[ Santé ]

Question sur l overdose.

Merci pour ta réponse !

hors je ne cherche pas à  savoir comment réagir face à  une od ça je sais mais je me demande si on souffre pendant l.od ou pas?
Et éventuellement qu'elles sont les étapes d une od jusqu'à  la mort.

Quand aux raisons de mon.poste c'est à  titre indicatif et privé.

Quand aux références cinématographiques concernant tout ça, je doute que les films reflètent concrètement la réalité.

Merci quand.même pour ta réponse.

J'espère en.avoir d autres plus precises sur le mmécanisme de l od,  la souffrance ou.non, et si on est conscient ou si on est " ds les pommes" etc.

Merci d avance.

DcD

Merci niglo pour cette réponse, enfait j'ai une personne de mon.entourage qui est morte d une od et donc c'est pour ça que je me pose ces questions, si.elle.à  souffert, et si.justement elle était consciente ou inconsciente de ce qu'il se passait...

Visiblement ça aurait été avec une surdose de metha plus surdose d anxyo, somnifères et alcool.

Voilà  pourquoi ces questions.... Besoin.de réponses car ça me perturbe cette histoire.

Salut a toi, si tu pense que tes questions sont "dérangeante" sa dépend le but qu'auront les réponses ... Si c'est pour tenter de te suicider sans douleurs, oui personnellement sa me dérangerais, mais si c'est pour connaitre les risques et/ou pouvoir savoir quand quelqu'un qui t'entoure risque d'en faire ou va en faire sous peu, et que tes réflexes lui sauvent la vie, sa ne peux déranger ou choquer personne !!

Je vais te répondre pour le seul type d'OD que j'ai vu de mes yeux, par un amis (pas vraiment proche).

Tout d'abord, je doit te dire que c'est un épisode qui m'a fait beaucoup de mal, m'a perturbé, et m'a fait ce qui reste comme la plus grande peur de TOUTE ma vie. Un ami n'était pas bien sur le canap' depuis 20 minutes, tout le monde a déjà  connu une petite surdose, et on c'est tous dit que sa allait passer, comme sa nous était déjà  passé a nous. Mais je le voyais vraiment trop blanc, tremblant et qu'a moitier conscient, j'ai eu le préssentiment qu'il allait crever. Les autres a coté, bien trop occupé a profiter de leurs défonce, ne lui ont preter (presque) aucune attention. Je lui ai ramené un linge humide et froid, car il était vraiment bouillant, mais sa ne pouvais rien changer ... Quelques minute plus tard, il me fait un arret respiratoire avec coma, je cri pour alerter les autres, je n'ai aucune idée de ce qu'il faut faire dans ces cas la a par des vieux souvenir de ce qu'on a pu m'expliquer quand j'avais 6 ans peut etre,seul deux personne sur les quatre m'ont aidé a le déplacer par terre, les autres n'ont pas bougé. Direct je lui ouvre la bouche, je tire sa langue qui peut etre avait pu l'étouffer, je lui pince le nez et lui souffle de l'air jusqu'à  ce que sa poitrine gonfle, en reprennant ma respiration je voyais son torse se dégonfler tout en sentant l'air sortir de sa bouche, mais pas naturellement ... j'ai continué, en passant par ce qui me faisait le plus peur, le massage ... J'avais déjà  entendu parlé que certaines personne avaient cassé le sternum des gens qu'ils essayaient de sauver, et je ne voulais pas etre tenu pour responsable de sa mort, tu sait sur le coup tu pense a des trucs chelou comme sa ... en alternant bouche a bouche et massage, c'est en plein massage que je l'ai senti re-respirer, mais il était encore dans le coma. La, le gros coup de panique, PERSONNE n'a appelé les secours, trop de panique et de tension, je le met sur le coté, certainement pas en position latérale de sécurité, mais sa s'y raprochait, et la, d'après mon experience personnel, je savais qu'un shoot de coke surpassait la défonse a la came, et j'ai pris le risque de lui envoyer 0,075 g de coke en intra veineuse pendant que quelqu'un appelait les pompier. Je lui envoi, j'atend en gardant ma main sur sa jugulaire pour sentir son pou, au bout de 5/6 seconde, RIEN, au bout d'une 12ene de seconde, je sent ses battement de cœur augmenter de rythme, et par miracle il est revenu a lui (tout doucement) dans la foulée.
Il ne voulais pas aller a l'hôpital, les pompiers on du l'enmener de force, je n'ai meme pas eu le temps de lui dire que je lui avait mis un taquet de coke, j'ai juste pleuré en le serrant dans mes bras et en gueulant tu est vivant, tu est vivant, lui ne comprennait RIEN a ce qui avait pu se passer, et il était encore loin d'etre frais.
Le résultat de cette histoire, c'est que j'ai du batailler avec les pompiers pour ne pas qu'ils appellent les gendarmes, je me suis fait insulter de tout les noms car je l'ai fait sortir de son coma avec de la coke (inconscient, drogué, ect), tu notera que sur 5 "amis", il y en a deux qui sont parti pendant la réanimation sans meme qu'on s'en rende compte, et que c'est celui qui le connaissait le moin qui c'est le plus inquieté, et c'est débrouillé sans savoir comment faire, avec la peur de le tuer ou d'empirer son état. J'ai aussi arreté de me défoncer avec trop de monde, max 1 ou 2 VRAIS amis, avec qui on a appris les gestes de premiers secours (au cas ou)
Je ne te parle meme pas des cicatrices mentales de cette soirée, l'angoisse d'avoir des problèmes judiciaire suite a la drogue que je lui ai injecté, sa fait maintenant 4 ans, et je pleure toujours quand on m'en parle, car il faut vraiment le vivre pour comprendre les sentiments que sa dégage.
J'ai heureusement été félicité par celui qu'on a "sauvé", encore aujourd'hui il pense avoir une dette envers moi, perso j'aimerai arriver a oublier ce cauchemar ... Voila pour l'histoire, je ne veux ni critique, ni éloge, je tien juste a faire partager l'angoisse, la peur et les séquelles que sa laisse, meme avec un amis qui n'était pas très proche de moi ...
Pour répondre a tes autres questions, avant d'etre en coma, il s'est passé presque 30 minute a le voir blanc comme un cadavre, a trembler, transpirer, avoir des relant, donc oui tu souffre énormément avant de mourir en tout cas, lui a vraiment souffert !

Au niveau des OD avec d'autres drogues, je n'ai pas connu, a part une surdose de cocaïne (mais passage obligé avant l'OD) mon cœur c'est emballer, je sentait mon pou dans énormément de veines de la tete, j'était tout tremblant, et la, l'héroine n'a pas réussi a calmer ma surdose, j'ai éssayé de remplir le ventre pour tenter d'aténuer les effets a long therme et j'ai pris mon mal en patience pour que sa passe, et au bout de 30/40 minute sa allait mieu.

J'espere avoir pu t'aider, je te le répete, c'est un épisode plus que marquant dans une vie, et le seul conseil que je donnerai, a part gerer ses consos, c'est d'apprendre les gestes de premiers secours, appeler les pompier le plus vite possible, et surtout ne pas laisser la personne en OD seul sur un pallier, ou dans la rue pour ne pas avoir d'enmerde. Les pompier on beau eu etre con sur le coup, ils ont été compréhenssifs, et n'ont prévenu les gendarmes qu'a l'arrivé a l'hôpital de mon pote, ce qui nous a exclu de tout problème.

edit : waw, sa vien de me retourner de reparler de tout sa ...

Dernière modification par ceballosdelavega (26 août 2014 à  14:11)

Ne soit surtout pas désolé, je préfère que sa retourne des souvenirs que j'éssaye d'oublier en l'écrivant sur un forum, pour pouvoir informer les gens de la REALITE qu'est une OD sous héroïne, si sa peux motiver les gens a apprendre a pouvoir faire le maximum en cas de gros pépin, plutôt que juste ceder a la panique, et de baisser ses chances de survie.
Maintenant que c'est écrit, il n'y a qu'a faire un copier/coller pour le reposter a chaque personne qui se posera la question. Le coefficient mal/bienfait pour les autres, est largement favorable niveau bienfait, que le mal que sa peux me faire.
Mon pote n'a pas eu de séquelles physiques, mais passer si près de la mort, et voir deux de ses amis se faire la mal lui a permis de se poser les bonnes questions au bon moment, et meme si sa reste un souvenir douloureux pour chacun, il apprécie bien mieux la vie depuis, meme si je n'ai plus de contact avec lui a l'heure d'aujourd'hui.
Pour ton proche, je ne peux pas te dire, car chaque OD sous prod' est différent suivant les prod', et ce cocktail ne l'a pas forcément fait souffrir avant de partir.