Salut les p'tits potes !
Je tiens à laisser un gros big up aux personnes qui tiennent ce forum, la bienveillance règne sur les topic que je parcours, depuis mes premières lectures jusqu’à aujourd'hui, ce qui m'aura poussé à m'inscrire pour partagé tout ça avec vous ! Et mille excuse si je me suis trompé de catégorie, c'est du à ma nouveauté héhé.
Tout d'abord, histoire de planter le décors, ce post ne parlera pas de moi.
Depuis quelques années maintenant nous consommons, dans notre petite communauté, avec des période très marqué, du à la chronologie des découvertes, codé,
mdma,
ké,
coke et
LSD.
A la découverte de l'acide, nous étions tombé amoureux de cette drogue, "la plus saine", "la plus agréable" nananinana. Puis après environ 6 mois de consommation, plusieurs carton ou goutte par semaine, les doses augmentes, on se permet deux toncar dans la même soirée, ça mélange tonc/goute/ké et les grosse perches commencent.
Un soir ou le son et la goûte tape particulièrement fort, je me suis écarté quelques temps de la rave pour retrouver mes esprits. C'est avec stupéfaction que j'ai retrouvé mon copilote nu à terre, se débattant avec les personnes venu lui porté secours. Partant d'une petite oppression du à mon absence, il a complètement vrillé, tantôt il convulsait, tantôt il parlait sans aucun filtres comme si nous pouvions entendre toutes ses pensées (se qui ramène son lot de gêne, vous l'imaginez bien).
Après l'avoir rentré dans la voiture (et oui en hiver, tout nu, c'est pas le top), j'ai réellement cru que je l'avais perdu, discours incompréhensible, peur d'avoir tué ses parents???, il racontait absolument n'importe quoi et refusait de s'habiller. Nous nous sommes laissé quelques minutes, dans l'espoir de le retrouver avant d'appelé les secours par peur de ne pas pouvoir gérer ce trip, qui en plus commençait à nous épuisé mentalement étant perché comme jamais.
La bonne nouvelle, c'est qu'il s'est remis de ses émotions, que la
descente a été dur mais que ce petit pote a réussis à revenir, avec tout ses souvenirs de plus.
La mauvaise nouvelle c'est qu'en plus du traumatisme subit, le loustique a tenu à recommencer la prise de
LSD seulement quelques mois après tout ça. Le mettre en garde n'a absolument pas porté ses fruits et c'est à la teuf suivante qu'il reprends un demi pour "être raisonnable". La soirée s'est bien passé en soit.
Maintenant que la confiance en l'acide est revenu, la discussion du toncar entier est revenu sur le tapis.
Sauf que la période n'est pas bonne, il est pas dans ses basket.
Là est mon problème, je suis complètement apeuré; quand je vois à quelle point une bonne perche à haute dose (ou pas d'ailleurs) laisse une trace, un brèche dans l'esprit, je ne peut pas m’empêcher de penser qu'un
bad trip réponds aux même caractéristiques !
En plus de ce petit témoignage visant à faire un peu de prévention, parce que je vous jure qu'après avoir vu ça, je suis incapable d'imaginer me charger comme avant avec cette drogue, j'aimerais posé les questions suivantes :
Mauvaise idée le tonc en entier après ce genre d’expériences ?
Dois-je insister sur le conseil de ne pas retenter ce genre de truc tout de suite ?
Sachant qu'il faut prendre en compte que je suis pas tout blanc non plus, j'ai jamais eu ce genre de bad, je me défonce souvent et que je suis pas sa mère, malgré tout le bien que je lui veux et toute l'amitié que je lui porte.
Cette histoire me trotte dans la tête, assez pour vous en faire part, j'attends donc vos retours avec impatience !
Merci par avance pour vos réponses
!