Désolé pour la mauvaise interprétation de mon poste au sujet des effet potentiellement mortels.
le
baclofène est un agoniste GABA-B très sélectif . l'
alcool agit aussi dessus, on pourrait dire un peu surtout plein de système de neurotransmetteur. -> potentiel effet synergique. Mais personne n'est pareil.
Arrêter en prenant une dope "violente" de plus, oui, cela marche, les benzos aussi, mais quand on est vraiment alcoolique comme je l'ai été, ce n'est même pas "l'antabuse" (
http://fr.wikipedia.org/wiki/Disulfirame ), pour ceux qui connaisse qui empêche de picoler. Pour moi hélas d'autre drogue tout aussi violente "dure" m'ont fait arrêter. Pour m'en sevrer cela à été un autre problème.
Sinon pour revenir dans le vif du sujet: le
baclofène est mortel, pourquoi: si on l'arrête d'un coup on peut en mourir, pas par des petites dose spasmolytique que prennent ceux qui on des maladies tel que Parkinson ou la sclérose en plaque ou autres maladies neuromusculaires, mais bien de ceux qui comme moi on connu de l’alcoolisme violent, (plus de 3 bouteilles d'
alcool fort/jours).
Quelques liens ci-dessous pour donner un peu de crédibilité à l'arrêt violent du
baclofène. Comme souvent dans les dopes, un schéma régressif est vital, par exemple pour:
alcool, benzo,
GBL/GHB, antidépresseur et plein de "médic" et certainement d'autre substances, souvent médicament = drogue dur. Bref surtout les inhibiteurs du Système nerveux central. Le délirium tremens (sorte de mal épileptique) est mortel dans certain cas (arrêt du cœur et autre), et tout les autres inhibiteur spécialement le
GHB/GBL, les benzos typiques (GABA-A) et le baclofèrne sont spécialement mortel, en cas d'arrêt brusque, sans compensation avec
Alcool et inhibiteur. il y aura toujours des cas qui font exceptions, pour les usager de haute dose + de 200mg/j de baclo. attention!
pfff.... désolé, les liens:
Syndrome de
sevragepour wiki (à pas prendre pour argent comptant) c'est pas la mort, mais suivant son état de santé et la violence des symptômes il y clairement de quoi y rester et l'info d'aucun cas de décès par avec prise per os est certainement pas très à jour et sans considération d'un mélange avec d'autre dope, genre de l'
alcool:
WIKIPEDIA:
"Il est dangereux d'interrompre subitement un traitement au
baclofène. Les cas les plus sévères consistent dans des états confuso-oniriques. Les symptômes de
sevrage comportent : hallucinations auditives, tactiles ou visuelles, confusion, agitation, désorientation, fluctuation du niveau de conscience, insomnie, troubles mnésiques, anxiété, hypertonie, hyperthermie, troubles de l'humeur, tachycardie, crise d'épilepsie, tremblements. Mais aucun cas de décès n'a été rapporté par
sevrage au
baclofène par voie orale. La diminution progressive des doses se fera exclusivement sous la supervision d'un médecin. De même, il ne faut pas modifier le dosage en cours de traitement sans avis médical. Les risques associés au
sevrage sont accrus dans le cas de l'administration intrathécale. (Directement sous les méninges).
Un arrêt brutal de l'administration par voie intrathécale de
baclofène, qu'elle qu'en soit la cause, peut se manifester par une fièvre importante, une altération de la conscience, une exacerbation de la spasticité par effet rebond et une rigidité musculaire et dans de rares cas ceci a conduit à des crises d'épilepsie/état de mal épileptique, une rhabdomyolyse, une défaillance multi viscérale et le décès (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Les symptômes dus à l'arrêt du traitement peuvent être confondus avec ceux d'une intoxication. Ceci nécessite aussi l'hospitalisation du patient."
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Et oui tout cela en diminution par "palier", visiblement de façon pas assez progressive, on parle parfois d'année pour arrêter complètement! De nouveau pas pour tout le monde et suivant les quantités et la durée du traitement (facteur le plus important).
un autre:
http://www.doctissimo.fr/medicament-BACLOFENE-SUN.htm :
Traitement du syndrome de
sevrage (pour le baclo)
Le diagnostic rapide et l'admission dans un service d'urgence ou de réanimation sont importants pour prévenir la mise en jeu du pronostic vital ainsi que les effets systémiques dus à l'arrêt de l'administration par voie intrathécale de
baclofène.
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Bref un dernier petit article bien sérieux qui résume ce que je pense:
http://download.springer.com/static/pdf … p;ext=.pdfOui le
baclofène (légal en suisse depuis un moment peut aider une partie d'entre nous, non pour les alcoolo grave il ne va faire que rajouter un problème:
article:
mais que chez un bon tiers d'entre eux l'effet thérapeutique du
baclofène, même s'il est bien réel, reste incomplet. L'analyse des causes de ces « demi-succès » montre que tous les patients dépendants à l'
alcool ne le sont pas pour les mêmes raisons, et que(Psychiatr. Sci. Hum. Neurosci. (2011) 9:1-65)certaines de ces raisons peuvent constituer des obstacles à l’efficacité du
baclofène. L'étude des mécanismes biolo-giques par lesquels agit potentiellement le
baclofène ouvresur un nombre considérable de questions, qui mettent en évidence la complexité et les multiples facettes du phéno-mène de la dépendance.
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Merci de m'avoir lu et les citations, j'espère avoir pu clarifier mon précédent post... please gaffe à tout les inhibiteurs à haute dose, 1 mois de coma pour moi, à lire si jamais... Bon j'étais un peu hors norme.
pour Zoobywook qui le voulait, description d'un
sevrage extrème:
http://www.psychoactif.org/forum/t10191 … enfer.html
Dernière modification par GüBeL (18 mars 2014 à 04:58)