Argumentations entre sevrage hospitalier et ambulatoire

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Alain Will homme
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Bonjour Ségo, bonjour à  tous,

J'ai mis un peu de temps à  répondre mais supersego a eu sa réponse par mail (il n'est pas possible qu'un infirmier libéral du coin passe chez moi, ils ou elles n'ont malheureusement aucune compétence pour gérer ce genre de situation)...

J'en reviens à  ma situation : je suis passé à  1mg le matin et 1mg le soir (de méthadone). J'envisage toujours mon sevrage à  domicile ; d'ailleurs je me demande pourquoi j'en prends encore... Je n'ai aucune aide pharmaceutique pour l'instant.

Mais comble de malchance, cette nuit s'est réveillée une douleur que je connais trop bien : j'ai fait une maladie de Lyme il y a quelques années (maladie dûe à  une piqûre de tique) et qui induit des douleurs dans les membres entre autres. Elle m'a conduit à  shooter le skénan qui m'était prescrit...

http://www.caducee.net/DossierSpecialis … e/lyme.asp

Elle provoque entre autre des troubles neurologiques dont j'ai souffert.

Donc cette nuit, j'ai eu la fâcheuse surprise de faire une nuit blanche à  cause d'une névralgie radiale (crises paroxystiques au niveau du bras droit) :

http://www.vulgaris-medical.com/encyclo … -3231.html

Impossible pour moi de ne pas faire le rapprochement entre ce que j'ai déjà  connu et ressenti cette nuit. Symptômes qui n'étaient plus apparus depuis le skenan et la méthadone.

Or comme j'ai quasiment arrêté la métha, je me pose des questions. Est-ce que cette fichue maladie n'est pas en train de refaire surface et ne va pas me faire souffrir à  nouveau le martyr ??

Si la borréliose avait été traitée à  l'époque, avec bcp de retard à  cause du dignostic tardif, je ne suis pas certain qu'elle ne soit pas devenue chronique mais avec des symptômes endormis par les opiacés.

J'espère chercher la petite bête là  où il n'y a aucune raison mais je m'inquiète quand même...

Si quelqu'un a une idée sur la question, elle sera la bienvenue. Je ne sais rien de ma sérologie concernant la borréliose à  l'heure actuelle. Je pense être toujours porteur d'anticorps sans en être sûr. Et je ne crois pas avoir été ré-infecté depuis.

Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.

Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)

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Alain Will homme
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Ps : si je poste ce message ici, c'est qu'il n'y a pas vraiment d'autres endroits appropriés sur le forum (hem hem...) et que ces crises paroxystiques au niveau des membres (par le passé, elles touchaient mes deux bras et mes deux jambes) peuvent faire penser aussi à  des symptômes rencontrés lors des sevrages.

Les douleurs et les contractures musculaires, c'est pas simple à  différencier. Pourtant je ne suis pas complètement sevré... Mais pas loin non plus...

Je me suis permis de prendre un myorelaxant (du tétrazépam, 50mg) qui n'a eu aucun effet hmm

1g de paracatémol m'a donné 2h petites heures de répit, sans plus, mais ce n'est pas une soluce en soi vu les suées induites...

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Alain Will homme
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Ps Edit bis :

Voici un autre lien sur la maladie de Lyme :

http://www.pasteur.fr/ip/easysite/go/03 … ie-de-lyme

C'est un peu la "bête noire" des praticiens. Je pense perso qu'elle peut faire partie des pathologies fréquentes chez les Ud en situation précaire ("keupons avec chiens" ou personnes vivant "dans les bois"). A quand la rubrique dédiée aux pathos les plus courantes ?...

Si prescripteur a une idée sur la question et mes problèmes, son opinion sera la bienvenue wink Les autres également bien sûr !

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prescripteur homme
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Je pense qu'il faut aller dans une consultation de la douleur (et evidemment leur "dire tout" pour qu'ils ne fassent pas l'erreur de prescrire des medocs qui te replongeront dans la dependance).
Il existe des medicaments specifiques pour les douleurs dites "neuropathiques" qui ne sont pas des opiacés et qui sont plus efficaces sur ces douleurs.
Mais ce sont des prescriptions tres specialisées donc il faut aller voir des specialistes de la douleur. Certains de ces specialistes sont aussi neurologues ou travaillent avec des neurologues, ce qui est utile pour suivre le pb de ta maladie de Lyme, si ce n'est pas deja fait.
Amicalement.
PS en attendant cette consultation, il est peut etre preferable de differer la poursuite du  sevrage

Dernière modification par prescripteur (30 mars 2009 à  11:20)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Alain Will homme
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Merci pour ton message prescripteur. Je n'ai aucun souci pour tout raconter, là  n'est pas le problème.

C'est le fait que l'hosto où je vais n'a pas de consultation douleur ; c'est l'équipe des soins palliatifs qui gère ça et ils ne sont dispo que pour des cas hospitaliers (ou d'urgence), et que les spécialistes (non neurologues, sauf un en coup de vent) que j'ai vus jusqu'alors (il y a 8 ans et 5 ans environ) étaient gênés de par le fait que ces douleurs ne sont pas quotidiennes et loin d'être systématiques (enfin à  l'exception d'il y a plus de 8 ans). Donc je n'ai été renvoyé vers personne au final.

Depuis la sérologie n'a pas été suivie, et mon doc vih a suggéré que ces douleurs pouvaient être dûes au vih.

Depuis la métha, n'ayant plus eu de symptômes gênants (sauf des contractures musculaires de temps en temps - peut-être dûes aux baisses de métha ?), j'ai un peu laissé tomber...

Le sevrage est "si proche psychologiquement et physiquement" que ça me fait suer de remettre à  plus tard à  cause d'un ennui de ce genre...

Je vais voir si un neuro peut me voir assez rapidement ; c'est pas gagné... Mais en gros ce qui me rebute c'est de quitter un "problème" pour en affronter sur un autre qui s'était fait oublier...

Je m'appelle "tableau pathologique"... roll Et ma psy(chiatre) de me rabâcher "Mais vous n'êtes pas malade enfin !!" ; en plus c'est vrai quoi... Ca me remontait bien le moral ses affirmations...

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prescripteur homme
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Si les douleurs sont supportables tu peux en effet te sevrer pendant l'attente de la consultation. Ou voir avec ton medecin traitant (ou le medecin du VIH) s'il connait le pb et peut prescrire au moins un traitement "classique" (en general des anti epileptiques).
Le but du suivi n'est pas d'aller de pb en pb mais au contraire au maximum d'anticiper et de contrôler. Donc il ne faut pas que mon conseil crée de l'anxiété, mais au contraire rssure sur le fait que le pb peut etre géré..
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Alain Will homme
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Bonjour prescripteur, et bonjour à  tous,

Merci pour ta clairvoyance et de m'avoir ainsi rassuré.

Si je suis ici d'aussi bonne heure, c'est que je viens d'encaisser une deuxième nuit blanche (à  100%, même pas une demie-heure de sommeil). Et toujours ces douleurs paroxystiques, plus réparties que la veille, touchant les deux bras, les jambes, l'abdomen, le dos, etc...

J'ai bien tenté "d'abuser" d'un seresta entier de 50mg mais ça n'a rien fait. Au risque de m'attirer les constestations de ceux qui y sont passés, je suis en train de me dire que je suis en plein "sevrage"... C'est pas le mg bi-quotidien de métha qui doit peser désormais bien lourd. Si ? Et je pense commencer à  ressentir les symptômes d'un sevrage.

J'ai eu froid (ma maison est chauffée et thermostatée globalement), j'ai eu ce matin très tôt une faim de loup, et dès que je suis debout, les douleurs ont tendance à  disparaître. Alors "sevrage" ou résurgence de la maladie de Lyme ou autre ?

Aucune envie de prendre de la métha mais ça n'est pas étonnant ; ce n'est pas mon heure... La gélule d'hier soir était-elle vide ?! Bref, peu importe, la seule chose que j'espère c'est que ces problèmes ne sont pas dûs à  l'arrêt de ma trithérapie. Je ne peux pas écarter cette possibilité.

Mais je reste un peu convaincu que je suis en train de me "sevrer" (je suis passé de 2x2mg à  2x1mg en seulement 12h (contrairement à  l'avis de la doc' que j'avais vue mais je me suis planté un matin et j'ai pas voulu ré-augmenter les jours suivants)...

J'ai le nez qui coule un peu, mais sortant d'une rhino-pharyngite, difficile d'en cerner la cause. Je n'ai pas de courbatures insurmontables si ce n'est celles provoquées plus ou moins par ces accès "neuropathiques" et elles disparaissent avec "l'effort". De plus je dirai que depuis hier au moins, j'ai récupéré une certaine  sensibilité ou plutôt je ne ressens plus l'imperceptible "ouate" dans laquelle me plongeaient les dernières gélules de métha...

Je continuerai à  poster pour parler de l'évolution, j'ai un rendez-vous normalement avec mon addicto vendredi prochain (pour faire le point sur le sevrage hospitalier éventuel ou à  domicile).

Mais si ça ne doit pas être dix fois pire que ça, je resterai chez moi pour aller jusqu'au bout... Au moins ici, je peux bouger un peu... même si je n'arrive pas à  dormir (il me reste la journée pour me reposer même si je n'ai pas que ça à  faire...)

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bighorsse femme
Banni
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difficile d'évaluer à  quoi sont dû ces douleurs!! bon courage à  toi!

l angoisse est le vertige de la liberté

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mikykeupon homme
Modérateur à la retraite
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A te lire Alain, tu es bien courageux.

Mais vue que tes douleurs on l'air supportable, reste avec tes chats, sinon après ils risquent la dépression.

Mais voie bien, peut-être, avec ton doc vih. Ça ne doit pas être facile tout ça....

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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Merci à  vous ; ça va un peu mieux cet apm. Je suis sorti discuter, déjeuner et faire un billard wink

Les douleurs, du bras droit surtout, ont disparu alors que je l'aurai volontiers tronçonné ce matin... J'attends la nuit prochaine avec... "sérénité" (je vais essayer de pas faire de sieste pour "tomber de sommeil" mais c'est pas gagné...)

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sandmet
Nouveau Psycho
Inscrit le 31 Jan 2009
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SALUT ALAIN

Jai lu tout le post depuis le debut, et apparement meme si tu veux te passer de cette metha residuelle, sur la fin ca devient dur.

1mg 2 fois par jour, c est infime, a la limite meme peut etre plus psychologique, mais avec tous tes soucis de santé, t assure quand meme bien.
moi j ai pas reussi a passer en dessous 10 mg (certes avec le sirop donc pas de dosage par mg), et j ai meme reaugmenter a 20 mg depuis maintenant presque 1 mois avec les gelules. mais la j attend ce week end pour essayer de revenir a 10mg, je me dis qu au moins je serai pas mal au boulot, mais y a surement aussi une part de psychologique dans cette augmentation depuis la gelule.

au fait tu espaces tes deux prises quotidiennes de combien de temps?
parce qu au debut de ma diminution de 90mg au depart a 20 mg aujourd hui, j ai souvent baisser parce que j avais tendance a l oublier de quelques heures puis d une journée.

tu pourrais peut etre commencer par essayer de sevrer l une de tes 2 prises, en retardant d une heure. puis le lendemain encore 1 heure de plus.
c est une idée qui m est venu comme ca , meme si c est peut etre idiot .

en tout cas bon courage et prend soin de ta santé et de tes minous. j en ai 2 et moi non plus j aime pas me separer d eux.

a bientot

ca peut durer jusqu a toujours a moins que l on ai le courage
de se dire merde un beau jour et de mettre fin au naufrage
HFT

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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9618 messages
Bonsoir Sandmet,

Bah non ce n'est pas si "dur" que ça. Ce qui m'a freiné ces derniers jours c'est la réflexion du toubib que j'ai vu pour les sevrages "attendez 5 jours avant de supprimer 1mg"... Autant quand je suis sûr de quelque chose, je "n'écoute pas" ce qu'on me dit en étant de l'autre côté de la barrière, autant quand je ne suis que "convaincu perso" mais sans preuve, je reste attentif et "obéissant" wink

Finalement, ça s'est pas mal passé quand j'en ai viré deux (mg), presque d'un coup, à  12h d'intervalle. Il ne m'en reste que 1mg le matin et 1mg le soir.

J'ai toujours pris mes doses à  12h d'intervalle sauf ces derniers mois où j'ai varié entre 10 et 15h parfois. Mais pas souvent.

Merci pour tes idées, elles sont les bienvenues d'autant que c'est ce que je fais :)

Ce soir comme les jours derniers avec le changement d'heure, et puis parce que je n'en ressens pas le besoin je prends ma gélule du soir plus tard (quand j'y pense "trop"). Et ce matin je l'avais pris très tôt n'ayant pas dormi. Aucun symptôme particulier. Ca roule. Faut pas avoir peur. Le plus dur est sans doute à  venir mais je ne m'inquiète pas outre mesure...

Demain je ne la prendrai pas (celle du soir). Ce sera un coup d'essai... Plus facile à  gérer en étant au lit peut-être surtout en arrivant sur le matin. Sinon, si je supprime la prise du matin, je risque d'y penser toute la journée. Enfin tout ça c'est valable si je dors correctement.

En tout cas, pour l'instant pas de signes de sevrage à  déclarer ("évidemment")... à  part mes soucis d'à -côté... Donc si je ne ressens rien de particulier après-demain matin, eh bien je n'hésiterai pas d'ici la fin de la semaine à  tout arrêter... Enfin j'espère...

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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Bon courage à  toi aussi Sandmet, fais attention 10mg sur 20mg, c'est quand même 50% d'un dosage encore un peu élevé...

ps : pour la fin de la fin, je pense que je vais prendre la dernière gélule un jour sur deux, puis sur trois jusqu'à  oublier de la prendre tout simplement. C'est ce dont j'avais parlé avec mon addicto. En principe je le revois vendredi ; si tel est le cas je lui en reparlerai... Et vous tiendrai au courant...

Faut bien que ces foutues gélules de 1mg servent à  quelque chose, bon sang ! wink

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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Fuck... Pardon, bonjour à  tous :)

Ca n'a pas fait un pli. Couché pas trop trop tard, failli m'endormir mais en moins de 30 minutes est revenue l'envie démentielle de me découper en rondelles ou en morceaux suite à  mes douleurs. Je n'ai donc pas dormi. 3è nuit blanche... J'apprécie...

Je viens de me rendre bien malade en lisant quelques liens sur le sujet des neuropathies sur le net roll
Au moins ça m'occupe en attendant que les effets se dissipent...

Pour celles et ceux qui veulent s'instruire et se prendre la tête :

http://www.catie.ca/SideEffects_f.nsf/T … enDocument

(J'aurai peut-être droit à  du sulfate de morphine injectable lol [je plaisante]) ; j'ai bien retenu ce que prescripteur m'a dit...

www.neurologies.net/pathologies/contenu … Therap.pdf

etc, etc...

Bref baisse de métha en cause ou pas, quitte à  souffrir un peu, beaucoup, j'ai décidé ce matin (je sais, je suis fatigué et il est tôt) d'arrêter la métha. Point barre.

J'ai quand même pris sur moi d'essayer de me calmer avec du myolastan encore une fois et deux valiums 5. Sans effet. Inutile d'insister. J'ai bien un flacon de Rivotril® non périmé qui m'avait été prescrit à  une époque pour diminuer le Valium mais je préfère ne pas jouer les apprentis prescripteurs avec cet anti-épileptique. Dont je ne suis pas assuré de l'efficacité. Je demanderai conseil à  l'occasion si ces symptômes doivent durer.

Par contre tant que j'y suis, histoire de témoigner, sans doute parce que je suis éveillé depuis plusieurs jours et debout plus tôt qu'à  mon habitude le matin, j'ai une faim de loup tongue

Autre particularité, sans vouloir choquer ni être provocateur mais le sujet a été évoqué dans d'autres topics, j'ai des modifications de ma libido : ne pouvant pas dormir, ayant des spasmes, des contractures, des envies de me couper le ou les bras, j'ai aussi des érections quasi-permanentes (sans stimulation psychique ou physique) tout au long de la nuit, et ce malgré... des "purges" régulières pour calmer le jeu... Je sais que j'ai eu, fut un temps, une libido exacerbée mais je n'en attendais pas autant en quasi-arrêtant la métha... roll

Dernier point (enfin je pense) : j'ai froid. Moins qu'il y a quelques jours mais encore pas mal...

Bref pour celles et ceux qui y sont passés, vos témoignages seront les bienvenus et me rassureront sans doute... Même si nous réagissons tous différement je pense. Et que je ne suis pas encore "sevré".

J'espère que je vais tenir le coup... A bientôt et merci de votre soutien à  tous wink

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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
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pensant à  toi hier après midi je suis allée à  la biblio pour voir s'il y a des trucs sur les neuropathies liées au sida..et oui..mais je vois que tu as fait le meme cheminement...cela dit, est ce bien dû à  cela?? as tu consulté un spécialiste?? prescripteur t'avais conseillé d'arreté ton sevrage le temps de voir ce dont il s'agit....

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mikykeupon homme
Modérateur à la retraite
Inscrit le 10 Mar 2009
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D accord avec Big et prescripteur, vue tous tes problèmes, il serais plus sage, je pense, d'y aller calmement, ne pas tout mélanger.

Quand on veux faire les choses trop vite, au mieux on les fait mal, au pire on empire les choses...

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floflo
Psycho junior
Inscrit le 28 Dec 2008
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Salut Alain,

Pas cool tout ça quand même...  sad

En tout cas fait comme tu le sens pour le sevrage, de toute manière si vraiment ça va pas tu pourras toujours prendre ta métha à  ce moment là .

Bon courage en tout cas, je suis de tout coeur avec toi.

Biz

Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières et c'est la troisième qui m'a choisi...[Jim Morrison]

La réalité c'est l'illusion créée par l'absence de drogues. [Richard Desjardins]

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loulou reed
Psycho sénior
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916 messages
Salut Alain, courage à  toi, pour le Rivotril en gouttes je pense que tu peux en prendre de temps en temps sans danger, quand ça va vraiment mal wink

Sinon les beaux jours arrivent, les cures de soleil sont gratuites et bien bénéfiques wink

A la recherche de l'euphorie perdue

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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Bonsoir à  tous et merci pour vos messages wink

Je sais bien qu'il faut y aller doucement mais bon quand l'envie est là , elle est là ... Suite à  ma 3è nuit blanche j'ai voulu prendre un peu de repos en fin de matinée et malheur... les douleurs sont revenues direct dès que je me suis allongé.

Ayant parlé du Rivotril® la veille, sans avoir lu le message de Loulou d'ailleurs, bah, c'était tentant tellement j'avais mal et donc j'ai tenté le coup après avoir fait un petit calcul de correspondance de benzo : V (5) gouttes : ça m'a couché direct roll, 4-5h de sommeil sans douleur.

Méchant ce truc-là  quand on est sevré du Valium !

Bref ce soir, je n'ai pas pris de métha et tout va bien "évidemment"... C'est le début de la fin je pense... Je vous dirai ça dans les jours qui viennent...

Pour l'instant je vais essayer de faire une nuit "normale"... Et sans Rivotril® !! J'tiens pas à  m'accrocher à  un autre truc pour autant. Les douleurs si elles persistent, je m'en occuperai après... enfin si je tiens le coup car elles sont vraiment insupportables (je ne dors réellement pas du tout sad )

Mais de toute façon ce n'est pas la métha qui va les calmer à  mon avis et puis de toute façon depuis que je baisse je n'ai jamais ré-augmenté mon dosage ; et le fait de supprimer l'avant-dernier ou le dernier mg ne va pas forcément les faire aller crescendo...

Donc je suis à  ... 1mg :) Ca c'est un traitement de substitution ! big_smile

ps : aucun problème "psychique", peut-être à  cause du Rivo qui me reste dans le corps... Je verrai demain... sous le soleil !

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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Pom pom pom... Pendant que mes chats dorment, la souris que je suis, danse. J'ai même dansé toute la nuit, encore une fois. C'est la quatrième nocturne à  mon actif depuis longtemps...

Ceci n'est qu'un post de témoignage et ce topic servira désormais de sujet de sevrage. Finalement je m'habitue assez bien à  retrouver mes horaires matinaux d'antan. Ce n'est pas faute d'avoir un peu poussé sur la pharmacopée pour me soulager et tenter de dormir, sans exagérer, mais rien n'y a fait. Je n'ai pas abusé.

J'ai encore été victime de ces crispations musculaires, de ces contractures, de ces "neuropathies", à  tel point que j'ai eu peur de casser mes prothèses dentaires tellement j'ai du serrer les dents.

En revanche à  chaque lever, je me suis senti tout de suite mieux. Et pourtant dieu sait que j'aime mon lit... chauffé par mes poilus... Kezako ces symptômes spécifiques à  la position allongée ??

Je n'ai donc pas pris de métha hier soir, pas plus que ce matin (pas encore) et elle ne me manque pas. Vu ce que j'ai pris, ce n'est de toute façon pas un mg de métha qui aurait arrangé les choses.

La partie n'est pas gagnée mais je compte bien l'avoir à  l'usure... Il n'en reste pas moins que je suis mieux chez moi qu'enfermé dans une chambre d'hosto. Je n'ai pas pris de neuroleptique, je n'en vois pas l'intérêt et il ne me reste que du Tercian dont je ne suis pas sûr de l'indication dans le cas présent même si j'en ai eu lors de mon sevrage de Valium. Je me suis cantonné à  10mg de Valium® (à  titre exceptionnel), 50mg de Myolastan® et encore 5 gouttes de Rivotril®. C'est bien suffisant d'autant que cela n'a aucun effet et que ça aurait du me "coucher" ; mais les douleurs ont eu le dessus. Je vais arrêter de m'intoxiquer pour rien.

Avis perso pour clarifier les choses : c'est pas parce qu'on est sevré d'un produit que l'on ne peut pas en prendre de façon ponctuelle et exceptionnelle sans pour autant "retomber" dedans. Dont acte avec un peu de volonté, de bon-sens et ce que j'avais sous la main...

L'appétit suit son cours ; je viens de prendre un petit déjeuner gargantuesque. Cool... Je vais peut-être reprendre du poids si ça continue...

Voilou les news du jour me concernant... A bientôt et bonne journée ensoleillée wink

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Eva Brown Sugar
Psycho sénior
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587 messages
J'ai eu aussi des crispations musculaires, douleurs dans les bras (c'est "mon" symptôme de manque, celui qui me gène au dela de tout), les jambes, troubles du sommeil quand je suis arrivée au dernier mg, je pense que j'avais baissé trop vite les derniers temps. C'est à  ce moment là  que le topalgic, puis la rach' sont entrées en scène pour moi, car après plusieurs jours sans métha, je ne voulais vraiment pas en reprendre.

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Alain Will homme
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Salut Eva,

Je vois bien ce que tu veux dire ( et par les symptômes et par le fait de ne plus reprendre de métha). Je réagi de la même façon.

En revanche les douleurs sont plus réparties, bras, jambes, mâchoires,... et elles m'empêchent de fermer l'oeil ne serait-ce qu'une demi-heure hmm

J'ai faiili pété un câble ce matin ; en me recouchant, rebelotte... Douleurs... Du coup je sais c'est pas bien, j'ai repris un peu de Rivotril. Mais ça s'est cumulé avec celui pris pendant la nuit et j'émerge seulement depuis deux heures. Ca ne peut pas aller ça... Faire à  l'arrache, pourquoi pas mais à  condition d'avoir de quoi supporter un minimum sans se "foutre en l'air" avec des benzo anti-épileptiques. Encore que je me demande bien ce qu'ils donnent réellement en service hospitalier.

Ca fait 4 nuits complètes que je ne ferme pas l'oeil et que je me tords de douleur dans tous les sens, sauf à  me relever... Je me dis que je vais bien finir par tomber d'épuisement mais c'est pas pour tout de suite et les contractures sont vraiment douloureuses. Je vais pas ma chochotte. Sérieux.

Bref, je pense que ça ne va pas durer trop longtemps, enfin j'espère... Je vais finalement aller voir mon addicto demain pour qu'il me "guide" et me fasse si besoin une meilleure prescription.

Pero on peut pas dire que j'ai baissé "trop vite", j'en prends tjrs un mg. Je l'ai pris ce matin, et ça ne m'a pas calmé les contractures pour autant ; comme de l'eau, ni plus ni moins. J'ai peut-être été un peu rapide avec les deux avant-derniers mg mais si ça s'est fait en 12h pour les 2, c'était après une semaine de stabilité...

Merci en tout cas pour ton message ; même si on est tous différents, selon notre substitution, nos antécédents, etc... tu peux me dire combien de temps ces douleurs ont duré à  peu près pour toi ? Merci d'avance wink (je te demande ça parce que j'ai des projets dans l'immédiat et j'aimerai bien savoir quand je vais pouvoir être "tranquille"...)

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Alain Will homme
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PS Eddit : désolé pour les fautes ; j'ai pris aussi de l'efferalgan (1g) mais ça ne m'a pas calmé. Faudrait peut-être monter un peu les doses... Mais sans dépasser les 3g au pire les 4, et je suis pas sûr que ça soit efficace. Ce ne sont pas des douleurs localisées mais diffuses sur la quasi-totalité du corps.

Je comprends mieux pourquoi on est dans une chambre seule en hosto, "fermé", et qu'on sort accompagné pour discuter et fumer sa clope... Par contre, pour l'instant, une fois debout, ça va mieux, et je peux m'occuper et me concentrer sans problème. Les douleurs disparaissent. Pourvu qu'elles ne soient que nocturnes...

Ce qui est bizarre c'est qu'elles sont apparues *avant* que je n'arrête l'avant-dernier mg. J'étais déjà  en sevrage je pense plus ou moins... (?)

Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.

Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)

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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
j'ai eu des périodes comme toi où je ne pouvais pas restée allongée deux heures d'affilées sans que des douleurs musculaires et osseuses n'apparaissent! seul le fait de me lever, de ne pas m'allonger m'épargnait ses crises névralgiques; cela a duré 1 mois, et je n'ai jamais su réellement de quoi cela provenait; mon médecin a pensé que c'était lié à  l'hepatite C qui parfois produit ce genre de douleurs!

l angoisse est le vertige de la liberté

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supersego
Redfish Power
Inscrit le 23 Mar 2009
851 messages
oya!
je pense Alain, que ces douleurs sont les cause de ton sevrage, tu as diminué ta métha sans ressentir énormément de symptômes de manque jusqu'à  présent. je pense que ton organisme se réveille actuellement.
plein de courage et de pensées

" Le respect de la loi vient après celui du droit. La seule obligation que j'ai le droit d'adopter, c'est d'agir à  tout moment selon ce qui me paraît être juste. " H.D. Thoreau

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prescripteur homme
Modérateur
Inscrit le 22 Feb 2008
12147 messages
Le sevrage de la methadone est tres retardé (jusqu'à  3 semaines). A mon avis les meilleurs medicaments à  ce stade sont le Rivotril et l'efferalgan, en en prenant regulierement plutot que "scratch".
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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ORNITHO
taquineuse en chef
Inscrit le 28 Mar 2009
316 messages
ALLU ALLU

moi j ai ressenties les memes douleurs lors de mon 1ER sevrage au sub;pendant trois mois j avais l impression d avoirs es couteaux plante dans le corps et je sentais des vagues d energies me traversees de par en part; impossible de dormir malgre les cachets j etais epuise moralement et physiquement;et puis j ai recomencer a somnoler de plus en pus souvent et longtemps j ai passe 72 h a dormir et a mon reveil les douleure se sont estompe doucement mais surement; bon courage et patience

ORNITHO

SI TU NE SAIS PAS QUI TU VEUT ETRE SACHE QUI TU NE VEUT PAS ETRE

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
Inscrit le 14 Oct 2008
9618 messages
Pom pom pom... wink bahh oui c'est pas encore pour cette nuit le sommeil réparateur... Fait suer...

Je me suis quand même redocumenté sur le Rivotril® parce que finalement il ne me fait guère effet ; du moins pas suffisamment et comme sa durée de vie est assez longue, environ 30 heures, il me gêne dans la journée. Merci en passant à  prescripteur pour sa remarque quant au mode de prise réparti... si j'ai bien compris.

J'ai retrouvé ça :

www.afssaps.fr/content/download/12807/1 … 072008.pdf

Ils ne sont pas très chauds concernant l'usage du Rivotril ppour les symptômes que je présente. Addiction récente aux opiacés et surtout sur ce point précis qui semble me concerner :

L´efficacité et la sécurité d´emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur
(notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie post-opératoire), ni dans
les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil).

Je me suis fait une posologie répartie d'efferalgan mais je n'ai pas eu d'effets calmants. Du moins pas suffisament sinon je ne serai pas là  à  cette heure-ci en train d'écrire.

Quant à  augmenter les dosages du Rivotril® selon la doc ci-dessus concernant l'épilepsie, les convulsions et autres symptômes apparentés à  ce que je ressens, j'avoue ne pas être très chaud. Ca me fait un peu peur au vu de l'addiction possible et de l'état "semi-comateux" des heures qui suivent les prises.

Je préfère être prudent, sacrifier encore une nuit, et en parler avec mon addicto demain. Je suis pas sûr qu'il aura mieux à  me proposer mais on sait jamais.

Si tous ces problèmes doivent durer 3 semaines environ (ou plus), je ne suis pas sûr de tenir le coup... Même si je sais bien que l'organisme met du temps à  retrouver son état "normal", c'est un peu décourageant... et dur à  vivre.

J'en ai peut-être un peu gros sur la patate mais vu ce que j'endure, franchement le sevrage de Valium® que j'ai fait du jour au lendemain (de 100mg environ par jour à  zéro) c'était du grand confort et de la gnognote... Je fais pas ma chochote... mais chacun son ressenti...

Je comprends bien que j'arrive en en dernière partie d'un sevrage qui a commencé depuis plusieurs mois au final vu ma façon de diminuer, mais je ne pensais pas que cela serait si éprouvant et ferait ressortir des douleurs que j'avais oubliées depuis longtemps... Et qui m'avaient conduit à  déconner sérieusement. La consultation du neurologue commence à  s'imposer si ça ne s'arrange pas rapidement...

Bonne nuit à  tous wink (bande de veinards !!)


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Eva Brown Sugar
Psycho sénior
Inscrit le 18 Nov 2007
587 messages
Alain,
Pour la question de la durée, difficile de te répondre, car j'ai pris du topalgic après 4/5 jours d'arrêt, puis du rachacha afin de baisser plus doucement. Ensuite, a l'arrêt de la rachacha, j'avais arr^té la métha depuis 3 semaines déjà , j'en ai chié pendant 3/4 jours. Peut-être que tu pourrais faire codéine puis arrêt. Visiblement, c'est dur d'arrêter la métha sans passer par un autre prod moi lourd.
Sinon prescripteur, je suis étonnée par cette histoire de 3 semaines de délai, car la demie-vie de la métha n'est pas si longue et mon doc m'avais dis quand je lui en avais parlé que c'était pas cohérent du tout... Pourrais tu m'expliquer le mécanisme, j'aimerais comprendre ?

Dernière modification par Eva Brown Sugar (03 avril 2009 à  09:35)

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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
pour ces trois semaines je les trouve tout à  fait réaliste ,vu ce que j'ai pu en vivre, et des amis qui ont arreté la métha ont eu aussi de mauvaises surprises dans ce laps de temps là !
quand je passe de 120 à  60 mg, je ne ressens les mauvais effets que 2 à  3 semaines après...ce qui en général me fait remonter.;mais là  non;j'ai décidé de "quitter mme métha" ,tant pis pour les malaises ;mal etre, etc..de toute façon y a rien qui va alors je ne suis vraiment pu à  ça près!

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