables pour l'usager consommant ce traitement.
Pour entamer le traitement, il est important de ne pas avoir consommer d'alcool les dernières 24 heures.
C'est un vieux médicament et aujourd'hui, lui est souvent privilégié, jusqu'à il y a peu, en première intention le Selincro ou le baclofene.
Ce médicament est utilisé en dernier recours, lorsque les autres traitements ont échoués ou n'ont pas donnés de résultats suffisamment satisfaisants.
Il est préconisé de ne pas être dépendant physiquement à l'alcool.
Si l'usager est alcoolo dépendant, des mesures comme la mise en place d'un traitement Diazepam ( Valium ) et de certaines vitamines.
À voir avec le médecin en charge du traitement Esperal.
@ +
Reck.
Salut,
La demie vie de l'Esperal varie entre 60 et 120 heures.
Alors, il n'y a pas de risque létal lorsqu'il y a consommation d'alcool lorsque l'usager est sous l'effet de ce médicament.
Cependant, les effets indésirables sont tels que l'usager ne peut plus boire de boisson alcoolisée.
Attention, un usager consommant ce médicament doit faire également attention aux excipients de certains médicaments. Une très faible dose d'alcool est suffisante pour déclencher cette avalanche d'effets indésirables !!!!
Il est donc très important de bine faire attention à ce qui est consommé.
Suivant la métabolisation de la personne, la durée à prévoir pour pouvoir consommer à nouveau de l'alcool est d'où moins une demie vie. Mais il est admis qu'il faut laisser à minima 72 heures entre la prise d'alcool et la.prise de ce sulfaremide.
Pour que le médicament soit considéré comme éliminé de l'organisme, il est admis qu'il faut laisser passer 5 demie vie.
Il est donc éliminé entre 300 et 600 heures après la dernière prise, soit entre 14 et 28 jours.
Pendant cette durée, la consommation d'alcool peut engendrer des effets indésirables pour l'usager consommant ce traitement.
Pour entamer le traitement, il est important de ne pas avoir consommer d'alcool les dernières 24 heures.
C'est un vieux médicament et aujourd'hui, lui est souvent privilégié, jusqu'à il y a peu, en première intention le Selincro ou le baclofene.
Ce médicament est utilisé en dernier recours, lorsque les autres traitements ont échoués ou n'ont pas donnés de résultats suffisamment satisfaisants.
Il est préconisé de ne pas être dépendant physiquement à l'alcool.
Si l'usager est alcoolo dépendant, des mesures comme la mise en place d'un traitement Diazepam ( Valium ) et de certaines vitamines.
À voir avec le médecin en charge du traitement Esperal.
@ +
Reck.
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- chipie
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 Dec 2017
- 14 messages
bonjour j ai eu une reponse mais je ne suis pas sous esperal!!!sous selindro et mon tratemant a coté lexomil/prozac/atarax/noctamide l addictologue est au courant du traitement comprends pas elle m avais dis que je pouvais boire avec le selincro de pas arreter brutalement comme un sevrage et partout ou je dis je bois avec selincro on est sidere je parle de personne medicale alors ne pouvant joindre ni le medecin traitant ni l addictologue je fais quoi au bout de 5 jours j arrete?
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- Anonymousse au chocolat
- ٩(^ᴗ^)۶
- Inscrit le 12 Nov 2013
- 2953 messages
Salut.
Le selincro tu peux boire en même temps, en gros ça va augmenter ton sentiment d'ivresse et faire croire à ton cerveau que tu es arrivé à l'ivresse alors que tu n'as bu que deux verres.
C'est un antagoniste des récepteurs opiacés.
Le but final étant de jouer sur la disparition de "l'envie" plutôt que sur le sevrage physique à proprement parlé. (celui ci se faisant au fur et à mesure que tu abaisse ta conso et les risques inhérents à ce sevrage physique étant compensés par les benzos)
Perso ça m'a fait stopper une grosse conso journalière en a peine un mois.
Le selincro tu peux boire en même temps, en gros ça va augmenter ton sentiment d'ivresse et faire croire à ton cerveau que tu es arrivé à l'ivresse alors que tu n'as bu que deux verres.
C'est un antagoniste des récepteurs opiacés.
Le but final étant de jouer sur la disparition de "l'envie" plutôt que sur le sevrage physique à proprement parlé. (celui ci se faisant au fur et à mesure que tu abaisse ta conso et les risques inhérents à ce sevrage physique étant compensés par les benzos)
Perso ça m'a fait stopper une grosse conso journalière en a peine un mois.
240 g de chocolat noir cassé en morceau.
60 g de beurre.
6 œufs jaunes et blancs séparés.
60 g de sucre et une pincée de sel.
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- psychodi
- Pour ma santé :5 weed et j'les fume par jour
- Inscrit le 24 Jul 2013
- 981 messages
salut Chipie
je suis pas médecin mais je bosse en addictologie depuis longtemps, j'ai vu arriver cette molécule en 2016 et ai donc un peu de recul pour en parler (de l'extérieur, dans les accompagnements proposés dans le CSAPA où je bosse)
alors quand tu écris "je bois", ça ne nous donne pas trop d'indices...moi aussi je bois mais j'ai pas de dépendance physique à l'alcool ...est-ce ton cas ? as-tu des symptômes de manque le matin ? auquel cas le Selincro n'est pas forcément une bonne idée (comme le Baclofène, quoique, les objectifs ne sont pas les mêmes pour les 2)...
en cas de dépendance physique bien installée à l'alcool, le risque du Selincro, c'est de faire faire des mini sevrage à l'arrache...les gens que j'ai rencontrés et qui voulaient boire modérément (alors que PHYSIOLOGIQUEMENT ils ont BESOIN d'alcool pour ne pas avoir de symptômes) se sont retrouvés super mal : ils n'avaient plus ENVIE de boire après 2 verres, ressentaient même du dégoût à consommer alors que leur corps, lui continuait à en avoir BESOIN...et donc gros malaise au final !
si au bout de 5 jours tu ne vois aucune différence dans tes consommations, il faut faire le point avec la personne qui te l'a prescrit
en plus, je constate que tu as aussi un traitement assez lourd, avec des psychotropes puissants...dont les interactions avec le Selincro sont peu connues voire pas du tout (de toute façon, au delà de 3 molécules différentes prises ensemble, les médecins, même addictologues ou pharmacologues sont un peu perdus)
souvent, ce sont les effets secondaires qui font que les gens arrêtent ce médoc, comme le Baclo...
mon conseil : revoit le ou la prescripteur.trice et discutes en pour voir si ça vaut le coup de te mettre aussi mal (en plus, le Selincro tout seul sans accompagnement au changement, c'est comme pisser dans un violon). D'ailleurs pour info, quand le mec du labo est venu en 2016 nous présenter le médoc, il est vite fait passé sur la recherche faite par le-dit labo...et qui démontrait qu'entre un accompagnement serré sur le plan médico-psychologique avec Selincro et un accompagnement sans...la différence en terme de résultats (sobriété totale ou réduction des conso) était presque ridicule...mais suffisante pour le mettre sur le marché, ouf...(ils ont d'ailleurs rentré un paquet de pognon avec ce truc dont on parle nettement moins...)
courage Chipie, à 53 ans, c'est encore possible de changer (enfin, moi, j'y crois, je m'en approche alors vaut mieux...)
amicalement
je suis pas médecin mais je bosse en addictologie depuis longtemps, j'ai vu arriver cette molécule en 2016 et ai donc un peu de recul pour en parler (de l'extérieur, dans les accompagnements proposés dans le CSAPA où je bosse)
alors quand tu écris "je bois", ça ne nous donne pas trop d'indices...moi aussi je bois mais j'ai pas de dépendance physique à l'alcool ...est-ce ton cas ? as-tu des symptômes de manque le matin ? auquel cas le Selincro n'est pas forcément une bonne idée (comme le Baclofène, quoique, les objectifs ne sont pas les mêmes pour les 2)...
en cas de dépendance physique bien installée à l'alcool, le risque du Selincro, c'est de faire faire des mini sevrage à l'arrache...les gens que j'ai rencontrés et qui voulaient boire modérément (alors que PHYSIOLOGIQUEMENT ils ont BESOIN d'alcool pour ne pas avoir de symptômes) se sont retrouvés super mal : ils n'avaient plus ENVIE de boire après 2 verres, ressentaient même du dégoût à consommer alors que leur corps, lui continuait à en avoir BESOIN...et donc gros malaise au final !
si au bout de 5 jours tu ne vois aucune différence dans tes consommations, il faut faire le point avec la personne qui te l'a prescrit
en plus, je constate que tu as aussi un traitement assez lourd, avec des psychotropes puissants...dont les interactions avec le Selincro sont peu connues voire pas du tout (de toute façon, au delà de 3 molécules différentes prises ensemble, les médecins, même addictologues ou pharmacologues sont un peu perdus)
souvent, ce sont les effets secondaires qui font que les gens arrêtent ce médoc, comme le Baclo...
mon conseil : revoit le ou la prescripteur.trice et discutes en pour voir si ça vaut le coup de te mettre aussi mal (en plus, le Selincro tout seul sans accompagnement au changement, c'est comme pisser dans un violon). D'ailleurs pour info, quand le mec du labo est venu en 2016 nous présenter le médoc, il est vite fait passé sur la recherche faite par le-dit labo...et qui démontrait qu'entre un accompagnement serré sur le plan médico-psychologique avec Selincro et un accompagnement sans...la différence en terme de résultats (sobriété totale ou réduction des conso) était presque ridicule...mais suffisante pour le mettre sur le marché, ouf...(ils ont d'ailleurs rentré un paquet de pognon avec ce truc dont on parle nettement moins...)
courage Chipie, à 53 ans, c'est encore possible de changer (enfin, moi, j'y crois, je m'en approche alors vaut mieux...)
amicalement
il y a des jours étranges
il y a des jours, j'm'étrangle
Surtout...ne pas se biler sur la route...
Psychoactif ? Faut s'abonner là, vite !!
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- chipie
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 Dec 2017
- 14 messages
merci a tous qui essayeé n etant pas medecin.ma conso etait de 8,5 unite c est a dire 1025cl a 9 une25cl a 9 et une 50cl a 7!
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- Anonyme6693
- Invité
Bonjour, j'ai pris cete molécule une fois et la dernière. Elle ne m'a pas convenu du tout, je rejoins mes vdd pour un rdv chez ton prescripteur pour un bilan. A part ça beaucoup de groupes de paroles peuvent aider pour ce problème. Courage !
- chipie
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 Dec 2017
- 14 messages
j ai revu l addictologue qui me l aprescrit elle mr demannde un mois minimum pour que ça fasse effet alors je bois si ca marchepas pendant un moi quoi
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- chipie
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 Dec 2017
- 14 messages
l addictologue qui connait mes traitements et m a prescit le selincro depuis 8 jours me demamde d attendre un mois pour avoir des effets positifs.je pensais etre sobre pour noel ben non je risque de continuer encore de boire avec le traitement??serieux????
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- Anonyme7402
- Invité
Ayant subi des problèmes d'alcoolisation chronique et massive durant plusieurs années, j'ai eu droit au Sélincro dans le but de réduire mes consommations, et honnêtement c'est le pire médicament que j'ai eu à prendre.
Contexte : après une journée de travail je rentre chez moi vers 16h30, et le premier réflexe c'est de prendre l'apéro (principalement 2 à 3 litres de bières belges à 8,5%) devant la télé ou l'ordi.
Une fois "imbibé", impossible de m'arrêter ; et cela peut durer jusqu'à très tard dans la soirée, voire jusqu'à l'aube. De ce fait, de nombreux aller-retours en pleine nuit pour refaire un plein d'alcool dans les night-shops ou stations services ouvertes H24 (= voiture abîmée, contraventions, absences au travail...). Bref un comportement merdique je me devais de stopper.
Mon médecin traitant me propose alors d'essayer cette molécule, en me conseillant d'avaler un comprimé vers 16h00.
Le jour-même, je prends donc ce fameux Sélincro à 16h00 ;
16h15 : petit mal de crâne ;
16h30 : gros mal de crâne, nausées, impossible de manger ni de boire (même de la flotte) ;
17h00 : mal-être général, complètement abattu, je n'arrive plus à réfléchir et j'ai du mal à marcher ;
17h30 : je m'affale sur mon lit, je fini par m'endormir durant 2 heures ;
19h30 : réveil difficile, toujours cette sensation de mal-être, déplacements difficiles, vertiges ;
19h45 : je me force à boire 2 bières, mon état s'améliore, mais toujours un léger mal de crâne et toujours pas faim ;
20h00 : je me pose devant la TV, impossible de me concentrer, le son résonne dans ma tête, ma vision est brouillée, c'est horrible ;
20h15 : je décide de me coucher, difficultés d'endormissement, plusieurs réveils dans la nuit en sueur ;
07h00 : le réveil sonne, impression de gueule de bois, jambes molles, aucune force, mal au crâne ;
La suite : impossible de petit-déjeuner, difficile de tenir debout sous la douche.
J'appelle mon médecin pour un rendez-vous à domicile (impossible de me déplacer dans cet état).
Verdict : je n'ai pas supporté la molécule = 2 jours d'arrêt de travail !
J'ai appris par la suite que ces effets secondaires ont tendance à disparaître après environ une semaine de traitement.
Mais pour ma part, plus jamais.
J'ai finalement opté pour un sevrage de 5 semaines en clinique spécialisée en addiction (Valium, Tercian, Miansérine, vitamines, sport, thérapies).
Depuis, c'est bien évidemment l'abstinence totale.
PS : Le Révia (Naltrexone) m'a procuré les mêmes effets secondaires.
Contexte : après une journée de travail je rentre chez moi vers 16h30, et le premier réflexe c'est de prendre l'apéro (principalement 2 à 3 litres de bières belges à 8,5%) devant la télé ou l'ordi.
Une fois "imbibé", impossible de m'arrêter ; et cela peut durer jusqu'à très tard dans la soirée, voire jusqu'à l'aube. De ce fait, de nombreux aller-retours en pleine nuit pour refaire un plein d'alcool dans les night-shops ou stations services ouvertes H24 (= voiture abîmée, contraventions, absences au travail...). Bref un comportement merdique je me devais de stopper.
Mon médecin traitant me propose alors d'essayer cette molécule, en me conseillant d'avaler un comprimé vers 16h00.
Le jour-même, je prends donc ce fameux Sélincro à 16h00 ;
16h15 : petit mal de crâne ;
16h30 : gros mal de crâne, nausées, impossible de manger ni de boire (même de la flotte) ;
17h00 : mal-être général, complètement abattu, je n'arrive plus à réfléchir et j'ai du mal à marcher ;
17h30 : je m'affale sur mon lit, je fini par m'endormir durant 2 heures ;
19h30 : réveil difficile, toujours cette sensation de mal-être, déplacements difficiles, vertiges ;
19h45 : je me force à boire 2 bières, mon état s'améliore, mais toujours un léger mal de crâne et toujours pas faim ;
20h00 : je me pose devant la TV, impossible de me concentrer, le son résonne dans ma tête, ma vision est brouillée, c'est horrible ;
20h15 : je décide de me coucher, difficultés d'endormissement, plusieurs réveils dans la nuit en sueur ;
07h00 : le réveil sonne, impression de gueule de bois, jambes molles, aucune force, mal au crâne ;
La suite : impossible de petit-déjeuner, difficile de tenir debout sous la douche.
J'appelle mon médecin pour un rendez-vous à domicile (impossible de me déplacer dans cet état).
Verdict : je n'ai pas supporté la molécule = 2 jours d'arrêt de travail !
J'ai appris par la suite que ces effets secondaires ont tendance à disparaître après environ une semaine de traitement.
Mais pour ma part, plus jamais.
J'ai finalement opté pour un sevrage de 5 semaines en clinique spécialisée en addiction (Valium, Tercian, Miansérine, vitamines, sport, thérapies).
Depuis, c'est bien évidemment l'abstinence totale.
PS : Le Révia (Naltrexone) m'a procuré les mêmes effets secondaires.
Dernière modification par mynameistonio (18 mars 2018 à 16:38)
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