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Dernière modification par YourLatestTrick (16 juin 2014 à 20:46)
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YourLatestTrick a écrit
Mon avis : prend garde au moral. Je lis que tu es sous antidépresseur. Le sevrage opiacé a souvent pour caractéristique d'induire des troubles de l'humeur, est c'est également à prendre en compte pour le moyen terme (je t'invite à consulter l'article wiki sur le syndrome de sevrage post-aigu ( PAWS ) réalisé par prescripteur.)
Je viens de le lire...c'est plutot flippant... vais-je avoir 2 ans de up and down pour ces quelques mois de codé ??? C'est cher payé...
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Jeef a écrit
N'importe nawak, Ofée non t'en fais pas, tu n'auras certainement pas de PAWS pendant deux ans, je te le guarantis!
N'importe nawak ?
Comment peux-tu lui affirmer qu'elle va passer cela les doigts dan sle nez (ce que tu suggères). Personnellement, je serai bien plus prudent que cela, sachant que Ofée s'auto soigne avec sa codéine. Ce n'est pas que récréatif, comme pour plein d'entre nous.
La dépendance à la codéine est puissante et bien plus sournoise que vous ne le croyez. Cela ne peut pas se résumer à la durée et au dosage, ce serait chouette mais c'est une histoire bien plus globale que cela.
J'ai pris de la codéine pendant 4 ans en TSO (avant l'arrivée des TSO en France). L'arrêt à été épique. Pourtant j'avais bien diminué mes doses avant le sevrage 2 fois 6 néo codion = 180 mg de codéine. Ofée en est à 120 mg avec deux dicodins.
C'est vrai que le dosage n'est pas énorme. Mais Ofée nous a bien précisé qu'elle a besoin d'A.D. et d'anxiolytiques. La codéine, comme tous les opiacés compensent ou masquent bien la dépression et ce qui est à craindre dans le cas d'Ofée est la conjonction de sa dépression et de celle qui suit un sevrage à la Cold Turkey (ce qui lui arrive).
Ofée, saches que ce que tu vis est logique et que les troubles du sommeil durent un certain temps après l'arrêt des opiacés.
Bon courage et restes avec nous, tu vois que les autres s'intéressent à ton histoire et c'est précieux. Je crios fermement aux vertus du dialogue à travers ce forum, surtout pendant les passages délicats. Cela remplace parfois bien des pilules.
Amicalement
Fil
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YourLatestTrick a écrit
En résumé : ne te tracasse pas trop pour les symptômes physiques. Mais porte une attention toute particulière à ton moral. En plus des AD, prends le temps de prendre soin de toi. Il faut réapprendre à éprouver du plaisir sans les opi. Tu as de nombreuses ressources pour t'aider dans cette démarche ; je suis sur que le forum peut déjà t'apporter beaucoup.
Merci. Je vais suivre tes conseils. Car oui le moral en prend un coup. C'est un combat avec soi même. Le sevrage comme la dépression...
YourLatestTrick a écrit
Moi j'ai confiance dans le fait que tu t'en sortiras indemne, et que dans quelques mois, tu seras libérée .
Je t'adresse mes amitiés et encouragements.
yLT
Merci beaucoup. :)
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filousky a écrit
C'est vrai que le dosage n'est pas énorme. Mais Ofée nous a bien précisé qu'elle a besoin d'A.D. et d'anxiolytiques. La codéine, comme tous les opiacés compensent ou masquent bien la dépression et ce qui est à craindre dans le cas d'Ofée est la conjonction de sa dépression et de celle qui suit un sevrage à la Cold Turkey (ce qui lui arrive).
Ofée, saches que ce que tu vis est logique et que les troubles du sommeil durent un certain temps après l'arrêt des opiacés.
Bon courage et restes avec nous, tu vois que les autres s'intéressent à ton histoire et c'est précieux. Je crios fermement aux vertus du dialogue à travers ce forum, surtout pendant les passages délicats. Cela remplace parfois bien des pilules.
Amicalement
Fil
Bonjour Fil !
Oui vos message sont réconfortants ! Surtout c'est important de se sentir compris.
Effectivement je ne me suis pas amourachée de la codé pour le côté récréatif. Ma conso récréative date d'il y a quelques années et c'était pas avec des médocs ! ^^
En fait en y réfléchissant j'ai toujours aimé ce qui était dopant. Que ce soit la guarana, le goji, la coke, les amphé, ou même le redbull, j'ai toujours été sensible a ce genre de produits ! Le problème est que je suis hypersensible et empathique et je ne supportais pas les descentes de ces produits... le fait de se retrouver fatigué, faible...
Lorsqu'est né mon premier enfant, ça s'est très mal passé... j'ai failli y laisser la vie, et mon fils aussi...
J'ai eu une enfance difficile, une maman dépressive, suicidaire, un beau père skyzo et violent... j'ai perdu mon papa et mon grand père a un mois d'intervalle et on m'a menti sur mon enfance toute ma vie. Du coup j'ai eu peur. Peur de ne pas être a la hauteur. Peur d'être une mauvaise maman. Du coup dépression post natale et j'ai réussi a en parler a un médecin alors que mon fils avait passé sa première année... dur dur ! Suivi psy, AD, et léger anxio pour le soir.
Mais avec tout ça j'étais fatiguée. Parce que je garde mon fils, et en parallèle, je m'occupe de la maison, je suis illustratrice et apprentie tatoueuse autodidacte depuis quelques mois...
Et suite a de gros problèmes de dents et de migraines, le médecin me met sous codé.
Youpi ! Dès que mon fils s'endort, j'ai assez d'énergie pour astiquer la maison et faire pleins d'illustrations. Je gère tout ! Je suis productive tout en étant zen, positive. Une maman qui déchiiiiiiire ! Pendant un moment, je me suis dit que cette petite codé pourrait remplacer mon AD et mon anxio. Un petit cachet pour remplacer tous les autres...
Mais je pense aussi que j'ai bien fait d'arrêter car tout cela n'était du qu'au médoc. Au fond de moi je suis toujours fragile...
Voila, désolé pour le roman...
Mais ça fait du bien de l'écrire.
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filousky a écrit
Comme tu l'expliques bien, tu ne prennais pas ta codéine pour être défoncée, mais pour fonctionner. Si nos addictologues pouvaient inclure dans leur discours le déficit en endorphines chez certains, cela déculpabiliserait pas mal d'opiacés dépendants.
On en a besoin pour vivre est un argument qui correspond à une réalité.
Amitiés
Fil
Ps : Ce que tu écris devrait bien être compris par ton compagnon si lui trouve son équilibre avec la méthadone.
Du coup est-ce que tu veux dire que pour trouver ton équilibre psy tu avais besoin de ces opiacés ? Et c'est toujours le cas avec la métha ?
Oui je "fonctionnais bien" avec ce médicament... mieux que maintenant, mieux qu'avant.
Mais du coup, est-ce que je dois apprendre a gérer mes responsabilités seule ? Quitte a accepter mes faiblesses ?
Ou est-ce que je peux prétendre avoir besoin du dicodin pour tout gérer ?
J'ai eu la franchise naïve de dire a mon médecin que je me sentais bien avec le dicodin, j'ai même demandé a baisser mon AD et mon anxio pour ça ! Et sa réaction : ok je baisse mais pour le dicodin trop de risques de dépendance donc on va entamer un sevrage.
Mais j'ai choisi d'arrêter net...
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Ofée a écrit
Du coup est-ce que tu veux dire que pour trouver ton équilibre psy tu avais besoin de ces opiacés ? Et c'est toujours le cas avec la métha ?
Zut, j'ai effacé ma réponse.
En gros, Oui ! Pour trouver enfin mon équilibre, celui que j'ai depuis 10 ans au moins, j'avais besoin d'opiacé et donc de méthadone, l'héroïne médicale n'étant pas disponible en France.
Ofée a écrit
Oui je "fonctionnais bien" avec ce médicament... mieux que maintenant, mieux qu'avant.
Mais du coup, est-ce que je dois apprendre a gérer mes responsabilités seule ? Quitte a accepter mes faiblesses ?
Ou est-ce que je peux prétendre avoir besoin du dicodin pour tout gérer ?
Oui, tu dois apprendre cela, surtout à accepter tes faiblesses. C'est une des première étapes vers le mieux être que d'accepter ses faiblesses. Ça rend plus fort.
Tu peux aussi prétendre avoir besoin du Dicodin® pour fonctionner, c'est tout à fait ton droit. C'est toi qui vit dans ton corps et qui ressens ce qui est bon ou mauvais, pas le toubib.
Ofée a écrit
J'ai eu la franchise naïve de dire a mon médecin que je me sentais bien avec le dicodin, j'ai même demandé a baisser mon AD et mon anxio pour ça ! Et sa réaction : ok je baisse mais pour le dicodin trop de risques de dépendance donc on va entamer un sevrage.
Mais j'ai choisi d'arrêter net...
Par ailleurs, je respecte totalement ton choix d'arrêter net et te souhaite de réussir, puisque c'est ton objectif. Mon propos a pour but de te déculpabiliser vis à vis de ce besoin et de te donner une voie si ce que tu fais actuellement ne t'es plus supportable.
Mais dans ton cas, il te faut consulter un addictologue dans un centre spécialisé car les médecins généralistes ne sont "formés" ni en addictologie, ni en psychiatrie (les angoisses, maniement des AD et des anxiolytiques, compréhesion des phénomènes de manque et de la difficulté des sevrages).
Pas que je traite ton médecin d'ignare, mais le réflexe "sevrage", montre qu'il n'est pas forcément au fait des savoirs en addictologie.
Amicalement
Fil
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filousky a écrit
La dépendance à la codéine est puissante et bien plus sournoise que vous ne le croyez. Cela ne peut pas se résumer à la durée et au dosage, ce serait chouette mais c'est une histoire bien plus globale que cela.
Juste pour éviter les malentendus, je suis évidemment conscient que ça ne se résume pas qu'à ça. Je suis très bien placé pour le savoir, puisque 90% de ma conso d'opi sur ces années, c'était à la fois de l'auto-médication, et également pour être performant au quotidien. Et par "performant", je ne veux pas juste dire "ne pas être en manque", c'est un gain d'énergie, une levée des inhibitions salutaires dans mon cas, une amélioration des interactions sociales, etc ...
Les conso "défonce" c'était soit au début, soit avec un autre produit (plus fort) que ce que les anglophone appellent ma DOC (drug of choice), qui est le tramadol, et que je consomme toujours pour les raisons que j'ai cité plus haut.
Je n'ai absolument pas suggéré que le déroulement du sevrage dépendrait uniquement du dosage et de l’ancienneté de la conso. Dans mes deux post, j'ai, justement, lourdement insisté sur l'impact psychologique, notamment sur l'humeur, étant donné le terrain anxio-depressif d'Ofée.
Mais ce serait injuste d'affirmer que le fait que la consommation d'Ofée soit plutôt "raisonnable", n'est pas un élément encourageant pour le déroulement du sevrage. Si elle était à 120 de méthadone, tout le monde lui sauterait dessus pour l’empêcher de faire ce cold turkey, je pense. Alors que dans le cas présent, son choix et ses objectifs ne sont pas irréalistes à mon sens.
D'ailleurs, dans ton témoignage, tu précises, à juste titre, que tu as pris de la codéine pendant quatre ans (que tu assimiles à un TSO, donc je suppose qu'il y a eu une consommation peut être plus lourde derrière ?). C'est quand même un facteur à ne pas négliger selon moi.
Ensuite, histoire d'être précis ; pour ce qui est du dosage du Dicodin, la boite annonce 60 mg par comprimé, ce qui correspond à 40 mg de dihydrocodéine base (puisque sous forme tartrate), donc 80mg par jour pour Ofée. Le facteur de conversion DHC/codéine est d'un demi il me semble, ce qui correspondrait grosso modo à 160 mg de codéine par jour. Le dicodin est sous forme LP, ce qui est important à prendre en compte, tout comme le fractionnement en deux prises par jour.
Dans ces conditions, il est difficile de parler d'usage récréatif, on le ressent d'emblée dans les propos d'Ofée, et dans son mode de consommation. C'est en ce sens que je l'incite à se pencher sur ce que lui apportent les opiacés, ce qu'elle cherche à soigner. Et je pense qu'Ofée à une bonne partie de la réponse à cette question, étant donné son traitement, et ça se ressent assez dans ses propos .
PS: désolé de parler de toi à la troisième personne, Ofée, je répondais à Fil, qui, au passage, apporte des pistes de réflexion très pertinentes, et intéressantes puisqu'il a l'expérience et le recul, ce que je n'ai pas. (Je ne suis ni grand père, ni père )
PS2 : J'ai peut-être une approche trop pragmatique du problème, ça vient de ma formation et de mon caractère. C'est pour ça que l'échange avec différents forumeurs est forcément enrichissante. Encore une fois, je t'adresse mon soutien et mes encouragements Ofée. N'hésite pas à nous demander quoi que ce soit, il n'y a aucun tabou ici.
YLT
Dernière modification par YourLatestTrick (17 juin 2014 à 15:38)
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filousky a écrit
Oui, tu dois apprendre cela, surtout à accepter tes faiblesses. C'est une des première étapes vers le mieux être que d'accepter ses faiblesses. Ça rend plus fort.
"Tout ce qui ne tue pas nous rend plus fort"
Oui, apprendre à vivre et à accepter le fait qu'être une bonne maman ne veut pas forcément dire "une maman superwoman" ce sera le plus gros des challenges.
Je me rappelle d'un épisode de Desperate Housewives (oh la la c'est quoi cette référence... ) une des mamans se met à piquer la Ritalin de ses gamins pour assurer sauf qu'elle finit par perdre le sommeil et son organisme en prend un coup. Du coup elle décide d'arrêter. Ou plus en rapport avec la réalité, toutes ces mères qui finissent shootées au crystal meth aux Etats Unis... La réalité est telle que la société et les médias nous bombardent d'images de mères aux corps de mannequins qui font le ménage, la popote et s'occupe des gamins le tout avec le sourire. Elles prennent quoi ces mère là ?
Enfin... tout ça pour dire que j'ai aussi un déménagement à gérer en ce moment, en plus du reste... On déménage le 12 juillet.
Je me demande si j'aurais pas du attendre un petit mois de plus avant d'arrêter... histoire de gérer tout cela, avec le fameux sourire...
J'espère que les compléments en vitamines vont m'aider à avoir plus de pêche... c'est ce qui me fera oublier la codé petit à petit...
filousky a écrit
Par ailleurs, je respecte totalement ton choix d'arrêter net et te souhaite de réussir, puisque c'est ton objectif. Mon propos a pour but de te déculpabiliser vis à vis de ce besoin et de te donner une voie si ce que tu fais actuellement ne t'es plus supportable.
Mais dans ton cas, il te faut consulter un addictologue dans un centre spécialisé car les médecins généralistes ne sont "formés" ni en addictologie, ni en psychiatrie (les angoisses, maniement des AD et des anxiolytiques, compréhesion des phénomènes de manque et de la difficulté des sevrages).
Pas que je traite ton médecin d'ignare, mais le réflexe "sevrage", montre qu'il n'est pas forcément au fait des savoirs en addictologie.
Amicalement
Fil
ça va... je sens que les symptômes physiques s'atténuent petit à petit. Moins de douleurs. Toujours les toilettes pour l'instant mais bon, c'est gérable.
Par contre retour des migraines...
Ya que l'atarax qui me les calme... mais l'atarax m'endort ! Donc j'en reviens à mon problème de fatigue générale...
En tout cas merci pour les encouragements.
YourLatestTrick a écrit
Dans ces conditions, il est difficile de parler d'usage récréatif, on le ressent d'emblée dans les propos d'Ofée, et dans son mode de consommation. C'est en ce sens que je l'incite à se pencher sur ce que lui apportent les opiacés, ce qu'elle cherche à soigner. Et je pense qu'Ofée à une bonne partie de la réponse à cette question, étant donné son traitement, et ça se ressent assez dans ses propos .
PS: désolé de parler de toi à la troisième personne, Ofée, je répondais à Fil, qui, au passage, apporte des pistes de réflexion très pertinentes, et intéressantes puisqu'il a l'expérience et le recul, ce que je n'ai pas. (Je ne suis ni grand père, ni père smile )
Pas de soucis, je comprends. Oui tous les témoignages sont bon et je suis contente d'avoir sauté le pas et d'avoir posté ici. Au départ j'avais honte parce que je me disais que ma dose était ridicule, comparé à des années de cachetons ou d'héro... mais là ça va mieux.
Petite conso, petit sevrage, on s'en fiche un peu... on est tous là parce qu'on a du mal à apprécier la vie telle qu'elle est. Parce qu'on a besoin de béquilles pour avancer...
Sur ce je vais essayer de dessiner un peu...
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Ofée a écrit
Petite conso, petit sevrage, on s'en fiche un peu... on est tous là parce qu'on a du mal à apprécier la vie telle qu'elle est. Parce qu'on a besoin de béquilles pour avancer...
Sur ce je vais essayer de dessiner un peu...
Tu as compris le plus important. Les dosages élevés de certains ne sont que la conséquence des propriétés des opiacés, notamment la tolérance et la dépendance. Mais à la base, pour la plupart des utilisateurs, les opi "soignent" le corps, l'esprit, ou les deux. D'ailleurs on peut mener une vie absolument normale sous TSO, et même, d'après certains témoignages que j'ai lu, retrouver un équilibre et le bonheur.
Pour parler un peu de moi, j'ai été dépendant à plusieurs produits, ce qui a eu un impact sur ma vie. Avec le recul, j'ai un peu de colère envers moi même, et, de manière un peu bête, envers certains produits. Et par exemple, j'ai largement plus souffert de ma consommation de benzos, qui ne m'ont presque rien apporté de positif, que de ma conso d'opiacés, qui, malgré des sevrages vraiment invivables, m'ont apporté énormément, et m'ont beaucoup aidé. C'est un fait, j'aime les opiacés. Comme tu le vois dans mes propos, la dépendance psychologique est totale pour moi, après des années. Pour toi, même si tu admets les bénéfices que t'a apporté ta consommation, on ressent tout de même ta méfiance, et ta peur du produit. C'est également un point encourageant selon moi.
Je me répète surement, mais je suis persuadé que tu sauras retrouver, ailleurs, ce que t'apportaient les opiacés. Je parle de ton traitement de fond, mais évidemment de tout le reste. De tout ce qui te donne le plaisir de vivre. Pendant mes sevrages, par exemple, je me mettais les doigts en sang sur ma guitare. ça me soulageait pendant quelques heures. Il faut appliquer ça pour le long terme maintenant. Je lis que tu dessines, c'est exactement la bonne attitude à avoir, si c'est une activité épanouissante pour toi .
YLT
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Dernière modification par BASE95 (18 juin 2014 à 00:20)
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Dernière modification par prescripteur (18 juin 2014 à 13:37)
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