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Dernière modification par Kevin (06 juillet 2014 à 10:35)
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Dernière modification par Kevin (06 juillet 2014 à 16:36)
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La quétiapine (XEROQUEL) appartient à la famille de neuroleptiques atypiques. Il a une indication dans le traitement des états dépressifs majeurs, en complément d'un antidépresseur lorsque celui-ci ne permet pas un soulagement suffisant. Il présente des effets indésirables tels que somnolence, prise de poids, mouvements involontaires. Son intérêt dans le traitement de la dépression est encore mal défini.
http://www.eurekasante.fr/maladies/psyc … edicaments
Amicalement
Dernière modification par TomA (06 juillet 2014 à 17:06)
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Dernière modification par Kevin (06 juillet 2014 à 17:22)
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wealldead a écrit
Dommage qu'on ne puisse citer qu'un message
Petit HS d'aide : tu peux en citer autant que tu veux. Une fois que tu as le premier cité dans ton bloc texte, tu le copies et tu fais citer sur un deuxième qui appartaît à la place du premier dans le bloc de saisie. Tu cliques en fin et tu colles le premier en mémoire = tu as fait deux citations. Tu le fais autant de fois que tu veux et ainsi tu peux citer ce que tu veux.
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filousky a écrit
wealldead a écrit
Dommage qu'on ne puisse citer qu'un message
Petit HS d'aide : tu peux en citer autant que tu veux. Une fois que tu as le premier cité dans ton bloc texte, tu le copies et tu fais citer sur un deuxième qui appartaît à la place du premier dans le bloc de saisie. Tu cliques en fin et tu colles le premier en mémoire = tu as fait deux citations. Tu le fais autant de fois que tu veux et ainsi tu peux citer ce que tu veux.
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Merci :)
prescripteur a écrit
Wealldead, il faut bien noter que ta pratique te fait friser les complications (syndrome seroto notamment) et n'est PAS à conseiller, même si elle a marché chez toi.
Pour les neurotransmetteurs , ils constituent un moyen d'expliquer les effets mais la complexité de la chimie cérébrale ne permet pas des explications simplistes. Donc méfiance. L'effet ne se limite pas à un effet simple sur un recepteur., rien que pour la serotonine il en existe 7 principaux.
Prescrire (la revue) vient de rappeler que la pregabaline et la gabapentine ont des effets secondaires hépatiques et hématologiques et ne doivent pas être donnés de façon banale.
Amicalement
Je comprends, et je ne veux plus prendre aucuns risques.
C'est complexe et passionant mais je ne dispose pas d'une formation scientifique nécessaire pour donner un sens à ce brouillon de connaissance.
Actuellement sans vrai medecins, je recherche sur paris, un psychiatre qui sait ce qu'il prescrit et qui a une bonne connaissance des medicaments.
J'ai abandonné l'idée de psycholterapie, car je suis persuadé que le "changement" ne peut que se faire dans la jungle de la vie.
Merci
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wealldead a écrit
Toma avais tu essayé le lithium ?
Non. Je n'ai jamais essayé, mais entendu parler.
Le Téralithe (Lithium) est un traitement "lourd" quand même, pas anodin !
À dose élevée, il interfère avec de nombreux autres médicaments.
http://www.lecrat.org/article.php3?id_article=360
Le Depakote est moins contraignant, et est aussi un thymorégulateur (et potentialise l'action du Xeroquel).
Amicalement
Dernière modification par TomA (20 juillet 2014 à 02:20)
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wealldead a écrit
ca me fait penser à un psy qui m'a diagnostiqué bipolaire et prescris theralithe 5 minutes après la première et dernière consultation... Je ne l'ai jamais pris.
Moi c'est pareil. Sauf que c'était un autre truc que j'ai arrêté, puis du Tercian ( neuroleptique ). Alors que même si j'ai du mal avec mes émotions, à ce jour rien ne prouve vraiment que je suis bipolaire, on m'a toujours sorti ça sans me faire faire aucune analyse ni rien.
Ce que tu dis Niglo ne m'étonne pas non plus, quoique pour diagnostiquer schyzo comme ça à 12 piges tu es vraiment tombé sur un cas particulièrement spécial, c'est moins fréquent... La bipolarité en revanche ils aiment bien, les psys comme les gens en général, c'est à la mode. Alors que la bipolarité ça demande normalement du temps à être vraiment poser comme diagnostique, tu peux pas savoir en une séance.
Dernière modification par Amaranthe (25 juillet 2014 à 21:30)
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Dernière modification par Amaranthe (26 juillet 2014 à 00:29)
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TomA a écrit
wealldead a écrit
Toma avais tu essayé le lithium ?
Non. Je n'ai jamais essayé, mais entendu parler.
Le Téralithe (Lithium) est un traitement "lourd" quand même, pas anodin !
À dose élevée, il interfère avec de nombreux autres médicaments.
http://www.lecrat.org/article.php3?id_article=360
Le Depakote est moins contraignant, et est aussi un thymorégulateur (et potentialise l'action du Xeroquel).
Amicalement
SUrtout, qu'aucuns autres medecins ne m'a diagnostiqué bipo, alors qu'ils me voient depuis des mois...
Aujourd'hui je ne prends plus rien depuis depuis 1semaine et demi(arret de marsilid,), et je ne vais pas plus mal....
je compte nexter sur athymil(miansérine).
Cependant toma, je pense de + en + à ton traitement qui me séduit car j'ai lu par si par là que les antiepileptiques tel que depakote recapturer le gaba (comme l'alcool depresseur du systeme nerveux central) tout en ionisant les canaux(un truc du genre)et si il est en + couplé à un N.L atypique qui sert d'"anxyolitique", j'imagine qu'ils peuvent desinhiber un grand anxieux(hyper reflexe, peur constante etc..) et timide comme moi !
Par ailleurs, toma comment as tu commencer le traitement ? les deux en meme temps ou se fut progressif ?
Merci.
Dernière modification par wealldead (29 juillet 2014 à 23:46)
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wealldead a écrit
Cependant toma, je pense de + en + à ton traitement qui me séduit car j'ai lu par si par là que les antiepileptiques tel que depakote recapturer le gaba (comme l'alcool depresseur du systeme nerveux central) tout en ionisant les canaux(un truc du genre)et si il est en + couplé à un N.L atypique qui sert d'"anxyolitique", j'imagine qu'ils peuvent desinhiber un grand anxieux(hyper reflexe, peur constante etc..) et timide comme moi !
L'anxiété est un processus complexe, qui dépend de nombreux facteurs, et qui s'inscrit dans une problématique psychiatrique, mais aussi psychologique et sociale ; pour te dire que les médicaments, seuls, ne suffisent pas.
Ce n'est pas ton taf de lire X fois le VIDAL, mais celui de ton médecin !
Ton inhibition, il faut essayer de la comprendre !!
Ce n'est pas en te "shootant" à mort, avec des neuroleptiques, que tu vas ressentir un mieux être !
Ce n'est pas en "ionisant [tes] canaux" ou autre, que tu vas être débarrassé de ta timidité ! --'
Les tranquillisants ne sont pas la seule réponse à l'anxiété : une meilleure hygiène de vie, une consommation modérée d'excitants (y compris les boissons alcoolisées) permettent aussi de lutter efficacement contre l'excès de stress. Dans certains cas, une psychothérapie peut aider à lutter durablement contre l'anxiété.
wealldead a écrit
Par ailleurs, toma comment as tu commencer le traitement ? les deux en meme temps ou se fut progressif ?
J'ai commencé par le XQL 50 mg (3 jours) puis 100, 150, 300, 400, 600, 800 mg.
On m'a proposé le DPK, plus de 6 mois après le XQL.
Le Propranolol, plus récemment encore.
En espérant ne pas t'avoir offensé.
Amicalement
Dernière modification par TomA (30 juillet 2014 à 16:51)
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TomA a écrit
wealldead a écrit
Cependant toma, je pense de + en + à ton traitement qui me séduit car j'ai lu par si par là que les antiepileptiques tel que depakote recapturer le gaba (comme l'alcool depresseur du systeme nerveux central) tout en ionisant les canaux(un truc du genre)et si il est en + couplé à un N.L atypique qui sert d'"anxyolitique", j'imagine qu'ils peuvent desinhiber un grand anxieux(hyper reflexe, peur constante etc..) et timide comme moi !
L'anxiété est un processus complexe, qui dépend de nombreux facteurs, et qui s'inscrit dans une problématique psychiatrique, mais aussi psychologique et sociale ; pour te dire que les médicaments, seuls, ne suffisent pas.
Ce n'est pas ton taf de lire X fois le VIDAL, mais celui de ton médecin !
Ton inhibition, il faut essayer de la comprendre !!
Ce n'est pas en te "shootant" à mort, avec des neuroleptiques, que tu vas ressentir un mieux être !
Ce n'est pas en "ionisant [tes] canaux" ou autre, que tu vas être débarrassé de ta timidité ! --'Les tranquillisants ne sont pas la seule réponse à l'anxiété : une meilleure hygiène de vie, une consommation modérée d'excitants (y compris les boissons alcoolisées) permettent aussi de lutter efficacement contre l'excès de stress. Dans certains cas, une psychothérapie peut aider à lutter durablement contre l'anxiété.
wealldead a écrit
Par ailleurs, toma comment as tu commencer le traitement ? les deux en meme temps ou se fut progressif ?
J'ai commencé par le XQL 50 mg (3 jours) puis 100, 150, 300, 400, 600, 800 mg.
On m'a proposé le DPK, plus de 6 mois après le XQL.
Le Propranolol, plus récemment encore.
En espérant ne pas t'avoir offensé.
Amicalement
J'ai l'impression que justement, je me tape leurs boulots, car ils ne prennent pas le temps ou bien balayent d'un revers mes suggestions, par exemple la presentation de ton traitement à ma psy.
Elle se contente de repeter le disque avec des on ne prend pas la meme chose que ces petits camarades bla bla... car ce ne sont pas les memes INDICATIONS, alors que les indications varient selon les tendances.
Enfin, bref de parler à un medecin ne m'apporte pas + d'infos que de lire une notice...
Je suis désolé mais la parole pour certains ne sert pas à grands choses, je comprends les sources de mon inhibition mais il me faudrait une vie entière pour la résoudre.
Certes les médicaments ne guérissent rien, la plupart du temps ils ne font que masquer la maladie mais ne peuvent pas la guérir. C'est un fait.
Est-ce que, pour autant, la parole est vraiment la solution la plus efficace ? Je ne crois pas. En tout cas, les pathologies psychiatriques les plus graves ne peuvent pas être soignées que par la parole car en autre mon anxiété je souffre de nombreux TOC's et obsessions qui me fatiguent et m'inhibent tjrs +.
TU dis que ce n'est pas en me shootant, que je vais ressentir un mieux etre : j'en suis conscient mais justement cela me permettrait si je ressentais la baisse de l'anxiété comme l'alcool le fait, "d'arranger" ma vie sociale.
Je recherche à soulager cette anxiété pour "survivre" et pouvoir ECOUTER les paroles du psy et ne pas simplement les entendre comme ce que je fais actuellement...
Nan, tu ne m'as pas offensé, tu dis ce que tu penses :)
Mais sans indiscretion c'est dans quel indication qu'on te les prescrit ?
Merci.
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wealldead a écrit
Est-ce que, pour autant, la parole est vraiment la solution la plus efficace ? Je ne crois pas. En tout cas, les pathologies psychiatriques les plus graves ne peuvent pas être soignées que par la parole car en autre mon anxiété je souffre de nombreux TOC's et obsessions qui me fatiguent et m'inhibent tjrs +.
TU dis que ce n'est pas en me shootant, que je vais ressentir un mieux etre : j'en suis conscient mais justement cela me permettrait si je ressentais la baisse de l'anxiété comme l'alcool le fait, "d'arranger" ma vie sociale.
Je recherche à soulager cette anxiété pour "survivre" et pouvoir ECOUTER les paroles du psy et ne pas simplement les entendre comme ce que je fais actuellement...
Ce n'est pas uniquement la parole qui aide à s'en sortir, mais la socialisation au long terme, en gros faut s'exprimer le plus possible quand tu flippes.
Plus tu es seul plus tu penses, et plus tu penses plus tu flippes donc plus tu vas mal. Que tu relâches la pression devant un psy ça fait du bien, mais c'est ponctuel, alors que vivre avec du monde en permanence, ça permet de t'oublier et de ne plus te subir.
Pareil j'ai toujours eu des tics et j'ai toujours été anxieux, et je sais que plus je reste seul et ne me livre pas aux autres, plus je développe des phobies via ma pensée, la logique du pire s'empare de moi, je vois le mal partout et l'émotion gagne le dessus jusqu'à m'empêcher de me sentir bien...en fait c'est comme si je culpabilisais de me sentir bien.
En groupe je pense moins donc je flippe moins, et ça jusqu'à en oublier que j'ai des phobies. C'est vraiment au moment où je me retrouve seul et que je retrouve mon état de fonctionnement mental interne que je me remet à construire des peurs inconscientes puis conscientes qui n'ont pas lieux d'être.
En fait, avant que je ne les connaisse je les subissais malgré moi sans m'en rendre compte, mais maintenant que je connais mes peurs (qui sont récurrentes faut le dire), je ne vois plus de raison de flipper, mon esprit construit des peurs pour s'occuper où chepa quoi d'autre, donc à moi de les déconstruire...et à ce niveau là je n'ai personnellement pas besoin de médicament parce que je sais qu'en prendre me donnerait raison d'avoir peur, ça serait justifier mes angoisses et leur donner libre cours pour infiltrer mes pensées.
Dernière modification par Laura Zerty (30 juillet 2014 à 18:38)
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wealldead a écrit
Elle se contente de repeter le disque avec des on ne prend pas la meme chose que ces petits camarades bla bla...
wealldead a écrit
Enfin, bref de parler à un medecin ne m'apporte pas + d'infos que de lire une notice.
Ce n'est qu'une impression, mais elle ne me semble pas vraiment à ton écoute, c'est la moindre des choses que de se préoccuper de TES préoccupations, en tant que thérapeute !
wealldead a écrit
Je suis désolé mais la parole pour certains ne sert pas à grands choses, je comprends les sources de mon inhibition mais il me faudrait une vie entière pour la résoudre.
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi, d'une part parce que la psychanalyse n'est pas la seule thérapie (ex "psychologie humaniste") et d'autre part parce que cela fait du bien de parler à quelqu'un.
Qui est à ton écoute, ne te juge pas, t'aide à réfléchir. Tout simplement ! :)
wealldead a écrit
Est-ce que, pour autant, la parole est vraiment la solution la plus efficace ? Je ne crois pas. En tout cas, les pathologies psychiatriques les plus graves ne peuvent pas être soignées que par la parole car en autre mon anxiété je souffre de nombreux TOC's et obsessions qui me fatiguent et m'inhibent tjrs +.
Je vais me répéter (mais, c'est pas grave) : la "parole" n'est pas synonyme de "psychanalyse" il existe d'autres approches, comme dit plus haut.
La psychanalyse est en effet remise en question quant à son efficacité dans l'accompagnement des personnes souffrant de pathologies psychotiques comme le trouble bipolaire ou la schizophrénie.
Pour certains (beaucoup), la médication est un passage obligatoire (quand les troubles ne permettent pas à l'individu de vivre en société sans porter atteinte à sa santé mentale).
wealldead a écrit
Je recherche à soulager cette anxiété pour "survivre" et pouvoir ECOUTER les paroles du psy et ne pas simplement les entendre comme ce que je fais actuellement.
Je comprends. D'ailleurs cela me fait vraiment pensé à moi ! :)
Je voulais me faire prescrire tel ou tel médicament, en pensant que j'étais le seul capable de comprendre mes fragilités et donc le seul à pouvoir déterminer le traitement optimal.
Mais, on n'a pas voulu me prescrire ce que je voulais.
Ce qui est NORMAL !! Un psychiatre ne se laisse pas balader par ses patients, c'est à lui de faire la prescription par rapport à ses impressions propres.
Du coup, dans l'impasse et face à l'incompréhension de cette p**e, j'ai décidé de me prescrire moi-même mes médicaments, en confectionnant de fausses ordonnances.
En un peu plus de 6 mois, j'avais confectionné 15 ordonnances, visité 17 pharmacies et récupéré 45 boîtes de médicaments.
C'était une sorte d'appel à l'aide, pour dire :
- Je suis vraiment mal et, seul, je suis condamné.
Un appel à l'aide qui fut entendu, parce que j'avais développé une dépendance au Valium. --'
Sevrage de 1 mois en HP + 2 mois supplémentaire.
Ce n'est que 6 mois plus tard que je me retrouve aujourd'hui vraiment écouté !
- Pourquoi ?
J'assume. Et c'est en assumant que j'ai appris à exprimer mon mal-être à la hauteur à laquelle je veux qu'il soit entendu.
Il n'y a pas à réfléchir. Quand on est mal il faut être convaincant, à l'oral.
C'est la seule façon d'être vraiment écouté.
Quitte à faire un peu de "catastrophisme" et à en rajouter !
wealldead a écrit
Mais sans indiscretion c'est dans quel indication qu'on te les prescrit ?
Les indications c'est de la théorie. On me le prescrit parce que j'en ai besoin et que cela me soulage !
Si tu veux encore des informations théoriques précises (on sait tous que tu adores ! :p) on peut me mettre dans la case : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_ … eux-graves.
Puis on se questionne aussi sur une éventuelle bipolarité.
En espérant t'avoir apporté de l'aide.
TomA
Dernière modification par TomA (30 juillet 2014 à 19:41)
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TomA a écrit
J'assume. Et c'est en assumant que j'ai appris à exprimer mon mal-être à la hauteur à laquelle je veux qu'il soit entendu.
C'est carrément ça, plus t'assume moins tu cherches à masquer les choses ! et dans ces moments là la parole est vraiment bénéfique parce qu'on s'y retrouve vraiment, et on se sent en accord avec soi même.
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