[ Drogue info ]

Dernière heure de gloire pour la codéine?

Pfff quelle M---- Ninou10. Quand est-ce que ça s'arrête !?!  Bon courage, surtout avec bebe ça ne doit pas être facile.

@Ninou10
Personne ne peut t'aider ?
Porter bb avec une tendinite au bras !
Je compatis, fais attention tout de même avec le TRAMADOL, la codéine c'est beaucoup moins risqué !
Ne prends pas le risque de faire un syndrôme sérotoninergique, ce n'est pas une légende, j'en ai fait un sévère, le Valium m'a aidé à ''redescendre'', j'en ai pris plusieurs et ce n'est pas la solution donc fais VRAIMENT ATTENTION (c'est dangereux) avec le Tramadol, ça ne pardonne pas, privilégie le LP surtout.
Force et courage Ninou, de toute façon on a pas le choix.
Et tu n'as pas d'anti-inflamatoire ?
Tatami
PS : ton bébé à quel âge ?

Tatami
Et non je suis allergique aux anti inflammatoires c'est marqué en gros sur mon carnet de santé même avec pansements gastriques. . Que veux dire LP ?

Oui Ninou, pas de souci il ne faut pas en abuser simplement.
Libération prolongée, les effets durent 12h tandis qu'en Libération Immédiate 6h.
Le LI pour moi me donne artificiellement une énergie débordante que je paye cher tandis que le LP est plus soft donc pour les douleurs c'est à privilégier je pense.
Pas plus de 400 mg par jour pour moi, voire bcp MOINS.
Ton Doc t'a dis d'en prendre combien ?

Bref, Ninou la pilule miracle n'existe pas, donc fais attention aux dosages avec le Tramadol, en plus tu es seule avec tes enfants, prend pas de risque à vouloir augmenter le Tramadol seule, plus risqué que la codéine, je le redis car j'en ai fait la redoutable expérience, et ça fait PEUR !

Lis les notices, écoute-toi et ton rhumatologue.

Voilà, moi je n'y connais rien, donc je te mets seulement en garde rapport à mon expérience.
Je ne suis pas médecin, je suis seulement dépendante aux opiacés.
Tu es courageuse Ninou.
Tatami

Caïn a écrit

oui bravo pour ton courage Ninou !
As-tu essayé les porte-bébés (ventraux ou dorsaux), ça soulagerait ton bras...

Et bien vous allez rire mais ça me tue le dos aussi ! Arg la fybromyalgie c'est une belle merde mes amis je ne la souhaite a personne ... aucune partie du corps n est épargné. ..

Coucou tout le monde (quelle lecture !!!)

Jojo était un troll ?? J'ai pas compris l'histoire il a édité ses derniers messages. 

@Neoneant :

- Morphée... est un mec
- Si la méditation te fait mal au dos, as-tu essayé la sophrologie ?
- Alors le valium a bel et bien un effet de relaxant musculaire. Il me semble que le myolastan a été retiré de la vente du coup ton doc t'a prescrit le valium pour ça.

À propos du mystère de la prontalgine

Voici la composition complète de la prontalgine :

Paracétamol : 400 mg
Codéine phosphate : 20 mg
Caféine : 50 mg

Excipients :
- Cellulose microcristalline
- Crospovidone
- Magnésium stéarate
- Povidone
- Silice colloïdale anhydre
- Sodium carboxyméthylamidon.

Et voici celle du codoliprane :

Paracétamol : 400 mg
Codéine phosphate : 20 mg

Excipients :
- Acide stéarique
- Amidon de pomme de terre
- Crospovidone
- Gélatine
- Povidone

Beaucoup plus d'excipients dans la prontalgine.
Certains d'entre eux favorisent peut-être tout simplement l'absorption et/ou augmentent la biodisponibilité du principe actif.

Effectivement il serait intéressant qu'un pharmacien vienne nous donner son avis sur le phénomène.

A propos de mon traitement au dicodin

Quatrième jour de bien-être aujourd'hui !

Je commence à être assez accrochée au produit quand même.

Je pense être très légèrement surdosée, m'est avis que Dr Bougon va certainement me faire un peu de forcing pour descendre encore légèrement la dose à notre prochain rendez-vous.

Je verrai bien...

Je commence de plus en plus à considérer le sevrage dégressif comme une option.
Je n'aime pas dépendre de quelqu'un pour avoir ma dose, voilà.

J'aime la codéine et elle m'a toujours bien réussi. Mais si je dois quémander pour avoir ma dose, elle est un boulet pour moi...

Donc je commence peu à peu à integer l'idée dans mon esprit qu'il va me falloir apprendre à vivre sans elle...

Ou du moins sans elle au quotidien, parce que mon mari en aura toujours à disposition.

Je me met en quête dès à présent de chercher et si possible trouver un autre équilibre avec des plantes plus facile d'accès pour le quotidien, et revenir à la codéine comme extra, et uniquement comme extra.

Pas du jour au lendemain, loin de là.

Je ne veux faire aucune concession en ce qui concerne mon bien-être, je vais me débrouiller pour qu'on me laisse le temps d'opérer en douceur ma transition.

Plusieurs choses m'ont ammenée à cet état d'esprit :

- Le fait de retourner en magasin bio pour la première fois depuis des années m'a rappelé qu'avant de découvrir la codéine et de l'adopter comme ma béquille officielle, j'étais déjà en recherche de plantes bonnes pour m'aider à lutter contre mon trouble anxieux et mes divers "pets de travers" quotidiens.

- Le fait que je n'aime pas être dépendante du bon-vouloir d'un médecin bougon : la codéine n'est plus en vente libre, même en négociant une dose de confort réelement confortable (comme celle que j'ai aujourd'hui) je n'aurai plus jamais de contrôle sur celle-ci.
C'est à dire qu'avant, j'étais libre d'augmenter mes doses si besoin, et je n'ai envie de demander la permission à personne si j'ai besoin de ça.

Donc il faut que je me défasse de ma dépendance physique à la molécule et que je trouve une plante en vente libre qui ferait le job pour ce qui est de la dépendance psy, si possible.

Ça sera différent, forcément différent mais tant que ce sera "moins bien" je refuserai de stopper complètement la codéine.

- Le fait que ça s'inscrit dans une transition qui date d'avant la codéine.
Je me dis que dans ce cas la codéine aura été tout simplement une étape dans mon développement. Une bonne étape, qui aura abouti sur une nouvelle étape.

Voilà où j'en suis dans mes réflexions.

Je veux que ça dure le temps qu'il faut pour que ça réussisse. Faire bien comprendre à l'équipe qui me suit que je veux être actrice de ce traitement.

Et parallèlement à ça je vais continuer à tester tout ce que je pourrai trouver comme petites plantes de santé et aussi apprendre à prendre plus soin de mon corps en mangeant plus sainement et en faisant régulièrement du yoga. Cette partie va être la plus compliquée d'ailleurs

Voilà... Si ça se trouve dès que mon dosage sera baissé même un tout petit peu je vais revenir là dessus en disant que j'étais folle de ne serait-ce qu'envisager de vivre sans codéine ! Mais là tout de suite, j'ai vraiment envie d'essayer. Je pense que j'ai pas grand chose à y perdre mais beaucoup à y gagner :)

Bonne soirée

Elisa : et bien c'est un grand pas en avant et pis si tu changes d'avis moi, je dis 2 pas en arriere mais 3 pas en avant

@ elisa


Merci pour la correction de mon inculture prise en flagrant délit... Néanmoins j'aurai préféré que ce soit une déesse... Juste pour mes goûts personnels... Mais bon, tant que c'est pas un dieu trop velu... Je n'irai quand meme pas regarder sur google...

J'ai pas osé te mettre de champi vert pour ça car je sens qu'il aurait été retiré car n'entrant pas dans la charte.

En tout cas continue la précision de tes posts, ils sont très détaillés et parfaits pour comprendre les subtilités, et surtout relater un chemin de progression qui pour les  nouveaux comme moi ont bien besoin de guideline sur lequel se reposer....
Et ça ça mérite bien un champi vert...

Le six septembre je vais essayer de demander, si dégressif codo non accepté, peut être un dégressif dicodin LP...  Si ça correspond à '10-11 prontalgines...
Si possible sur longue durée...
Rappelles moi, est ce qu'il a aussi une fonction anti douleur avec un petit truc en plus ou est ce de la pure codêine ?

Sinon techniquement est ce qu'il t'est remboursé ;/) ?

Bises et guillotines à dicodin

Dernière modification par Neoneant (29 août 2017 à  19:43)

Elle est où cette pharmacie ...

Merci à plus belle la nuit sur fb :


https://actu.fr/normandie/bagnoles-de-l … 51163.html

Agnès Buzyn, la ministre de la santé a inscrit les médicaments à base de codéine sur la liste des produits délivrés sur ordonnance alors qu’ils étaient, jusque-là, disponibles en vente libre en pharmacie. La raison ? « Mettre un terme à des pratiques addictives dangereuses et potentiellement mortelles liées à l’usage détourné de ces produits », explique le ministère de la santé dans un communiqué. En effet, l’inquiétude est grandissante à propos de l’usage « récréatif » de la codéine. Et pour cause, depuis le début de l’année, deux adolescents sont morts après avoir ingurgité une surdose de codéine. Un problème qui se répercute directement sur les pharmacies.
Un usage détourné

Ce médicament antidouleur se voit, dans certains cas, détourné en drogue. Cet antalgique, de la même famille que l’opium, provoque une sensation de « défonce » avec un ralentissement du rythme cardiaque. Il peut entraîner un coma, qui peut parfois s’avérer mortel. Pastilles pour la toux, sirops, anti-douleurs : tous ces produits ont un point commun : ils contiennent de la codéine. Cette molécule est devenue la drogue de certains jeunes et fait fureur chez les adolescents. Un ancien consommateur régulier de 23 ans, qui a souhaité garder l’anonymat, témoigne. « Je prends de la codéine depuis deux ans environ, je n’avais pas vu venir cette loi, c’était très soudain. Je la consommais mélangée à des boissons gazeuses, ça avait un effet soporifique sur moi. Depuis que le décret est passé, je n’en consomme plus sachant qu’elle est accessible uniquement sur ordonnance ».
Les pharmacies locales impactées

Pour se procurer des médicaments codéinés, il faudra désormais obligatoirement passer par un médecin et présenter une ordonnance à la pharmacie. Cette décision, d’application immédiate n’a pas pris que les patients de cours. Les officines, elles, se retrouvent avec un stock conséquent, pour certaines. « Suite à l’application de ce décret, nous nous retrouvons avec un stock. C’est de la perte pure pour notre pharmacie, environ 90 % », estime un professionnel de La Ferté-Macé.

Pour le moment, la plupart des pharmacies n’ont pas encore de retour concernant la reprise ou non des médicaments codéinés par les laboratoires qui les fournissent. « Evidemment, nous nous retrouvons avec un stock invendu. Pour le moment nous ne savons pas encore si les laboratoires vont reprendre le stock restant, s’ils vont rembourser une partie ou si c’est de la perte pour nous », explique une pharmacie de Gorron.
Une décision trop rapide ?

Les pharmacies sont unanimes : le décret a été adopté trop rapidement. « En pharmacie, nous avons encore des personnes qui viennent et demandent de la codéine. Tout le monde n’est pas encore au courant de la décision prise par l’arrêté ministériel », explique une officine de Gorron.
Des conséquences importantes

Pour un pharmacien de Lonlay-l’Abbaye, cette ordonnance ministérielle n’était pas nécessaire. « Prenons l’exemple de patients qui souffrent de fortes douleurs dentaires et qui ne veulent pas forcément prendre des anti inflammatoires (qui peuvent diminuer la capacité immunitaire), nous ne sommes plus en mesure de leur administrer des cachets à base de codéines sans ordonnance du médecin ».

    « Des médicaments efficaces qu’on ne peut plus prescrire »

Une pharmacie de La Ferté-Macé estime que le décret a été adopté trop rapidement. « Il serait bien de revenir à une concertation pour voir comment l’assouplir. Les pharmaciens auraient pu sécuriser la délivrance de ces médicaments au cas par cas, notamment à l’aide du dossier pharmaceutique des clients qui permet de faire le point sur les médicaments achetés par l’administré ». Certains pharmaciens voient en cette interdiction un moyen d’empêcher certes, certaines dérives de la part des consommateurs. Mais le problème, c’est qu’elle empêche aussi d’utiliser librement ce médicament pour soulager certaines douleurs.

Amale AJEBLI

Des médicaments interdits dans les années 1990
Selon l’arrêté du 22 février 1990 fixant la liste des substances classées comme stupéfiants, les médicaments à base de codéine étaient déjà interdits. C’est l’ancien ministre de la solidarité, de la santé et de la protection sociale qui avait décidé de cette classification. Après avoir de nouveau été autorisée, la vente libre a été interdite depuis le 12 juillet dernier.

En France, deux morts en 2017
Depuis le début de l’année, on répertorie deux décès d’adolescents suite à une surdose de codéine ingurgitée. Et pourtant, la vigilance autour de ces produits était demandée depuis plusieurs mois par les professionnels de santé. Face à ce problème majeur, de santé publique, un arrêté ministériel adopté le 12 juillet a décidé d’interdire la vente libre des médicaments à base de codéine.

Ouais je sais c'était du second degré... j'aurais dû rajouter : je plaisante ... enfin si peu

@Neoneant : tu sais, si tu décides que c'est une déesse, tu peux très bien te dire que c'est une déesse

Oui, pour te répondre le dicodin c'est de la dihydrocodeine "pure" (taratre de dihydrocodeine) c'est à dire sans paracetamol. Excipients : alcool cétostéarylique, hyétellose, talc, magnésium stéarate.

La dihydrocodeine est metabolisée en dihydromorphine alors que la codéine est metabolisée en morphine.

C'est un antidouleur censé être le plus puissant des paliers 2 donc plus puissant que la codéine (en théorie du moins). Et c'est remboursé par la sécu à 65%.

@tout le monde :

Merci beaucoup pour votre soutien et vos encouragements, ça me touche beaucoup :)

ninou10: "C'est horrible ça se calme dans les hanches et ça repart dans les bras je suis épuisée. . En plus j'ai mon petit de 5 ans qui est autiste et demande beaucoup d'attention la journée. . Un mari absent toute la semaine c'est dur.... :'( "

comme je te plainds... et comme je te comprend!!! je connais le rythme infernal des enfants autistes (en ayant 3) et de celui d'avoir un nouveau né par dessus le marché! (le mien a 2 mois 1/2)... en plus d'ëtre dans un état catactrophique qu'il faut essayer de faire "tenir" vaille qui vaille... (moi c'est douleurs neuropatiques et empoisonnement du sang, pour les plus présents, et je compte pas tout le reste...)

donc je te comprend vraiment vraiment beaucoup et je te soutient en ondes +++ en espérant que tu tiennes le coup (je m'en veux de pas pouvoir faire mieux )

tu as encore beaucoup de réserves en médocs?
le moral ca va? (c'est important aussi même si c'est difficile dans notre cas...)

courage

flowers

perso, lorsque j'ai été voir mon Dr et que je lui ai parlé d'un relai avec tramadol ou dicodin, autant le tramadol lui a de suite dit quelque chose autant le dicodin il ne voyait pas... il a du chercher sur sa base de donnée quelques secondes.

et pourtant c'est un bon médecin, sérieux, qui exerce depuis un moment!
alors je me demande: est ce parce que le tramadol est souvent prescrit dans ce cas de figure (en relais à la codéine par exemple) et pas le dicodin que l'un lui été plus parlant que l'autre?

le dicodin est souvent/moyennement ou rarement utilisé en relais de la codéine?
quelqu'un a eu ce médoc proposé d'office?

cela me surprends qu'il soit limite méconnu dans les cabinets de villes...
a t il plutôt une utilisation dans des centres anti douleurs ou addictologie???

si quelqu'un peut m'éclairé de ses lumières ^^

ps: je viens encore d'avoir 4 champis vert supprimés par les modo en mode automatique avec un message pré-programmé en réponse à l'acte... ca doit bien faire le 6 ème au moins!
mais que se passe il? ils ne me semblaient pas qu'ils étaient inapropriés pourtant...

bon ap' à vous (pour ceux qui peuvent mangés et on le temps ^^)

flowers

Bonsoir à tous,

Cela fait quelque temps que je n'ai pas posté (quelques ennuis médicaux), mais j'ai, malgré tout, continué à vous lire quotidiennement.

Que de chemin parcouru pour certains, des solutions pour d'autres, et malheureusement encore des personnes dans l'impasse...J'aurai tellement aimé lire qu'une solution (même à l'essai) était en place pour chacun d'entre vous!

Pour ma part, me voilà bientôt à 1 mois de buprénorphine...J'ai eu rdv avec l'addicto cet aprem, et il semble approprié pour elle que j'augmente ma dose en passant de 3mg à 4 mg/ jour. Je n'y vois pas d'inconvénients, donc je vais tester.

Je ne ressens pas de symptômes de manque physique, le tso fonctionne à merveille pour cela, mais toujours ce craving en fin de journée...L'addicto pense que c'est peut être un signe de sous dosage...

Globalement, les journées se passent bien, pas d'envies et de pensées de codé jusqu'à 18h-19h. En revanche, je fume beaucoup plus de clopes depuis l'arrêt de la codéine, ce qui fait penser à mon addicto que je ne suis pas encore en zone de confort.

Je me rends compte que je retrouve peu à peu de l'énergie de manière stable. Mes journées ne sont plus en montagnes russes, avec les rushs et les descentes opiacés.
Le fait de péter la forme pendant 2 à 3h après la prise, puis amorcer un coup de fatigue avant la prise qui fera remonter, c'est finalement physiquement épuisant.

Je n'avais jamais fait le lien entre la codéine et ces vagues d'énergies et de fatigue successives... Je ne pensais qu'au bien être que me procuraient mes cachets, et dans mon esprit, rien de négatif n'était en rapport avec la codéine...

Je perçois les choses différemment aujourd'hui, j'aurai tendance à être plus nuancée. Je ne critiquerai jamais cette molécule, elle m'a tellement aidée, et m'a tellement de fois apaisée!!
Je me rends juste compte, avec stupeur, qu'il semblerait que je sois apte à vivre sans codéine...

Bien consciente de n'être qu'au début d'un long chemin, j'ai découvert que je pouvais rire sans codéine, dormir sans codéine, kiffer sur la musique sans codéine, et aimer sans codéine...C'était inimaginable il y a encore 2 mois...Je suis surprise, mais je reste prudente malgré tout. J'ai toujours été ma pire ennemie, et je ne sais pas encore si je serai capable de faire face aux difficultés, sans codéine.

Le quotidien ne me semble finalement pas si dur à supporter, je m'imaginais que la vie en sevrage serait triste et sans saveur...je sais aujourd'hui que c'est faux.

A tous, je vous envoie du courage, de l'espoir et milles pensées positives car on en a encore et toujours besoin!

Prenez bien soin de vous.