A l'aide

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Gaelle44 femme
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Ma fille ne va pas bien  parce qu'elle a rencontré un mauvais garçon de la place de Saint-Naz. Non seulement il s'est installé chez elle, s'est comporté en mari jaloux, l'a fatiguée avec des horaires de n'importe quoi; mais il lui a aussi vendu de l'héroïne.

6 mois durant, avant qu'elle ne m'appelle à  l'aide.

Il faut savoir qu'elle m'a demandé de l'aider à  sortir de là , expressément.

On était pas équipée, et au bout d'un moment c'était tellement dur, qu'on a appelé SOS médecin, on était Lundi 1er mai. Il lui a été proposé un sevrage à  l'hôpital. Mais elle a été envoyé aux urgences. Moi j'avais pas d'essence.
Quand je l'ai récupérée, mardi 2, elle n'avait même pas une carafe d'eau dans sa pièce blanche mortelle, sans tel, en manque...
On m'a dit qu'elle n'était pas coopérante, qu'elle avait refusé l'hospitalisation.
Elle m'a raconté : près des heurts d'attente, on lui a amené une addictologue, mais sans rien pour soulager en attendant. Elle a réussi à  m'appeler 2 fois, et chaque fois j'ai rappelé l'hôpital pour qu'il la soulage.

Quand j'y suis arrivé, mardi matin, elle dormait suite au 2ème coup de fil.
J'ai attendu les addictologues qui m'ont écoutées un bon quart d'heure. Comme j'avais signalé que j'avais pris un rdv pour que la miss soit suivie par le pôle jeunes addicts d'oppélia, le 9 mai, ils s'étaient permis dejoindre la rose des vents; et avait réussi à  lui trouver un rdv pour dans 2 jours. Puis m'ont dit qu'on allait la réveiller, et qu'on pourrait partir.

J'ai demandé à  avoir l'ordonnance, et faire les papiers avant, je sais combien les réveils sont difficiles. "A mais y'en a pas. Elle sort comme ça". Elle est juste à  la pointe des douleurs du manque d'héroïne, 48h. J'ai dit ben non, vous lui avez donné quoi pour qu'elle dorme là  ? L'addictologue me répond : "Du valium, du tercian et d'autres choses". Ben donnez-moi une ordonnance. J'ai bien attendu 1h avant que l'addict vienne la réveiller. Elle m'a empêché de rentrer, mais 30 secondes plus tard j'ouvrais la porte pour rassurer mon enfant de ma présence. Je l'ai entendu répondre ensuite que c'était bien à  sa demande qu'elle était là . On a bien attendu 1h encore, et l'addict m'a fait promettre que c'était moi qui gérait les médocs, que c'était jusqu'au rdv. Je ne me souviens pas que cela ai été fait devant la miss.

Elle est allé courrir chercher une dose dès qu'elle a pu. A l'hôpital il lui ont dit que l'héroïne qu'elle prenait était coupée au Subutex. Ce qui créé une sensation de manque constant.

Le 4, à  la rose des vents,  elle a vu 10min un docteur et 2 infirmiers, qui lui ont fait pisser dans un pot, et lui ont fait une ordonnance de 30mg de méthadone, et lui ont dit decontinuer l'ordonnance de l'hôpital, sans même l'avoir vu, sans  même  savoir à  quelles doses, ni pourquoi elle avait été donné et comment.

Elle me dit ne pas vouloir prendre la métha. Finalement quand le manque commence à  faire trop mal, en pleine nuit, je lui dit d'essayer, qu'elle choisira après.

Le lendemain elle est retourné chercher sa dose de metha, c'est un vendredi, on lui a donné pour tout le week-end,  35mg par 24h.

Depuis je suis avec un zombi, que les docteurs, sans aucun réel suivi, cachetonnent à  la methadone, au valium et au tercian. Si j'avais laissé faire, elle serait encore, après 20 jours sous 35mg de métha, 75mg de tercian et 30mg de valium. Elle dormait 20h sur 24, faisait des apnées, et ne bougeait pas d'un poil dans son sommeil. Elle avait tellement mal partout quand elle se réveillait. J'ai appelé SOS médecin, qui m'a répondu qu'il ne pouvait rien faire parce que c'était à  la rose des vents de le faire. en fait il n'avait pas pu les joindre un samedi.

Le lundi matin elle n'était pas en état de se rendre avant midi au collectif de la rose, collectif d'addicts dépendants. J'ai télephonné et demandé à  parlé à  l'éducatrice qui me suit depuis que je sais que la miss est sous héroïne.  J'explique dans qu'elle état elle est, dit que je suis inquiète, et obtiens pour elle un rdv l'apès midi, à  16h. On est le 9, j'avais un mois plutôt obtenu un rdv, à  14h, à  l'autre pôle d'addictologie, Oppélia, qui ont un service jeune addicts; avec un psy, ce qui devait lui ouvrir les séances de sophro et auto-hypnose gratuites. J'ai moi même commencé depuis 1 mois. Je dit que 2 rdv seront bien trop nombreux dans la journée. Qu'il serait plus judicieux qu'elle voit le psy, et qu'on lui donne sa méthadone rue gambetta. Ce n'était pas possible. J'ai donc appelé Oppélia à  14h, demandant à  parler au psy. On n'a jamais voulu me le passer, sous pretexte qu'elle est majeure. Il avait été décidé dans le service que je ne parlerais qu'à  l'éducatrice. J'ai menacé de porter plainte pour non-assistance à  personne en danger.

Je l'ai accompagné tous les jours à  la rose, incapable de trouver son chemin, je l'ai même vu s'endormir à  mon bras, en marchant. Et chaque fois elle ne voyait qu'un infirmier, et recevait 35mg de métha. Un jour on sortant, on est allé manger au Jack's express, parce que depuis elle mange comme 4. Elle a pris sa métha sur place, et au retour à  fait comme un malaise, on a eu beaucoup demal à  rentrer, elle s'est endormie en arrivant.
J'ai rappelé SOS médecin, et me suis fait engueler par le doc que nous avions vu, me disant que c'était à  moi de me soigner parce que je stressait ma fille. Elle ne va plus au toilettes depuis, elle est sur-dosée, j'en suis sûre.

Du coup, j'ai pris la décision de baisser moi-même. Lui disant que si ça n'allait pas, elle pourra rallonger. Elle ne l'a jamais fait. Elle a fini par le dire à  la rose qu'elle avait baissé, du coup ils ne lui donne plus que 25mg.
Bien sûr, pour le valium et le tercian on arrivait au bout de l'ordonnace de l'hôital. Je lui ai donc dit d'en demander une autre à  la rose. On n'arrête pas ce genre de traitement d'un coup, surtout pas par manque. On lui a répondu qu'ils ne pouvaient pas. Son prochain Rdv avec le docteur Ramond de la rose n'était que pour le 16.

Le lendemain elle avait une douleur au pied qui m'a fait pensé à  une crise de goutte. Comme on lui avait dit de prendre rdv avec un médecin, on est allé voir la seule qui la prendrait en urgence avant un week-end, celle que je voyais parce face au stress  je n'allais pas bien, bronchites sur bronchites, ménaupause, et peur. Le doc m'avais prescrit du Xanax, que je n'ai pas pris. J'ai fait de la sophro à  la place. On a attendu 1h, la miss s'est endormie, à  chaque sonneries elle se relevait en sursaut. Elle a eu beaucoup de mal à  se lever.
J'ai expliqué la situation au doc, elle m'a dit vous venez donc pour le valium. J'ai dit pas que, elle ne va plus au toilettes, et y'a comme eu une crise de goutte, elle souffre des dents... Elle l'a osculté 2 min. A fait une ordonnance, en précisant que ce n'était que jusqu'à  son rdv avec le doc de la rose.
Au moins les laxatifs l'ont soulagés. J'avais tellement peur qu'on se retrouve aux urgences le week-end.

Le 16 nous sommes donc allées au rdv médecin avec la rose. Mr le doc était fatigué, et avait hate de partir en vacances, lui a t'on dit quand en sortant elle a réalisé qu'il avait oublié de mettre sur l'ordonnance des antalgiques, et oublié de lui remettre son traitement de méthadone. En passant devant la pharmacie, elle m'apprends qu'elle lui a fait augmenté les doses de valium, doublées même puisque ça passait de 3x5mg à  3x10mg. Je ne me suis pas fâchée en criant, je crois bien qu'elle a vu les larmes qui me venaient.

Elle est maintenant à  20mg de metha, 25mg de tercian et il y a 6 jours qu'elle a arreté le valium d'elle même. Si les médecins disent le contraire de moi, quel adulte écouter ? Surtout si ado, on est en colère, le plus souvent avec qui on passe le plus de temps, non ?

Hier, elle a préféré allez voir la naturopathe, sachant qu'après elle ne serait plus en état d'aller jusque la rose des vents. Le sevrage est rapidement mené, le manque d'opiacée fatigue énormément. En faisant des paliers, c'est moins violent. On a ce qu'il faut pour le week-end. C'est de cette tranquilité dont elle a besoin.
Il nous faudrait aussi un bon vrai médecin.
 
Maintenant j'aimerai que l'on trouve une solution rapide pour que ma fille ai son traitement à  domicile. Une infirmière qui passe à  la maison.
Elle a besoin de tranquilité, ce qui n'existe pas à  la rose des vents.

pouve-vous m'aider, me conseiller, me soutenir ?
Cordialement.
Gaelle

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BoilingBlood homme
PsychoHead
Inscrit le 02 Feb 2013
1289 messages
Bonjour Madame, votre situation me touche beaucoup, ainsi que l'amour et le soutien que vous semblez porter à  votre fille.
J'espère que vous arriverez à  communiquer ensemble, car dans mon cas, c'est mon père qui a su m'aider de l'instant où j'ai réellement décidé de décrocher à  aujourd'hui.
Les difficultés que vous semblez rencontrer doivent être usantes, mais ne vous laissez pas décourager !
J'ai été suivi pendant des vacances à  la rose des vents le temps d'un transfert, et j'avais plutôt apprécié cette structure personnellement, bien que ma situation n'était pas comparable.
J'espère de tout cœur que le forum saura vous apporter de l'aide, il me semble que dans certains cas, lorsqu'il est question de quelque chose de réellement anormal (je ne connais bien sûr pas les détails de votre histoire), certaines personnes du forum peuvent contacter un CSAPA de façon à  essayer de trouver une solution. J'espère que ça sera possible pour vous si il y a lieu de le faire bien entendu.
Bon courage.

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prescripteur homme
Modérateur
Inscrit le 22 Feb 2008
12147 messages
Bonjour,
Je crois que face à  cette violence institutionnelle que vous décrivez il faut essayer un retour à  l'humain, soit UN médecin généraliste  ou spécialiste (addictologue, psychiatre)  qui coordonne toutes ces interventions.
Si votre médecin peut jouer ce rôle c'est bien mais sinon essayez de vous renseigner et de trouver un médecin ou un autre professionnel  plus à  l'écoute. Et dites lui ce que vous nous écrivez (vous pouvez d'ailleurs l'imprimer et lui faire lire). Mais il faudra aussi écouter ce qu'il dira même si vous n'êtes pas d'accord.
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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pierre
Web-Administrateur
Inscrit le 15 Sep 2006
17505 messages
Bonjour,

Si vous parlez de la rose des vents à  saint nazaire, cela m'etonne beaucoup, pour les connaître très bien...

Faut il leur faire remonter l'histoire ? D'ailleurs, je pense qu'il vienne souvent sur Psychoactif, ils certainement lire ce message.

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Recklinghausen homme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 09 Mar 2015
6185 messages
Salut Gaà«lle,

Compliqué à  gérer les histoires de psychotropes quand on y connaît absolument rien en matière de drogue...

Je vais commencer par parler de ta gamine.

N'a t-elle pas le droit à  la Liberté ?

Comment se fait-il qu'elle n'est plus à  même de prendre des décisions pour elle même ?

Dans tes écrits, elles ne serait qu'une sorte de pantin articulé. Et tu ne ferais que prendre le relai de son ancien petit copain.

Tu vas jusqu'à  jouer avec les traitements médicaux en incitant ta fille à  ne pas les respecter.

Tu te permets de supprimer le diazepam et baisser son traitement méthadone ( pourtant peu élevé ) car TU décides qu'il est trop élevé et qu'il mérite d'être abaissé ?

Car le médecin, qui est un professionnel de santé, lui augmente son traitement de diazepam et... Au lieu de l'écouter, tu l'invites à  grands coups de chantage affectif ( les petites larmes qui apparaissent quand elle parle d'augmentation des doses de Valium ) à  supprimer ce médicament ( puisque 6 jours en arrière revient au jour de la prescription ).

Comment se fait-il qu'elle n'est pas capable de se préoccuper de ses soucis de santé et que tu interviennes sans arrêt dans sa vie, jusqu'à  décidé pour elle de ce qui sera le Bien ?

Elle vivait de façon autonome, est adulte et tu emploies le terme " ado " quand tu parles d'elle ?

Ne penses-tu pas qu'il y a comme un petit problème dans les mots que tu emploies pour parler d'elle ?

Comment veux tu qu'elle puisse ne serait ce qu'avoir un peu confiance en elle après être tombé sur une relation amoureuse toxique et que tu " profites " de son état de faiblesse pour régenter sa vie ?

Et aujourd'hui, tu l'orientes vers... Un naturopathe ( un charlatan ? ) ?

Tu penses sincèrement qu'il va lui être utile quand à  sa convalescence ?

Quand a trouver une solution rapide pour avoir son traitement à  domicile... C'est pour mieux jouer au médecin et gérer pour elle ses médicaments ?

Ton discours est vraiment inquiétant Gaà«lle. Ainsi que le faits que tu relates.

Avez vous pensé à  débuter une thérapie familiale ?

Et que pense ta fille de tout cela ?

Prenez soin de vous,


Reck.

PS : JE n'ai jamais entendu parlé d'héroïne coupée au Subutex ( buprenorphine ) ? Alors que des toubibs t'en ai parlé ???

L'appartement est toujours squatté par son copain dealer d'héroïne qui lui en vend ? Il serait surement temps de faire les démarches pour qu'elle puisse arrêter de payer et qu'elle récupère sa caution, non ?
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Je trouve aussi cette "infantilisation" excessive et contre productive. (h5)

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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Sufenta
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 11 Apr 2015
6267 messages
Bonjour

C'est une situation compliquée et effectivement il y a une violence institutionnelle comme le précise prescripteur, je ne veux pas me substituer aux médecin qui ont instauré le ttt, mais la fatigue vient de plusieurs événements...

La fatigue du manque et de la situation, des neuroleptiques et des benzos, mais dans tout les cas il serait bien de réévaluer ce ttt, peut être arrêter les neuroleptiques et diminuer le valium et aussi évaluer la méthadone sur 24h, à  faire avec un professionnel...

Tu dis que ta fille dort tout le temps mais se réveil mal ce qui démontre bien une incohérence dans son ttt, il faut vraiment en parler avec un professionnel compétent afin qu'il réévalue tout ca mais en attendant ne fait pas toi des changements..

Les neuroleptiques et la méthadone constipent, c'est important de surveiller le transit, ce qui a été fait avec les laxatifs et il faut continuer.

Courage c'est une période délicate mais ça va s'arranger continue à  soutenir ta fille elle a besoin de quelqu'un de fort actuellement sur qui elle puise compter

Amicalement sufenta

SINTES: Analyse de produits :
https://www.psychoactif.org/sintes

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BoilingBlood homme
PsychoHead
Inscrit le 02 Feb 2013
1289 messages
Reck : je suis d'accord avec certaines choses de ton post, mais avec d'autres pas vraiment.
Déjà  je ne suis pas certain que le ton employé soit vraiment adapté à  quelqu'un qui vient chercher de l'aide sur le forum pour aider à  son tour sa fille, semble avoir une attitude bienveillante à  la base, et qui semble également très affecté.
Je ne pense pas que culpabiliser de cette manière soit la meilleure solution, je parle aussi de la façon de parler, souvent évoquée par Prescripteur par exemple, le "tu qui tue" ne doit pas être réservé aux autres.
Tu dis aussi "à  grand coup de chantage affectif" alors que, à  mon avis, les larmes qui lui sont venues aux yeux, elle ne les a certainement pas fait venir exprès pour culpabiliser, en tout cas je ne me permettrais pas d'évoquer ce genre de trucs à  ce stade de la discussion.
L'histoire du naturopathe, même si j'aurais tendance à  être d'accord avec ton appréciation de la profession, je ne l'ai pas compris comme étant "maman a envoyé sa fille chez un naturopathe", mais je lis plutôt que c'est sa fille qui l'a choisi.
Ensuite, même si je suis aussi d'accord avec toi sur le fait que ce n'est pas la bonne solution que de gérer le traitement de sa fille, je trouve difficile de lui reprocher quand l'addictologue lui-même a demandé à  la maman de garder les médicaments. Bien sûr qu'elle ne devrait pas non plus modifier les posologies elle même, mais tout ça, on peut l'expliquer sans forcément faire culpabiliser.
Je pense que Gaelle est déjà  assez mal, et ne me semble pas mériter un tel traitement à  ce stade, j'ai l'impression qu'elle cherche à  bien faire, et je suppose qu'il vaut mieux tenter de communiquer sans ce ton et espérer qu'elle puisse prendre ensuite les bonnes décisions, plutôt que de la braquer direct avec ces piques.
Enfin, pour l'hero coupée au sub, j'ai du mal à  comprendre comment le doc a pu savoir ça, mais par contre j'ai moi même connu 2 abrutis qui completaient des grammes dans lesquels ils avaient tapé avec du subu pilé pour pouvoir les revendre au bon poids, et il m'est également arrivé au moins une fois de me retrouver avec un gramme qui avait des points blancs que j'ai pu identifier comme étant du sub. C'est vraiment anecdotique, mais malheureusement, je sais que ça existe.

Voilà , je dis tout ça en soulignant que je suis d'accord avec toi sur pas mal de choses, mais je pense qu'il est préférable d'avoir un discours rassurant avec une personne comme cette maman qui vient chercher de l'aide, de façon à  lui faire comprendre ses potentielles "erreurs" plutôt que de la braquer, qu'elle déserte le forum et que son appel à  l'aide soit complètement inutile pour la principale concernée, sa fille.
Cordialement (j'insiste)
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Entièrement d'accord avec toi - Porygon

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