Après un debut de Metha trop bas, une augment' : encore besoin +..
Publié par Celea,
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- Celea
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Bonjour,
Je vais essayer de ne pas faire trop fouilli... pardonnez moi sinon, c'est l'emotion du jour :)
Fin juin, après quelques semaines de sub pour arrêter la codeine/para que je prenais et pour laquelle je n'avais plus de limites car je l'éliminais.. je suppose tres vite : J'ai decidé d'aller dans un centre pour essayer la méthadone.
la bupre.. que dire ... ca me rendait bipolaire, enervée, instable, insomniaque, agressive mais j'avais pas mal aux jambes...
J'ai plus de 25 ans de polyto' derrière moi, pour moi, la metha : c'était une "barrière", une "drogue dure avec laquelle on traite les cas désespérés" comme me l'avais dit le 1er centre dans lequel je m’étais rendue en...1996 et qui avais refusé de mettre sous metha pour cette même raison..
Fin juin,j'ai donc débuté un traitement a 50 puis 60mg car j'etais vraiment trop mal et 50 ne me suffisait absolument pas. Depuis le debut, je lutte pour ne pas monter mais mon corps et ma tete ne sont pas d'accord ...
Je lutte parceque dans ma psycho, je ne voulais pas remplacer une came par une autre, meme si je sais que c'est médicalement suivi.
Ce qui m'arrive aujourd'hui c'est que : depuis que j'ai commencé la metha, meme si je suis sous dosée et que je le sais depuis le début et que je lutte pour ne pas monter trop le dosage : ben j'avoue que je revis :
Avec la metha : j'ai découvert ce que c’était de dormir une nuit (même sous dosée ) de ne plus etre presque bipolaire( sisi, la metha est le premier produit qui me rend normale
) et je peux presque sortir affronter le monde plusieurs fois par semaine :)
il y a trois semaines : ils ont du me remonter mon traiteent a 80mg car je ne supportait plus et j'avais tapé dans la réserve de la semaine..
Aujourd'hui : j'ai un gros problème c'est que je n'arrive plus a lutter du tout pour pas en prendre plus et depuis hier : je viens de faire le calcul et j'ai pris 140mg/j au lieu des 80, j'avais pas mal aux muscles, rien (sauf arthrose ou truc du genre mais rien a voir) j'avais juste besoin de "refaire le niveau"
Pas que j'ai envie d’être a l'ouest et d'ailleurs, je n'y suis pas du tout, je me sens juste enfin "normale" "bien dans mes baskets" et surtout : je n'ai plus d'envie de conso et c'est dur a expliquer mais avec 140 , je n'ai plus cette "rage" au corps que j'avais dormante encore, j'ai honte d'avoir débordée mais je me sens enfin bien bien depuis hier...
J'ai d'ailleurs :
- pris mes rdv chez le neurologue et le rhumato
- gerer un litige avec sfr et obtenu un dedomagement
- rempli des documents de recherche d'emploi
- bai....
Oui, car y'a quand même un hic pour moi avec la metha, e c'est un gros hic : depuis que j’étais passée sous metha, j'avais plus aucun desir/envie... rien.. calme plat et j’affrontais de moins en moins le monde extérieur, je commençai a ne plus gerer mes papiers..et j'avais une puta... de grosse envie de prendre de la coke... a en faire pleurer une statue...
Aujourd'hui : je me retrouve avec plus de metha (me reste 120 et je dois y retourner vendredi normalement au centre) J'ai bien vu le medecin hier, c'etait la deuxième fois, mais a part lui parler de mon gros hic de plus d'envie/de désir j'ai pas osé lui parle du fait que je voudrai encore augmenter mon traitement...Je me suis sentie mal a l'aise d' "etre obligee" de lui parler de ma sexualité car quand on est epanoui a ce niveau, le calme plat ça fait mal et ca fait peur... et je vais me retrouver célibataire a ce rythme la en plus a la fin j'imagine...
En fait : je voudrais faire un enfant, j'ai 37 ans et je me dis que faire un enfant sous metha : psychologiquement ce serai dur a gérer pour moi et du coup, je me dis que si je monte trop les doses : je ne pourrais pas faire d'enfants avant de les avoir diminué puis arrêtés et donc ca repousse mon desir d'enfant a..... la saint glinglin
Voila, la je suis perdue, plus de metha, mon centre n'est ouvert que le lundi/mercredi/vendredi et je suis perdue.. je ne sais pas si je dois arrêter la metha car même si ça me convient, ça va repousser mon désir d'enfant a je ne sais pas quand et en plus, je ne saurai même pas quoi leur dire pour qu'ils m'augmentent
(sachant que par contre, pour la première fois je me sens excellemment bien avec ce dosage, sereine, posée,éveillée et apte au combat de la vie)
Savoir si j’arrête certains jours et je ne leur dis rien et les jours ou j’arrête : j'en profite pour bai... touuuuttteee cette journée en prenant soit de la code, sois du sken.. ce que j'aurai..
soit je leur dis mais comment ? dire quoi?....
Voila, la je suis perdue, très decue car je viens de faire ce que je luttais depuis deux mois pour ne pas faire c'est a dire : me caler sur une dose confort mais haute ( en sachant que quand je voudrais arrêter, ils ont dis qu'ils me ferai descendre par 5mg donc ca risque d’être treeeessss treeeeess long avant de pouvoir faire des bébés...)
Je ne sais pas quoi faire, j'ai honte et je suis mal a l'aise, je sais pas comment gérer ce puta... de traitement et mes besoins d’être bien et d'avoir des enfants....si quelqu'un ayant de l’expérience la dedans pourrai m'aider , la je suis en mode panique je ne sais pas si je vais assumer le rdv de vendredi ..de toutes façons, il faut que je trouve des réponses avant car j'ai plus de metha
Help ?
Je vais essayer de ne pas faire trop fouilli... pardonnez moi sinon, c'est l'emotion du jour :)
Fin juin, après quelques semaines de sub pour arrêter la codeine/para que je prenais et pour laquelle je n'avais plus de limites car je l'éliminais.. je suppose tres vite : J'ai decidé d'aller dans un centre pour essayer la méthadone.
la bupre.. que dire ... ca me rendait bipolaire, enervée, instable, insomniaque, agressive mais j'avais pas mal aux jambes...
J'ai plus de 25 ans de polyto' derrière moi, pour moi, la metha : c'était une "barrière", une "drogue dure avec laquelle on traite les cas désespérés" comme me l'avais dit le 1er centre dans lequel je m’étais rendue en...1996 et qui avais refusé de mettre sous metha pour cette même raison..
Fin juin,j'ai donc débuté un traitement a 50 puis 60mg car j'etais vraiment trop mal et 50 ne me suffisait absolument pas. Depuis le debut, je lutte pour ne pas monter mais mon corps et ma tete ne sont pas d'accord ...
Je lutte parceque dans ma psycho, je ne voulais pas remplacer une came par une autre, meme si je sais que c'est médicalement suivi.
Ce qui m'arrive aujourd'hui c'est que : depuis que j'ai commencé la metha, meme si je suis sous dosée et que je le sais depuis le début et que je lutte pour ne pas monter trop le dosage : ben j'avoue que je revis :
Avec la metha : j'ai découvert ce que c’était de dormir une nuit (même sous dosée ) de ne plus etre presque bipolaire( sisi, la metha est le premier produit qui me rend normale
) et je peux presque sortir affronter le monde plusieurs fois par semaine :)il y a trois semaines : ils ont du me remonter mon traiteent a 80mg car je ne supportait plus et j'avais tapé dans la réserve de la semaine..
Aujourd'hui : j'ai un gros problème c'est que je n'arrive plus a lutter du tout pour pas en prendre plus et depuis hier : je viens de faire le calcul et j'ai pris 140mg/j au lieu des 80, j'avais pas mal aux muscles, rien (sauf arthrose ou truc du genre mais rien a voir) j'avais juste besoin de "refaire le niveau"
Pas que j'ai envie d’être a l'ouest et d'ailleurs, je n'y suis pas du tout, je me sens juste enfin "normale" "bien dans mes baskets" et surtout : je n'ai plus d'envie de conso et c'est dur a expliquer mais avec 140 , je n'ai plus cette "rage" au corps que j'avais dormante encore, j'ai honte d'avoir débordée mais je me sens enfin bien bien depuis hier...
J'ai d'ailleurs :
- pris mes rdv chez le neurologue et le rhumato
- gerer un litige avec sfr et obtenu un dedomagement
- rempli des documents de recherche d'emploi
- bai....
Oui, car y'a quand même un hic pour moi avec la metha, e c'est un gros hic : depuis que j’étais passée sous metha, j'avais plus aucun desir/envie... rien.. calme plat et j’affrontais de moins en moins le monde extérieur, je commençai a ne plus gerer mes papiers..et j'avais une puta... de grosse envie de prendre de la coke... a en faire pleurer une statue...
Aujourd'hui : je me retrouve avec plus de metha (me reste 120 et je dois y retourner vendredi normalement au centre) J'ai bien vu le medecin hier, c'etait la deuxième fois, mais a part lui parler de mon gros hic de plus d'envie/de désir j'ai pas osé lui parle du fait que je voudrai encore augmenter mon traitement...Je me suis sentie mal a l'aise d' "etre obligee" de lui parler de ma sexualité car quand on est epanoui a ce niveau, le calme plat ça fait mal et ca fait peur... et je vais me retrouver célibataire a ce rythme la en plus a la fin j'imagine...
En fait : je voudrais faire un enfant, j'ai 37 ans et je me dis que faire un enfant sous metha : psychologiquement ce serai dur a gérer pour moi et du coup, je me dis que si je monte trop les doses : je ne pourrais pas faire d'enfants avant de les avoir diminué puis arrêtés et donc ca repousse mon desir d'enfant a..... la saint glinglin
Voila, la je suis perdue, plus de metha, mon centre n'est ouvert que le lundi/mercredi/vendredi et je suis perdue.. je ne sais pas si je dois arrêter la metha car même si ça me convient, ça va repousser mon désir d'enfant a je ne sais pas quand et en plus, je ne saurai même pas quoi leur dire pour qu'ils m'augmentent
(sachant que par contre, pour la première fois je me sens excellemment bien avec ce dosage, sereine, posée,éveillée et apte au combat de la vie
)Savoir si j’arrête certains jours et je ne leur dis rien et les jours ou j’arrête : j'en profite pour bai... touuuuttteee cette journée en prenant soit de la code, sois du sken.. ce que j'aurai..
soit je leur dis mais comment ? dire quoi?....
Voila, la je suis perdue, très decue car je viens de faire ce que je luttais depuis deux mois pour ne pas faire c'est a dire : me caler sur une dose confort mais haute ( en sachant que quand je voudrais arrêter, ils ont dis qu'ils me ferai descendre par 5mg donc ca risque d’être treeeessss treeeeess long avant de pouvoir faire des bébés...)
Je ne sais pas quoi faire, j'ai honte et je suis mal a l'aise, je sais pas comment gérer ce puta... de traitement et mes besoins d’être bien et d'avoir des enfants....si quelqu'un ayant de l’expérience la dedans pourrai m'aider , la je suis en mode panique je ne sais pas si je vais assumer le rdv de vendredi ..de toutes façons, il faut que je trouve des réponses avant car j'ai plus de metha
Help ?
Dernière modification par Celea (22 septembre 2015 à 17:10)
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- Celea
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Dites moi si vous ne comprenez certaines choses que j'ai ecris mais que ca vous est possible de me proposer votre aide...
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- Amarnath
- Ni ceci Ni cela
- Inscrit le 26 Jan 2014
- 1041 messages
Bienvenue à toi,
Heureux de te lire positivement ainsi et à ta demande, je vais m'exprimer pour être éventuellement une aide.
Devenir parents, c'est en ter autre apprendre l'organisation, les rythmes, les priorités et les obligations tout en lâchant prise. C'es l'enfant qui est le maitre d'apprentissage.
Alors avant qu'un enfant arrive dans votre vie, il serait peut-être intéressant de jouer le jeu avec ce qui se propose à toi en ce moment, à savoir de devoir t'organiser, suivre un rythme et des priorités tout en acceptant les obligations qui s'imposent à toi.
S'organiser c'est de pouvoir gérer ton traitement en trouvant la dose de confort, le stady state, comme on l'appel. Pour cela et sachant que c'est un droit médical, il faut l'exprimer auprès du médecin qui te suit et lui demander d'accepter que pour toi c'est cette dose là . Normalement, si c'est un bon médecin il te suivra, car il n'a pas à juger si c'est une dose importante ou pas, car c'est ta doses, ton confort. Tu as de la chance d'ailleurs de l'avoir trouvé.
Après cela, le rythme, une bonne hygiène de vie pour que ton corps et ton esprit puissent se stabiliser et trouver leurs marques.
La priorité c'est que tu te sentes bien dans ta peau et dans ta tête sans calculer le sevrage et en paniquant sur l'éventuel temps nécessaire pour arrêter. Tu viens de trouver le bon dosage, alors ce n'est pas pour arrêter maintenant. Tu sais un enfant ce n'est pas un achat sur calendaire, il arrivera quand il arrivera et ça personne ne le décidera. Il existe des gens qui veulent absolument un enfant et font tout pour en avoir et n'en ont pas et d'autres qui n'en veulent pas et se retrouvent à devoir en accueillir un.
Laisse donc cela dans les mains de la vie, fais ce que tu as à faire et quand le moment sera venue, tu verras, tout va s'organiser naturellement.
Sur P.A, tu vas pouvoir lire des témoignages de femmes exceptionnelles qui ont eu ou vont avoir un enfant sous traitement méthadone. Rien ne l'empêche.
Ensuite, les obligations sont de se présenter à tes rendez vous pour obtenir ton traitement et t'occuper de tes papiers, tes factures et autres, pour te sentir libre intérieurement face à toutes ces obligations pas toujours agréables.
Donc voilà , concentre toi pour accepter d'être heureuse, vivante et profite pleinement du bien-être ressentie, c'est un devoir.
C'est fou comme les gens qui souffrent se sentent sans culpabilité, en phase avec eux même, avec l'impression qu'ils ne doivent plus rien à personne, alors que quand le bonheur les envahissent, il se crée une sorte d'anxieuse attitude, une culpabilité liée au fait de penser ne pas mériter cela, d'être de mauvaises personnes qui agissent mal et ne doivent pas avoir le droit d'être heureuses.
Tout cela doit se jeter à la poubelle car c'est vraiment une résultante d'un profond conditionnement qui prend racine directement dans la religion principale de notre pays.
N'ai pas peur non plus de devoir payer ce bonheur soudain, il n y a pas de caissier qui fait les comptes, c'est gratuit et net d'impôt. Notre devoir dans la vie, c'est de croquer la vie à pleines dents, de jouir d'exister et même si le désir sexuel n'est pas des plus haut sous méthadone, tu pourras essayer de reculer un peu la prise et te mettre dans un léger manque, cela a tendance à provoquer une remontée des hormones.
Etapes par étapes, profites enfin d'avoir un état intérieur reposé, ce qui n'est d'après toi, pas une habitude. Alors si le vent tourne, il est temps de laisser les voiles toutes tendues en te relaxant et en laissant les courants et le vent te porter là où la vie t'attend.
Bien à toi
Heureux de te lire positivement ainsi et à ta demande, je vais m'exprimer pour être éventuellement une aide.
Devenir parents, c'est en ter autre apprendre l'organisation, les rythmes, les priorités et les obligations tout en lâchant prise. C'es l'enfant qui est le maitre d'apprentissage.
Alors avant qu'un enfant arrive dans votre vie, il serait peut-être intéressant de jouer le jeu avec ce qui se propose à toi en ce moment, à savoir de devoir t'organiser, suivre un rythme et des priorités tout en acceptant les obligations qui s'imposent à toi.
S'organiser c'est de pouvoir gérer ton traitement en trouvant la dose de confort, le stady state, comme on l'appel. Pour cela et sachant que c'est un droit médical, il faut l'exprimer auprès du médecin qui te suit et lui demander d'accepter que pour toi c'est cette dose là . Normalement, si c'est un bon médecin il te suivra, car il n'a pas à juger si c'est une dose importante ou pas, car c'est ta doses, ton confort. Tu as de la chance d'ailleurs de l'avoir trouvé.
Après cela, le rythme, une bonne hygiène de vie pour que ton corps et ton esprit puissent se stabiliser et trouver leurs marques.
La priorité c'est que tu te sentes bien dans ta peau et dans ta tête sans calculer le sevrage et en paniquant sur l'éventuel temps nécessaire pour arrêter. Tu viens de trouver le bon dosage, alors ce n'est pas pour arrêter maintenant. Tu sais un enfant ce n'est pas un achat sur calendaire, il arrivera quand il arrivera et ça personne ne le décidera. Il existe des gens qui veulent absolument un enfant et font tout pour en avoir et n'en ont pas et d'autres qui n'en veulent pas et se retrouvent à devoir en accueillir un.
Laisse donc cela dans les mains de la vie, fais ce que tu as à faire et quand le moment sera venue, tu verras, tout va s'organiser naturellement.
Sur P.A, tu vas pouvoir lire des témoignages de femmes exceptionnelles qui ont eu ou vont avoir un enfant sous traitement méthadone. Rien ne l'empêche.
Ensuite, les obligations sont de se présenter à tes rendez vous pour obtenir ton traitement et t'occuper de tes papiers, tes factures et autres, pour te sentir libre intérieurement face à toutes ces obligations pas toujours agréables.
Donc voilà , concentre toi pour accepter d'être heureuse, vivante et profite pleinement du bien-être ressentie, c'est un devoir.
C'est fou comme les gens qui souffrent se sentent sans culpabilité, en phase avec eux même, avec l'impression qu'ils ne doivent plus rien à personne, alors que quand le bonheur les envahissent, il se crée une sorte d'anxieuse attitude, une culpabilité liée au fait de penser ne pas mériter cela, d'être de mauvaises personnes qui agissent mal et ne doivent pas avoir le droit d'être heureuses.
Tout cela doit se jeter à la poubelle car c'est vraiment une résultante d'un profond conditionnement qui prend racine directement dans la religion principale de notre pays.
N'ai pas peur non plus de devoir payer ce bonheur soudain, il n y a pas de caissier qui fait les comptes, c'est gratuit et net d'impôt. Notre devoir dans la vie, c'est de croquer la vie à pleines dents, de jouir d'exister et même si le désir sexuel n'est pas des plus haut sous méthadone, tu pourras essayer de reculer un peu la prise et te mettre dans un léger manque, cela a tendance à provoquer une remontée des hormones.
Etapes par étapes, profites enfin d'avoir un état intérieur reposé, ce qui n'est d'après toi, pas une habitude. Alors si le vent tourne, il est temps de laisser les voiles toutes tendues en te relaxant et en laissant les courants et le vent te porter là où la vie t'attend.
Bien à toi
Et si tout ceci, n'était qu'une blague !
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- filousky
- Modérateur
- Inscrit le 14 Dec 2008
- 12273 messages
A part reformuler en moins littéraire ce que t'as écrit Anarmath, je ne vois pas quoi ajouter.
Bien sûr il te faut en parler très vite avec ton prescripteur que j'espère pour toi compétent. Le but de la méthadone est de se sentir juste bien dans sa peau et le dosage idéal est à rechercher par chaque personne traitée sans plafond.
Il y a peut être une juste dose comprise entre les 80 prescrits et les 140 pris. La posologie que j'ai connue pour moi a varié en 14 ans de 60 à 180 mg (pendant un bithérapie d'hépatite particumièrement difficile en 2002).
Actuellement, je suis calé à 100 mg depuis 3/4 ans.
Extrait du document que je mets en pièce jointe :
2. Existe-t-il une posologie maximale de méthadone ?
NON, il n’existe pas de posologie maximale pour la méthadone, ni de relation clairement
établie entre la posologie optimale de méthadone et la quantité d’opiacée consommée avant
l’entrée en traitement par la méthadone. En France, la posologie moyenne se situe plus
particulièrement dans la fourchette basse, c’est-à -dire aux alentours de 60 mg, alors que les
recommandations internationales préconisent quant à elles une posologie moyenne de
méthadone comprise entre 60 et 100 mg/jour, voire 80 à 120 mg/jour.
questions_reponses_methadone.pdf
Amicalement
Fil
Bien sûr il te faut en parler très vite avec ton prescripteur que j'espère pour toi compétent. Le but de la méthadone est de se sentir juste bien dans sa peau et le dosage idéal est à rechercher par chaque personne traitée sans plafond.
Il y a peut être une juste dose comprise entre les 80 prescrits et les 140 pris. La posologie que j'ai connue pour moi a varié en 14 ans de 60 à 180 mg (pendant un bithérapie d'hépatite particumièrement difficile en 2002).
Actuellement, je suis calé à 100 mg depuis 3/4 ans.
Extrait du document que je mets en pièce jointe :
2. Existe-t-il une posologie maximale de méthadone ?
NON, il n’existe pas de posologie maximale pour la méthadone, ni de relation clairement
établie entre la posologie optimale de méthadone et la quantité d’opiacée consommée avant
l’entrée en traitement par la méthadone. En France, la posologie moyenne se situe plus
particulièrement dans la fourchette basse, c’est-à -dire aux alentours de 60 mg, alors que les
recommandations internationales préconisent quant à elles une posologie moyenne de
méthadone comprise entre 60 et 100 mg/jour, voire 80 à 120 mg/jour.
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