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Dernière modification par LLoigor (13 février 2010 à 15:37)
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LLoigor a écrit
Je vais d'abord vous racontez celle d'un pote qui apres 5 ans de metha , et qui était vers 25mg il me semble , décident qu'il est temp d'arreter , il n'en voit pas la fin , et veu changer de vie.
Il est passé direct de 25mg à zéro? Je ne juge pas mais bon...
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Dernière modification par loulou reed (01 juin 2009 à 18:11)
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Dernière modification par DAMS (01 juin 2009 à 19:58)
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Dernière modification par LLoigor (02 juin 2009 à 10:17)
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capi a écrit
bonjour.
Je vie mon troisieme jours de décroche, je prenais de l'hero depuis 2 ans.
J'ai commencer a 110 et j etais a 5mg depuis une semaine.
J'ai pris la décision d'arretter dimanche soir, depuis, impossible de dormir, j entame ma 3eme nuit a gigoter dans mon lit sans fermer l oeil, la douleur physique, la fatigue augmentent.
J'aimerais vraiment avoir quelque chose de clair par rapport au temps que cela va durer car encore demain et apres je tiendrais plus....
Y a t il des moyens de mieux vivre cette transition, sans ce shooter a un medoc? quelque chose de soft?
merci d'avance
C'est typiquement le chose a ne pas faire , passer de 110mg a 5mg et arreter , non seulement ca va etre tres difficille (lit le post concernant mon amis , qui en plus se sevrer de beaucoup moins que toi (lui passai de 25mg a 0mg) ,ca a durer 24 jours), mais peut etre dangereux pour ta santé.
Car toi tu zappe un palier énorme 110 > 5 , et plus le sevrage 5 > 0.
On est tous différent , mais a vu de nez prépare toi a passer 20 jours horrible minimum , pfff même pas laisse tomber l'ecart est TROP important, et surtout tu met ta santé en danger ton corps pourrai ne pas le supporter.
Le corps humain emmagasine de la méthadone , ta dernière dose de 110 met plusieurs jours a complètement disparaitre , donc le mal que tu sent la , c'est pas le mal de 5 > 0 , mais surtout le 110 > 5mg , c'est un bon bien trop important.
Bref un conseil , passe tes palier a partir de 110 de 5mg ou 10mg , et a la rigueur quand tu sera a un faible dosage , tu peu toujours tenter , mais actuellement ce que tu fait ne sert a rien a mon avis , si ce n'est perdre du temps , te faire mal pour rien , et mettre ta santé en danger
@mickey : tu devrai effacer ton message et ouvrir un post , car dans ce topic ton message n'a pas trop de rapport , tu aura plus de chance d'avoir de réponse en créant un post , avec un titre explicatif
Bienvenue a vous
Dernière modification par LLoigor (17 juin 2009 à 09:18)
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Dernière modification par ORNITHO (17 juin 2009 à 10:40)
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LLoigor a écrit
C'est typiquement le chose a ne pas faire , passer de 110mg a 5mg et arreter , non seulement ca va etre tres difficille (lit le post concernant mon amis , qui en plus se sevrer de beaucoup moins que toi (lui passai de 25mg a 0mg) ,ca a durer 24 jours), mais peut etre dangereux pour ta santé.
Car toi tu zappe un palier énorme 110 > 5 , et plus le sevrage 5 > 0.
Je pense (je suis sûr ^^) que Capi est passé progressivement de 110 à 5, et qu'il était à 5mg/jour depuis une semaine quand il a arrêté d'en prendre...
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MickeyMouse1er a écrit
Salut
...mais le pire c'est que je suis plus accro au shoot qu'au produit injecté c'est pourquoi je m'injecte de la Noctamide 2Mg (remplaçant du Roypnol 2Mg) 6 à 7 fois par jour et je continue de me scléroser les veines. Quand j'ai une prise de sang à faire c'est la croix et la bannière,
...mais c'est cette dépendance à la seringue qui m'ennuie plus, surtout qu'elle me fait m'injecter des hypnotiques très forts qui me fracasse les veines. Je ne sais plus comment faire ni ou trouver de l'aide. A très bientôt. Mickey
Bonjour Mickey,
Bienvenue sur le forum...
Comme te l'a dit lloigor, tu devrais ouvrir une nouvelle discussion, cela serait plus clair et éviterait de tout mélanger
J'ai été consommateur excessif de Noctamide pendant plusieurs années. Je serai toi, j'arrêterai tout de suite de l'injecter. Tu risques gros. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais j'en étais arrivé à prendre du Noctamide à n'importe quel moment "pour dormir ne serait-ce qu'une heure", en le laissant fondre sous la langue, ou en en prenant des doses importantes.
Le résultat ne s'est pas fait attendre. En quelques semaines ou mois, je suis devenu complètement insensible à ce médoc, et surtout il m'a complètement déphasé, en association avec des anxiolytiques et des anti-dépresseurs...
Le sevrage n'a pas été rude, ça a été une délivrance... Je ne suis pas contre les somnifères ou les endormisseurs mais il faut être à mon avis très prudent avec et respecter un protocole médical. Si tu es accro au shoot et à la seringue, pour le "plaisir du geste", essaies de remplacer le Noctamide par du sérum phy ou de l'eau ppi... L'effet ne sera pas le même, c'est certain mais au moins tu épargnera tes veines un minimum. Même s'il ne faut pas abuser de cette technique...
Au pire, même si je devrais éviter de dire ça, puisque tu tapes en parallèle de ta substitution, ben tapes quelque chose de moins nocif que ce médoc qui n'est pas fait pour être injecté (et essaies de respecter la RdR)...
Prends soin de toi... Bon courage...
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LLoigor a écrit
Tiens comme je suis un grand curieux de la vie (j'espere que ce thread a sa place dans cette section , sinon a quand une section "discussion de tout et de rien sur la drogue ? :p )
J'aimerai que vous racontiez vos tentatives de décroches a la dures , non pas par sadisme de lire des expériences dont on sais tous qu'elle sont souvent traumatisante et impressionante , mais comme j'ai dit par curiosité , voir comment chaqun réagit :)
Des décroches à la dure, j'en ai fait beaucoup entre 1983 et 1985, il n'y avait pas d'autre choix. Je shootait l'héro de l'époque). La constante était ces cinq six premiers jours de manque que tout le monde connait un jour et puis le retour lent vers un fonctionnement physique plus ou moins "normal". Ensuite, et bien ensuite, je me faisait super chier, jusqu'au prochain extra ! .................... Et ça recommence, encore et encore. Jusqu'au ras le bol plus grand que d'habitude et coma ! Réveil du coma après x jours sans être en manque, même dans un état d'euphorie qui me permet de ne plus shooter pendant longtemps. Par contre, 6 ans sous néo-codion.
Le plus dur, en songeant à mon passé, n'a pas été ces sevrages à "la dure" de l'héro, mais bien des années plus loin, de stopper l'apport d'opiacés à mon corps. Le sevrage de la codéïne n'est pas dur physiquement. Pour moi, le tsunami d'angoisse et de dépression est arrivé un mois après le sevrage réussi des opiacés. Seul l'alcool assomoir calmait le trou noir qui remplaçait mon plexus. La galère aigüe a duré 1 an. Après plus rien. Ni alcool, ni dope, ni médoc pendant 10 ans................
Le reste sort de la réponse à ta demande, mais à ce jour je prend de la métha, et lorsque j'oublie mes gellules et que le manque démarre, mon corps me balance une bonne salve de peur. NON , plus ça, niet, nada, je chiosis la maintenance à bas seuil. Il y a de nombreuses publications scientifiques sur la méthadone et les résultats de traitements à la méthadone : Le premier que j'ai lu en 84 était "DEGLON J.-J. : Le traitement à long terme des héroïnomanes par la méthadone. Editions Médecine et Hygiène, 287 p., 1982. "
On y trouve des réponses à nos interrogations "morales" sur les processus de dépendance ainsi qu'à nos interrogations physiques.Un peu de connaissance des études réalisées nous aide à mieux nous situer dans l'espace temps et de ce fait à prendre de meilleures décisions concernant les soins choisis. Bien à vous. Fil
Dernière modification par filousky (21 juin 2009 à 10:59)
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Dernière modification par ORNITHO (21 juin 2009 à 14:28)
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Dernière modification par ORNITHO (22 juin 2009 à 20:01)
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